Introduction

Brooklyn.....ah ce quartier ! Vous savez, par année il y'a au moins 900000 migrants qui viennent s'installer dans le quartier. De par la population moyenne, il ya pas mal d'avantage à venir s'installer ici. Le coût de vie est bas, soit assez pour la classe moyenne qui plane au dessus de ses 56344,50€. Sinon,ici on aime bien vivre, les habitants sont sympas, la fumette s'est pas exactement ça limitant ainsi les risques..... enfin vous voyez ce que je veux dire.

Bon je crois que je ne me suis pas encore présenté, moi c'est Michel Ryan. J'ai 19ans aujourd'hui et j'ai réussi mon bac...... ouais c'est cool hein ? J'aurais sacrément été d'accord avec vous,si je ne l'avais pas rater l'année dernière. Ma mère m'avait engueuler......ah cette femme, c'est.... comment dire ? Elle l'a un esprit si joviale. Vous savez, c'est Victor Cherbuliez qui  était convaincu que "La joie d’un esprit en fait la force, et le secret de la joie, c’est l’amour". Il avait raison, mais depuis deux ans,cet esprit s'est affaiblie, oui depuis..... depuis la mort de mon père.

Oui c'est triste je sais, mais ne soyez pas triste, comme je le dit toujours à ma mère, "Quand on aime fortement, c’est toujours une nouveauté de voir la personne aimée." Une belle citation de Blaise Pascal, dans son livre Les passions de l’amour, de 1652. Si nous sommes deux et que cet amour est fort, alors la triste disparaîtra comme des nuages à la fin d'un orage.

En y repensant, ce mot me fascine..... l'amour, c'est un mot si simple mais aussi très complexe. Je me dis parfois que devrait être le premier à faire le pas dans ma relation avec ma mère, il est vrai que je l'ai aussi fait souffrir dans le passé, notamment par mes excès et mes ressentiments. Je l'ai parfois accusé de ne pas nous avoir assez aimé mon père et moi. Ah oui, c'est difficile l'amour ; quelques mois avant la mort de mon père, les différentes tensions qui les avaient déjà conduis sur la route du divorce, réfutent surface. Leurs divisant encore plus,me laissant tous seuls au milieu.

C'est ouf hein ! Moi qui parle d'amour aujourd'hui avec une telle mouvance, vous croyez que je suis un gentil petit garçon hein ? Eh bien sachez que non, pendant que Manuela et Victor qui sont mes parents se faisaient un break de la guerre froide, moi je vivais la putain de meilleur année de ma vie...... ouais enfin faut rester sur les mots,car chaque jour n'était pas morose.

Mais sinon je ne faisais pas le p'tit voyous pour rien, c'était pour attiré l'attention de mes vieux, se qui s'était soldée par une inscription au centre de correction de Coldwater ! Vous vivez aux Etats Unis et vous ignorez ce paradis infernale ? Alors ça veut dire que vous avez toutes vos chances pour la maison de Jésus...... Amen !

Non sans blague, je vous l'assure c'est important l'amour,car si aujourd'hui je suis ici dans cette enfer pour ado, c'est par amour et notamment c'est par amour que ma mère m'y avait enfermé. J'ai l'impression que j'ai déjà énormément parlé d'amour, vous ne croyez pas ? "À force de parler d’amour, on devient amoureux." Voilà ce qu'avait écrit Blaise Pascal.....un grand homme, mais sinon c'est très tentant..... tomber amoureux, sa doit être amusant !

—————Coldwater——————

Cet endroit est considéré comme un enfer pour mineurs. Aux Etats-Unis, des camps de redressement pour mineurs fonctionnent en dehors de tout cadre juridique. Gérés par des sociétés privées, encadrés le plus souvent par d'anciens militaires, ces lieux autogérés sont soumis aux seules règles édictées par les geôliers. S'y retrouvent de jeunes délinquants ou des adolescents au comportement problématique. La plupart du temps, ils ont été envoyés là par leurs propres parents.

Et ces là qu'après une longue année, Michel Ryan sortie après sa tentative de vol à main armée.

À l'entrée, l'attendait sa mère et bien entendu l'homme avec lequel elle s'était remarier pendant que notre petit voyous rendait des comptes pour ses actes très dangereux et inconscient.

Certe il nous a semblé joviale et charmant, mais sachez que ce n'est la que ce qui se trouve sous son épaisse armure qu'il s'était fabriquer en rejetant les siens. Lorsque ce dernier arriva devant sa mère, il n'afficha pas l'ombre d'un sourire.

— Mon bébé ! S'écria Manuela toute excitée en voyant son garçon.

Elle le serra très fort dans ces bras, il ressentit alors tous les émotions de sa mère lui traverser la peau jusqu'au cœur. Ainsi il lâcha un sourire et des paroles si plaisante à l'oreille de sa mère.

— Toi aussi tu m'as énormément manquer !
— Mon bébé, tu vas tous me raconter et je dis bien tout, insista t'elle.
— D'accord, répondit t'il.

Alors qu'il embarquait dans la voiture, le monsieur qui accompagnait sa mère, lui fit un geste pour le saluer, mais notre ami l'ignora complètement, comme s'il n'existait pas.

Après ce départ qui était très informateurs pour la suite des événements. Ils se rendirent directement à la maison pour fêter la sortie de Michel.

Dans la voiture :

— Alors, ce n'était pas trop difficile mon cher Michel ? Demanda poliment Roger, le nouveau marie ; parceque pour ta mère sa n'a pas été une partie de plaisir.
— Eh bien..... ça avait ses bons et mauvais moment, répondit t'il en détournant le regard.
— D'accord.... mais est-ce c'est vraiment aussi difficile à vivre et.....
— Roger s'il te plaît, interrompu ainsi Manuela. Je sais que tu es impatient de discuter avec Michel, mais ce n'est pas le moment.
— Oui tu as raison, affirma t'il. Je suis désolée chéri !

Ils continuèrent ainsi la route jusqu'à la maison.

Je ne sais pas pourquoi mais ce type, il va sacrément me faire chier.

De retour à Brooklyn, Michel afficha un sourire discret, qui n'échappa nullement au regard de sa mère.

Cependant, il y'avais eût de nombreux changements en l'absence de notre ami, après la mort de son père, la mère de Michel avait délaissé la demeure situé dans le quartier de Downtown pour déménager à Bushwick.

Arrivée dans la nouvelle demeure, le visage de notre ami n'affichait plus se sourire.

— Bienvenue dans notre nouvelle maison, déclara Manuela..... c'est une maison fascinante de dix pièces, soit un immense salon, une salle à manger très spacieuse, une grande cuisine, quatre chambres, deux salles de bains et bien sûr une bibliothèque plus coin de lecture.
— Intéressant, répondit le garçon.

Puis ils entrèrent dans la maison et alors que Manuela et Roger installaient les affaires de Michel dans sa chambre,ce dernier lui faisait le tour de la maison. Chaque pièce, chaque recoin,il ne laissait aucune pièce ; puis il arriva dans la bibliothèque, et là un sentiment fort remonta en lui. Un sentiment assez triste et douloureux, ce sentiment qui l'empêcha d'entrée dans la pièce. Puis arriva Roger qui vit le garçon tout pâle devant cette porte qui paraissait impossible à ouvrir.

— Alors, tu n'arrives pas à rentrer dans cette pièce ? Demanda Roger ironiquement.
— Non c'est pas ça, répondit t'il..... c'est que..... cette porte......
— Ah cette porte ? S'interrogea Roger, t'inquiète je vais l'ouvrir.

Puis il pressa le poignet et ouvrir grande la double porte qui menait accès à la bibliothèque.

— Ah bah voilà, dit Roger tout souriant. Oui j'avais oublié, cette double porte devait mené à la bibliothèque comme dans l'autre maison, ajouta t'il. J'avais beau essayer, mais je n'ai vraiment jamais kiffé les livres.......
— Hein ? Fît le garçon en fermant les yeux.
— Michel,tu as parlé ? Demanda Roger.

Sans plus un mot le garçon entra dans la pièce et admira les livres parfaitement rangé par auteurs et par genres.

— De Guy De Maupassant à Victor Hugo, en passant par Malarmer, on continue avec John Boss, Gustave Flaubert, Philip Roth, Ernest Hemingway, William Faulkner, Shakespeare, Charles Dickens, Agatha Christie.
— Wahou, fît Roger impressionné, sa fait un paquet d'auteur, enfin je crois.
— C'est grâce à tous ces gens et plus précisément leurs livres, que ma famille s'est fondé. La passion de lire et d'écrire.... voilà l'essence de cette famille.

Puis il s'avança et remarqua que les positions des livres étaient similaires à celle de l'ancienne maison. Mais c'est cette même disposition qui lui mis la puce à l'oreille, une série de livres manquait à l'appel.

Michel commença à chercher partout,sur les étagères, dans les coffrets et le bureau du coin de lecture mais rien.

— Euh..... tu cherches quoi ? Demanda Roger.
— Des livres, ceux de la collection stars édition.....les trois derniers livres que j'avais écrit avec mon père !
— Je ne sais plus trop, mais faudrait demander à ta mère......

Avant que Roger n'eut terminé sa phrase, Michel s'élança dans le couloir, retournant vers Manuela.

Il criait son nom dans toute la maison, alors celle ci qui se trouvait dans la cuisine,lui fit signe de la rejoindre.

— Qu'est-ce qu'il y'a chéri ?
— Ma'an, où sont les derniers livres de stars édition ? Demanda Michel tout inquiet.
— Eh bien, c'est assez difficile à dire car lors du déménagement, je croyait avoir tout pris ce qui se trouvait dans la bibliothèque.
— Alors cela voudrait dire que.....

Sans terminer sa phrase, Michel se retourna et attrapa les clé de voiture sur la paillasse et courut jusqu'à la voiture de sa mère.

Il fonça ainsi vers l'ancienne maison. Cependant sa mère très surprise, commença à s'inquiéter. Un orage débuta alors que notre ami fonçait vers Bushwick pour retourner à la maison où il avait grandi.

Complètement sur les nerfs, il se posait des tas de questions dont la plus importante, est-ce que je vais les retrouver ?

Après une trentaine de minutes,il arriva dans le quartier qui l'avait vu grandir.

Il fonça vers la porte, mais celle ci était verrouillé. Au début il voulut rentrée mais une certaine colère lui monta encore dans la tête et il alla dans la cabane de derrière et trouva un marteau à longue manche. À l'aide de cet outil, il détruisit littéralement la porte.

À l'intérieur, il se dirigea vers la bibliothèque avec toujours son marteau. Entré dans la pièce,il y'avais deux rangées de livres, l'une à sa gauche et l'autre sur sa droite et devant lui, un bureau, qui était celui de son père.

Il se souvenait que son père qui était gaucher comme lui, avait la mauvaise mani de préférer la gauche à la droite. La rangée de gauche, cachait un passage qui menait à un placard, celui dans lequel son père rangeait toujours ces livres.

Il essaya de déplacer la rangé, mais c'était assez difficile, alors il attrapa son marteau et fit quelques travaux de démolition.

Malheureusement, il ne trouva rien et un sentiment tres émouvant s'empara de lui. Il s'écroula et se mit à crier très fort.

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Le mois de juin, je déteste particulièrement ce mois car il représente le mois où j'ai perdu mon frère lors de notre naissance commune. Malgré cela, ça reste le mois où je peux me dire que j'ai de la valeur car mon père et ma mère se démerdent pour me faire garder le sourire.

Sachez que lorsque l'on parle de l'immobilier à Manhattan,on parle de Darling. Je vous fais l'honneur de m'écouter, mais ne me remerciez pas. Alors mon nom Francesca Elizabeth Darling, fille de Raphaël Zacharie Darling et Jewel Anastasie Front. Aujourd'hui c'est le 10 Octobre, le jour de mon anniversaire et j'atteins mes 19ans, la classe hein ? Milliardaire et malheureuse.

La famille organise toujours de grande soirée en cette occasion, mais parfois ces moments sont tellement réjouissant pour mon père que l'on à l'impression qu'il s'agit de son anniversaire. Enfin bref, généralement je n'y met pas long à ces soirées, je me tire des le gâteau coupé.

Sinon assez parlé de mon anniversaire, parlons de moi ! Un sujet intéressant hein ? Oui je sais, alors suivez la jeune l'une des jeunes filles les plus riches d'Amérique.

Bon par où commencer ? Euh....oui mon physique. Comment vous expliquer facilement ? Bon dites vous que c'est un mélange de Beyoncé et Taylor Swift, mais en plus jeune. Je suis tellement belle que j'attire tout les mec.... normal, j'suis mannequin ! Je pense que Rihanna a la même voie que moi, mais comparé à moi c'est pas encore ça...... courage Riry un jour tu seras comme moi.

Sinon je me trouve très gentil..... oui de ouf même, genre une fois j'ai laissé un mec avoir l'honneur de me parler pendant plus de cinq minutes. C'était juste......ahhhhh ! Je sais ce que vous vous dites..... qu'est-ce qu'elle est forte......oui je sais. Et comme exemple, on peut se référer à cet instant où je vous permet de m'écouter, je vous offre un aperçu de ma vie et le pire c'est que je ne m'en vente même pas.....ah quelle humilité !

Mais les fans, malgré ma belle vie entre voiture de luxe, balade en Jet ou hélicoptère et en passant par les séances photos avec des stars, je suis triste.

C'est bizarre hein ? Mes parents sont trop occupé,mes frères jamais là, mes sœurs marié et il ne reste plus que moi. La petite dernière, mon père me fait toujours des cadeaux extravagant tout comme ma mère, c'est vrai que c'est super mais j'ai pas toujours eu besoin de ça. À la différence de mes grands frères et ma grande sœur Ashley, que mes parents ont eux lorsqu'il travaillaient encore dur.

C'est pas que vivre dans la pauvreté c'est cool, mais au moins ils étaient heureux. J'ai passé toute ma vie entre des prestataires de cours à domicile, les gouvernantes et les nounous. Une véritable vie de riche...... la seule chose qui intéresse vraiment mes parents c'est leur argent et comment le multiplier.

En ce qui concerne mes deux grands frères, Steeve et Frédéric,au début il était cool, genre il s'occupaient de moi mais après que mes parents les aient transformer en producteurs de fonds......mes deux autres grandes sœurs, Alicia et Serena..... c'est pire, Serena à épousé un riche golfeur et joue actuellement à la mère poule, Alicia qui est bizarrement toujours célibat à 25ans passe son temps à dépensé.

En bref je suis la toute seule, mais par chance j'ai mes livres et mes instruments de musique.

Attendez, c'est vrai que j'aurais pu terminer sur ces mots touchant mais, j'ai dit une conneries toute à l'heure...... ils pauvres et heureux ! Attendez, les gars c'est possible ça ? Non mais sérieux...... comment on peut être pauvre et heureux ? Putain ! Non mais c'est pas que j'ai un problème avec le fait d'être heureux, mais être pauvre ? Ouh là, sa me donne des frissons......bon à plus mes fans, c'était #Francesca_Darling.

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La propriété familiale des Darling est un immense building comportant une bonne centaine d'étage, avec vue sur Park avenue à Manhattan. Mais ne vous y méprenez pas,la famille n'utilise que 10 étage, à partir du 50 jusqu'au 60. Dans ce building, se préparait la plus grande fête d'anniversaire.

Francesca se trouvait dans sa chambre, lorsque sa mère vînt frapper à la porte. Malheureusement, celle ci suivait de la musique en lisant un livre et n'arrivait donc pas à suivre. Prise de colère, sa mère ouvrit la porte et se mise à crier sur elle ; au vu de sa mère toute furieuse, Francesca ne se dérangeait même pas pour suivre ce que sa chère mère lui disait.

Lorsqu'elle fut agacé, elle approcha sa fille et la regardait avec un visage qui assez effrayant. Puis notre jeune amie enleva ses écouteurs et fît un sourire à sa mère toute furieuse.

— Salut maman !
— Décidément jeune fille, tu as le toupet de me mettre en colère, répondit Anastasie en tendant la main vers sa fille.
— Hein ? Tu veux mon livre ?
— Ton portable, déclara t'elle, et je ne veux pas me répéter.
— Mais maman, je n'ai plus quinze ans, répliqua la jeune fille toute furieuse......tu ne peux pas juste me confisquer mon portable !

Le regard de maman était statique, Francesca n'eut le choix et remise son portable.

— Merci ma chérie,dit Anastasie en s'en allant.
— Vieille sorcière, murmura Francesca.

Elle sortit de la chambre, mais y retourna quelques minutes après.

— J'allais oublié ce que je venais te dire.
— Maintenant elle est sénile, murmura à nouveau la jeune fille.
— Ah oui, ton tailleur arrive dans dix minutes.....et comme tu t'ai montrée assez récalcitrante ces derniers temps, il n'a pas pû discuter avec toi sur tes préférences.
— Et si elle ne me plaît pas ?
— C'est ton problème, répondit Anastasie. Tu n'avais qu'a te rendre disponible au lieu de passer ton temps à bookinner tous ces livres sans importance. Comme si lire pouvait rendre milliardaire, ajouta t'elle toute furieuse.
C'est sûre, j'ai gagné au loto.....la meilleure daronne de l'histoire ! Pensa notre amie.
— Bon je te laisse, le fleuriste doit déjà être là.
— Je peut......
— Non, absolument pas, s'écria Anastasie. Tu es punis, tu resteras dans ta chambre jusqu'à l'arrivée du tailleur.
— Punis ? S'étonna Francesca, mais depuis quand ?
— Euh.....fit Anastasie en lançant un appel, disons que c'est depuis un.... trois minutes.
— Pourquoi ?
— Car je l'ai décidé et juste pour te rappeler, je ne suis pas une sorcière,ni une vielle sénile, j'ai encore toute ma tête et c'est parce-que je suis ta mère.

Puis elle ferma la porte et s'en alla.

Cependant, Francesca était une fille certe très jeune mais avec déjà un portefeuille très important. Alors vous vous doutez bien quel ne dépendrait pas d'un seul téléphone. Elle souleva sa couette et sorti sa tablette et recommença à suivre de la musique tout en lisant son livre.

Après plus d'une heure, le tailleur arriva, il était dans la grande pièce de réception et c'est Alice, la sœur de Francesca qui vint la prévenir. Sachant cela, Francesca émit l'hypothèse que la sanction infligée par sa mère avait pris fin,car à en croire les mots de sa mère elle devait être puni jusqu'à l'arrivée du tailleur.

Elle profita de ce fait pour s'échapper en douce. Elle mit une tenue assez discrète pour éviter de ce faire repérer par qui que ce soit.

Arrivée au raid de chaussé, elle croisa sa sœur Serena à l'entrée du building.

— Francesca ?
— Euh non, répondit t'elle avec un drôle d'accent, mais qui est Francesca ?
— Francesca Elisabeth Darling, s'écria sa sœur, je te connais parfaitement bien ma p'tite.
— Ok Serena, dit t'elle en chuchotant. Il ne faut absolument pas que l'on sache que c'est moi.
— Ah d'accord,tu fuis maman c'est ça ? Demanda Serena en chuchotant elle aussi.
— T'as tout compris, répondit Francesca, alors tu ne m'as pas vue ok ?
— Nickel soeurette, même par la torture elle n'en saura rien.
— Super, répliqua Francesca en s'enfuyant.

Cette dernière arriva dans le parking et monta dans sa voiture de luxe. Elle fonça vers Brooklyn, un coin où sa mère ne viendrai sûrement pas la chercher. Alors qu'elle accélérait, cette dernière échappa de peu de heurter une jeune fille. La frayeur était à son comble,car cette dernière ne vérifia pas si il y'avais quelq'un devant elle.

Elle ne savait pas si elle avait touché la personne ou pas, mais elle savait au moins une chose,ce n'était pas un homme, mais bel et bien une femme.

Très hésitante sur le faite de savoir si elle doit descendre et vérifier ou pas, elle resta dans sa voiture instant. Instant pendant lequel elle décida de descendre, mais subitement, elle suivis des gyrophares et démarra sa voiture, fonça ainsi vers Brooklyn, laissant sa potentiel victime à terre.

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Si vous pensiez que vous avez déjà passé une salle journée, alors écoutez ceux que j'ai à vous dire.

Bonjour à certains et bonsoir à d'autres, moi c'est Raja Mephisto Ryad, jeune élève fraichement sortie du lycée, j'ai 18ans aujourd'hui et au lieu de fêté mon anniversaire, je suis là à marcher dans les rues de Manhattan un vendredi soir à 21h. Déjà que je viens d'un milieu défavorisés,ce qui ne m'a jamais dérangé d'ailleurs, mais delà à ce que l'on me fasse le coup de je ne veux pas de musulmans dans mon taxi, c'est vraiment pas cool.

N'allez pas dire que je me plein, mais là c'est juste insupportable. Cette façon qu'ils ont de traiter les musulmans, moi sa commence vraiment à me gaver et j'en ai plus que mare. J'ai marché plus de trois kilomètres et demi juste parce que le racisme persiste dans l'esprit des gens.

Depuis Al kaïda, Ben Ali, Ben Laden et je ne sais trop qui,on regarde les musulmans comme des terroristes......ah quand je pense que aujourd'hui plutôt, un gosse de huit ans s'est effrayé en me voyant, sous prétextant que je suis une terroriste.

Bon c'est vrai que c'est pas facile hein, mais j'arrive à vivre avec. Mais ce qui me fait encore garder le sourire c'est le fait que je peux voir mes deux adorables petites sœurs.

Une vraie sale journée......super s'il faille que même la pluie se met à tomber, c'est bien ma veine ! Désolée si je paraît abattu et énervé mais vraiment c'est une journée méga pourri qui se déroule là. Sans compter que j'ai même failli mourir aujourd'hui.....que Allah me vienne en aide.

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Sur le chemin menant à Park avenue, Raja croisa l'ami de ses parents chez qui elle vit lors de son séjour à Manhattan. Alors qu'elle s'abrittait contre la pluie elle le vit passer en voiture et monta avec lui.

— Mais voyons Nour, tu aurais pu m'appeler et je serais passé te chercher, déclara Mohammad.
— Je sais oncle Mohammad, répondit t'elle, mais je ne voulais pas te déranger.
— Pour l'amour d'Allah, mais tu ne me dérange absolument pas Nour.
— Désolé mon oncle, répondit t'elle.

Ils retournèrent ensemble où Mohammad vit, un appartement assez charmant avec trois chambres une cuisine, une bonne salle de bain et un grand salon.

Après une bonne douche, Nour (Raja) alla dans le salon et continua son livre. Puis Mohammad la rejoignit au salon avec un sac de courses.

— Nour,voici de quoi t'aider dans ta nouvelle vie qui commence.
— Pour moi ?

Il sortit un boîte et une carte bleue.

— Voici déjà un nouveau téléphone et une carte bancaire, que je remplirais mensuellement pour tes besoins personnels et consort.

Alors qu'elle prise les cadeaux, un sentiment profond la traversa et des larmes en suivirent.

— Je....je ne sais pas si peut accepter ou bien.....
— Nour, oh ma petite.....je comprends tes sentiments et il est vrai que tu viens d'un milieu défavorisés et que tu aimerais gagné tous ce que tu possèdes après avoir travaillé durement ; mais n'oublie pas que moi aussi j'ai vécu difficilement et qu'il m'a fallu beaucoup d'efforts pour en arriver là.
— Je sais mon oncle, répondit t'elle les larmes aux yeux.
— Considère que c'est pour tout les efforts que tu as consenti jusqu'au jour qui te donne ces avantages.
— D'accord, ria t'elle en essayant ces larmes.

Puis elle et son oncle passèrent à la cuisine pour faire un repas.

— Alors comment c'est passé ta journée Nour ?
— Vraiment effrayante et surtout énervante.
— Comment ça effrayante ?
— Me croiras tu si je te dis que j'ai bien failli mourir aujourd'hui ? Demanda Nour.
— Tu commence sérieusement à m'inquiéter ma fille.
— Enfaite,dit t'elle, lorsque je quittais le pont de Brooklyn, juste cinq cents mètres plus loin, une folle du volant à failli me renverser avec sa voiture.
— Ça alors..... mais comment à t'elle réagi ?
— Au début j'ai crû qu'elle s'était arrêté pour venir m'aider, mais après elle a redémarré sa caisse et ses barré sans demander son reste, déclara t'elle toute énervé. Comme si être musulmans dans ce pays ne suffisait pas.
— Ma pauvre petite, s'inquiéta Mohammad, que Allah te protège.
— Merci mon oncle.
— Sinon, comment as-tu fait aujourd'hui par rapport à l'université ?
— Eh bien, j'ai fait le tour de Columbia et c'est vraiment une belle université et je n'arrive toujours pas à croire qu'ils ont accepté de me donner une bourse.
— Ce n'est que normal, l'ouvrier mérite son salaire. Et en ce qui te concerne tu mérites tout ce qui t'arrive.
— Merci !
— J'ai moi aussi très envie de lire ce livre, déclara t'il en souriant, Death+Love.
— Vivement que la rentrée arrive vite !

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