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NARRATEUR EXTERNE

IL N'AVAIT PAS TOUJOURS ressenti ça.

Le puissance qu'il sentait courir dans ses veines était nouvelle pour lui.

Il la sentait courir le long de ses bras et ses jambes pour aller jusqu'à ses mains où elle restait bloquée sans raisons apparentes, faisant battre son coeur à tout rompre d'angoisse.

Il angoissait de ne pas savoir ce qui lui arrivait, de ne pas comprendre, et de peut-être en mourir.

Mais il était surtout terrifié à l'idée de pouvoir faire du mal à autrui.

Et à sa sœur en particulier.

Il ne voulait pas lui faire de mal, et ne voulait pas qu'elle le prenne pour une sorte de monstre, ce qui lui valu de ne rien lui dire. Alors qu'il avait l'habitude de tout lui confier.

Bilhild était tout pour lui. Elle comptait plus que sa mère pour lui. Même s'il l'aimait beaucoup.

Sa sœur jumelle était sa moitié, elle le complétait, ils se disaient tout. Même si, à cette période là, elle semblait quelque peu distante.

Ils avaient 10 ans, mais avaient déjà des problèmes de grands.

Revenons à la sensation de puissance qu'il ressentait en permanence.

Elle se bloquait, elle refusait de sortir. Elle s'en empêchait, mais Hal savait que ce n'était qu'une question de temps avant qu'un élément déclencheur quelconque ne vienne perturber tout ça, et la fasse se défouler.

Et ça arriva plus vite qu'il ne le pensait.

Il étaient en route vers l'aéroport, pour rejoindre les États-Unis, où sa mère, sa sœur et lui pourraient commencer une nouvelle vie.

Mais voilà, Billy ne disait pas un mot, ce qui était plutôt rare. Elle était tout simplement en état de choc du à la découverte de ses capacités étranges desquelles aucun des deux enfants n'avaient parlé à leur mère.

Hal en avait assez qu'elle ne lui parle pas, il voulait qu'elle lui explique ce qui c'était passé, qu'elle lui dise ce qu'elle avait ressenti.

Il s'était énervé contre elle, sans vraiment le vouloir. Mais elle l'agaçait à ne pas lui répondre.

C'est parti assez loin, il a fini par lui reprocher de lui avoir voler son père durant toute son enfance, de l'avoir laissé de côté pour un dieu des plus piètres et de le délaisser encore maintenant.

Là, elle lui a répondu.

Ils sont arrivé à l'aéroport, toujours en se disputant, la mère essayant de les calmer, mais sachant que c'était vain.

Ils étaient tellement en colère, tellement énervé par cette hargne enfuie depuis des années, de la jalousie et de l'envie.

Les pouvoirs de Hal se débloquèrent, ainsi que ceux de Billy.

Des filaments d'électricité sortaient des mains de Billy tandis que des bourrasques de vents s'échappaient de celles de Hal.

Oslo était une grande ville, les pannes d'électricité étaient fréquentes.

Mais un arrêt total dès fréquence ainsi que la destruction de la moitié de la ville, ce n'était pas vraiment fréquent.

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PIETRO MAXIMOFF

« — Alors ? Quand est-ce que vous comptez repartir ? »

Haussant un sourcil, je tourne vivement la tête vers ma sœur jumelle, un air surpris sur le visage.

« — Je ne compte pas repartir. Je fronce les sourcils alors qu'elle sourit à moitié, assise dans le canapé du salon de la base. On vient à peine de se retrouver, Wanda. Il est hors de question que je te laisse tomber une seconde fois.

— Ce n'est pas comme si tu avais décidé d'être tué. Elle me sourit légèrement.

— Même. Je ne veux plus qu'on soit séparé. Même si je ne me souviens pas de mon séjour dans le caisson, les deux jours que j'ai passé sans toi à venir ici ont été compliqué. Comment veux-tu que je sois loin de toi. Tu es ma sœur jumelle.

— Et alors ? Elle rit en mettant une mèche derrière son oreille. Parce que je suis ta jumelle, tu dois être malheureux.

— De quoi tu parles ? Je plisse les yeux sous l'incompréhension. Je ne serai jamais malheureux si tu es là.

— C'est ce que tu dis maintenant. Elle rit.

— Je ne veux plus qu'on soit séparé, je te dis. J'insiste sous ses yeux rieurs mais tristes.

— Et Billy ? Son regard perçant croise le mien, me faisant déglutir difficilement.

— Quoi, Billy ? Qu'est-ce qu'elle a avoir là dedans ?

— Oh, je t'en prie ! Ne fais pas l'innocent avec moi ! Je n'ai pas eu l'occasion de lui parler plus de cinq minutes, et encore c'est beaucoup. Mais j'ai remarqué vos petits regards échangés et la manière dont tu la regardes. Elle soupire. Ne me prend pas pour une idiote, pas moi.

— Écoutes, j'aime beaucoup Billy. Elle est très gentille, et tout le reste. Mais je l'ai rencontré il y a seulement deux jours. Je ne peux pas t'abandonner pour elle.

— Tu ne m'abandonneras pas. Elle me sourit en attrapant mes mains. J'ai vécu sans toi pendant près d'un an. Je peux très bien attendre quelques mois de plus.

— Mais-

— Je veux que tu sois heureux. Même si, pour cela, je ne suis pas incluse dans ce bonheur. »

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BILHILD JACOBS

« — Tu vas bien ? »

Je tourne la tête et me retiens d'écarquiller les yeux en voyant Thor venir s'asseoir à côté de moi sur la terrasse donnant sur le jardin.

Je hoche difficilement la tête en souriant, le faisant esquisser un rictus.

Putain, mais qu'est-ce qu'il fou là ?!

« — J'ai cru comprendre de par ton frère jumeau que j'avais été ton idole pendant longtemps. »

Cette fois-ci, je ne peux retenir mon élargissement des yeux.

Je vais tuer ce petit merdeux.

Haldor, je vais te faire la peau un jour.

« — Ouais, je tousse nerveusement. Notre père nous racontait beaucoup d'histoires sur vous. Je baisse la tête, regardant mes pieds prisonniers de mes bottines en caoutchouc et sourit presque de nostalgie. J'avais une cape rouge et un marteau en carton que je trimballais absolument partout en prétendant être le fameux Thor. Et Hal était Lady Sif, il l'adorait, même si parfois on échangeait parce qu'il voulait porter Mijolnir. On passait nos journées à écouter papa nous raconter des légendes sur vous et votre monde, et à nous battre en criant certains mots d'anciens langages vikings. Et quand papa est mort..., je perd mon visage et je fronce les sourcils. J'ai pété un cable, j'ai commencer à délirer en disant que ventait votre faute, que mon père avait passé la plus grande partie de sa vie à croire en un Dieu qui n'existait pas et qui n'avait même pas été capable de le sauver. J'étais anéantie. J'ai brûlé mon marteau et ma cape. Je le regrette, parfois. »

J'essaie rapidement une larme coulant sur ma joue et tourne la tête pour sourire timidement au Dieu me regardant avec des yeux absolument coupables.

« — Désolée. Je vous accuse d'une chose que vous n'avez pas commise. Je n'aurais pas dû vous raconter tout ça.

— Au contraire. Il me sourit. Ça m'a beaucoup appris. Je suis content que tu m'ai dis ces mots durs à entendre. Tu es une demoiselle très sage, Bilhild. Tu serais le meilleur Thor que le monde ait jamais connu. »

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HEY ! Chap plus long today EHEHEHEH

LA SCÈNE ENTRE WANDA ET PIETRO TANT ATTENDUE EST LA, j'espère qu'elle ne vous déçoit pas

J'ESPERE QUE LE CHAP VOUS A PLU !

Avis ?

Billy ?

Hal ?

Pietro ?

Wanda ?

Thor ?
(Sa dernière phrase omg?)

LA BISE MES BEAUTÉS !

• KICK-ASS •