XLVII
Chapitre XLVII: '' Dans leurs derniers moments la plupart des gens révèlent qui ils sont réellement. ''
* Point de vue d'Heather *:
La famille qui m'avait accueillit était vraiment fabuleuse. Ils m'avaient nourrit, Johanna m'avait prêté des vêtements à elle et m'avait mis au chaud dans une chambre où j'avais pu me reposer....
Je descendais les escaliers quand j'entendis Christopher et Johanna se querellé en français. Je ris face au petit qui essayait de reprendre sa bd qui était dans les mains de sa soeur, plus grande que lui.
(Johanna): Oh Heather ! Comment vas-tu ? Tu as su te reposer ?
(Heather): Oui merci c'est gentil , lui souis-je.
(Johanna): Maman a préparé a mangé si tu veux.
Je hôchais vivement de la tête et m'asseyais à table alors qu'elle me servait une assiette remplie de légumes dont je ne tardais pas à en avaler la moitié. Elle s'assit en face de moi et me regarda dans les yeux. Je stoppais mon action et la regardait à mon tour.
(Johanna): J'ai une bonne nouvelle pour toi.
(Heather): Ah bon ?
Elle fit ' Oui ' de la tête et me l'annonça.
(Johanna): Harry sera là d'ici une heure.
Je lâchais ma fourchette, ma bouche formait un grand cercle et mes yeux pareil.
(Heather): Harry ?
Ca me paraissait une éternité que je n'avais plus vue Harry et il me manquait tellement. Je sentis mes yeux s'imbiber de larmes mais je les retenais, ne voulant pas paraître mélodramatique. Je ne cachais pas le sourire qui s'était emparé de moi.
****
L'heure qui suivit me parut comme une décennie. Je tapais du pied nerveusement sur le sol et faisait les cent pas. Je n'avais qu'une hâte, retrouver mon petit ami que j'attendais mais vraiment patiemment. Johanna me regardait, un sourire aux lèvres. Elle chuchotait de temps en temps un ' c'est beau l'amour ' en français dont je ne comprenais pas la signification.
Quand j'entendis qu'on toquait à la porte, je me paralysais sur place. La voix d'Harry retentit dans l'entrée, demandant après moi et quand il entra dans le salon, son regard se stoppa sur moi. Il n'articulait plus un mot et me regardait épaté. Je voulus parlé mais mon cerveau commanda avant ma bouche et mes jambes coururent vers le bouclé. Je lui sautais dans les bras et laissais libre court à mes larmes. Ma tête était posée dans son coup et ses doigts peignaient mes cheveux délicatement. Je sentis ses larmes tombée sur ma nuque.
(Harry): Oh bébé... Tu m'as tellement manquée !
Cette phrase me fit redoubler de pleure et je m'accrochais le plus possible à lui, ne voulant pas le quitter une seconde fois. Il déposait des baisers sur le haut de mon crâne avant de prendre mon visage entre ses mains et d'en déposer sur mes lèvres.
(Harry): Je t'aime tellement si tu savais.
Je n'arrivais pas à parler car je m'étouffais littéralement avec mes sanglots. Il me fallut une bonne demi heure avant de me calmer. Harry remercia mille fois la famille de Johanna et leur proposa même de les paillés pour m'avoir héberger mais ils ne voulurent pas. Ils l'avaient fait de bon coeur et c'était ce qui comptaient pour eux. Je leur fis la bise et les remerciais à mon tour, les prenant dans mes bras.
Sur la pas de la porte, Harry me porta comme une princesse et je ris face à son visage. Il était tout bonnement magnifique. Nous rentrâmes dans la voiture et il me posa sur ses genoux, caressant mon visage du bout des doigts.
(Harry): Ton visage m'a tellement manqué.. , souffla-t-il.
Je l'embrassais pour ne pas entendre le reste de sa phrase.Quand je pris son visage en main, je fronçais les sourcils.
(Heather): Harry tu as maigri.
(Harry): Je sais.
Je lui fis une moue désapprobatrice et posais ma tête sur sa poitrine pour écouter les battements de son coeur. Je fermais les yeux pour apprécier ce moment mais les images de Bryan et Marc me mettant une gifle me revinrent en tête. J'ouvrais les yeux en hâte et tentais de calmer les battements de mon coeur qui s'affolaient. Une drôle de sensation me surgit dans la gorge et l'estomac comme si ils me brûlaient tous deux. J'avalais difficilement et plus je tentais de me calmée, plus la douleur s'intensifiait. Je paniquais et voyant mon malaise, Harry me releva.
(Harry): Qu'est-ce qu'il y a ? Heather ?
(Heather): Arrêtez la voiture.
(Harry): Quoi ?
(Heather): Arrête la voiture !
Un coup de frein fut donné et alors que nous étions au milieu de la route, je sortais en trombe de la voiture, courant vers le bord de la route pour y vomir le peu de contenu de mon estomac. Pliée en deux, les mains posées sur mon ventre, Harry me tenait les cheveux afin qu'ils ne s'emmêlent pas. Je toussais, m'étouffais presque a force de tout régurgiter. Une fois que je me sentis vide, je me relevais doucement, me tenant au bras d'Harry car j'avais l'impression que mes jambes ne me tenaient plus. Le conducteur de la voiture m'apporta une bouteille. Je pris plusieurs gorgées que je rejetais afin de me laver la bouche et je bus le reste d'une traite. Ma tête tournait quelque peu et j'inspirais de grande goulée d'air pour ne pas tomber raide sur le sol dur et froid du béton sous mes pieds. J'avais les yeux fermés et ne voyait donc rien de ce qu'il se passait autour de moi pourtant, quand la voix d'Harry retentit dans mes oreilles, je les rouvris immédiatement et lui indiquais d'un geste de la tête, la voiture que nous ne retardions pas à rejoindre.
Durant le trajet, je ne faisais que vomir. Toutes les fenêtres du véhicule étaient ouvertes et pourtant, je mourrais de chaud. Harry me faisait de l'air avec un magazine qu'il avait trouvé par miracle. Je faisais de même avec ma main.
(Harry): Tu n'as plus que quelques petites minutes à tenir, on va bientôt arriver.
Je hôchais de la tête et continuais à reproduire les geste que je faisais auparavant lorsque soudain, Harry me prit le poingnet. Je grimaçais.
(Harry): Qui t'a fait ça ? , dit-il en colère.
(Heather): Je.. Je ne veux pas en parler, articulais-je tout en retirant mon poignet de sa main.
(Harry): Je m'en fiche ! Dès qu'on rentre à la maison, tu me racontes tout ! Si tu crois que je vais laisser les connards qui t'on enlevés, partir sans rien leur faire, tu rêves !
Son ton était froid et sec. Rien du garçon que j'aime.
La voiture se gara face à une grande batisse blanche, des fenêtres dominaient la façade. Un petit escalier menait à de grande portes coulissante automatique. je fronçais les sourcils. Ce n'était pas l'hôtel.
(Heather): Où sommes-nous ?
(Harry): A l'hôpital. Tu vas passer une visite pour voir si tu n'as rien de grave mais avec les bleus que tu as sur ton poignet, j'en doute , répondit-il toujours aussi dur.
Une boule se forma dans ma gorge tandis que mes mains commencèrent à devenir moite. Harry me prit celle de gauche et nous nous dirigeâmes vers l'accueil. J'avais toujours détester les hôpitaux, ils me donnaient trop de mauvais souvenirs. Poussant un soupir, je m'accoudais au bureau de la secrétaire, ma main toujours dans celle d'Harry. Il avait dû remarquer mon angoisse car il dessinait des cercles imaginaires avec son pousse sur le dos de celle-ci.
(Secretaire): Bonjour, que voulez-vous ?
(Harry): J'ai pris un rendez-vous avec le Dr.Denois.
(Secretaire): A quel nom ?
(Harry): Heather Black.
(Secretaire): Bien sûr, vous pouvez patienter dans la salle d'attente, le docteur va vous recevoir d'ici quelques instants.
Nous nous asseyâmes sur les chaises qui étaient à notre disposition. Le trac ne faisait que monter en moi. Je n'avais pas envie d'aller dans ce cabinet. Tout ce que je voulais c'était rentrer chez moi et oublier toute cette histoire d'enlèvement mais en entendant Harry me dire qu'après, nous devions aller au poste de police pour leur expliquer ce qu'il s'était passé et autant dire que la nausée me revenait à nouveau en entendant les paroles de mon petit ami mais je n'avais pas le temps de me concentrer plus l'a dessus que le médecin ouvrit la porte, un petit sur les lèvres.
(Dr.Denois): Moidemoiselle Black ?
Je me levais en même temps qu'Harry, me dirigeant vers l'homme en chemise blanche. Nous lui serrâmes la main mais il stoppa Harry dans son élan pour entrer dans la même pièce que moi.
(Dr.Denois): Si vous le permettez M.Styles, j'aimerais m'entretenir seul à seul avec votre petite amie.
Le bouclé lui souris et hocha de la tête, m'embrasant avant de retourner s'asseoir sur sa chaise.
Me montrant le fauteuil en face du sien, le docteur me sourit. Un sourire rassurant et se voulant chaleureux.
(Dr.Denois): Bonjour Mademoiselle. J'ai été prévenu de votre cas. Veuillez d'abord accepter mes excuses et en second, votre visite ne durera pas longtemps.
Je fronçais les sourcils, ne comprenant pas sa phrase.
(Dr.Denois): Je vais juste vérifier certaine zone sensible mais nous allons plus parler.
Je hochais de la tête et allais m'installer sur la table d'examin qu'il me montra d'un signe de main. Je me couchais et il tatta mon ventre, mes jambes. Il prenait mon poul et quand il tomba sur mes hématomes, il me demanda de me relever.
(Dr.Denois): Que vous est-il arrivé Heather ?
(Heather): Je.. On m'a ligoter les poignets... Ils..
Les mots ne sortaient plus de ma bouche mais les larmes de mes yeux, si. Il me caressa doucement l'épaule et me rassura. Je lui racontais tous ce qu'il s'était passer ces derniers jours et il me conseille d'en parler à Harry et la police. Je lui racontais qu'une fois dans la voiture, je m'étais sentie mal. Il m'avait demandé de décrire les symptômes que j'avais eu.
(Dr.Denois): Vous allez monter au deuxième étage et vous allez dire à la secrétaire que je vous ai demander de faire une prise de sang d'urgence. D'accord ?
Je hochais de la tête et fis ce qu'il me dit.
(Dr.Denois): Revenez me voir tout à l'heure vers 18h00.
****
Nous n'avions fait que courir aujourd'hui. J'avais l'impression que la vie avait reprit son cours mais quand je m'étais retrouvée au poste de police, je m'étais réveillée et avait réalisé seulement maintenant tout ce qui m'étais arrivé. Je leur avais tous dit dans les moindres détails et ils avaient été compréhensif et coopérant, me disant qu'ils allaient vite les retrouvés. J'avais à son tour tout détailler à Harry aussi. Il s'était calmer et m'avait promis que tout irait bien maintenant , qu'il sera toujours là pour me protéger afin que tout ça ne se reproduise pas.
Nous étions désormais à nouveau en route vers l'hôpital. Harry avait passer un coup de fil au garçon pour leur dire que nous serions là dans une petite heure. Il m'avait aussi appris que sa famille était venue à Paris pour le soutenir quand j'étais portée disparue. Il m'avait rassuré sur le fait que sa mère m'adorait déjà même si elle ne m'avait jamais vue mais il lui avait tellement parlé de moi qu'elle connaissait presque tout.
Les flashs étaient présents comme d'habitude et les fans aussi, ce qui me surpris. Elle criait toute combien elles étaient heureuse que j'allais bien et qu'elles étaient contentes de revoir enfin Harry sourire. Je me tournais vers lui et il m'offrit un petit rictus tout en prenant la main et nous dirigeant vers le cabinet.
(Dr.Denois): J'ai les résultats de votre prise de sang Mlle. Black , dit-il en me montrant un petit dossier.
(Heather): Qu'est-ce que ça donne ?
(Dr.Denois): Et bien, rien de grave en tous les cas mais nous avons trouvé quelque chose d'autre.
(Heather): D'autre ?
(Dr.Denois): Je ne sais pas si je dois vous donner mes félicitations ou si ce sera une mauvaise nouvelle pour vous.
(Heather): Je ne vous suis plus docteur.
(Dr.Denois): Et bien , il marqua une pause. Vous êtes enceinte mademoiselle.
A ce moment-là, le petit monde qui avait commencé à se reconstruire autour de moi, s'étaient éffrondré comme un château de carte. J'étais dans la merde jusque cou. Je n'étais pas prête, Harry n'était pas prêt, nous étions trop jeunes pour avoir un enfant.
(Dr.Denois): De quarant- neuf jour ce qui qui équivaut à un mois et trois semaines.
(Heather): Mais..
(Dr.Denois): Je suppose que vous ne resterez pas en France alors je propose de transmettre votre dossier à votre médecin qui vit en Angleterre.
(Heather): Attendez, je.. Comment est-ce possible ?
(Dr.Denois): Et bien.. Je pense que vous n'êtes plus vierge ?
Je hôchais de la tête.
(Dr.Denois): Peut-être pendant l'un de vos rapports avec votre petit-ami, vous vous êtes mal protégés.
Je pinçais les lèvres. Je prenais la pilule et à ce que je sache, Harry avait toujours pris ses précautions.
(Dr.Denois): Il se peut dans certain cas et je ne vous l'apprend pas, que des complications avec les protections surviennent. Vous devez arrêté de prendre la pilule si on vous l'avait prescrite avant. Vous voulez peut -tre prendre un rendez-vous avec un gynécologue ?
(Heather): S'il vous plaît.
Il décrocha son téléphone et composa un numéro avant de parler distinctement avec une personne.
(Dr.Denois): Vous avez de la chance, ma collègue à un rendez-vous de dernière minute qui vient d'être annulé, vous pouvez y aller ! C'est au troisième étage, un interne va vous accompagner.
Harry me suivit sans émettre aucune protestation et cette fois-ci encore, il dû rester hors du cabinet.
La gynécologue était une femme d'une trentaine d'année, aux cheveux blond et yeux brun noisette. Elle avait une taille mannequin. Elle était tout simplement magnifique.
(Dr.Faulk): Je sais que ce n'est pas facile de se dire que l'on va avoir un bébé à cet âge mais la grossesse est un processus magique et extraordianaire vous verrez !
(Heather): Mais je n'ai jamais demander à avoir un bébé ! Enfin pas pour le moment en tout cas.
(Dr.Faulk): Est-ce que votre compagnon est au courant ?
(Heather): Non.
(Dr.Faulk): Alors je vous conseille d'en parler d'abord tout le deux et de venir me revoir après, d'accord ? Je vous mets un rendez-vous demain matin à 10h30.
Je hochais la tête. Aucun sourire ne trônait sur mon visage, je devais certainement avoir une sale mine car la généchologue se leva pour contourner son bureau et s'asseoir sur la chaise sur la chaise à côté de la mienne. Elle prit ma main dans les siennes et m'offrit un sourire compatissant.
(Dr.Faulk): Je sais ce que vous ressentez. Ce n'est pas facile et vous êtes jeune mais dîtes-vous que ce bébé, vous avez été deux à le faire. Et puis, elle marqua une pause où son visage se fit un peu plus uous pouvez aussi imaginer la solution de l'avortement.
(Heather): Non !
Ma main se posa instinctivement sur mon ventre. Elle sourit face à la scène et se releva.
(Dr.Faulk): Nous nous reverrons demain alors ?
Je lui souris et hochais de la tête. Je sortais de la pièce et retrouvais Harry qui manipulait son Iphone. Il releva la tête et m'offrit comme à son habitude, sa magnifique dentition. Il me prit la main et nous retournâmes jusqu'à l'accueil où je confirmais mon deuxième rendez-vous.
(Harry): Elle est spécialisée en quoi elle ?, me demanda-t-il alors que nous nous dirigions vers la voiture.
(Heather): En généchologie.
Il tourna son regard vers moi mais je détournais le mien, ne voulant pas lui faire face.
(Heather): Elle voulait voir si tout allait bien et que je n'avais pas été violée.
Il du croire à mon mensonge car il n'en demanda pas plus alors que nous entrions dans la voiture même si ses traits restaient rongés par l'inquiètude.
****
(Niall): Heather !
Il courut vers moi et me pris dans ses bras, me faisant tourner dans tous les sens.
(Heather): Du calme Nialler , ris-je.
Il me redéposa au sol et me prit dans ses bras pour me faire un câlin. Liam, Louis et Zayn suivirent. Ils me dirent qu'ils étaient contents de me revoir et qu'ils s'étaient fait du soucis. Zayn me surpris par sa façon de m'étreindre. On aurait dit qu'il voulait me protéger et me garder contre lui. Je me détachais gentiment et lui offris un sourire gêné. Je n'avais pas remarquéque derrière eux se trouvait trois autres personnes en plus, trois autres personnes importantes pour Harry. Ils n'étaient autre que sa famille. Je m'approchais d'eux timidement. C'était la première fois que je les voyais et je devais dire qu'isl étaient tous extrêmement beau. Harry ressemblait comme deux gouttes d'eaux à sa mère et sa soeur. Ils avaient tous le même sourire ravageur sur les lèvres.
Je reconnus Gemma qui se rua vers moi et me serra tellement fort dans ses bras que je crus étouffée mais Harry rigola et lui dit de me lâcher car il voulait me garder avec lui encore longtemps. Sa mère vint à son tour près de moi.
(Anne): Bonjour je m'appelle Anne. Je suis heureuse d'enfin te rencontrée. Mon fils m'a tellement parlé de toi !
Je rougis face à elle et elle rit légèrement.
(Anne): Nous nous sommes fait tellement de soucis pour toi ! Ils ne t'ont rien fait j'espère ?
Je secouais la tête et elle passa son bras autour de mes épaules.
(Anne): Tu as certainement besoin de repos. Viens, je vais te conduire dans ta chambre.
Nous étions prêtes à monter les escaliers quand je vis Amy dans le couloir, des sachets en main et un sourire narquois sur le visage. Quand elle me remarqua, elle se stoppa nette et fis les gros yeux.
(Amy): Je... Je dois y aller.
Elle partit presque en courant mais Harry ne lui prêta aucune attention et monta dans les chambres avec nous. Je me changeais pour troquer les vêtements que je portais contre l'un de mes moelleux pyjama. La mère d'Harry nous laissa seuls et ferma la porte derrière elle. Assise sur le lit, je savais qu'il était tant que je lui dévoile la vérité.
(Heather): Harry ?
(Harry): Oui ?
(Heather): Je.. Il faut que je te dise quelque chose.
(Harry): Qu'est-ce qu'il y a bébé ?
(Heather): Tu te souviens tout à l'heure quand j'ai du voir le deuxième médecin ?
(Harry): Oui ?
Il était à présent assis à côté de moi et me tenait fermement la main. Je sentais les larmes affluées au bord de mes yeux.
(Harry): Eh Heath' qu'est-ce qui se passe ?
(Heather): Ne m'en veux pas Harry.. S'il te plaît.. , chuchotais-je entre chaque sanglots.
(Harry): Mais pourquoi ? Qu'est-ce que tu as ?
(Heather): Je.. Je suis enceinte Harry.
Son visage devint livide, sa main lâcha automatiquement la mienne.
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