XL
Chapitre XL : « Si tu comprends, les choses sont comme elles sont. Si tu ne comprends pas, les choses sont comme elles sont.»
(Heather): Ce n'est pas marrant Lucas et je ne suis pas d'humeur.
(Lucas): Je ne rigole pas. Au contraire, je suis plus que sérieux.
(Heather): Mais comment... ...
Je le dévisageais et pus lire la sincérité sur ses traits. Il ne souriait pas, sa bouche était juste un trait fin et je pouvais voir qu'il se mordait l'intérieur de sa joue. Prenant un grande inspiration, il replongea son regard dans le mien et dit:
(Lucas): J'ai toutes les preuves chez moi si tu veux mais il faut que tu acceptes de me faire confiance. Je t'expliquerais tout une fois à la maison.
(Heather): Je ne vais pas débarquer chez toi un jour de Noël alors qu'il y aura toute ta famille et que...
Il ne me laissa pas finir ma phrase et me dit qu'il n'y aurait personne chez lui avant 19h00 car ses proches étaient au chevet de sa grand-mère qui n'était toujours pas sortie de l'hôpital. J'hésitais un instant et acceptais de le suivre. Plutôt curieuse de nature, je voulais savoir si il ne menait pas en bateau après tout, l'expression qu'arborait son visage ne m'était pas étrangère. En fait, je crus y déceler le même petit tic que mon père avait quand il était sérieux, il plissait les yeux un peu plus que d'ordinaire. Je décidais d'envoyer un sms à Harry pour ne pas qu'il s'inquiète. Je voulais qu'il profite de cette journée. *
* A Harry: Ne t'inquiètes pas pour moi je vais bien. Je te raconterais tout ce soir. Promis. Passe une bonne journée Harry et ne pense pas à moi, c'est tout ce que je te demande...*
Sa réponse ne se fit pas attendre et quand je lu son message, j'eus un pincement au cœur mais aussi une bouffée de chaleur me submergea.
* De Harry: Ne pas m'en faire pour toi ? J'espère que tu plaisantes Heather ! Tu as intérêt à bien t'expliquer ce soir sinon je fais tracer ton portable et je viens te chercher où que tu sois !*
Je déglutis. Était il vraiment prêt à faire ce qu'il avait écrit ? Connaissant Harry, il n'aurait aucunes difficultés à me retrouver si je ne revenais pas ce soir alors je préférais m'en tenir à m première solution.
* A Harry: Promis. Joyeux Noël Harry. xx *
* De Harry: Joyeux Noël à toi aussi.*
Sa phrase se terminant par un point seulement, j'en déduis qu'il était très fâché et que j'avais intérêt à ne pas me montrer brusque tout à l'heure.
****
Une fois que j'étais dans l'appartement du jeune bouclé, je fus heureuse de ne pas le trouver là et poussais un soupir de soulagement. Je fis entrer Lucas et lui proposais quelque chose à boire mais il refusa poliment, me demandant juste si il pouvait aller au toilette. Je lui expliquais le chemin et lui demandais si il pouvait prendre mon sac au passage. J'avais besoin d'être un peu seule pour réfléchir. M'accrochant au bord de la table, je baissais la tête et fermais les yeux.
''Lucas mon frère ? C'est vrai qu'au début de notre rencontre j'avais remarqué une ressemblance avec mon père mais delà à dire qu'il avait de vrai lien de parenté avec moi...''
Quand il redescendit, une boule dans ma gorge se forma à la vue du sachet qu'il avait en main en plus de mon sac. Je le regardais méfiante.
(Lucas): Tu me fais confiance ?
J'étais hésitante et il l'avait bien remarqué, venant près de moi et me prenant dans ses bras, il me murmura une phrase qui me fit basculer.
(Lucas): Les secrets que tu cherches sur ta famille, tu vas bientôt les découvrir.
****
( A lire avec ça: )
(Heather): Non c'est pas possible !
J'avais en main le certificat de naissance de Lucas qui était signé par mes parents. A proprement dit, cela prouvait par lien administratif que nous étions frère et sœur mais après tout comment pouvais-je vraiment avoir confiance en ce bout de papier ? Je lui tendis et balançais ma tête de gauche à droite.
(Heather): Non tu n'es pas mon frère. Tu es un ami... Un garçon que j'ai rencontré à la salle de sport et rien de plus !
Il baissa la tête à l'entente de cette phrase.
(Lucas): Dit comme ça, ça fait mal...
(Heather): Mais enfin Lucas c'est surréaliste !
(Lucas): Parce que tu crois que c'est facile pour moi ?! J'ai appris il y a deux ans que j'ai été adopté ! Deux ans tu te rends compte ? Comment te sentirais-tu si tu apprenais que la famille qui était censée être la tienne t'avais menti durant toute ton enfance et ne t'apprenais qu'a l'âge de 17 ans que tu n'étais en réalité pas vraiment leur fils !
Il avait les larmes aux yeux et une boule se forma dans ma gorge. Il continuait.
(Lucas): Quand on m'a annoncé ça, j'ai voulu découvrir ma vraie famille. J'ai même pensé à fuguer si tu veux tout savoir mais en prenant du recul, je me suis dit que si ils m'avaient fait adoptés, c'était parce qu'ils ne voulait pas de moi. Tes parents ou plutôt nos parents ont toujours fait comme si ils n'avaient eu que trois enfants alors qu'ils en avaient quatre ! Quatre putains d'enfants dont trois qui étaient heureux et un qui pensait l'être jusqu'au jour où on lui apprit la nouvelle. Mets toi à ma place. Quand j'ai découvert qu'il était mort, je suis resté sur le cul. Je voulais avoir des liens avec eux et même si je ne les connaissais pas, je me suis mis à chialer comme un gosse de cinq ans à qui on aurait voler son jouer préféré. Et puis, au fur et à mesure que je faisais des recherches, j'ai découvert qu'une seule personne de cette famille était restée vivante alors pour moi c'est comme-ci on m'offrait une nouvelle chance de pouvoir enfin savoir la vérité. Je n'ai pas hésité et j'ai voulu en savoir plus au sujet de ma sœur. Pendant des semaines, je ne pensais qu'à toi, à te retrouver pour que l'on parle de tous ça mais je me suis dit qu'il ne fallait pas que je te brusque. Puis ensuite, tu as fait la connaissance de ce groupe et j'ai compris en voyant que tu avais emménagé chez eux, que mes chances pour t'approcher étaient quasiment nulles.
(Heather): Mais tu m'as finalement retrouvé...
(Lucas): C'était un coup de chance. Au début, je ne t'avais pas reconnue mais c'est quand Liam m'a présenté et que j'ai entendu ton prénom que j'ai compris directement.
(Heather): Donc l'histoire pour ton book était en fait...
(Lucas): Une excuse pour te voir et essayer de me rapprocher de toi mais quand j'ai vu que tu étais avec Niall, je me suis dit qu'il fallait que je fasse comme si de rien était et...
(Heather): Tu m'as vu et à passer du temps avec depuis presque un mois et tu n'as pas eu la conscience d'esprit de m'en parler plus tôt ?, ma voix reflétait la colère et l'irritation.
(Lucas): Je ne voulais pas te brusquer. Je me suis dit qu'il valait mieux que tu prennes d'abord tes aises avec moi et qu'ensuite, je t'annonce la nouvelle. Ce n'était pas prévu que ce soit aujourd'hui mais je n'en pouvais plus de te voir et que tu ne saches pas la vérité.
J'eus un étourdissement mais il me prit le bras pour ne pas que je tombe.
(Lucas): Heather ça va ?
(Heather): Je crois qu'il faut que je m'assois.
Je me laissais aller contre son lit et fermais les yeux, comme si tous ça n'était qu'un horrible cauchemar et que j'allais me réveiller d'ici quelques minutes mais quand je l'entendis rentrer à nouveau dans sa chambre, un verre d'eau en main, je sus que ce n'en était pas un. Il s'essaya à côté de moi, me tendit le verre et dirigea son regard vers un point quelconque en face de nous. Je buvais une grande gorgée d'eau et poussais un long soupir avant de remettre mes idées en place. ''Décidément, cette journée ne se passait vraiment pas comme prévue.''
Après un certain moment sans parler, je décidais enfin de parler.
(Heather): Donc... Tu es mon frère.
(Lucas): Oui.
(Heather): Tu as été adopté à la naissance ?
(Lucas): Oui.
(Heather): C'est fou...
(Lucas): Je sais... Mais si tu veux, mes parents ne vont pas tarder à arriver et ils t'expliqueront.
(Heather): Je veux bien mais je n'ai pas de tenue appropriée et...
(Lucas): J'ai pris des vêtements pour toi.
Étonnée, je le regardais et il me fit un signe de la tête en direction du sachet qu'il tenait en main tout à l'heure. Je retournais ma tête et le gratifiais d'un léger sourire qu'il me rendit. Ne sachant pas comment me comporter avec lui après cette nouvelle, je me rapprochais doucement, levais son bras qui était posé sur son genoux et le serrait dans mes bras. Fort. Très Fort. Tellement fort car j'en avais besoin après tous ces évènements. J'avais de nouveau un membre de ma famille. Je n'étais plus seule...
Après avoir pris une douche assez longue et m'être préparer (http://www.polyvore.com/tenue_heather_27/set?id=118600353 ), je sortais de la salle de bain et la laissais à Lucas. Je m'essayai sur son lit et prit mon portable, remarquant que j'avais deux messages. Un de Harry et l'autre était de Bryan. Il essayait de reprendre contact avec moi.
* De Harry: Retrouve moi ce soir à l'appartement à minuit, il faut qu'on parle. Tu me manques xx* *
* De Bryan: Joyeux Noël Heather. J'espère avoir de tes nouvelles bientôt.*
Je répondis à Harry seulement et laissais l'autre en suspens. Je devais régler cette affaire 'Bryan' car il me semble que Harry m'ait caché des choses.
****
Assise à côté de Lucas qui était parfaitement apprêté avec à chemise bleue et son jeans noir, je parlais avec sa mère qui m'expliquait toute cette histoire.
(Mère): Tu sais, il n'a jamais voulu te faire de mal. C'est un garçon bien...
(Heather): Oui madame.
(Mère): Pas de madame avec moi, rit-elle. Tu peux m'appeler Roxy.
(Heather): D'accord.
Je lui rendis son sourire et détournais mon regard vers le jeune garçon qui parlait avec son père adoptif. ''Et dire qu'il était mon frère...''
(Lucas): Quoi ?
(Heather): Hein ?
Il rit devant mon incompréhension avant de planter sa fourchette dans son morceau de viande et de le mettre en bouche.
(Lucas): Pourquoi tu me regardes comme cha ?
(Roxy): Lucas on ne mange pas la bouche pleine !
(Lucas): Sorry man' .
Je ris devant cette scène. Elle me faisait repenser à Niall et Liam. Daddy Direction qui veut sembler mature mais qui reste un adolescent comme nous tous au fond.
(Lucas): Alors ?, insista-t-il
(Heather): Je n'en revient toujours pas *sourire*
(Lucas): Hum... Si tu veux, on peut aller faire des recherches sur eux.
(Heather): Et tu comptes t'y prendre comment ?
(Lucas): Pour commencer, il faut débuter de l'endroit où je suis né. Donc le Royal London Hospital Trust.
(Heather): Je suis née là-bas aussi ! Mais je ne vois pas en quoi ça nous aidera. (Lucas): Pour ça, je te l'expliquerai plus tard. C'est plus sérieux que tu ne le penses Heather.
****
( A lire avec ça: )
Lucas m'avait raccompagné à l'appartement de Harry et j'étais quelque peu anxieuse de ce que j'allais lui dire. Je fis la bise au jeune garçon et sortis de la voiture, inspirant de l'air frais comme si ça allait me donner du courage. Harry m'avait donné les clés de sa maison et je n'eus aucun mal à rentrer. Quand j'atteignis le salon, il faisait les cent pas, les mains dans ses cheveux, les premiers boutons de sa chemise ouvert et sa cravate jetée sur le canapé. Il n'avait même pas lever les yeux vers moi qu'il parlait déjà.
(Harry): Est-ce que tu te rends compte que je me suis fais un sang d'encre toute la journée ?! Que je n'arrêtais pas de me demander où tu étais mais surtout qu'est-ce que tu faisais avec lui ! Tu le connais depuis à peine un mois et tu passes ton Noël avec lui ! Putain Heather !
Je n'osais rien dire qu'à la boule que j'avais dans la gorge plus tôt était revenue et que les larmes étaient prêtes à sortir d'une seconde à l'autre. Il ne me regardait toujours pas et semblait vraiment furieux. Je m'approchai de lui lentement, je ne pouvais pas supporter cette distance. Quand je fus à sa hauteur, les seuls mots qui sortirent de ma bouche furent: ''Prends moi dans tes bras'' et comme un appel au secours, il s'arrêtait net de marcher et plongea son regard dans le mien inondé de larmes. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il m'encerclait la taille de ses bras musclés et je posai ma tête dans son cou pour y laisser aller mes larmes car j'avais eu une journée difficile et éprouvante. Il me porta tout en me caressant le dos et s'assit sur le canapé. Je m'accrochais à lui comme à une bouée de sauvetage étouffais mes sanglots contre sa peau.
(Harry): Qu'est-ce que tu as depuis ce matin babe ?, c'était la première fois qu'il m'appelait comme ça pourtant j'adorai déjà ce surnom à la seconde où il avait franchi ses lèvres.
(Heather): Je... Je...
Mais les mots ne voulaient pas sortir et les larmes redoublèrent sur mes joues.
****
Il prit le temps d'attendre que je finisse de pleurer ce qui dura plus d'une heure. Patient et me chuchotant des paroles réconfortantes à l'oreille, il ne m'avait pas une seule fois quitté. Et quand je me sentais enfin prête à en parler, je relevai la tête. Immédiatement, il encadrait mon visage de ses mains et du bout des pouces, essayait les quelques larmes restantes au bord de mes yeux.
(Heather): Lucas...
(Harry): Est-ce qu'il t'a fait quelque chose ?
(Heather): Non, j'inspirais. Lucas est mon frère...
La nouvelle le fit froncer les sourcils.
(Harry): Comment ça ?
(Heather): Il m'a montré son acte de naissance
(Harry): On peut en faire facilement des faux...
(Heather): Ses parents m'ont raconté comment ils l'avaient adopté.
(Harry): Heather...
(Heather): Il m'ont donné le nom de l'agence où ils l'ont trouvé Harry, le coupais-je sèchement.
Je sortis de mon petit sac un bout de papier où le nom de l'agence d'adoption et lui tendis ainsi que la photocopie de l'acte de naissance de Lucas.
(Heather): Regarde, il est né dans le même hôpital que moi et c'est le seul qui existait dans la ville où nous habitions avec nos parents.
(Harry): Ce qui veut dire...
(Heather): Qu'il vient du même endroit que moi mais l'adresse de la maison est différente car je me souviens que m'a mère m'ait dit qu'elle avait acheté la maison dans laquelle on vivait un peu avant ma naissance.
(Harry): C'est fou tous ça Heather. Tu t'embarques dans une histoire dont tu n'es même pas sûr que ce que Lucas te racontes est vrai.
(Heather): Tu ne me crois pas.
Je me levais de ses genoux et ramassais mes affaires, me dirigeant vers les escaliers mais il me retint par le bras.
(Harry): Attends ne fais pas comme ça.
(Heather): Je pensais que tu pouvais comprendre mais je me suis trompée.
(Harry): Heather...
(Heather): Quoi Harry ! C'est peut-être fou toute cette histoire mais si j'ai la chance de retrouver un frère, je ne veux pas la rater !
(Harry): Je comprends mais...
(Heather): Non tu ne comprends pas car tu n'es pas dans ma situation !
(Harry): J'essaye juste de te protéger.
(Heather): Comme avec Bryan, il se figea à l'entente de ces mots. - Je sais que tu as cru bien faire en ne me disant rien de ses venues à la villa mais j'aurais voulu que tu me préviennes. J'aurais compris que tu ne voulais pas que je le voie et je ne l'aurais pas fait mais la moindre des choses, c'était que tu me le dises.
(Harry): Après qu'il t'ai frappé ?! Tu aurais voulu que je te mette au courant de ses allers et venues alors que tu ne voulais plus le voir et qu'au fond de toi, tu avais peur de le recroisé un jour.
(Heather): Il m'a contacté Harry.
(Harry): Quoi ?
Je lui montrais les sms et lui faisais écouter le message vocal que le blond m'avait laissé.
(Harry): Il va m'entendre celui-là !
(Heather): Non s'il te plaît... Pour le moment je veux juste aller me coucher et oublier.
****
* Jeudi 26 décembre, 17h30*:
Nous étions en train de négocier avec la dame d'accueil de l'hôpital. Elle ne voulait en aucun cas nous donner l'accès à la salle où sont disposés tous les actes de naissances, prétendant que tous ces documents était classés et non public.
(Lucas): Mais bon sang ce n'est pas la mort ce que l'on vous demande ! On veut juste nos actes de naissances et ceux de nos parents, frères et sœurs.
(Dame): Et moi je vous ai déjà dit que ce n'était pas possible !
(Lucas): Putain !
(Dame): Gardez votre impolitesse pour vous jeune homme !
Lucas poussa un long soupir et passa la main dans ses cheveux, signe d'agacement. Harry, qui avait absolument tenue à nous accompagner - plus par jalousie qu'autre chose - intervint, son sourire charmeur sur les lèvres:
(Harry): Écoutez madame, c'est vraiment très important pour eux et...
Elle ne lui laissa pas terminer sa phrase et posa sa main devant le visage du jeune bouclé.
(Dame): Cela ne sert à rien de me faire les yeux doux jeune homme. Non c'est non ! (Harry): Très bien.
Poussant lui aussi un soupir, il sortit son portefeuille de la poche arrière de son jeans et l'ouvrit.
(Harry): Très bien. Combien voulez-vous pour ces documents ?
Je le regardais avec surprise et fronça les sourcils. Il allait vraiment payer pour si peu ? Mais il savait que pour moi c'était important alors il était près à tout. La vieille dame le regardait offusquée et son visage vira au rouge foncé.
(Dame): Vous avez intérêt à sortir de cet hôpital avant que je n'appelle la sécurité. Harry Styles ou pas, argent ou pas, vous n'obtiendrez pas ces papiers !
Soudain, je me figeai. Ma respiration se fit saccader et je ne peux bouger mon regard de la personne qui se trouvait de l'autre côté du couloir, me fixant de son regard.
(Heather): Harry. Harry !
(Harry): Heather ?
Il se posta immédiatement à mes côtés et regarda dans la même direction que moi mais ne vit rien.
(Heather): Il était là Harry ! Je te jure il...
(Harry): Qui ?
(Heather): Bryan !
Son nom pesa lourd et un long silence se fit pendant que je le cherchais désespérément.
(Harry): Tu es sûre de ce que tu as vu ?
Je hochais la tête pour simple réponse et déglutit. Il posa ses mains sur mes épaules et me fit lui faire face.
(Harry): On va rentrer à la maison Heather, ok ? On va se reposer et on reprendra ses recherches demain.
(Heather): D'accord.
Il me fit un sourire compatissant et nous sortîmes de l'hôpital.
* Point de vue extérieur *:
S'approchant de l'accueil une fois être bien sûr qu'il était partit, Bryan affichait un sourire triomphant sur ses lèvres charnues. Posant ses coudes sur le comptoir, il regarda la vieille dame dans les yeux, son rictus ne le quittant pas.
(Bryan): Bien jouer Marta !
(Marta): Ils n'ont pas l'intention d'abandonné à ce que j'ai compris...
(Bryan): T'inquiètes pas pour ça Marc s'en occupe !
Il prit son portable qui se trouvait dans la poche arrière de son jeans et composa un numéro qu'il ne connaissait que trop bien. Après 3 sonneries, on entendit la voix de Marc se répandre dans le combiné.
(Bryan): Le plan marche comme sur des roulettes mec !
(Marc): Très bien au moins tu te rattrapes !
(Bryan): Au moins on se rapproches du but.
(Marc): Oui... Bientôt tout ça sera concret.
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