Never Chance. Prologue+ chapitre 1

Mini-fiction: Never Chance. 
Prologue+Chapitre 1
Prologue.
Je suis blonde aux yeux verts. Je suis une chanteuse de rue. Je suis aussi ce qu'on appelle une SDF (Sans Domicile Fixe). Je suis un peu comme une nomade dans la période préhistorique. Je suis maigre, on peut le deviné parce que les personnes comme moi, non pas souvent à mangé. Je ne peux pas me gavée. Je ne suis pas comme certains SDF. Je ne profite pas de l'argent que je gagne pour acheté du tabac ou de l'acool. Je suis neutre, je n'ai jamais fumée et ce n'est pas maintenant que je vais commencée. Je ne suis pas dans une assez bonne situation pour ça. Même si ma situation s'améliore, je ne le ferais pas pour autant. Je mesure 1m76. Je suis grande. Mes cheveux comme mon visage sans oublié mes vêtements sont âbimées. La nuit, je dois faire très attention parce que les filles comme moi, qualifiée comme jolie ou plutôt comme bonne se font vite repérée par les garçons surtout si ils sont bourés. Ce n'est pas très joli à voir et à subir non plus même encore moins. Je vis au jour le jour. Je cherches des emplois tout le temps. On ne m'en donne jamais. Pourquoi? Ma situation. On ne donne pas un emploi à une SDF mais à quelqu'un qui a déjà un logement. Je m'appelle Emy, j'ai 19 ans. Je vis comme je peux, voici mon histoire. 
Chapitre 1
Je marches dans la rue à la recherche d'un nouvel endroit où dormir sous les yeux intimidant des passants. Je ne fais pas attention à eux, ils ne connaissent pas mon histoire. Même si ils l'a connaissaient ils auraient pitié pour moi. Ils auraient pitié de cette fille dont ses parents ont jetée de la maison parce qu'elle était enceinte de son copain qui est maintenant son ex. Il a été un lâche, je lui ai dit pour l'enfant. Il a fait comme si il avait un appel et n'est jamais revenu. Plus aucun appel, plus aucun message. Plus rien. C'est mieux dans le fond, je n'aurais plus à suppporté l'erreur que j'ai faite. Sortir avec lui était une erreur. Je m'en suis rendue plus vite compte. Je n'ai pas accouchée. J'ai préférée avortée que d'accouchée d'un enfant de lui, de ce minable. Je ne sais plus ce qu'il est devenu. Je crois le voir parfois sur une affiche de magazine avec le même nom mais je n'y portes pas d'attention. Je trouves enfin une petit ruelle, j'y installe mon peu d'affaire et m'y assoies. Je fais une pause. Je pars au bord de la rue pour faire la manche. C'est devenue une habitude. Je ramasse un peu d'argent. Avec deux ou trois jours, je peux m'achetée une petite bouteille d'eau. En quatre jour, je peux achetée une friandise. Les poulets rôtis ou autre, ce n'est pas pour moi. Je n'y ai pas droit. Je suis sans avenir comme disait ma directrice. Je suis sans avenir comme m'ont dit mes parents avant de claqué la porte ne rajoutant un "Tu nous fait honte. Tu n'es plus n'autre fille. On ne te connait plus. Ne reviens jamais. Pars et ne fait pas demi-tour.". Les mots font plus mal que les coups, on me croit maintenant? Je penses que beaucoup de monde vont y croire parce que aussi ce n'est que la simple vérité. Je vis, je haire dans les rues depuis maintenant presque 3 ans. Je ne suis pas à la recherche de l'âme soeur, d'un prince pour venir me sauvé. Je suis plutôt à la recherche de mon sauveur, de la personne qui voudra bien me tendre la main même si la mienne est sale, boueuse, âbimée, creuse, fébrile, hésitente. Je ne cherches que cette main. Cette main qui m'apportera le sourire. Je fredonne un petit air. Une foule de personne, ne faisant pas attention à une jeune adulte en détresse fredonnant un air comme si c'était la dernoère chose qu'elle allait, passe. Personne ne me porte de l'attention. Je suis invisble. Je suis invisble pour eux, pour leurs yeux, ils préfèrent comme si de rien n'était. Je ne suis pas comme ça. Je vois bien qu'ils font comme mais ça se voit qu'ils essayent. J'arrête de fredonnée et chante. Je chante ma chanson préférée. Cette chanson symobole de ma vie détruite et arrachée en une seconde, par une erreur. Je n'essaye pas de rectifié le tir mais de me faire entendre. Des personnes s'arrêtent pour m'écoutés. Une nouvelle, ils restent plus longtemps que ceux que je vois d'habitude. Les autres restent même pas une minute, eux sa fait une minute. D'autres personnes s'amassent autour. J'ai l'inpression d'être un lion en cage, tout le monde s'aglutinent autour de moi. En cercle tout le monde me fixe, je me sens pas très à l'aise mais je ne laisse pas paraître. Je ne veux pas que l'on me voit pour une SDF sans avenir pleine d'espoir et de rêve, mal à l'aise en public. Je sens petit à petit m'habituée à cette panoplie de personne me regardant avec de gros yeux. Une tête me dit quelque chose parmi tant d'autre mais je ne le fais pas paraître. Dans le monde dans lequel on vit, tu as ta chance si tu ne l'as prend pas, tu n'auras pas de deuxième. Dans le monde d'aujourd'hui il ne rine laissé paraître, c'est une boucle infinie de visage faux, de sourire hypocrite et larme invisible. Cette roue sans fin, tournant, donnant la chance à chacun la lui reprends si on ne sait pas l'accepté. La personne part. Je ne faits plus attention. Je me concentre sur le monde autour de moi ainsi que sur ma chason. On me donne de l'argent et on part. D'autres restent attendant la fin de la chanson. La chanson se finit, on me donne de l'argent, pour une fois, je gagne beaucoup. Ils partent laissant d'autres personnes venir me regardé chanté. Je chantes une nouvelle chanson, tout aussi joyeuse et déprimente. Ils doivent lire la tristesse dans la chanson, la tristesse que je ressens. d'autres passent sans me prêté beaucoup d'attention, pressé d'arrivé à autre endroit. Ceci se produit toute la journée. De l'argent tomeb dans mon chapeau comme une larme sous une joue de suicidaire. Ce que je suis dans le fond. Je suis suicidaire, je l'avoue mais ne le proclame pas sur tout les toits. Je le garde pour moi. Je m'accepte autant que ma situation après tout c'est de ma faute, on aurait du se protégé mais dans l'attraction de l'amour, du mélange de nos baiser et de nos parfums, son corps contre le mien, j'en ai tout oubliée. On l'a fait sans se protégé, j'aurais du prendre la pilule du matin mais je n'y ai pas pensée. C'était notre première fois, ma première fois, sa première fois aussi à ce qu'il me disait mais maintenant je ne crois pas un traitre mots à cette phrase. Je ne crois pas un seul de tout ces mots, de tout ces "Je t'aime", "Tu es mon monde.", "Tu es mon avenir, je ne vois pas ma vie sans toi.", "Jamais je ne t'oublierais.", "Je ne sais pas si un jour j'arriverais à vivre sans toi, sans tes yeux, sans ton parfum, sans ta voix, sans tes cheveux. Je ne sais pas si je pourrais.", "Souris ma princesse c'est plus un sourire qu'une larme.", "Fait-moi le plaisir de me dire que tu m'aimes.". Je ne crois plus en rien à par sortir de cette merde. Ma vie est un vrai bordel, une succession d'erreur, un hamas de faux-sourire, un ensenvelivement de larme, une cascade de risque de trop, une chanson trahisante. Je suis tout ça. Je suis née comme ça. Je vivais comme ça. Je vis comme ça. Je viverais comme ça. Je mourais comme ça. A quoi bon vivre si c'est pour vivre toute cette merde? Je me suis dits tellement de fois cette phrase mais l'espoir de me battre et de réussir pour montré l'exemple que c'est possible m'en empêche. Il n'y a plus que l'espoir pour me retenir. Il n'y a plus que ça et seulement ça. Cette phrase à sa réponse, Sourire. On vit pour connaître des galères et conitnué sourire malgré tout, pour prouvé notre force et notre foi. On ne vit que pour ça. Je pars de cet endroit, les heures de pointes sont finies. Il n'y a plus que quelques passants trop pressés ou juste trop fénéant. Je pars, me trace une nouvelle fois un chemin vers une nouvelle destination. Ne sachant pas où je vais. Ne connaissant pas les rues de Londres ayant vécue à Wolverhamptom. Je marches écrasant mes pieds âbimées et sales depuis le temps sur le macadame. Je n'ai pas de chaussures, je pries juste pour ne pas marchée sur une merde de chien dans le noir de Londres qui commence à se faire. Je marches surement pendant une heure même duex. Mes pieds meurtris me demande d'arrêté mais je ne les écoute pas. je n'ne faits qu'à ma tête. Tout les jours c'est la même chose, toute les nuits la même chose. Je me lève d'un endroit, marches jusqu'à un autre, y chante toute la journée, repars à la nuit presque tombée après le couchée du soleil, marches juqu'à un nouvel endroit pour m'y réveillée le lendemain après une nuit affreuse à ne dormir que d'un oeil et repartir. Toujours le même ganre de journée. Toujours les mêmes regards. Toujours le même quotidien de la rue. Un jour cela changera-t-il ou suis-je condannée à vivre tout le restant de ma vie comme ça? Durant c'est presque trois années, je suis parties de Wolverhampton jusqu'à Londres. Je suis arrivée à Londres, il y a un presque un mois. Les bus et les trains, je les prennaient qunad j'avais le moyen. Je faisais le plus de route à pied. Je ne me suis jamais arrêtée, ni pour un regard, ni pour la pitié de quelqu'un. Je ne m'arrêterais pas maintenant. Mon train-train habituel va-t-il changé? Je l'espère de tout mon coeur. Je n'attends que cette main. Je trouves un nouveau lieu où dormir. Je m'y repose et repartirais demain. Je comptes bien sortir de tout ceci mais comme fait quand la vie ne vous offre aucun moyen? Elle ne m'a pas sourie une seule fois à par aujourd'hui pour tout les passants mais jamais pour me sortir définitivement de tout. Un jour cela changera. Je le sais mais quand? Je l'espère avant de mourir. C'est mon souhait le plus chèr. Va-t-il se réalisé ou la mort m'aura submergée avant? Personne ne le sait, personne ne le saura sauf au moment venu. Je ne veux pas mourir, je ne peux pas mourir, pas maintenant, je dois me battre et sortir de ce monde de la rue. Je dois m'en sortir, je me le promets. 

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