Never Chance. Chapitre 4+ chapitre 4 bonus

Mini-fiction: Never chance.
Chapitre 4+ Chapitre 4 bonus
Non pas lui. Surout pas lui. Je ne veux pas le voir. Qu'est-ce qu'il fout là? Il fait partit de ce groupe One Edition machin chose là. Je ne veux pas le voir. J'aurais voulu ne plus jamais le revoir et maintenant que j'ai une possibilté de sortir de la rue, il ramène sa fraise. Je vais pouvoir enfin sortir, je sortirais de la rue, ce n'est pas lui qui va m'en empêchée. Il l'a déjà fait une fois, il ne pourra pas une deuxième fois. La rue m'a forgée. Je suis plus forte qu'avant. Je sais que ni lui ni quelqu'un d'autre me relancera là dedans. Il ne m'aura pas une deuxième fois. Je dois avouée que mes sentiments à son égard n'ont pas changés. Je l'aime toujours malgré ce qu'il m'a fait. Je suis folle de l'aimée encore après ça. Je ne devrais pas pourtant je le suis encore. Il me regard tout aussi ahuri que moi. Je ne m'attendais pas à le voir. Il est partit comme un lâche. Il est partit et à fait sa vie de son côté. Pendant que j'étais entrain de faire la manche à chaque coin de rue, à traversée tout l'Anglettre de Wolverhampton jusqu'à Londres, lui il faisait le tour du monde, remplissait des satdes entiers, chantait comme si rien ne c'était passé. Je suis dégoûtée. Il me répulse de plus en plus. Il a vécu sa petite vie de star pendant que je vivais ma vie de SDF. Je n'ai comme même pas vendue mon corps pour de l'argent. Je ne suis pas une pute. J'avoue que j'y ai déjà pensée pour avoir plus facile mais je ne l'ai jamais fait. D'abord pour moi parce que je me sentais déjà assez sale comme ça et pour lui. Je ne voulais pas vedre mon corps pour lui. Mes sentiments son trop forts. Je le faisais par respect pour lui alors qu'il s'en foutait de moi. Du jour où il est partit jusqu'à aujourd'hui, il s'en ait toujours foutu mais dans ma tête j'avais l'espoir qu'il vienne et me tende la main en chuchotant un "Je t'aime " dans l'oreille. J'ai espérée. Je le revois, il a presque pas changé. Je l'aime et je le déteste. Je suis entre les deux. Mon cerveau le haïs pendant que mon coeur, lui, l'aime à la folie. Je suis folle, folle d'encore l'aimée, folle de lui. Je suis stoïque depuis qu'il a fait son entrée dans la pièce. Le regard plongé sur lui. Son regard pesant sur moi. Je suis assez mal habillée. En étant SDF, je ne vais pas être habillée comme pour allée à un entretien d'embauche non plus. Pantalon noir troué, t-shirt rouge troué et délavé, chemise noir et rouge a carreau déchiré en bas avec un trou dans le dos et froissé, botte noir pleine de poussière, chausettes trouées même si on ne le voit pas, cheeux ébourrifés et sale, visage sale et aml entretenu, mains abîmées, je suis comme ça. Je suis une vrai SDF, il n'y a aucun doute là-dessus. Cela se voit comme le nez au milieu de la figure. Piteux est un petit mot pour d'écrire mon état. Je me fais moi-même pitié. Je me déteste. Je ne m'aimais pas beaucoup avant à vrai dire mais maintenant cela n'a fait qu'empiré. Je suis dîtes belle mais surtout bonne et faible. Chaque fois que je fermais les yeux, je revoyais son visage, son sourire qui est devenu nargant au fil du temps trainée dans la rue. Je n'ai pas osée me réfugiée chez lui. Il m'avait laché la veille, je n'allais pas le supplié. J'aurais peut-être due. Je ne l'ai pas fait, je le regrette. Si je ne l'ai pas fait c'est que je ne devais pas le faire, c'est que le destin a choisi que ça allait mieux ainsi. C'est ce que je me suis toujours répétée. Cela fait plusieurs minutes que je le regarde sans le quité des yeux, toujours étourdie de revoir son visage. Je viens de comprendre pourquoi je croyais parfois le voir sur des magazines. Je n'y faisais pas très attention, j'aurais due. Encore une chose que j'aurais due faire et que je n'ai pas faite. Je m'exapère moi-même. Beaucoup de sentiments se bouscule dans mon être. Beaucoup de questions bourdonne dans ma tête. Je ne sais pas à laquelle je dois répondre en première, laquelle je dois posée d'abord. Tout se floutten moi, je n'y vois plus clair. Je reprends enfin mes esprits et tourne les yeux vers Simon.
Moi: C'est qui eux? 
J'avais dit ma phrase sur un ton froid. J'espère qu'il a compris qu'il ne m'aura plus dans son filet. 
Simon. Eux? Ce sont les One Direction. Tu as le coup de foudre pour un à ce que je vois. Tu le fixes depuis tout à l'heure. 
Moi: D'accord, c'est eux ton groupe. Je n'ai pas le coup de foudre pour lui. C'est juste que je le connais, malheureusement. 
Sur ces mots, je les bouscule et sort du studio d'enregistrement. Je cours dans les couloirs, espérant trouvé la sortie au plus vite. Ils n'ont pas du comprendre ma réaction. Il n'y a que lui qui a pu comprendre. J'espère que maintenant, il s'en veut. J'espère que la culpabiluté est entrain de le rongé au plus profond de lui. J'espère que le dégoût de lui-même, lui bouffe les entrailles. Je suis méchante avec lui mais je ne fais que me comportée comme lui a été avec moi. Il m'a abandonnée, enceinte de lui. Il n'a pas assumé ces actes. Ce n'est pas maintenant qu'il doit les assumé. Le passé c'est le passé. Il fait parti de mon passé, non de mon présent et encore moins de mon futur. Il ne m'aura pas, trop de force et de puissance en moi m'en empêche. Les rancoeurs d'une histoire parfaite se déroulant dans le passé me montent à la gorge. Je ne sais pas comment apaisée ce qui est dans ma gorge m'enpêchant de respirée. Je suffoque de l'intérieur mais ne m'arrête pas. Le coeur battant dans ma pointrine tellement fort qu'il va s'échappé de mon être. Je cours sans arrêt, sans respiration, sans oxygène. On me frôle, je ne me retourne pas ce serais une perte de temps. Je pense savoir qui c'est. Maintenant, on me retient par le bras. Mon poignet compressé fermement par une main déterminée à ne pas me laissé partir. Avec force celle-ci me fait faire un demi-tour pour regarde de face son possesseur. 
Lui: Pourquoi tu es là?
Son ton sèche, brise mon coeur en un coup, le fissure d'une traite. 
Moi: Je te retourne la question.
Je lui réponds de la même manière que lui. Je ne vais pas commencée à jouée la gentille avec lui après ce qu'il sait passé. Je ne vais pas non plus jouée ma faux-cul à être gentille. 
Lui: C'est moi qui ai posé la question en premier alors répond d'abord. 
Moi: Si je n'en ai pas envie, tu fais quoi?
Lui: M'oblige pas à te faire répondre. 
Moi: Je suis ici pour..Je ne te le dirais pas. Tu y as cru. 
Il sert plus fort mon poignet. En 3 ans, il a gagné en force, en muscle et autre. Je suis si faible, si petite comparée à lui. Par contre, je suis plus endurante, plus forte dans le coeur. La rue a fait de moi, un déchet mais aussi une endurante. La force des hommes ne me fait plus rien. Avant, une pichenette et je criais un petit "Aïe" maintenant une brûlure indienne, un coup de pied, un coup de poing ne me font plus rien ou presque. Je ressens à peine qu'il compresse mon bras. Il a gagné en force, j'ai gagnée aussi. 
Lui: Tu n'as pas mal?
Moi: Non
Lui: C'est normale, je n'ai pas donné toute ma force.
Il devien macho en plus. Il m'exaspère au plus haut point. J'adore les retrouvailles entre nous. Il a changé, il n'est plus le même. La célébrité lui est monté à la tête, je crois. Il sert plus fort mais je fais plus le voir que le ressentir. Il n'aura jamais une aussi grande emprise sur moi qu'avant. Il ne pourra plus jamais me faire du mal. Notre couple, passé aux oubliettes, n'existent plus. J'aimerais revoir le ancien lui, doux, affecteux mais je ne le reverrais plus jamais. Il est parti aussi vite que lui. Je le revois, il a changé. La vie est faite ainsi, on perd des personnes de vues et quand on les retrouves, elles ne sont plus que l'ombre d'elles-mêmes. Elles ne sont plus les mêmes, plus que des destins retrouvés pour se séparés de nouveau. 
Moi: Je ne sens rien.
Lui: Tu es plus forte et endurante qu'avant. Que c'est-il passé?
Il n'a pas l'air du tout inquiet. Il a plutôt l'air contrarié, sûrement parce que je viens de lui mettre la honte à lui-même. Son égo, sa fierté et sa dignité ont pris un coup. J'en suis heureuse. Il avait besoin qu'on le remette à sa place. Sa question, il n'aurait jamais du la posé par contre. Il se demande pourquoi alors que c'est de sa faute. 
Moi: Que c'est-il passé?!? Tu es sérieux là! 
Lui: Oui, tout a fait.
Moi: Ce qu'il c'est passé, c'est que tout es de ta faute. Je suis vide comme une coquille d'oeuf. Je n'ai plus rien. Je vis avec un carton, une couverture, une guitare et l'argent que m'offre les passants dans la rue. Tout ça à cause toi. Tu n'es qu'un pauvre et sale lâche. Pendant que je faisais la rue, tu roulais sur l'argent. Tu mérites de crevé!
Je me détachais de son emprise. Je lui avais craché à la figure, les mots qui devaient sortir depuis toute ses années. Ce n'était qu'une infime partie de ce que je voulais lui dire mais cette petite partie que mon coeur essaye de contenir est soulagée. Une micro partie de moi enfin en paix. Je pars plus vie qu'avant. Ma carrière musicale qui aurait pu existée vient de tombée à l'eau. Je trouverais un autre moyen de sortir de ce trou pourri appelé la rue. Je trouverais aussi bien que j'ai trouvée l'amour, aussi bien que je me suis trouvée. Avec le temps j'y arrievrais. Avec le temps l'espoir gagnera en force ou stoppera. Je gagnerais la bataille de ma vie, je gagnerais ma bataille, je gagnerais ma vie. 

Chapitre 4 bonus
Version "unknow"
Je l'ai détruite. Je l'ai amenée à la rue. Je l'ai condanmé à y vivre. Je l'ai offerte à la rue. Je n'ai été qu'un lâche. Elle a raison, je mérite de crevé. J'entends un des gas venir à ma hauteur. Ces mots avaient atteint mon coeur, percé mon bouclier. Affaible, elle vient de m'affaiblir. Je suis plus sensible, plus fragile. En quelques mots, elle m'a fait tombé de haut. J'ai changé sa vie en un trou perdu. Quelqu'un pose sa main sur mon épaule. Je ne bouge pas pour autant. Je suis droit, les bras ballants depuis tout à l'heure, depuis ses mots. De la bouche de quelqu'un d'autre cela ne m'aurait pas brisé ni moi ni mon bouclier mais venant d'elle...cela me cassé, fait éclaté mon coeur d'un coup. Elle est revenue dans ma vie comme une bombe, elle repart en y déposant une au bord de mon coeur, faisant éclaté le bord comme le tréfond de ce coeur fissuré par les années. Pourquoi venant d'elle cela fait si mal? Parce que je l'aime encore. Elle n'a pas l'air de le savoir. Aussi cela fait 3 ans que l'on ne sait pas revu. Elle a changée, elle est plus jolies malgré la crasse de la rue. Elle a de plus belle forme, normale elle est une femme maintenant. Un corps de femme gardant au fond une tête d'enfant me disait-elle si souvent. Elle ne voulait pas grandir. Elle était mature mais si enfantine en contre-bas. Elle a changée. Ses yeux d'un mélange de vert et de marron s'est transformé en un mélange de bleu et de vert. Elle a grandi en taille, un petit peu. Elle a plus de force. Un sourire encore plus beau qu'avant. Elle était ma princesse, elle est ma princesse, elle restera ma princesse. J'ai très bien compris qu'elle ne voulait plus de moi mais je vais la reconquérir, je vais essayé. Je l'aime et ça le monde ne le voit pas enfin si il le voit mais ne m'en fait pas le bonheur. Monde aveugle et stupide. Il me l'a enlevé, il me la reprends mais je la retrouverais. Je n'ai pas non plus aidé, je suis parti prétextant que j'avais un appel pour ne plus jamais revenir. Je suis passé des heures devant son numéro avec le pouce près de la touche "appeller". Je n'ai jamais appelé, j'avais trop honte. Honte de moi et de ce que j'ai fait. Mon passé m'est revenu en plein visage. Je m'en veux. Ma culpabilité doit se sentir de l'autre côté du monde. Je retourne vers le studio lâche un petit "Ne t'en fais, c'était une amie." à mon interlocuteur et pars vers le studio d'enregistrement rejoindre les garçons et Simon. Une chanson dans la tête, je la repète sans cesse pour ne pas l'oubliée. Les paroles exprimant ce que je ressens pour elle, ce que j'aimerais lui chanté. 

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