Never Chance Chapitre 30

Mini-fiction : Never Chance

Chapitre 30

Est-ce que tout sera chamboulé d’ici bientôt ? Je ne l’espère pas même si j’en ais le pressentiment. Je ne souhaite qu’une chose c’est être dans ses bras, là où je me sens en sécurité, loin du monde, loin de tout problème. Je m’y sens tellement bien, enfin belle, écoutée. Je me sens sur une île paradisiaque. Le soleil avec ...moi. Les nuages sont blanc et plus gris et encore moins noirs. Le ciel n’est plus sombre mais ensoleillé et plein de rayon de lumière par-ci, par-là. Je suis heureuse. Je ne vérifie pas si il est partit et puis de toute façon j’entends ses pas s’éloignés. Comme un déchirement au cœur, je l’entends s’éloigné, la frustration m’enveloppant. J’ai peur de le reperdre. Je ne sais pas si le monde me comprend, comprend ma peur. Je ne sais pas si quelqu’un sur cette terre me comprend à par lui. Je laisse mon inspiration voguée dans mon esprit à la recherche d’un rythme, d’un son, de paroles. Je suis en manque pour l’instant. Je vis pour moi, je ne dois pas devenir indépendante de lui. L’amour est comme une trainée de pollen, il vous prend avec et vous enrhume, vous hypnotise, on le sent arrivé mais on reste là où n’est parce qu’on ne sait pas l’éviter. Telle une trainée de poudre, l’amour arrive vous envahit, entoure de ses bras, vous monopolise le cœur, ne vous laisse pas une seconde de répits, n’est pas niable, est accro comme une drogue. L’amour vous empoissonne la vie, la transforme en enfer pour après vous rendre heureuse. L’amour à deux côté, un positif et un autre négatif.

« Je suis humaine, dévoilée au grand jour, sous la plénitude, je te dépose un baiser de velours. »

J’aimerais bien m’être ça dans la chanson mais je ne sais pas si elle sera d’accord. J’espère que si parce que je n’ai rien d’autres à proposé. Je l’appelle pour savoir si elle aime.

*Conversation téléphonique*

Elle : Allo ?

Moi : Salut, c’est Emy.

Elle : Salut, ça va ?

Moi : Oui et toi ?

Elle : Oui, je m’est remise avec Justin.

Moi : Tant mieux. Bonne chance pour vous deux.

Elle : Merci, pourquoi tu m’appelles ?

Moi : J’ai trouvée les paroles qu’on pourrait m’être dans la chanson.

Elle : Alors ? Je t’écoute, je n’ai pas encor eue le temps d’y pensée.

Moi : Ce n’est pas grave, c’est venu d’un seul coup. « Je suis humaine, dévoilée au grand jour, sous la plénitude, je te dépose un baiser de velours. »

Elle : C’est parfaite ! J’adore ! Voilà on a la chanson plus qu’à l’enregistre demain. Je dirais les paroles à Simon maintenant. Et ça va avec lui ?

Je lui avais raconté toute mon histoire et compatissait avec moi.

Moi : D’accord. A tout à l’heure. On est ensemble enfin je crois…

Elle : Pourquoi ?

Moi : On se comporte comme un couple, on s’embrasse, on allait même le faire, on a dormit ensemble mais je ne sais pas si cela veut dire si on est ensemble.

Elle : Laisse faire le temps. Vous êtes ensemble, enfin ! Attends qu’il te demande à sortir. Je suis sûre que ce sera dans pas longtemps.

Moi : Merci.

Elle : De rien.

Moi : Bonne journée.

Elle : Toia…Toi aussi…

Moi : Tu es seule ? Je ne pense pas.

Elle : Justin est avec moi.

Moi : Je parie qu’il est derrière toi à vouloir te faire des bébés.

Elle : *rire* Je pense aussi, bon je te laisse.

Moi : Bisous à demain.

Elle : Oui à demain.

*Fin de la conversation téléphonique*

Je sourie. On est devenue très proche toute les deux très rapidement. On a bien accroché. Je ne sais pas quoi faire, je m’ennuyés déjà. Je ne sais vraiment pas quoi faire. Je prends mon calepin et dessine, comme je suis nulle en dessin, je ne dessine pas longtemps. D’habitude j’écris des chansons, des paroles, des notes dedans et non des dessins. Je ne suis pas la plus douée au monde en dessin c’est sûr. Je ne gère rien de ma vie pour l’instant. Je laisse les secondes défilées sans en profitée, je le regretterais plus tard. Je décide de courir pour me défoulée. Je me change en tenue de sport et pars vers un parc. De la musique dans mes oreilles, je profite de l’air de l’extérieur. Je cours jusqu’à ne plus avoir de souffle, heureusement que j’ai pris une bouteille d’eau. Dans ma petite course, j’ai rencontrée des fans, j’ai pris des photos avec elles et aussi des autographes. Je suis dans une plénitude totale, elle partira mon monde ne sera plus que des poussières et des cendres. Je suis déjà en cendre mais qui se reconstruit, se reforme. Je ne sais pas si j’arriverais à redevenir humaine, un corps, une humaine et non rester en cendres. Je ne suis qu’une illusion, que l’ombre de moi-même. Je me l’avoue mais je deviens mon soleil. Je marche jusqu’à la falaise d’hier. Je me sens tellement bien là-bas, je me sens comme un poisson dans l’océan. Une vue sur la Tamise, bien loin. Peu de monde, du vent frais. Je retourne chez moi. Je commande chinois parce que je n’ai rien à mangée et il est déjà 13h52. Je suis assez en retard sur le monde. Je suis dans la notice de ma vie, dans la résurrection de mes sentiments, dans le pressentiment de la peur et de l’enfer, dans la bulle de bonheur, dans l’amour planant dans mon ventre, dans la secousse de l’avalanche de problème qui va s’abattre sur moi, dans l’immortalité de l’amour à son égard. Je suis comme une vague, innombrable parmi toutes les autres mais sera toujours remarquée par quelqu’un qu’il soit vivant, animal, ou mort. Que se soit un animal, un humain, la mer ou le vent. Je mange mon repas. Je vais chantée une chanson en a capella durant mes concerts, j’ai peur donc je me prépare déjà. Sur ma route j’ai vue tombée beaucoup de monde qu’on ne montrait pas du doigt mais quand c’était moi, tout me monde me désignait. Je me sentais incapable, détruite, une grande injustice s’accrochant à mes poumons et me démolissant à coup de hache et boulet de canon le cœur. Je fais peine à voir, je le sais mais maintenant mon visage redevient un ange parmi les démons. Je suis redescendue un nombre innombrable de fois sur le rebord de ma route, à la case départ et puis suis revenue en force. Je suis assez louche comme fille, je ne suis pas normale mais la normalité c’est quoi ? Faire comme tout le monde pour avoir l’air cool alors qu’on est plus une copie de quelqu’un d’autre. Cela ne me tente pas du tout. Je ne suis pas attirée par ces ressemblances-là. Je ne suis pas comme tout le monde et j’en suis fière et si cela ne plait pas à quelqu’un, il peut partir et se taire parce que son avis m’importe peu. Je me fous un peu de ce qu’il pense. Ce qui m’énerve le plus chez ses personnes-là c’est quand ils répètent alors que tu as très bien entendu. Tu ne fais que ne pas leur répondre mais eux croient que tu ne les as pas entendus. Je ne sais pas si qui est le plus pathétique chez eux, le fait qu’il répète ou qu’il recopie le monde alors que celui-ci se détruit, donc au fond ils se détruisent aussi. Je ne me détruis pas, enfin pas dans le même sens qu’eux et j’en suis fière, je serais même capable de le crié sur tout les toits. Les regards des autres ne sont que des regards, ce ne sont pas la vie juste un avis stupide qui n’en vaut pas la peine. Je me contrôle, je suis forte, je ne dois pas l’appelée. Je me retiens de l’appeler c’est horrible. Cela est devenu contagieux de me sentir bizarre sans lui, comme démunie. Je me sens libérée, délivrée, épanouie, décidé, rêveuse, ambitieuse, assouvie, pensive, désireuse. Je ne suis plus en manque enfin si mais maintenant je sais qu’il m’appartient, que le jeu est finit et qu’il ne va pas sauter ou autre. Je me sens enfin libre. Je ne cours pas après le bonheur ou le sourire ni encore moins après les fou rires ils sont en moi et se délivrent en moi comme du sang coulant dans les veines. J’écris mon histoire en chanson, je ne fais plus partie de ceux qu’ils glissent ou qu’ils patinent. Je suis grande, l’enfance est dépassée, l’adolescence est juste derrière moi. Je suis ma capitaine, capitaine de mon bateau que j’appelle la vie, ce désastre se connivant à chaque rocher finit enfin par atterrir au milieu de la mer, je ne suis plus perdue dans cette mer bleu, c’est une mer rose dans laquelle on ne se perd pas, on ne nage pas et on ne sait encore moins patauger. Cette mer c’est la mienne, c’est celle que je créé pour mon bonheur, pour m’enfermée dans ma bulle, pour me faufilée dans un sourire. Je n’ai que faire de tout ce que peuvent dire les autres, de tous leurs regards. J’ai faits des bêtises dans mon passé mais je les ais réparée enfin je n’ai toujours pas vue mes parents mais je ne veux pas les revoir. Le désespoir est partit pour laisser place à l’espoir. Le désarroi c’est dérobé pour laisser sa place au bonheur. Les larmes se sont évacuées pour laisser place à un sourire qui sera suivie d’autres. Je mets mes boîtes vides dans la poubelle. Je me couche dans mon canapé. Je finie par m’endormir. Je en fais que chantée tout ce que je ressens. Je chante mes émotions, mes histoires. Je chante mes traces, j’essaye de la laissée. Je raconte mes problèmes, je les chante avec l’espoir que cela puisse aider quelqu’un. Je connais peu de personne honnête. Je rêve d’un monde où la paix règne et la guerre s’est enfuie au fond d‘elle-même. Je n’ai jamais mentie pour le plaisir, juste pour l’égo, pour l’honneur, pour la dignité. Il y avait toujours une raison qui se cachait derrière. Je sens que je vais encore mentir dans ma vie, mais qui n’a jamais menti dans sa vie ? On ment bien une fois à ses parents pour se sauver. Les anges déprimes, beaucoup deviennent des déchus. Des anges noirs parce que le monde leur à retiré tout espoir et signification de bonheur. Le monde à ses justices et ses injustices. On rejette tout le monde, on se croit parfait mais on ne ressemble qu’à un diable qui s’ignore, qu’à un monstre qui s’empoissonne, qu’à un ange qui ne fait que tomber. Je suis souvent triste même quand tout me sourit. Je suis souvent déprimée alors que le monde me tend sa main. Le comble c’est quand je vais bien, quand je sourie, quand je veux avancer, la main que le monde me tendait a disparue. Je en faits que chanté ce que je cachais dans mon cœur, tout se qui me rongeais les entrailles, tout se qui me bouffait l’estomac, tout se qui m’emplissait ma mémoire. Je me suis enfin exprimée. Je vis pour moi et non pour les autres. C’est un peu ma phrase fétiche. Je ne m’aime pas mais je m’accepte. Si le monde ne veut pas de moi, je vais comme même restée. Je n’ai pas encore tout fait dans ma vie. Je n’ai pas encore tout réussie. Je vivais dans la merde et maintenant je vis comme sur de l’or alors j’aide tous ceux qui étaient comme moi. Je crie mon enfer et souffle mon paradis. C’est mon combat, je ne vais pas le changé. Il est comme il est. C’est ma vie. Je ne laisserais ma place à personne. Si j’ai vécue tout ses instants c’est que je devais les vivre. Je vis des étoiles dans les yeux alors qu’avant c’était une guerre qui était dans mes yeux. Je me réveille parce…

***

Suite à un commentaire et un vote. Dans les dernières phrases du chapitre 31, je dits qui c'est. Alors, pour que vous ayez quand même encore un peu de surprise, je passerais ces phrases-là, au moment de la suprise. Pour faire durer le suspens, comme on dit.J'aimerais qui vous pensez, être 'il'.

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