Never Chance Chapitre 28

Mini-fiction : Never Chance

Chapitre 28

Je fus sortie de mes pensées par…lui. Il jouait dans mes cheveux. Je pris ma revanche et une petite bataille commença. Je la gagnai par fort fait. Il a abandonné. Je gagne partout en ce moment. Il s’allonge sur le dos, je m’allonge à mon tour, et pose ma tête sur son torse avec ma main dessus aussi. Nous restons des heures comme ça j...usqu’au moment où il décide de partir. Je le suis, je ne veux plus m’en séparé. Je suis tellement bien avec lui que je ne saurais jamais m’en séparé. Il est mon sourire, je souris automatiquement quand je suis avec lui. Avant quand on était dans le jeu, je souriais intérieurement. Je ne le montrais. Je devais jouée la comédie maintenant que je ne dois plus, je me sens beaucoup plus libre, beaucoup mieux, je me sens comme dans une bulle de paradis. J’ai l’impression que je peux toucher les nuages, les attrapés, leur arraché un petit bout, les contempler mais de dedans, que je peux les mordre, les manger même, que je peux me reposer dessus. Je n’ai plus la sensation que le monde se dérobe sous mes pieds, je n’ai plus ce ressentiment d’être abandonnée, seule au monde, je n’ai plus ce frisson que la fin est proche, je n’ai plus cette sensation étrange de chaleur qui me brûle le ventre et les entrailles et me procurant une gêne et une peur indescriptible. Je suis libérée de tout ça. Je suis, les ailes ouvertes, le cœur exposé, l’âme à découverte, les blessures refermées, les plaies cicatrisées, le cerveau au repos du malheur, le sourire plaqué sur mes lèvres, le rire insuffisant pour décrire ma joie, les larmes séchées et disparues, les bras prêt à accueillir n’importent qui, les souvenirs enrichissant ma mémoire, les malheurs aux oubliettes, la malchance aux toilettes, l’esprit suivant le vent dans un bonheur recouvrant l’atmosphère, un oiseau emportant tout mes soucis est passé en moi. Je suis libre, désertée de tout problème, la tête vide de soucis. Je suis vide de souffrance et pleine de bonheur. Je suis invincible, infroissable, infreinable, incoinçable, invivable mais supportable. Je sui celle que je suis. Je suis comme un extraterrestre pout certaines personnes mais je suis toute à fait humaine même plus qu’eux puisque je ne suis pas un monstre, beaucoup moins qu’avant. Au fond de nous, qu’importe qui on est, on cache un monstre inoffensif ou destructeur, un beau jour il sortira et cela ne sera pas beau à revoir. J’ai eu un monstre au fond de moi, il s’est échappé et à tout rasé sur son passage, il a persisté sur notre amour mais il a perdu, je l’ai tué avant. Il est partit de mon être pour se logé chez quelqu’un d’autre. J’étais un pantin, je suis la maîtresse de ma vie maintenant. Plus personne ne m’aura, plus personne ne pourra me manipulé, je me contrôle, la vie ne pourra plus me faire du mal. Je ne suis pas folle. Je disparaîtrais avec de le devenir. La vie est bien trop courte pour vivre les instants plus tard, els reporters au lendemain, c’est maintenant ou jamais. Je suis reine de ma vie, de mon histoire, de moi, de ma présence. Je suis ma reine, je suis sa princesse, il est mon roi, il est prince de sa vie. On se complète, on s’assemble et les regards n’ont rien avoir avec ça. Ils ont juste ç-à nous juger sur notre musique et non sur l’histoire de notre couple. Nous partons de cet endroit magnifique. Un souvenir de minuit en plus dans ma mémoire en sa compagnie. Je regarde le ciel plein d’étoile avec une demi-lune. Dommage que ce n’est pas une pleine. On n’a pas tout ce qu’on veut mais il y a comme même la moitié de la lune. C’est un moment magnifique comme dans un conte de fée mais sans le rose, le bonheur en entier. J’ai encore la peur de le perdre, qu’il parte à cause d’un faux pas. Je suis indestructible mais pas lui, il l’est quand je suis avec lui. J’ai peur de faire un faux pas. J’ai peur de ça parce qu’il pourrait partir. Cette peur va me faire faire encore plus d’erreur, je le sens, j’en ai le pressentiment. Elle me ronge l’estomac alors que des millions de papillons essayent de le reconstruire. On rentre chez moi, main dans la main, cela m’avait tant manqué. Je me sens comme un oiseau dans les nuages. Je ne rêve plus de liberté, elle est en moi. Je ne rêve plus d’un monde meilleur, il l’est devenu maintenant mais je sais qu’il ne restera pas non plus longtemps. Je ne rêve plus de lui, il est avec moi. Je vis comme dans un rêve. Je suis peut-être trop bête de croire que tout ceci durera très longtemps. Le rêve peut s’effondrer en quelques secondes, juste l’espace d’un instant. Des millions de soldats derrière moi pour me protéger des malheurs mais je ne sais pas si ils seront assez et assez forts. Ils sont dans mon cœur, le protéger tel un bouclier. Mon cœur ancien champ de bataille. Je suis reine de mon royaume, de ma vie, de ma dignité. Je suis pleine de dignité encore. Je suis pleine d’ambition aussi qui ne détruiront en rien ma dignité qui elle pourrait détruire mais que je ne laisserais pas faire. Je me maîtrise encore. Une envie de courir me prend alors je l’exauce. Il n’a pas comprit et au début je le traîne et puis il court avec moi. On court ensemble dans la ville maintenant. Il fait trop sombre pour nous reconnaître alors j’en profite pour lui faire un bisou rapide, un baiser volé qui n’a duré qu’une seconde. Il me regard un peu surpris et puis me tournoyer et m’embrasse pour de vrai, un long baiser avec une main dans mon dos et l’autre tenant ma main encor en l’air. Je participe au baiser évidement. J’y prends du plaisir de le remembrasse cela m’avait tant manqué. Je redeviens conquise, accro, obsédée, passionnée. J’ai de la chance de l’avoir me dis-je dans ma tête. Il est un vrai bonheur, un vrai plaisir, un rai homme, un vrai gentleman, une vraie perfection, un vrai paradis, un vrai sensible, un vrai affectueux. Il est vrai et authentique, il est parfait à mes yeux malgré qu’il ait des défauts. Je ne suis pas partagée entre désir et pulsion, je suis partagée entre amour et sensualité. Cet homme me fait tourner la tête, vibrer le cœur, réfléchir le cerveau, danser du bout des doigts, chanter la voie, quitter la terre ferme, sourire de bonheur, attendrir chaque aspect de la vie. Je suis peut-être trop bête pour lui, peut-être trop stupide pour lui montrer la hauteur de mes sentiments et leur qualité mais aussi leur quantité. Je ne sais point dire toutes ses choses. Je suis trop faible ou pas assez intelligente pour les décrire. J’ai abandonnée mes études pour la rue c’est peut-être pour ça. Après une danse enflammée qui avait suivie le baiser, nous repartons direction, je ne sais où. Je suis pleine de rêve, d’espoir, de projet d’avenir. J’ai une chanson dans la tête. Nous partons vers chez moi en faite. Je viens de reconnaitre la route. Je vais comme même le faire rentrer chez moi. Je ne vais pas le laisser rentrer tout seul et aussi j’avoue que tout ces baisers m’ont donnée envie de lui, je ne sais pas si c’est la même chose pour lui. J’aimerais bien qu’il ait la même envie que moi. On ne l’a fait qu’une fois et c’était très bien voir même parfait. Je ne suis pas contre une deuxième fois, surtout qu’il a du augmenter dans cette manière-là. C’était notre première fois à tout les deux. C’était vraiment bien. Au fond de moi se cache la peur que cela se finisse comme la première fois. Elle ressort comme un coup de fusil. Comme une balle sortant d’une arme. Comme un boulet de canon sortant d’un canon. Comme un coup de poing dans le ventre. J’ai peur et j’aurais peur pour un bon bout de temps. Tant qu’on ne l’aura pas, j’aurais peur. Je devrais combattre cette peur. On arrive devant chez moi. Je ne sais pas quoi dire pour le retenir parce que je pense qu’il va partir. On est juste devant ma porte. J’ouvre ma porte, je l’embrasse, entre et le regarde. Il me regarde perplexe.

Lui : Pourquoi tu n’as pas encore fermée ta porte ?

Moi : Tu n’entres pas ?

Lui : Tu m’invite chez toi ?

Moi : Tu ne vas pas rentrer si tard chez toi.

Lui : Tu as peur pour moi ?

Moi : Bien sûr, je t’aime c’est normal non ?

Lui : Bien sûr.

Il finit par enfin rentrer. Je suis rassurée j’ai réussie qu’il reste avec une bonne raison, en plus je le pensais réellement. Je lui offre un verre d’eau même si il ne m’a rien demandé. Je ne me verse rien à boire, je n’ai pas soif. Lui apparemment si puisqu’il finit le verre d’un traite. Nous allons dans ma chambre, je me change dans ma salle de bain pendant que lui se change dans ma chambre. J’entre dans ma chambre, je le vois regarder une photo de nous deux nous embrassant il y a 3 ans. Je l’avais accrochée ce matin sur mon mur. Je l’entoure de mes bras. Il se laisse tombé en arrière, j’essaye de restée debout mais c’est très difficile sous son poids. Il se redresse comme même. Il se retourne après avoir détaché mes bras de sa taille. Il me prend dans ses bras. Il me porte jusqu’au lit et m’y dépose. Il se met sur moi à califourchon. Il me fait des bisous dans le cou, je frissonne un peu. Je n’ai pas froid c’est juste des frissons d’amour. Il place ces mains sous mon t-shirt lui aussi en a envie mais plus moi. Cette envie est partie à cause de la peur. Je le retiens en lui griffant les bras. Il se stoppe et me regarde bizarrement. Je ne saurais décrire son regard dans le noir, un regard à la fois furieux, en colère, plein de rage mais aussi de tendresse, d’amour, d’affection. J’ai l’impression que l’un de ses yeux est la noirceur et l’autre le rose de l’amour. Il est entre deux sentiments. Il finit par se séparer de moi et se coucher dans mon lit à côté de moi. Il me tourne le dos. Je me cale à lui, à son dos et l’entoure de mes bras. Le bout de mon nez dans son coup. Le haut de la tête sur l’arrière de la sienne. Il me boude dessus, il est trop mignon mais il ne me résistera pas longtemps je le sais.

*Ellipse de la nuit*

Je me réveille et…

***

Suite à un commentaire et un vote dimanche. Merci de lire cette "nouvelle". Une nouvelle es un récit fictif court, je ne sui pas si sûre que se soit si court que cela. Mais bon. Le chapitre 29 est beaucoup plus court que celui-ci, merci de votre compréhension. Il reste le 29, le 30 et le 31 et aussi la suprise. Donc, le chapitre 29 arrivera noramalement dimanche, le 30 mardi, le 31 jeudi et la suprise samedi. Normalement, il se peut qu'il ait un décalage, en fonction de si j'ai le temps de posté. Merci de votre soutient, qui me place #172 , c'est merveilleux. ^-^

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