Never Chance Chapitre 26
Mini-fiction : Never Chance
Chapitre 26
Moi : S’il te plaît pardonne-moi.
Lui : Il n’y a plus rien à faire. Je suis fini, agonisant déjà. Je t’avais dits de ne pas venir....
Moi : J’avais encore des choses à dire.
Lui : Moi non, enfin si mais tu ne m’as écouté et tu as raccrochée au nez.
Moi : Je suis désolée pour ça mais j’ai besoin de dire ce que j’ai à dire.
Lui : Tu aurais du le dire avant.
Il s’avance, j’essaye de le retenir. Je croyais avoir une poigne solide mais elle n’est rien du tout. Je tire un coup fort vers l’arrière pour rapprocher son corps du mien et puis entoure son corps de mes bras, rejoignant mes mains en les serrant.
Lui : Que faits-tu ?
Moi : Je te fais un câlin.
Lui : Depuis quand ?
Moi : Depuis maintenant.
Lui : Tu ne m’aimes pas alors pourquoi tu me retiens.
Moi : C’est là que tu trompes.
Lui : Je me trompe en quoi ?
Moi : Sur mes sentiments.
Lui : Tu m’aimes ?
Moi : Oui...
Un silence sombre et ténébreux s’installe. Je maudis ce silence, je le romps.
Moi : Je t’aime s’il te plaît arrête d’insister comme ça. C’est déjà assez dur de te faire comprendre que ce n’était qu’un jeu. Je m’en veux. Je t’aime oui, je t’aime depuis le tout début et cela n’a jamais changé. Je t’ai menti sur mes sentiments.
Lui : Un jeu ?
Moi : Je voulais te faire souffrir comme moi j’ais souffert quand je t’avais dits que j’étais enceinte.
Lui : Je t’aime
Moi : Moi aussi…
Lui : Je t’aime et tu me détruits. Tu m’aimes et je te détruits. L’amour sous toutes ses facettes.
Moi : Viens avec moi.
Il se retourne face à moi. Il implante ces yeux dans les miens. Je suis submergée par son regard noisette. Je suis paralysée juste à ses yeux. Je ne sais que faire. Je suis immobile, devant lui, transpercée par son regard. Je ne l’entourais plus de mes bras, j’ai peur qu’il ne profite pour se retourner et enfin sauter. Cette peur là au ventre, je le dévisage. Il ne comprend pas ma réaction. Il me dévisage aussi et se retourne avant qu’il ne puisse commencer à courir, je le retiens par les bras. Je l’oblige à se retourner pour me faire face. Je réussies. Il me regarde avec ce regard qui me dévore. Il pourrait me manger des yeux.
Moi : Arrête de me regarder comme ça, je ne suis pas de la nourriture.
Lui : Pourquoi ?
Moi : cela me gêne que tu me regardes comme si tu allais me manger.
Lui : Pourquoi pas ? Tu es si belle, si ravissante même les cheveux en bataille, les yeux fatigués, essoufflée comme tu es, sans maquillage. Tu es si belle au naturel. Tu me manques, tout nos moments me manquent. Serait-on un jour les revivre ?
Moi : Pourquoi n’en réaliserons-nous pas un de tes rêves ?
Lui : Lequel ?
Moi : Celui du pique-nique au bord de cette falaise sous un couché de soleil ou dans une nuit étoilée voir même une pleine lune, en été. Rien que nous deux.
Lui : Tu t’en souviens ?
Moi : Parfaitement, je t’aime.
Lui : C’est ça le problème.
Moi ; Quel problème ?
Lui : Tu m’aimes. Tout aurait été plus facile si tu ne m’aimais pas.
Moi : Au contraire.
Lui : Non. Non, tu ne peux pas m’aimer. Tu ne eux pas après tout ce que je t’ais faits. Tu ne sais pas, tu ne sais plus.
Moi : Pourtant je t’ais faits aussi du mal et tu m’aimes toujours.
Lui : Oui mais moi je suis stupide.
Moi : Ce n’est pas moi qui choisis. Ce sont mes sentiments et je ne les changerais pas pour rien au monde. Si la vie a fait notre rencontre c’est pour qu’on apprenne des choses. Si elle nous a fait nous revoir c’est qu’on devait se revoir. Si elle fait tout pour qu’on soit réunis c’est qu’on doit être ensemble. On ne peut pas défier la vie, c’est la reine, le maître. C’est elle qui contrôle, nous ne sommes que ces pantins amoureux.
Lui : Je voulais vivre avec toi toute ma vie, tout ce qui reste de cette vie. Je croyais que j’allais vivre avec une toi invisible jusqu’à ce que je saute.
Moi : Tu ne sauteras pas. Je ne saluerais pas. On sera ensemble pour le meilleur et pour le pire. Je ne serais pas invisible et tout non plus.
Lui : Tu comptais sauter ?
Moi : Il y a des années, oui. Mais pour toi, je ne l’ais pas faits. Maintenant si tu sautes, je sauterais avec toi. Nous deux contre le monde. Nous deux contre la vie. Nous deux contre la mort.
Lui : Je ne sauterais pas.
Moi : Bonne décision.
Lui : Je t’aime adieux.
Je ne réagissais pas encore jusqu’à ce que je voie qu’il allait partir pour sauter. Il court, je cours avec lui. A la dernière seconde, je le retiens. Main dans la main comme dans le bon vieux temps. Les souvenirs submergent dans ma mémoire. Ils m’envahissent. Les meilleurs me font sourire et les pires me narguent et me font pleurer. De l’extérieur je suis de marbre, tout ces sentiments sont à l’intérieur de moi et dévaste tout sur leur passage, dans mon corps, dans ma tête, dans mon cœur comme une tornade. Je serrai sa peau. Je ne veux pas qu’il parte, je tiens trop à lui pour ça. La mort ne pourra jamais nous séparer mais elle nous détruira. J’ai peur d’elle, je veux maintenant que je l’ais retourné, qu’on ne me le retire pas une seconde fois et cette fois de manière est définitivement.
Moi : Tu ne partiras pas.
Lui : Ce n’est pas à toi de choisir.
Moi : Tu crois que si tu pars, je survivrais longtemps ?
Lui : Tu m’aimes tant que ça.
Moi : Plus que le monde, plus que la la galaxy, plus que les nuages, plus que tout ce qu’il y a sur terre.
Lui : C’est ça le problème. On s’aime mais on ne peut pas vivre ensemble.
Moi : Pourquoi ? Parce que la vie nous sépare à chaque fois ? Nous deux contre elle, on est plus fort. Je t’aime et elle ne pourra jamais rien faire contre moi. Je l’aurais la gripperais dans mes griffes acérées et la percerait si il le fallait. Je suis capable de mourir pour toi mais tu n’as pa l’air d’en avoir conscience.
Lui : Tu n’as pas conscience aussi que c’est la même chose pour moi. Je mourrais pour tes yeux, pour leurs prunelles.
Moi : Alors ne saute pas.
Lui : Je ne vais plus sauter puisque tu m’as prouvé à quel point tu tiens à moi.
Moi : C’est vrai ?
Lui : Oui.
Il se retourne une nouvelle fois vers moi et me fixe avec ses yeux et se regard vous tuant de bonheur en une seconde. J’essaye de fuir son regard mais je imprégné dedans. Je ne sais pas m’en détaché après même pas une seconde de croisement. Je l’aime, je l’avoue pourquoi devrais-je niée encore ?
Lui : Je t’aime.
Moi : Je t’aime aussi.
Le temps s’arrête, cet instant dure une éternité mais j’aurais tellement voulue qu’il dure plus longtemps parce que…
***
Suite à un commentaire et un vote. Merci de toujours lire cette histoire. :) I love you. Vous voulez des nouvelles de ma série avec les 5 Seconds of Summer. Ne vous en faites pas, après les 5SOS, j'en ferais une sur les One Direction. :) Lorsque j'écrirais celle avec les 1D, je vous posterais celle des 5 SOS. Je vou souhaite beaucoup de patiente. Parce que je suis encore loin d'avoir finie avec les 5SOS, j'ai encore deux membres à faire. Patiente, patiente. :)
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