Never Chance Chapitre 24

Mini-fiction : Never Chance

Chapitre 24

Je n’aurais peut-être pas due…

Moi : Allo ?...

? : Tu me réponds enfin !

C’est lui je savais que je n’aurais pas due.

Moi : Désolé si je me reposais. J’ai encore le droit de dormir à ce que je sache.

Lui : Laisse moi parler et ne me coupes pas, d’accord ?

Moi : Oui…

Lui : La première fois que je t’au vu, de loin, tu ressemblais à une princesse. Une princesse perdue, pleine de rêve, embellit d’espoir, chanteuse du bonheur, pleureuse du malheur des autres, chancelante de tristesse, détruite par le monde mais encore asse forte pour tenir debout et garder la tête relevée. Je n’aurais jamais cru que je serais amoureux de cette princesse, sans soulier à talon, sans robe, sans maquillage, juste des baskets, un short, un t-shirt et une chemise. Je te voyais si douce, si fragile, si étincelante. Tu pétillais de bonheur. On aurait pu croire que rien ne pouvait te briser. Tu étais un fil trop fort, trop dur que pour être cassé avec les mains. Tu étais si belle de dos, je n’avais qu’une envie c’était de découvrir ton visage. Plus je me rapprochais de toi, plus mon cœur palpitait. Je ne savais pas comment décrire ce sentiment venant de mon cœur. Tu l’as faits revivre. Tu lui as donné ce qu’il fallait, ce qui lui manquait. Tu étais devenu ma princesse, tu l’es encore, tu le resteras à tout jamais. Ce moment, cet instant restera toujours gravé dans ma mémoire. Ton petit sourire parfait, ta silhouette parfaite. De dos je te voyais déjà reine de ma vie. J’avais enfui pendant longtemps tout se refus qui était en moi. Je te l’avais caché mais en un regard tu l’avais démasqué. J’essayais de m’en éloigner, j’avais peur de souffrir. Princesse de dos, reine de face voilà comment je te voyais. Tout ceci n’a pas changé. J’espérais que tu m’acceptes ce que tu as faits sans problème. Tes yeux admirant chaque recoin de lac sous un coché de soleil représente le paradis pour moi. Tu es mon bonheur, mon sourire. Tu es une partie de moi. Tu es inséré et coincé dans mon cœur. Tu es dans ma peau, dans mon sang, dans mon cerveau. Tu es en moi. Les plus beaux souvenirs de ma vie, ils sont avec toi, tu y es. Je ne sais rien y faire pourtant j’aimerais bien puisque tu ne veux plus de moi. Je vais vers toi mais tu me fais comprendre que ce la ne te va pas. Tu m’aimais mais tout ça c’est du passé. Je sais qu’il faut du temps. Mais je ne saurais jamais tourner la page sachant que ma princesse, la femme de ma vie, la seule, ne veut pas de moi. J’ai eu deux copines après toi, oui je l’avoue mais ce n’était pas comme avec toi. Je regrette maintenant. Tu es différente, tu es la bonne depuis le début. Je n’aurais jamais du t’abandonner. A cause de moi, tu t’es retrouvé affamé, assoiffé, sans toit, sans argent, mourante petit à petit. Je t’ais détruit toi et ta vie aussi. Un prince ne doit pas faire ça à sa princesse. Je ne suis pas digne de toi, je ne l’ais jamais été. Je comprends qu’après tout ça, tu ne veuilles plus de moi, que tu ne m’aimes plus. Cette page est collée, elle est intournable. Je ne sais rien faire sans toi. Je ne suis plus rien. Une princesse sans son prince peut encore aller mais un prince sans sa princesse reste bloqué là où il est. Ne viens pas me chercher s’il te plaît. Je meurs déjà depuis longtemps, je suis achevé. Je vais partir pour un monde meilleur. Je pourrais te surveiller d’en haut et te regarder trouver le bon prince et te pavaner à ses côtés comme une reine sans couronne. Tu n’as pas besoin d’une couronne, ce n’est qu’un artifice. Je fais ça pour moi mais aussi pour toi. Je ne veux plus qu’on me voit détruit. Je vais bien, je te l’assure mais mon cœur lui dit non. Si tu viens me chercher, ne le fais pas, je ne veux pas que tu vois au bord de cette falaise, au bord du précipice. Je sauterais quoi qu’il advienne. Le monde m’a tué, il m’a prit tout ce que j’avais maintenant je n’ai plus rien mais surtout plus d’amour alors je m’enfonce et au dernier moment je sortirais de terre et sautera dans ce vide machiavélique qui me tente depuis des années, m’attirant toujours plus vers lui et maintenant me prenant dans ses bars comme une mère prenant son enfant pour la première fois. Je me précipite dans le vide et pour finir m’écrase sur le sol. Pendant l’espace d’un instant je connaîtrais la liberté et son goût délicieux, je volerais. Je suis finis, il n’y a plus aucun échappatoire. Princesse pour quoi pleures-tu ?

Il a entendu que je pleurais. Je me suis fait avoir. Je croyais qu’il ne m’entendrait pas et je me suis trompée. Je croyais être discrète.

Moi : Je ne pleure pas.

Lui : Si tu pleures, je le sais, je l’entends. Je sais quand la personne que j’aime pleure.

Moi : Et alors ? Qu’est-ce que cela peut te faire que je pleure ?

Lui : Je t’aime voilà ce que cela me fait. Je t’aime et j’ai mal pour toi, ce n’est pas plus compliqué.

Moi : Tu as finis de dire ce que tu voulais me dire ?

Lui : Non.

Moi : Continu.

Lui : Cela ne sert strictement à rien.

Moi : Je sais que cela sert à quelque chose. Tu as besoin de libéré ton cœur alors fait le moi que ce soit avec moi ou avec le vide, que se soit avec ton meilleur ami ou l’air.

Lui : Je sais que j’en ais besoin mais cela ne sert à rien.

Moi : Si, cela te permettra de partir le cœur léger si tu pars.

Lui : Non, je ne veux pas.

Moi : Fais comme tu veux.

Lui : Je voulais te dire adieu.

Moi : Pardonnes-moi.

Lui : Pourquoi ?

Moi : Pardonnes-moi c’est tout.

Lui : Pourquoi je devrais te pardonner ?

Moi : Ecoute ton cœur et tu verras.

Lui : Mais…Je vais te dires.

Moi : Ce que tu ne voulais pas me dire ?

Lui : Oui. Je t’aime et cela depuis le début. Tu es mon soleil dans les nuages gris et le temps orageux, tu es mon arc-en-ciel dans les moments les plus sombres et pâles. Tu es mon ange, mon cœur. Le monde ne pourra jamais arrêter ni contre dire mon amour pour toi. Il est unique, ineffaçable. Jamais quelqu’un ne pourra t’aimer autant que je t’aime mais des millions de personnes en voudront la peine. L’amour est difficile mais ce surtout les personnes qui le sont, tu me l’as tant dit. J’en ais enfin compris la signification. Je t’ai toujours cru parfaite, j’y crois encore malgré que je connais tes défauts. Tu es mon princesse, mon étoile, ma chance. La vie ma donnée la dernière chance d’être à tes côtés et je n’ai pas sue la prendre comme il le fallait. Tu ne peux pas savoir à quel point je m’en veux et que je t’aime mais aussi que tu me manques. Tu ne pourras jamais le savoir parce que je serais partit avant tout ça. Je suis un ange déchu, un démon dans ta vie. Je ne suis pas bon pour toi. Je ne suis pas le bon tout simplement. Je sais que tu es la bonne, la mienne mais je vais laisser la place à un autre homme. Un home qui te méritera, qui saura comment t‘aimer, qui saura te donner tout ce que tu veux, qui sera te combler, qui sera te rendre heureuse, qui ne te fera pas de mal, qui te donnera le sourire, qui te fera rire, qui sera là pour toi à tout instant, qui ne t’abandonnera jamais, qui sera l’élu de ton cœur, qui sera un bon père de famille, qui sera ton homme, qui sera celui qu’il te faut, qui ne sera pas comme moi, qui ne sera pas moi. Je ne suis pas cet homme-là. Je suis un autre qui ne sait pas comment t’aimer. Je sais que je t’aime mais tout est tellement fort que je ne sais plus où donner de la tête. Je ne suis pas le bon sache le. Je ne serais jamais le bon. De toute façon tu ne veux plus de moi. Cet homme qui saura faire de toi une reine, ne te fera jamais du mal, ne te fera jamais souffrir, ne te quittera pour rien au monde, qui ne te feras jamais pleurer. Tu arrêteras de pleurée pour l’homme qui ne t’aime pas, et tu aimeras l’home qui pleures pour toi. Je sais que tu le connaîtras. Tu l’as peut-être même déjà rencontré. J’espère que c’est l’un des garçons parce qu’ils sont bons, je ne crains rien en eux. Ils ne feront même pas de mal à une mouche alors que je te détruits. Je ne sais pas ce que je fais avec eux, je suis différent. Je ne sais pas être avec une fille sans lui faire du mal. Je ne devrais même pas exister pour toute la douleur et la souffrance que je t’ai infligée. Je ne suis pas un humain de faire ça, je suis un monstre. Je suis un monstre de la vie, je ne suis pas comme ceux qu’on croit quand on est enfant, moi je suis un des plus grands. Je suis ce monstre qui t’a détruit. Je suis ce monstre parmi tout les autres que tu as eu le malheur de rencontrer. Je n’aurais jamais du aller vers toi, tu serais heureuse, tu n’aurais pas souffert, tu n’aurais pas connue la pauvreté et encore moins la rue. Je t’aurais sauvé la vie en ne te connaissant pas. Je ne suis qu’une mauvaise rencontre dans ta vie. Oublie-moi comme tu as tournée la page. Je ne veux plus te faire du mal. Je ne veux plus avoir mal. Je me conduits encore comme un lâche en partant la tête baissée et en sautant dans ce vide. Je n’affronte pas la vie droite dans les yeux, je contourne les problèmes. Je n’essaye même pas de vivre réellement sans toi. Je n’en prends pas la peine parce que je sais que je n’y arriverais pas. J’ai déjà vécu 3 ans sans toi, je ne saurais pas faire plus. J’ai tenté d’essayer mais en vain. Je suis toujours revenu à la case départ. Je suis toujours revenu au point de départ. Je ne sais point avancer sans toi mais toi si. Les princesses avancent toujours, la tête haute, le regard fier, l’allure majestueuse, l’air heureuse, les pieds traçant le rêve, l’espoir dans le rictus des lèvres, le bonheur dans les étoiles de tes yeux, le bonheur dans les manies, l’assurance dans ta démarche, la confiance dans ta silhouette. Tu es une princesse, à mes yeux comme aux yeux du monde. Le monde te détruit parce que tu es une princesse et que toute princesse se doit de vivre et d’être forte. Le monde veut te détruire parce que tu es trop forte, pas assez peureuse, trop fière qu’i l échoue à chaque fois. Tu as eu le monde, tu l’as entre tes mains. Tu peux le compresser, le détruire, le brisé mais dedans il y a ton monde. Je suis sûr que tu seras en faire bon usage. Je sais que t’y arrivera seule, tu n’as plus besoin de moi. Je ne sais même pas si un jour tu en as besoin. Je ne suis qu’un incapable, même pas capable de garder et de rendre heureuse la femme qu’il aime. Je ne mériterais même pas de vivre pour tout le mal que je fais autour de moi. Je suis un destructeur. Je suis qu’un misérable. Je devrais être un inconnu dans ta vie. J’aurais du le rester maintenant tu dois me considérer comme. Je vais bientôt sauter, plus le temps passe, plus je me rapproche du rebord, de la dernière limite. Personne ne sait me retenir. Je suis irrécupérable, trop loin sur cette ligne que pour faire demi-tour. Je suis trop loin, trop avancer que pour reculer. C’est injuste, je sais. Mais l’injustice dans ce monde sera toujours présente. J’ai rêvé des millions de fois de mourir pour que ce cauchemar s’arrête, j’allais le faire avant que je croise ta route. Je n’y ais plus jamais pensé parce que tu étais à mes côtés maintenant, tu ne veux plus de moi, je comprends alors plus rien ne me retient sur terre alors je peux m’en allé.

Je ne laissai pas finir que je raccrochai, je n’en pouvais plus de ces mots incessants, se répétant dans ma tête. Je haïs cette chanson de paroles, se rythme frénétique qui me rappelle que chaque seconde compte. Je ne sais plus où donner de la tête pour aller vite. Je vais commencée par m’habillée peut-être.

(Ma tenue : http://www.polyvore.com/tenue_33/set?id=120890629 )

J’avais déjà la plus part des choses sur moi. Je n’avais plus que mon short, mon t-shirt et ma chemise à enfilé. Je pars de chez moi. Je sais déjà où il compte aller. Il n’y a pas vraiment beaucoup d’endroit où il peut aller surtout il n’y a pas beaucoup de monde. Je cours jusqu’à cet endroit comme même loin de chez moi. Il m’avait déjà beaucoup parlé de cet endroit. Il voulait qu’on y aille tout les deux, qu’on regarde le couché de soleil dans les bras l’un de l’autre, qu’on vive. Il était si romantique en disant ça. Je pars vers cet endroit avec l’espoir de ne pas me tromper ou de ne pas arrivée en retard…

***

Suite à un commentaire et un vote. Le chapitre 23 est qui est beaucoup plus court, arrivera demain. Never Chance touche à sa fin, je vais devoir trouver quelque chose pour vous faire patienter, en attendant. Je ne sais vraiment pas comment je vais faire. Donnez-moi des idées, s'il vous plaît. :) En tout, je vous remercie pour tout ce que vous apportez en lisant ma nouvelle. Je vous aime. :)

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