Chapitre 21
Je m'endors, je n'entend plus rien, je suis en plein rêve...
Je suis dans mon lit. Je me lève et sors de chez moi après m'être habillée. Je vais beaucoup mieux. Je me sens si bien, si paisible. Je me sens comme vidée, vidée de tout problème. Je n'ai plus aucun poid sur les épaules. Je suis libre tel un oiseau dans un ciel bleu avec peu de nuage, du vent fraît et un soleil pas trop chaud. Je sors de chez moi et me dirige vers une prairie. De l'herbe haute au début et puis du blé. C'est si magnifique, si calme. C'est la nature pure sans pollution ou autre. Je m'y sens si bien comme plongée dans une marre de bonheur la tête la première. Je ne ressens aucnu douleur. Je suis si bien comme dans ses bras. Je suis vêtue d'une robe qui arrive un peu au dessus de mes genoux et une chemise en jean avec des ballerines. Ma robe est bleue en bas et au dessus au niveau de ma poitrine jusqu'à mon nombril c'est serrant et blanc avec des oiseaux noirs. Le bas bleu est ample et volant. J'adore. Mes cheveux sont lâchés et volent avec le vent, cela fait tant du bien. Je le vois de l'autre côté de la prairie s'avançant vers moi, je fais de même. Arrivé à sa hauteur, nous mettons face l'un à l'autre et nous nous prenons par les mains. Une dans chaque main. Nous sommes proches mais pas collés. C'est si bien, je me noies dans ses yeux noisettes. Je me sens volée comme un papillon. Des papillons nous entourants volants dans tout les sens continuent leurs chemins. Certains restent plus longtemps et d'autre moins longtemps. C'est beau que j'en pleurais. Des papillons partout dans l'espace mais aussi dans mon ventre. Une explosion de papillons à pris possession de mon estomac. Je me sens partir vers le paradis mais un paradis réel pas celui de la mort. Un paradis qui existerait et serai sautour de nous et non après la mort? Je ne savais pas qu'il existait. Je viens d'en apprendre l'existence. C'est si fabuleux, je suis comme sur un nuage. Je me retourne toujours sa main gauche dans ma main droite et marches. Il me suit et reste à ma hauteur puis on commence à courir. C'ets si bien et majestueux. Après ça il me pousse, je tombe de rire et il se met sur moi. On rigole tout les deux comme des enfants. Son rire qui m'avait tant manquer se répète dans mon crâne le libérant d'une quelconque mauvaise pensée et le bénissant de joie et d'amour. Il me tend sa main et m'aide à me relever. Debout je frotte un peu le bas de robe pour la remettre correctement. J'ai à peine le temps de terminer qu'il me prend en sac à patate. Je lui donnes des petits coups dans son dos pour qu'il me lâche mais c'est plus pour rire qu'autre chose. Il me dépose au sol. Je le regarde dans les yeux. Des étoiles brillent dans mes yeux, c'est magique. Il me prend par les hanches et me fait tourner dans les airs. Les jambes pliés, les talons au niveau des fesses je profites de cet instant. Un sourire plaqué sur mes lèvres comme sur les siennes, ce moment restera gravé dans ma mémoire. Il me redépose sur le sol et me colle à lui pour un câlin. Il m'entoure de ses bars musclés et protecteur et moi de mon côté je mets mes mains contre son torse et ma tête au dessus. Ma joue contre ses pectoraux, je me sens comme une étoile dans la nuit, étincellante, important, magnifique, belle, bien surtout bien. Je me sens importante à ses yeux. Il me lâche et me prend la main. Il se met dos à moi et me montre que je peux aller sur son dos. Je cours un peu et saute sur son dos. On rit comme des enfants. Un manque qui c'était installer en moi et qui me rongeait est partit. Il court et fait exprès de tomber. On se retrouve tout les deux au sol. Je me relève et me mets à califourchon sur lui. Je prends ses mains dans les miennes et entrelasses nos doigts. Il se relève et peu et s'installe sur ces coudes ce qui fait que je me rapproche de lui. Les mains posés au sol, je fermes les yeux. J'inspire de cet air parfait. L'odeur de la nature, du mélange de l'odeur des fleurs, celui du blé, de l'herbe fraîche est si bon. Je le cherches. Il me cherche. On se cherche. On résiste à sauté au lèvres de l'autre. Nos coeur comme scellés, liés battent comme jamais. Des frissons me parcourant. Nous allions s'embrasser quand...

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Suite, chapitre 22 à un commentaire et un vote, à partir de demain. Autrement dit, si demain, il y a un commentaire et un vote, je posterais le chapitre 22. Merci en tout cas, pour tout, et surtout de continuer à lire cette histoire, courte, dont certains qualifirais de pas si courte. :)