Never Chance chapitre 2
Mini-fiction: Never chance
Chapitre 2
Je suis avide de changement. Je suis curieuse de découverte. Mon rêve d'enfant étant de parcourir le monde dans ses moindres recoins, chaque centimètres avec l'homme de ma vie, avec mon prince. Ce rêve ne se réalisera jamais. Il faudrait déjà que j'ai un prince. J'en avais un, j'ai crue que c'était le bon mais ça ne l'était pas. J'ai peur de me lancée dans une relation surtout dans mon cas assez complexe. Je n'ai pas d'argent, pas de maison, pas de nourriture même pas de quoi boire ne serais-ce qu'une gorgée. Je ne suis pas prête de toute façon. J'ai encore dans ma tête mon ex petit-ami. Je ne l'oublierais jamais, je pense mais il faudra bien que je tournes la page. Il faudra que je la tournes une bonne fois pour toute, pas un oui et non, un oui c'est tourné. Il faudra que je tournes cette page inbougeable. Je ne peux pas pour l'instant c'est lui qui m'a mit dans cette merde et tant que je serais dedans je ne pourrais pas tournée la page et encore moins l'oublié. J'étais inbrisable, je suis plus que brisé maintenant. je n'ai jamais eue de chance. La seule que j'ai eue était mon ex, cette chance m'a été volé. Il n'a pas assumé ces responsabilités. Il est partis plus vite qu'il n'est arrivé. Je le maudirais à jamais. Je ne sais pas si un jour je lui pardonnerais. Je n'ai jamais eue de retour, je ne vais allée vers lui. Il m'a fait du mal, m'a blessé, m'a salit, je ne lui adresserais plus jamais la parole sauf si c'est pour tout lui remettre dans la figure. Il m'a eue, il m'a delaissée, il ne m'aura pas une seconde fois. Le panneau et la bourasque de douleur, je me la suis prise une fois, je ne vais pas me la reprendre une nouvelle fois. C'est du passé. Je ne vais pas prendre ma vengeance, la roue finie toujours par tournée. Un jour, je l'aurais. Un jour, il aura autant mal que moi. Un jour, il s'aura l'erreur qu'il a faite mais ce sera trop tard. Je serais ou bien aux cieux ou bien la page sera tournée et je serais enfin heureuse et sans lui. Je sais être heureuse sans lui. Je l'ai été pendant 13 ans de ma vie, je peux bien l'être encore pendant 13 ans aussi. Je l'ai faits une fois, une deuxième ne ferais pas de mal. Je ne peux pas comptée ces dernières années dans la rue, je n'étais pas heureuse, je ne suis pas heureuse et je ne suis pas encore prête à l'être. La vie ne m'a rien accordée. Il m'a donné un toit, une famille, de quoi vivre, de quoi me nourir et boire, de quoi sourire et rire mais il m'a arraché tout ça en l'espace d'une journée. La pire de ma vie. Je m'en rappelerais toute ma vie jusqu'à la dernière seconde de mon passage sur terre. Je me lèvre, m'assoies sur mon pseudo matelas qui n'est qu'un vulgaire carton trempé par la pluie et le sol humide quand il a plut. Londres n'est pas l'endroit où il pleut le plus au monde mais il fait assez pleuvieux. Je remballes mes affaires c'est à dire un carton trempé, une couveture humide, un chapeau, ma guitare avec dans une poche tout mon argent. Je n'ai rien d'autre. Je n'ais plus de portable, plus d'ordinateur. Je n'ai plus que ça. Tout ce que j'avais, je l'ai revendue pour m'achetée à mangé. Les premiers jours fut horrible mais pour finir je m'y suis habituée, la rue est ma nouvelle maison et elle au moins elle m'a acceptée. Elle n'avait pas trop le choix non plus mais bon. J'ai vécue toutes sortes de galères de m'en suis toujours sorties, je ne comprends pas les personnes qui se plaignent pour moins que ça. Avant j'étais comme eux mais en vivant des galères sur galères, j'ai appris qu'il y aura toujours pire et que tout ce que tu as c'est une vrai chance que la vie t'a donnée qu'elle peut reprendre quand elle le veut. Je me finies de remballé mes affaires avec ses mots prononcés de ma bouche.
Moi: Tu ne seras jamais à quel point la vie peut tout te prendre, peut otu t'arraché jusqu'au jour où tu te retrouves sans plus rien. Tout ce se passe si vite, tu n'as pas le temps de réagir que la vie ne rime plus qu'avec cauchemar. Un cauchemar infini auquel on ne voit pas de fin, dont on n'a même pas vu le commencement. Le cauchemar se finira que le jour où la mort sera là. Le cauchemar continuera dans ta tête comme une chanson en boucle. Tu t'en rappeleras juqu'au moment où tu ne seras plus là pour t'en souvenir. Un mauvais souvenir sous longue durée. Un mauvais souvenir dont ta mémoire fera la chienne de te le rapellé toute les deux secondes.
Je marches vers un nouveau endroit. J'en trouve un après une heure et demi de route. Je penses que je ne vais restée à Londres plus longtemps et reprendre la route vers peut être Oxford ou Bradford. Je vais changée d'endroit en tout cas. Londres n'a plus la même magie qu'avant. Je n'en ai pas beaucoup profitée non plus, je suis une SDF, je ne sais pas tout visité et encore moins ce qui est payant. Je suis fauchée, je n'ai pas peur de le dire parce que cela se voit mais j'en ai honte. J'ai honte de ce qui m'a conduit à faire la manche et parcourir l'Angleterre pour vivre. Je dois faire avec l'argent que j'ai. Je dois me recrée. Je dois me reconstruire. Je dois redevenir moi. Je dois m'enssortir. Je dois trouvée un travail même si comme je suis à la rue, ils vont rien me donnée. Comme quoi le mond est impitoyable avec les personnes ayant fait une bêtise. J'ai été mise à la rue par mes parents, mon ex n'a pas assumé le fait qu'il soit père et m'a laissé tombée, j'ai avortée de surement le seul enfant que je pourrais avoir, je n'ai pas pues continuée mes études alors que je voulais, j'aurais voulue être chanteuse mais mes études c'est dans la chirgugie que je voulais les faire. Je voulais être chanteuse ou chirgugienne. Aucun des deux ne se réalisera jamais. J'ai perdue l'espoir de ces rêves-là et de tout les autres pour me concentrée sur celui de sortir de la rue et de vivre comme je le veux sans plus cette merde de marché, de ne pas avoir de chauffage. C'est dans ces moments-là que la neige de l'enfance perd tout son sens. Tout les bonhomes de neige que j'ai fait me manque. C'était la belle époque. Cette époque me manque. Celle où quand on faisait une bêtise on avait une petite tape sur les fesses pas ce faire éjecttée de la maison. Celle où n'importe quoi pouvait nous amusé. Celle quand l'hiver venait avec la neige les battailles de boules de neiges, les bonshomes de neiges et autre était parfait. Maintenant je désteste la neige, le forid et la glace. Je dors dehors, il n'y a pas de chauffage. Je ne m'incustre pas chez les autres pour mangé ou me rechauffé. Je suis plutôt à marché dans les rues, les soirs de Noël et voir des familles mangées en ensemble, très conviviablement. Ils mangent de la dinde, des bûches de Noël, des biscuits en formes de sapin. Ils déballent les cadeaux sous le sapin. Je n'aurais plus jamais l'occasion de vivre ça ne famille. La mienne m'a délaissée. Je ne pouvais même pas allée chez une tante ou un oncle voir même mes grands-parents parce que mes parents auront su et diront au reste de ma famille, ils ordonneront de m'éjecté de chez ces personnes. Mes parents dès qu'ils ont une idée en tête, rien ne peut les contre-dire ou les faire changé d'avis. Si ils ont décidés que je dois me débrouillée toute seule même si je fais la rue, je dois me débrouillée toute seule et assumée sans personne pour me venir en aide. Je suis dans la haine, dans la rage, dans la colère mais avec un petit peu d'amour envers mes parents. Même si pour ce qu'ils ont fait, je les déteste, je les aime quand même au plus profond de moi. Avec la nostalgie du bon temps de l'enfance, époque d'ignorence et de naïveté, je m'assoies à mon nouvel endroit. Je sors ma guitare, l'accorde pour être sûre qu'elle le soit et chante une nouvelle chanson. Je chantes toujours des chansons avec une signification pour moi, celle-ci c'est pour mon enfance. Mon enfance si lointaine qui me manque tant. Si je pouvais retournée dans ce temps-là, refaire ma vie, je la referais en passant l'étape "enceinte d'un abruti qui n'assume pas ses actes". Je ne sais pas si je vais savoir tournée la page entièrement mais j'y arriverais même si je mourirais dans la seconde d'après, je me batterais jusqu'au bout. Je sècherais chaque larme qui couleront sur mes joues. Je sourirais dès que je pourrais sans avoir l'air d'une hypocrite. Je vais rire comme si ma vie en dépandant quand je serais prête. Le temps d'une seconde, je renfoules tout mes problèmes dans un coin sombre de ma tête. Plus rien ne peut me stoppée. Je chantes de bon coeur. Je chantes pour moi. Je chantes pour me libérée. Avant j'écrivais mais comme je n'ai plus rien pour écrire, je chantes et je joues de la guitare. Cette guitare je l'ai eue par mes grands-parents lorsque j'avais 7 ans. Ils m'ont appris à en joué sous le regard admiratif de mes parents qui étaient étonnés que j'apprennes si vite. Je suis une tête ce que les autres appelle "intello". Ils n'ont jamais trouvés mieux. Ils sont tous des gamins. J'entends une vois, je le reconnais entre toute. Je manque de faire un faux accord sur ma guitare. Je manque de faire une fausse note. Je me retiens. Je ne dois pas montrée que cela me fait quelque chose. C'est la voix de...
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