Chapitre 19

J'ouvre et vois que c'est...lui. Je refermes directement la porte, je ne vois pas qu'il me voit comme ça même si dans le temps il m'a déjà vu malade. Il resonne et je n'ouvres pas. Il toque, je ne réagis toujours pas, la tête ailleurs et qui tourne. Je sens que quelque chose remonte d'un coup. J'amène le seau à ma bouche et vomis dedans. Il sonne et après mettre essuiée la bouche avec un essuie-tout et d'avoir jetter le papier dans la poubelle je vais lui ouvrir. Il me regarde avec incompréhension. Je lui montre le seau et il comprend tout de suite. Je ne suis pas très belle à voir. Mon visage rayonnant avant d'arriver chez moi est devenu maussade et en état de décomposition. Mes cheveux ont perdus de leur naturalité, de leur beauté. Ils n'ont plus de volume et sont légèrement ébourrifés. Je le laisse entrer. je referme la porte derrière lui. Je marches comme un zombie. Je n'ai plus aucun réflex. Je suis vide, je suis pas du tout joyeuse. Je suis malade. Je m'assoies sur le canapé. Je ne suis pas d'humeur ni en état à me disputé ou à lui résisté ou n'importe quelle chose ayant un rapport même étroit avec lui. Je ne lui ais même pas adresser un mot, un son juste un geste montrant le seau et c'est tout. Il s'assoit à côté de moi après quelques minutes surement à se demander quoi faire. Je ne portes pas d'attention sur lui, je me concentres sur la télévision. Je le sens se rapprocher. Je reste en petite boule, renfermée sur moi-même. Je suis malade c'est pour ça que je le laisse faire. En tant normale il n'aurait même pas put franchir le palier de la porte, il serait rester en plan devant cette porte. Il ne fait presque que me regarder cela me pertube un peu mais n'en laisse pas paraître. Je suis trop fatiguée, trop malade que pour l'envoyer bouler mais pas assez que pour laisser paraître mes sentiments ou de craquer. Je suis plus forte que ça. Mon coeur et mon cerveau sont plus forts que ça. Je gagnerais. C'est un jeu, où chacun se brûle mais à la fin ne tombe pas dans le vide mais sur un nuage. Je ne lui en voudrais pas de m'envoyer bouler après mais cela m'étonnerais qu'il me fasse ça puisqu'il me supplie presque à genoux pour que je lui accorde ne serais-ce qu'un regard ou un minimum d'attention. Je souris intérieurement à tout ça. Il s'approche un peu plus de moi. Je le stoppe quand même dans son élan.

Moi: Même si je suis malade, je ne suis pas conne non plus alors tu t'éloignes ou sinon même malade je sais t'étrangler.

Il s'éloigne de l'autre côté du canapé. Je lui ais faits peur. Je penses qu'il sait que maintenant j'en suis capable. Le faire tourner en rond c'est ce que je préfères dans cette histoire. Je l'aurais, je l'aurais, je l'ais maintenant. Nous restons en silence. Je me retiens d'allée dans ses bras. Quand nous étions ensemble il y a 3ans, quand l'un de nous était malade on allait dans les bras de l'autre. J'étais si bien aussi bien que je l'étais il y a deux ou trois semaines. Je finies par m'endormir devant la télévision.

Je me réveille dans mon lit, sous ma couverture avec le seau à côté de celui-ci. Je regardes mon cellulaire et j'ai un message de Simon.

De: Simon

A: Moi

Tu ne travailles pas aujourd'hui. Il m'a prévenu que tu étais malade. Remets-toi bien et reviens en pleine forme.

Je ne comprenais pas trop puis les souvenirs de la veille me sont revenus en tête comme un boulet de cannon et au passage me martirise le cerveau. Je vomis une fois dans le cerveau et puis pars le laver. Je cherches dans tout l'appartement la présence de quelqu'un. Il y a personne. Je ne vais pas cherchée plus longtemps, il est partit. Je mange une biscotte et retourne dans ma chambre me lavée. Une bone douche chaude qui me fait tant de bien. Je sors et m'habille. Je ne prends pas la peine de séchée mes cheveux puisque je les noues en couette parce que comme je suis toujours aussi mal, il vaut mieux qu'ils soient noués.

(Ma tenue: http://www.polyvore.com/tenue_28/set?id=120652040 )

Je sors de la salle de bain et me pose sur le rebord de ma fenêtre que j'ouvre. J'ai besoin de prendre de l'air. Je m'assoies très vite parce de peu j'allais tombée. Je ne tiens même plus sur mes jambes. Je respires beaucoup. J'inspire le plus d'oxygène possible. Je vais bientôt tombée dans les vapes si cela continue. Je quittes la fenêtre. Je ne sais pas trop quoi faire. Je cours vite au toilette et tout resors dedans. Je me nettoies à l'évier. Je pose mes mains sur le rebord et inspire la bouche grande ouverte. Je lève la tête pour me regarder dans le miroir. Je ne suis pas du tout belle à voir. Un désastre de la nature. Un déchet même. Je le vois, je crois le voir...

***

Suite à un commentaire et un vote, désoler pour les fautes d'orthographe. Après Never Chance, il y aura une autre mini-fiction, un peu plus courte, histoire de vous faire patienter avant les séries. :)