Never Chance chapitre 13
Chapitre 13
Pourquoi tout simplement? C'est lui, celui qui m'as détruit qui m'ouvre maintenant cette porte. J'aimerais faire demi-tour, j'essaye mais il me retient. Il pousse à l'intérieur discrètement et me suit. Il est derrière moi, je suis obligée d'avancée. Je prends ma commande mais il m'arrête et demande une commende pour nous deux et compte payer. Je ne veux pas, je n'ai pas besoin de lui, de son argent, de sa gentilesse ou de quoi que se soit venant de lui. J'ai juste besoin d'aide, celle que m'apporter Simon me convient parfaitement, je ne pouvais pas refuser non plus. Je partais mais encore une fois il me retient mais avec plus de force cette fois-ci. Il prend tout et paye. Il me fait signe de la tête de sortir. Je sors avec lui sur mes talons. Je ne peux pas courir, il me rattrapra à cause de mes épaules douloureuses par sa faute. J'ai un but, le détruire. Ce n'est pas le plus beau but dans la vie qu'on peut avoir mais après tout c'est justifier. J'ai bien le droit à un petit retour de souffrance. Il vivait sa vie tout tranquille pendant que je ramais dans l'océan de la vie, dans l'océan de la solitude, dans l'océan de la souffrance, dans l'océan de l'abandon, dans l'océan de la trahison. J'y baignais avant que l'on me tende la main pour me sortir de l'eau parce que ma braque c'est renversée, pour me sortir avant que les requins ne me mangent, pour me retirer de la mer avant que je m'étouffe. Il n'a rien fait pour me sortir pourtant c'est lui que j'ai vus dans la rue. Je suis sûre que c'est lui. Il ne m'a même pas donner un cent ou plus, rien, il est partit sans rien dire, sans rien donner, sans rien faire, il partir comme un voleur, il partit comme la fois où je lui ais dits que j'étais enceinte de lui sans l'appel totalement faux, il partit me laissant seule dans ma solitude, me laissant seule contre la vie, contre le monde. Avant c'était toi et moi contre le monde, c'était un monde beau plein de rêve. Puis se fut moi contre le monde, un monde moche sans espoir, sans rêve, un monde de solitude, de désastre, de larme, d'étouffement, de maltraitance, de course, un monde sans étoile, sans soleil, sans lune, sans lumière juste une ciel noir, sombre et orageux. Il est encore sur mes talons. Il me suit de près même de très près, trop près. On passe devant une ruelle et me pousse dedans. Personne ne nous a vus, personne ne nous verra jamais. Une ruelle à sens unique, sans issue pour courir. Je ne sais pas escaladée, espoir perdu à nouveau. Un monde sans image, fait que d'identique, de rejet, de pulsasion meurtrière et de mensonge. Au milieu de ruelle, je regarde tout autour de moi. Il vient se positioné dans mon dos. Sa respiration dans ma nuque, me chatouille un peu. Je ne le montres pas et continue mes observations. Il met ses mains sur mes hanches. Je n'ai pas la tête à me battre avec lui. Je n'en ai pas la force ni le courage. Il connait mon point faible et sait où j'ai mal, où il m'a fait du mal. Il s'approche de mon oreille et y chuchote.
Lui: Tu as cachée le suçon que je t'ai faits? Dommage, j'aurais bien aimé le voir...
Ces mots me font frissoner. Je n'ai pas envie de lui répondre. Il déplace mes cheveux pour qu'ils soient tous d'un seul côté de mon visage. Il me fait un bisous dans le coup ce qui me procure une explosion de papillons à l'intérieur de mon ventre. Il pose sa tête sur mon épaule. Un petit bourdonne de douleur se produit dans mon épaule, mes muscles se tendent et un petit gémissement de douleur sort de ma bouche. Il retire tout de suite sa tête.
Lui: Qui y a-t-il? Je t'ai fais mal?
Moi: Oui. Hier, mes épaules sont mauves par ta faute.
Lui: Désolé...
Moi: Tu as l'air sincérement désolé.
Mon ton était ironique.
Lui: Tu ne me crois pas?
Moi: Comment pourrais-je te croire alors que tu me fais que du mal?
Lui: Tu ne fais donc plus confiance? Plus autant qu'avant?
Moi: Plus autant du tout. Je ne te crois plus. Je ne crois plus aucun de tes mots. Je ne crois plus en rien juste sortir dans cette merde dans laquelle de tu m'avais fourrée. Je vais t'avouée que je suis un peu perdue.
Lui: Je peux t'aider...
Moi: Tu ne fais qu'empirer les choses.
Lui: Je te fais mal c'est ça?
Moi: Beaucoup de mal...
Une larme s'échappant de mon oeil droit, je l'essuye imédiatement.
Lui: Tu ne penses plus à tout nos moments de bonheur? Tu as oubliée tout nos petits bisous, tous nos câlins, toutes nos photos, tous nos délires, tous nos rires, tous nos sourires, tous nos souvenirs, toutes nos larmes essuyées, toutes nos disputes se terminant en bagarre enfantine et puis en câlin, toutes nos courses dans les champs pour finir par tomber sur le sol loi sur moi, toutes nos danses sous la pluie, tous nos bisous volés, tous nos longs bisous, notre première fois, tout, tu as tout oubliée?
Moi: Je n'ai rien oubliée...
Lui: Qu'est-ce qui te retiens alors?
Moi: OUblie, tu ne comprendrais pas.
Lui: Je t'ai toujours compris à ce que je saches.
Moi: J'ai changée, tu ne comprendrais pas, tu ne me comprends plus depuis longtemps. 3 ans que tu ne peux plus me comprendre.
Lui: Au fond tu es toujours la même. Ce n'est qu'une image. Je peux toujours te comprendre. Je sais que cela fait plus de 3 ans que je t'ai lachée. Ces 3 années ont été dures, sans les fans et les gas, je ne sais pas si je serais encore là. Sans toi ma vie ne rime plus à rien. J'en ai pris conscience qu'en te revoyant chanter dans la ruelle. Je croyais que ce n'était pas toi. Je m'en étais persuadé jusqu'au moment où je t'ai vu côté de Simon avec les mêmes vêtements, la même personne. Ces 3 années, je n'ai fais que pensé à toi, a me demandé si tu vas bien, si tu vis encore chez toi, si tu as changé physiquement, si tu as gardée notre enfant, si tu as un travail, une maison, un homme et autre. Je me suis toujours posé beaucoup de questions. J'essayais de voir toujours le plus beau pour toi avec l'espoir que se soit la réalité.
Moi: Ce n'était pas la réalité. La réalité c'était la rue, les rats, les pédophiles, les drogués, les alcooliques, les autre SDF, les personnes bourrés et malfaisants qui sortent de soirée et qu'il faut évité, la solitude, la rancune, la rage, la colère, la déception, les rancoeurs, la souffrance, l'abandon, le dégoût. Je vivais avec tellement de choses, de sentiments en moi avec une grosse masse de questions pour rajouter une couche avec aussi la peur. Je vivais dans une peur constante. Une peur inodorante. Une peur que je cachais, une peur non visible sur mon visage mais visible à travers mon coeur à qui voulait le voir.
Lui: Je suis désolé, je ne sais pas comment me faire pardonner.
Moi: Te faire pardonner ne servira à rien. Je t'en voudrais toute ma vie et même encore après. J'aurais jamais voulue te connaître.
Le silence, un silence total, vide. On entend que nos respirations et le bruit de la rue et des voitures.
Lui: J'aurais voulu...
Ces mots m'ont transperçés le coeur, le laissant en miette.
Moi: Pourquoi? Pourquoi moi? Pourquoi toi? Pourquoi nous?
Lui: Pourquoi? Je ne sais pas mais je sais une chose c'est que je t'aime et ce depuis le début, le tout début, depuis le jour où je t'ai vu. Pourquoi toi? Je ne sais pas c'est mon coeur qui sait qui est la bonne personne pour moi, c'est mon coeur qui choisi l'élue et c'est toi qu'il a choisit. Pourquoi moi? Peut-être parce nos coeurs se sont choisits mutuellement. Pourquoi nous? C'est pour prouvé au monde que l'amour est plus fort que tout. Pour montrer que nous pouvons tenir le coup.
Moi: Arrêtes...
Lui: Arrêter quoi?
Moi: Arrêtes avec tes mots. Tu ne vois pas que mon coeur est déjà assez âbimé comme ça.
Lui: Ne m'en veux plus. C'est à toi d'arrêter. Tu nous détruits tout les deux à ne pas vouloir me pardonner, à ne pas me donner une seconde chance, à faire la tête de mûle. Tu nous détruits comme je nous ais détruit dans le passé. Je t'en supplie. Je ne peux plus vivre sans toi. Je ne sais plus. Reviens vers moi et ce jusqu'à la fin, jusqu'à la mort.
Il est tombé dans mon piège mais mon coeur en a pris un coup. Je me noies dans mes larmes invisibles, dans les larmes de mon coeur. Je me noies intérieurement. Il est au bord du gouffre. Je vais en finir pour de bon même si je n'ais plus d'ailes. J'y arriverais.
Moi: Tu l'as bien faits pendant 3 ans, tu sais le faire 3 ans de plus.
Lui: Plus maintenant que je t'ai revus. Je ne lacherais plus jamais.
Moi: Je sais vivre sans toi. Je suis perdue et me sauverais toute seule. Je n'ai pas besoin de ton aide, je n'ai besoin de l'aide de personne. Je n'ai besoin de rien. Je n'ai besoin de personne. Je n'ai pas besoin de toi.
Je sens de l'humidité sur mes épaules. Il pleure. J'ai réussies à le faire pleuré. Je me sens un peu sale mais c'est tout ce qu'il mérite. Je viens de l'achevé.
Lui: Il n'y aura donc plus jamais de "nous"?
Moi: Plus jamais, j'ai tournée la page, tu devrais faire de même.
J'avais dits ça à contre-coeur. Je dois jouée mon rôle jusqu'au bout. Il me retourne brusquement, tellement que je manques de tombée.
Lui: Dis le moi dans les yeux.
Moi: Il n'y aura plus de nous, plus jamais. Je ne veux plus de toi, je n'ai plus besoin de toi. Tu es du passé. Tu n'es plus dans mon coeur. Je ne t'aime plus.
Les larmes coulaient, à l'intérieur de mon être. Mon coeur saigne et pleure. Mon coeur âbimé, déchiré, détruit, souffrant, fébrile, fissuré, écorché, aplatit, écrasé, suppliant, rejetté, explosé, anéanti, exterminé, supprimé, pulvérisé, décapité, démentelé, atomisé, cassé, abattu, démoli, dévasté, déraciné, ébranlé, éléminé, réduit, ravagé, pourrit, nuisant, désintégré, consumé, fracassé. Mon coeur, je me demandes si il bat encore et si oui comment il fait. Mon coeur qui malgré tout est encore en vie, me matient en vie, bat encore. Mon coeur qui vécue beaucoup d'émotions et autres, j'en suis fière qu'il continu de battre. J'avais dis tout ça avec tellement de hargne, de rage, de colère, de tristesse. Je n'étais plus moi, je me dégoûte. Je ne pensais pas que j'étais capable de dire ça. Je ne me reconnais plus. J'aimerais tellement pour ravalée mes mots mais maintenant qu'ils sont dits on ne peux pas faire demi-tour. Ce qui est dit est dit, ce qui est fait est fait, ce qui est pensé est pensé, il n'y a pas de retour en arrière. Il me regarde dévasté par mes mots. Des larmes coulent sur ses joues. Je me sens si mal de lui mentir. J'aimerais le serré dans mes bras mais après ce que je viens de dire il voudrait mieux pas. Je reste là les bras ballants à le regardé mourir à petit feux, à pleuré, à se détruire de l'intérieur, à se faire du mal intérieurement. Je ne sais rien faire. Il s'avance vers moi toujours les larmes dégoulinants une à une sur ses joues meurtrient par les larmes, je recules pour me retourvé appuyée contre le mur. C'est sans issue, il bloque la seule sortie. J'aimerais tant m'échappée, fuire comme lui il y a des années. Je suis comme lui dans le fon une fuyard. Je fuis mes sentiments pour le faire souffrir. Je les nies alors qu'ils sont plus que visibles, enfin je crois. Je ne suis pas discrète à ce niveau-là je crois.
Lui: Rendits le moi.
Moi: Non, ça te fais du mal...
Lui: Je m'en fous d'avoir mal à cause de toi.
Moi: Je ne te le dirais pas de nouveau.
Lui: Je te demandes que ça pour être sûr et certain.
Moi: Non, je ne veux pas.
Lui: S'il te plaît...
Moi: Non. C'est déjà assez dur de te voir pleuré...
Lui: Comme ça je serais fixé...
Moi: Non, je ne te dirais rien de plus. Je sais ce que tu serais capable de faire. Je sais que tu seras comme moi, tu voudras mettre fin à tes jours. Tu seras comme moi au bord du gouffre. Ne fais rien.
Lui: Promets-moi qu'un jour on se reverra...
Moi: Je te le promets.
Il m'entoure de ses bras dont ses mains arrivent dans mon dos. Il m'enbrasse fougeusement. Il m'enbrasse comme il ne l'a jamais fait. Je le suis dans se baiser tant désiré par mes lèvres. Je quitte mon rôle pour me fondre dans se baiser. Je mets mes mains autour de son coup. Ce baiser est le plus beau de ma vie. Ce baiser me rend heureuse. Je n'ai jamais été aussi heureuse de toute ma vie. Je me sens immortelle, vivre pour l'eternité à ses côtés. En manque d'air, on romp le baiser. Mes joues rosies par le baiser virent légèrement au rouge quand ces yeux se posent sur mon visage. Un sourire sur ces lèvres, le plus beau cadeau qu'on vient de me faire de la journée. Je ne vais pas savoir continuée mon rôle longtemps.
Lui: C'était le dernier...
Moi: Peut-être pas...
Lui: Pourquoi?
Je pensais ça dans ma tête et ne m'étais pas rendue compte que je l'avais dits tout haut.
Moi: Je ne sais pas.
Lui: Je t'aime.
Je dois résitée. Je dois tenir le coup. Je dois réussir. Je dois retenir. Voyant que je ne répondais pas, il repart dans la direction opposé à moi, il sort de la ruelle par la seule sortie. Le sac venant du café à mes pieds, je le ramasse et pars jusqu'au studio. Personne n'a vu ce qui c'est passé. Personne n'a rien entendu. Personne ne sait. C'est mieux, je n'ai pas envie d'essayée d'expliquée. Je ne sais pas de toute façon. J'entre dans le studio et arrive dans la salle d'enregistrement. Je mange enfin. Il n'aura rien mangé. Je m'en veux un peu mais je ne sais pas où il est pour lui donner. Je ne vais pas demandée à Simon de lui donner ou sinon il va savoir ou se douté de quelque chose et je ne veux qu'il y ait aucun soupçon sur quoi que se soit entre lui et moi, entre le retour de notre couple que je désires plus que tout au monde.
Simon: Je l'ais vu en pleure, tu sais pourquoi?
Moi: Qui?
Simon: Tu m'as compris.
Moi: Non, je ne sais pas.
Encore un mensonge sortant de ma bouche, je ne fais que ça en ce moment.
Simon: D'accord. On termine d'enregistrer la chanson d'hier, on enregistre la première que tu as écrites aujourd'hui et on aura finit. Demain prend une tenue de sport avec toi, tu devras apprendre une danse pour le clip qu'on commencera à tourner demain.
Moi: Aucun problème.
Je me mets au travail. La journée terminée, la voix complétement fatiguée, je retournes chez moi. J'entre chez moi. Je mange ce qu'il devait manger à midi et puis me mets en pyjama. Je mets ma crème, enlève le fond de teint et pars me couchée, demain j'ai une dure journée qui m'attend et aussi les prochains jours. J'ai intêret à bien dormir.
*Ellipse de plusieurs jours*
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Qui pensez-vous être "il"? La suite à un commentaire et un vote. :)
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