Never Chance chapitre 10

Mini-fiction: Never chance

Chapitre 10

J'allais renfermée la porte de chez moi quand...une personne pousse la porte, entre et la referme derrière lui. C'est un homme, je prends peur et reste paralysée. L'individu s'approche de moi, je reste toujours aussi stoïque. L'homme juste devant moi, avec quelques millimètres pour nous séparer, me regarde de haut parce qu'il est un p...eu plus grand que moi. Je reconnais son odeur, je la reconnaitrais entre mille. C'est lui. Il m'a suivit juste qu'ici. Je ne croyais pas qu'il en serait capable. Je ne croyais pas ça de lui. Je pose mes mains sur son torse. Il met les siennes sur mes hanches. Je recourbe légèrement ma tête et il pose son menton sur le dessus de mon crâne. C'est mignon comme image, j'aimerais bien prendre une photo mais on est dans le noir et je dois jouée un rôle, je dois être dans le jeu et non dans l'amour. Je l'aurais, il perdra et je gagnerais. Je m'en faits la promesse. Je ne brise pas mes promesses. Je les tiens surtout celle que je me faits. Je restes dans ses bras. Je ne vais pas me laissée faire non plus. Ce n'est qu'un jeu où les sentiments se perdent et les ailes se brûlent ainsi que mon sourire victorieux triomphera. Je gagnerais, je le sais. Je lui faits juste croire qu'il m'a eue pour le faire tombé de plus haut. Je sais que je suis une vraie pétasse de lui faire ça mais ce n'est que rendre l'appareil. Il a été un connard avec moi dans le passé, je suis une pétasse dans le présent et une chienne dans le futur. Je savoure déjà ma victoire alors que je ne devrais pas. Ce n'est que le début et je comptes bien l'enfoncé tellement bas qu'il sera au bord du gouffre comme je l'ai été. je ne serais pas là pour la ratrappé puisqu'il n'a pas été là pour moi. Il entoure ma taille de ses bras. Je serre son t-shirt dans mes mains et m'y cramponne. Je me déteste un peu de jouée à ce jeu-là, à cette comédie mais c'est lui qui l'a voulu. Il se colle à moi au niveau du bassin et des genoux. Je vais finir par croire qu'il voudrait qu'on fasse des bébés mais je ne marches pas sur la même route, la même ligne que lui. Il me pousse contre le mur. L'attraction et l'attirance qu'il y a entre nous fait un mélange très passionné. Sa tête est a quelques millimètres de la mienne. Je me noies dans ses yeux noissettes digne d'une des plus belles saisons d'automne même dans le noir. Il a le regard un peu pétillant. Il a cru m'avoir, il ne m'aura pas, pas uen seconde fois. Je ne suis plus aussi stupide. J'apporte ma tête a son coup et la pose dans le creux. Mes mains descendent de ses pectoraux à ses abdominos qui je l'avoue sont bien déssinés et présents malgré qu'il y ait un t-shirt. Un frisson me parcours entièrement de la pointe de mes pieds jusqu'à mes cheveux. Un frisson le parcourt lui aussi. Je le sais, c'est au touché doux, tendre que je fais avec mes mains. Je faits expèrs d'être lente et douce c'est pour l'avoir. Il ne m'a pas eu comme ça mais maintenant une histoire a déjà été tracée entre nous. Maintenant c'ets moi qui tiens les rennes. Maintenant je peux jouée pour de vraie. Ce n'est plus un jeu d'enfant ou d'adolescent, c'est un jeu d'adulte. On est adulte tout les deux même si dans ma tête je suis encore un peu enfant et que j'aimerais bien le redevenir. Tout se mélange dans mon cerveau pour se remettre en place après. Il pose à son tour sa tête dans mon coup. Je sens sa respiration chaude dans mon coup. Ce me réchauffe. j'y prends du plaisir à le faire tourné, à joué dans ce jeu. Je continue dans mon élancé et frotte le bout de mon nez dans son coup tout doucement. Il me mordille le coup. Je ne sais pas ce qu'il fait. Maintenant si, un suçon, voilà ce qu'il me fait. Je ne le retiens pas et le laisse faire. Il ne va pas croire que c'est parce qu'il me fait un suçon que je serais à lui, à sa merci, sa propriété. Je suis a tout le monde mais surtout à moi-même. Je ne me laisse pas faire d'habitude mais prise dans le jeu, je vais lui donner espoir pour le lui reprendre au dernier moment. Je faits de même. Je lui fais aussi un suçon. Je sens dans le suçon qu'il me fiat qu'il sourit. Je ne vais pas lui donner cette victoire, il ne l'aura pas. Ce n'est qu'une illusion. Une illusion dans laquelle il plonge les yeux bandés et n'y voit que du feu. Il est tombé dans mon piège et je vais le déplumé, plume par plume de ses ailes de démon. On a tout les deux finit les suçons que l'on faisait à l'autre. Il dégage sa tête de mon coup, je faits de même. Nos regards étrangements liés sont comme scellés. Il pose son front contre le mien, toujours les yeux dans les yeux. Il ne m'aura pas c'est plus facile à dire qu'à faire. Il est tombé dans mon piège, c'est à moi de ne pas tombée dans le sien non plus. Un sourire de triomphe orne mon visage. Il ne voit rien. Je le croyais plus intelligent que ça. Je l'ai eu, je ne vais pas le laché et je vais le détruire. La vengeance est terrible. Il m'a mis à la rue, je vais le mettre au bord du gouffre. Je vais y arrivée avec le temps je le détruirais. Une envie folle de lui arrachée la tête me prend mais je me retiens, de toute façon je n'ai pas assez de force. J'y arriverais avec les mots et les gestes, je n'ai pas besoin de la violence. Les mots font plus mal que les coups. Il va s'en prendre encore plein à la figure. Aucune pitié, aucun attachement, aucun souvenir, aucun amour, auncun regret. Que de la colère, de la vengeance, de la violence verbale, du rejet, du jeu, des brûlures, des pensées sombres. Je ne dois pensée qu'à tout ce qu'il a fait de mal, pas tout ce qu'il a fait de bien. Il ne m'a fait que du mal, plus de mal que de bien. Je dois gardée cette idée dans ma tête et ne pas l'oubliée ne serais-ce qu'une seconde. Nos nez et nos fronts sont en contact physique. Ses lèvres remuent légèrement. Ses yeux fixent les miennes. Je sais qu'il en a envie et cela me fait rire. Ses mains descendes de ma taille jusqu'à mes cuisses en passant quelques secondes sur mes fesses. Il en profite, il n'y arrivera pas longtemps. C'est la dernière fois qu'il les toucheras. La prochaine fois qu'il essaye, il n'aura pas le temps de voir sa vie défilée. Il remonte mes jambes au niveau de sa taille. Je suis son geste et entoure sa taille de mes jambes. Je suis plaquée contre le mur encore plus fort maintenant. Cela commence à me faire mal. Je ne le montre pas. Ce n'est pas moi qui doit souffrir mais lui. Il fixe avec un regard de plus en plus absobant mes lèvres. Il va finir par les mangées du regard. Nos lèvres se rapprochents. L'attirance les scèlles dans la seconde qui suit. Dans un baiser langoureux, je m'y perds. Le goût de ses lèvres que je n'avais pas sentie depuis si longtemps. 3 année sans ses lèvres. J'en étais dévenue accro et j'ai due m'en détachée du jour au lendemain. Je ne vais pas m'y accrochée une nouvelle fois. L'attraction nous amène à faire des choses qui m'ont changés. Je passe une main dans ses cheveux. L'attraction est tellement forte que mon corps se lève vers le haut se qui me mets en hauteur par rapport à lui. Ce n'est plus à moi de levé la tête c'est à lui. Je lui mordille la lèvre inférieur. Le baiser ne se finit que quand nous n'avons plus d'air pour respirer. Le souffle coupé je reprends de l'oxygène. Je finie à peine de la reprendre qu'il se lance de nouveau sur mes mèvres mais c'est un baiser plus violent qui me dégoûte. Je lui faits vite comprendre en ni participant pas. Il continu pourtant, j'agrippe ses cheveux et tire un coup dessus. Il arrête immédiatement et me regarde étrangement. Toujours en hauteur sur lui, je le dévisage.

Lui: Pourquoi tu changes de comportement comme ça?

Moi: Je te retourne la question.

Lui: Pourquoi c'est moi?

Moi: Le premier baiser était plus doux et l'autre était plus violent.

Lui: Tu n'aimes pas la violence?

Moi: Je n'aime rien qui ait un rapport avec toi.

Lui: Très direct.

Moi: Je suis comme ça maintenant. Tu vas me lâchée tout de suite.

Lui: Et si je n'en ais pas envie?

Moi: Ce n'est pas une question d'envie c'est une obligation.

Lui: Tu ne vas pas commencée à e donner des ordres.

Moi: Je veux que tu me laches.

Lui: Tu veux peut-être mais moi pas.

Moi: D'un seul coup toi aussi tu veux.

Lui: Je ne le voudrais jamais. Je t'ai enfin retrouvé, je ne vais pas te laissé t'echapper.

Moi: Tu ne m'as jamais cherché.

Lui: Qu'est-ce que tu en sais?

Moi: Je te connais. Tu es qu'un incapable, un lâche tu n'as même pas chercher à savoir si je respirais.

Lui: Tu peux répéter?

Moi: Tu n'es qu'un lâche, un incapable, un profiteur, un connard, un enfoiré, un bel enculé, un trouillard, un fuyard, un hypocrite, un menteur, une merde tout simplement.

Lui: Je ne te permets pas de dire ça.

Moi: Je me permets toute seule de te répétée ce que tu es.

Lui: Retire ce que tu as dits tout de suite.

Moi: C'est comme pour toi me lâchée ce n'est pas dans mes fonctions.

Il me lâche d'un seul coup et me plaque violement contre le mur avec ses mains sur mes épaules. Le regard dur. Je n'avais jamais connue ce lui-là. Je ne savais pas qu'il pouvait être comme ça. A trop jouer avec le feu on se brûle mais je vais gagner avec ou sans ailes. Je me brûle en cet instant même. Il compresse mes épaules et mon dos contre le mur. Un sourire crispé de douleur apparaît sur mon visage. Il ne me lache pourtant pas et continua avec encore plus de force. Un petit cri de douleur sort de ma bouche mais rien n' fait, il est déterminé à mes détruite les épaules. Je l'aurais mes dis-je dans ma tête en boucle, je l'aurais...

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top