Prologe
Tout étais sombre, une aura pesante se rependait dans la pièce comme a chaque foi qu'il y pénétrai, il tourna la tête et vis son compagnon pour ces quelques prochaines heures. Ils se regardèrent tous deux dans les iris et sans se dire un mot ils prièrent place a leurs fauteuils habituels. Étrangement la pièce était différente aujourd'hui, aucun d'eux ne pu en trouver la cause, mais ce sentiment d'être observé était partagé par les deux compères, ils le sentait dans leurs tripes, mais ignorèrent cela, pour le moment ils n'avaient pas beaucoup de temps, mais beaucoup à se dire.
Comme une ombre dans les ténèbres qui les scrutait et analysait chacun de leurs mouvements en attendait le bon moment pour passer à l'action, se tenait une créature, que nul ne pouvait regarder non sans pousser un cris, son aspect corporelle déconcertante qui le rendait terriblement effrayant. L'ombre n'avait pas encore trouvé le moyen de s'approcher de sa cible initiale, cela était étrange mais les deux individus avachit dans les fauteuils débâtaient du bien, du mal et pour quelle raison tout allait pour le mieux dans le meilleur des monde ou non, tous cela paraissait être pour le divertissement, de la créature qui n'y trouvait pourtant aucune forme d'intérêt.
L'ombre réfléchissait à la manière dont elle pouvait s'adresser à eux, même s'il fallait leur faire montrer son aspect énigmatique, ne se considérant pas comme un de ces personnages fantastiques, imaginés pour combler leurs lacunes de connaissances. Ces primate avaient tendance à suivre aveuglement l'autorité, réfléchissant peu.
L'homme a l 'aspect démoniaque se décide alors à sortir de sa réflexion, comme de l'ombre au fond de la salle où il était cacher depuis une demie heure à songer, bien décidé à affirmer sa présence, il racla gravement la gorge pour se faire remarquer. L'un des humains eu un mouvement de recul et regarda avec un air ahuri. Soudainement, le démon claqua des doigts, observant l'un d'eux s'agenouiller avant de disparaître comme s'il n'était jamais apparu, à sa place, la créature cacher devenus un charmant homme d'une quarantaine d'années. Il s'assit dans le fauteuil restant, l'humain en face de lui le dévisagea longuement, le démon ressemblais a un humain habillé avec classe, les seules caractéristiques diffèrent des autres hommes était sa peau rouge, ses deux grandes cornes dorées et la couronne lumineuse blanche flottant au-dessus de sa tête.
La créature se racla bruyamment la gorge, lui faisant remarquer l'impolitesse de sa contemplation excessive :
- Comment tu te sens ici ? Le démon avait un air complaisant et amical
- B-bonjour, je vais bien et ... vous ? Le jeune homme était hésitant mais surtout choqué, prenant doucement conscience de ce qui venait de ce passer.
- J'ai beaucoup de chose à te dire et peu de temps, alors on commençons. Des questions ?
- Oui, pourquoi... enfin je suis mort ? Le jeune homme était perdu et cela se lisait aisément sur son visage
- Non, prochaine question ? Le cornu expédia cette question qu'il entendait bien souvent. Aller plus vite on doit faire vite.
- Alors... pourquoi êtes-vous dans mon rêve ? Ou je vous ai crée ? Une bribe de confiance apparue dans son regard, se rassurant que tous cela n'était qu'un rêve, le démon devais être une manifestation de son subconscient, ou quelque chose du genre.
Tout les soirs c'était le même spectacle, il pénètre dans cette même salle et parle avec cet homme disparaissant sans faute, lui apprenant de nouvelles choses, chaque matin il assimilait la discussion, des mathématique à des technique de combats.
Il n'a jamais compris comment, mais il savais une chose, dans le monde ou il vis ces connaissances sont inutile si il n'y a pas d'action pour les accompagner, et encore plus dans sa famille
-Allô la terre ? On se réveille. Donc oui tout à fait... tu rêve. C'est pour ça que j'ai cette apparence un peu .... particulière, mais écoute se que j'ai à te dire c'est très important, gamin... Mon frère a commencé à bouger et il est temps que tu ne paye ta dette... Le quaternaire affichait un regard carnassier puis le sourire qu'il arborait disparu.
L'accomplissement d'une attente et d'efforts, qui duraient depuis bien des décennies.
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