o5


le temps passe, les nuits jouissent de mon sort avec un rire cruel. sans cesse le même, sur lequel se superpose le timbre de ta voix. je tressaille, tu n'avais pas le droit. je sais qu'au jour ou à la nuit de ce présent, tu espères que j'ai crevé. mais j'veux qu'une chose s'ancre en toi aussi puissamment que les coups invisibles que tu n'as jamais osé me donner. nos sentiments étaient véritables, légitimes et je ne regrette rien, rien à par peut-être qu'ils étaient si puissant qu'ils en ont fait cramer mon coeur.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top