Moi : et ce miel, je ne pense pas que tu y goûteras.

On avait embarqué et j'ai dormi pendant tout le trajet, c'est illan qui m'a réveillé quelques heures plus tard.

J'étais assez fatigué.

Lui : bébé, on est arrivée ici, il fait jour réveille-toi.

Moi : porte-moi, je suis fatiguée.

Il rigole et me prend afin de me faire descendre de l'avion.

On entre dans la voiture et je me couche sur lui, j'étais vraiment éclaté.

Moi : ou sommes nous ?

Lui : quand tu seras complètement réveillé, je te dirai ?

Moi : dis-moi.

Lui : non non.

Moi : dis-moi bébé.

Lui : j'ai envie de t'embrasser quand tu fais cette tête.

Moi : ouais,  ouais, c'est ça t'attend quoi là.

Il prend doucement mon visage et pose ses lèvres sur les miennes afin de faire un long baiser.

Je me recouche et une heure après, on se gare devant une maison magnifique.

Moi : c'est là?

Lui : oui lève-toi et vient, on est à bora bora.

Moi : sérieux ?

Lui : oui bébé.

Je l'enlace et lui fais des, bisous.

Lui : arrête de me chauffer, on est dehors là.

Moi : je ne te chauffe même pas illan.

On entre dans la maison et il me présente au gardien comme étant son épouse ensuite, on visite toute la maison, c'était juste magnifique, on range nos affaires dans les placards et après, je vais prendre une longue douche, j'ai beaucoup réfléchi sur ce mariage, sur ce qu'il m'a dit sur le chemin sur sa famille.

Illan: tu n'as pas fini.

Moi : si si laisse-moi mettre mon maillot, j'arrive

Je mets mon ensemble maillot de bain avec des chaînes de taille très fine avant de le rejoindre.

Lui : le rouge, c'est vraiment ta couleur hein.

Moi : je sais, je sais.

Lui : tu es vraiment magnifique.

Je vais m'asseoir à côté de lui sur le transat, il se couche pour que je sois entre ses jambes.

Moi : merci maintenant ce mariage explique-moi.

Lui : tu veux savoir quoi.

Moi : d'où tu me connais pourquoi ce mariage d'un an sachant très bien que tu ne signeras jamais les papiers du divorce.

Lui : si tu me le demandes une fois l'an passé, je signerai.

Moi : tu es sûre de ça donc à n'importe quel moment je serai libre de partir.

Lui : oui même si j'espère le contraire.

Moi : tu as une fois aimé.

Lui : obsédé par une fille quand j'étais enfant

Moi : ah ouais, elle est où

Lui, c'est toi bébé peut-être tu te rappelles plus de moi, mais je te connais très bien.

Moi : ma mémoire à alors effacé tous souvenirs de toi.

Lui : exactement.

Moi : je suis vraiment désolé.

Lui : oui, mais bon, j'espère que ça te reviendra avec le temps.

il me fait des bisous, je me lève pour aller plonger dans l'eau et il tire sur la ficelle de mon maillot.

Lui : oups.

Moi : je ne céderai pas.

Il tire dessus et je me retrouve fesse à l'air devant lui.

Moi : je ne cèderai toujours pas.

J'enlève le haut de mon maillot et plonge toute nue dans l'eau.

Moi : mon Dieu que c'est bon.

Il n'arrivait plus à parler, le corps tout mouillé, je sors et le rejoins sur le transat.

Moi : tu as quoi mon chou.

Illan: ne me cherche pas, tu risques de pas marcher pendant longtemps.

Moi : mets-moi ma crème sil te plaît.

Je lui passe le flacon et il sourit.

Lui: couche-toi

Je me couche et direct, il me tourne pour que je sois sur le dos, il enlève ses lunettes de soleil et sa casquette avant d'enlever son short.

Lui: je t'ai dit d'arrêter de me chauffer, tu sais plus parler.

Mes yeux ne le quittaient pas, je ne savais plus où j'en étais je mouillais et je regardais qui me fixais, il écarte mes jambes et se couche entre elle sa tête entre mes seins.

Il etait  tout dur contre mon ventre, je voulais me lever quand je le frôle mon ventre se contracte.

Lui : je ne suis pas près de me lever bébé

Il me caressait en descendant et en remontant lentement. 

Lui : tu coules là ?

Moi : laisse-moi ce n'est pas équitable.

Lui : équitable, tu as dit .

Moi : exactement.

Il redescend et met sa tête entre mes cuisses mon Dieu soulage-moi.

Il me caresse de sa main, cette tension sexuelle était horrible.

Lui : tu vas bien là ?

Je n'arrivais à rien dire, il me caressait et je me sentais comme une rivière, je le vis baisser sa tête avant de se relever et de remettre son short.

Oh mon Dieu

Lui : si tu finis viens, on va manger.

Je n'étais pas bien, j'avais mouillé la serviette au-dessous de moi, je me lève et m'enroule une autre serviette et je vais directe reprendre une douche, mais je ne me sentais toujours pas bien je n'étais toujours pas encore satisfaite moi qui croyais que c'est lui qui me suivrait je l'imagine encore au-dessus de moi tout à l'heure.

Je descends et le trouve en bas.

Lui : il y a quoi bébé.

Moi : rien, tu as commander.

Lui : non le cuisinier a fait à manger.

Je vais m'asseoir à table le plus loin possible de lui.

Lui : ce n'est pas moi qui vais te servir la ba.

Je le regarde mal et vais m'asseoir là ba à ses côtés et commence à me servir, je mange sous son regard attentif.

Moi : arrête de me regarder illan mange.

Lui : je mange, mais n'empêche je t'observe.

Je le Tchipai fort et regarde mes messages, il fait exprès de faire tomber sa cuillère et en la ramassant, il me caresse tout le long de la jambe.

Moi : arrête ! 

Lui : de quoi as tu peur ?

Moi : de rien, je veux juste pas

Lui : t'en est sûre de ça

Moi : oui

Je termine mon plat, j'en ai marre que ce soit lui qui dirige aujourd'hui et je vais mettre un ensemble que j'ai acheté il y a quelques jours.

Et, je le rejoins en bas, il était au téléphone avec Razack, on dirait.

Lui : ouais, on en parle après mec, je suis pris là
Oui oui à demain.

Il me regarde de haut en bas, je vais m'installer en califourchon sur lui, il sourit.

Lui : j'aime quand tu es entreprenante.

Il met ses mains sur mes fesses et me tire pour que je ne sois plus collé à lui, il descend un peu son short pour être plus à l'aise, je pense.

Moi : ça deh, tu peux que regarder ne pense même pas que tu vas me l'enlever comme l'autre maillot.

Lui : non l'autre, c'était trop doux, je vais le déchirer et le tour est fait.

Moi : déchire ça pour voir.

Je me relève et il me tire pour que je reste, il me bloque et pose ses lèvres sur les miennes.

Sa langue jouait avec la mienne et je sentais ses mains partout et plus, il m'embrasait plus c'était chaud, on se frottait l'un à l'autre, je savais que j'allais y passer tôt ou tard autant que ce soit aujourd'hui.

Je ne sais même pas ce qui m'arrive avec lui, parfois, je suis vraiment sur le cul tellement je ne contrôle rien.

Il dégrafe mon soutien et soupèse mes seins avant de prendre l'un entre ses lèvres me faisant gémir, il fait pareil avec l'autre et descend sur mon ventre en le léchant doucement lorsqu'il souffle sur mon nombril je me crus perdre le nord.

Illan: point sensible.

Il me mord à travers ma culotte et je déchire d'un coup sec.

Lui : c'est de ça ce dont tu voulais me priver bébé
Tu sais que ça m'appartient, tu m'appartiens bébé jusqu'à la dernière parcelle de ton corps, ton cœur et ton âme sont à moi répond.

Je n'arrivais même pas répondre lorsque je sentis sa langue en moi, il me suçait, me léchais, je ne sentais plus mes jambes, j'étais en feu et mes fesses était en feu, sa bouche me rendait dingue.

Il se relève alors que j'étais si proche de la jouissance.
Il relève le regard et me fixe droit dans les yeux.

Lui : tu es trop bonne Marietou je n'ai jamais connu ça.

Il me porte et me plaque contre le mur et doucement, je le sens s'introduire en moi.

Je ne réalisais toujours pas, il me prenait avec une douceur qui m'était inconnue, il était si lent à la fois doux, il calculait mon plaisir et voulais que tout soit parfais il me commence à me prendre fort là, je sentais davantage mon corps tellement c'était fort, je montais et descendais à une allure vive c'était trop fort trop brutal trop illan en fait et c'était trop bon nos respirations mélangées et nos corps qui ne se lâchait pas nos yeux qui ne se quittait pas pour la première fois que je me sentais donner du plaisir à un homme, il entre dans la chambre toujours en moi et me martela sur le lit, je ne sais même pas comment il fait pour tenir le lit, j'ai tellement crié que je ne n'entendais  plus ma voix, je jouis si fort quelques minutes plus tard, il me suivait, on récupère doucement nos respirations et il me serre très fort dans ses bras.

Lui : c'est sûre que je n'accepterai jamais le divorce.

Moi : quoi?

Lui : aujourd'hui, tu es la priorité dans ma vie et je ne compte pas te lâcher Maria.

Bonne nuit ❤️