promesse
Désolé pour le retard.
Nous avons eu à passer des jours magnifiques je me sentais bien et heureuse à la fin, je me demandais même pourquoi j'ai pris autant à connaître cet homme.
J'étais encore couché tellement j'étais fatigué, je pense que le gardien à eu raison de prendre ses vacances.
Illan: ne me dis pas que tu dors encore.
Moi : j'ai besoin de me reposer.
Lui : reposer bébé, non, on n'a pas le temps pour ça.
Moi : bien sûre qu'on là.
Lui : on rentrera demain soir bébé, on doit sortir visiter.
Moi : et à qui la faute toi bien sûr or ta faute, on a pu rien faire.
Lui : je ne t'ai pas forcé c'est qui trimbale nue dans la maison et tu veux que je te regarde comme ça sans en profiter ne me fait pas parler deh lève-toi douche et prie et rejoins-moi en bas, on va dîner dehors.
Je rigole et il me tire pour que soit à côté de lui.
Je le regarde dans les yeux.
Moi : un an et demi hein.
Lui : non, je veux la vie avec toi.
Il me fait un smack.
Moi : c'est quoi ce bisou passable.
Illan: tu veux quel genre de baiser.
Moi : approche s'il te plaît.
Je l'embrasse tendrement.
Moi : un de ce genre.
Illan: bon va te laver, je vais me préparer.
Moi : je m'habille comment ?
Illan: tu te mets sur ton 31.
Moi : toi sur ton 29.
Illan : tu es trop jalouse.
Moi : je protège juste ce qui m'appartient.
Ilan : en tout cas !
Je me lève et vais me doucher, une fois finies, je sors et je vis son téléphone en train de sonner.
Il était écrit Nadia.
Moi : Illan, tu as un appel.
Il arrive et prend le téléphone et sort de la chambre.
C'est bizarre ça.
Je ne suis pas le genre de fille a vérifié le téléphone de son époux, remarque à chaque fois que tu le fais, tu sais très bien qu'il y aura toujours un truc qui ne fonctionnera pas après.
Je le regarde entrer dans la chambre.
Lui : tu es toujours là.
Moi : oui, je vais m'habiller.
Lui : d'accord.
Je vais dans le dressing et mets une robe.
Je le rejoins dans le salon, il était sacrément canon.
Lui : tu es belle.
Moi : merci, tu es très beau aussi.
Il sourit et l'on sort pour rejoindre la voiture.
Nous étions à un restaurant au bord de la plage, cet endroit n'était pas trop-plein ce qui nous arrangeait bien, on s'est installé au fond pour pouvoir mieux discuter.
Moi : ils attendent quoi pour les cartes.
Lui : je n'en sais rien et j'ai faim.
Son téléphone se mit à sonner.
C'était Razack, il met en haut-parleur.
Lui : frérot.
R: oui mec ça va.
Lui: bien, très bien et toi.
R: pas trop.
Lui: il se passe quoi ?
R: ma copine.
Lui: je t'ai dit de l'épouse t'attend quoi ?
R: il faut que je te la présente si tu rentres demain, car (faut) vraiment que je m'enlève ce poids des épaules.
Lui: il se passe quoi man, tu me fais flipper.
R: je t'expliquerai demain inchallah et ta chérie ?
Lui: elle va bien, elle est là à côté de moi.
R: tu vas bien princesse ?
Lui: d'où tu lui dis princesse toi ?
R: c'est ma femme aussi.
Lui: ouais bien sûr la blague, elle est à moi rien qu'à moi strictement à moi, c'est compris.
Je rigole et lui fait des bisous.
R: boy fire nga (t'es jaloux).
Lui: du tout, je protège mon du.
Moi: tu vas bien Razack ?
R: super et toi ma mère dit qu'elle a adoré ta robe.
Moi: remercie-la pour moi, je vais bien d'ailleurs tu vas te sentir bien seul à l'appartement.
R: tuimagines même pas, je vais avoir la chance de plus le voir trimballer et tout jeter par-ci par-là.
Illan: tu crois que je tu n'entends pas ou quoi ?
R: si je sais que j'écoute bien bon je vous laisse je vous aime.
Illan: nous aussi mec sans toi, je pense que n'aura jamais rien réussi dans ma vie même si un jour, j'ai un môme, il aura ton prénom.
R : ça me touche beaucoup frérot, on est gnangnan ce soir.
Illan: ah ouais vraiment bon à demain.
Il raccroche et je me concentre sur lui, le gars arrivent avec nos cartes.
Moi : ça va être bizarre lorsque nous allons rentrer.
Illan: pourquoi tu dis ça ?
Moi : ne crois pas que je n'ai pas remarqué que certaines membres de ta familles ne m'aiment pas.
Illan: je sais bien, mais on s'en fout bébé, l'essentiel, c'est nous deux.
Moi : tu oublies que dans le pays où nous sommes se marier avec quelqu'un c'est comme si tu mariais avec toute la famille.
Illan: bébé si un jour, ils te font un truc ou disent un truc c'est faciles, je les sort de ma vie, et cela, pour qui que ce soit :
Moi : Illan t'es bête ou quoi.
Lui : c'est toi qui as le temps de penser aux autres aujourd'hui outres toi moi ma mère, mon père, ma sœur et Razack il y a personne d'autre.
Moi : Illan.
Lui : mon amour ça suffit s'il te plaît, tu m'as regardé putain, c'est toi, toujours toi, ça sera toujours toi, je suis trop débile quand je suis avec toi ou quand tu me touches, je n'ai envie que personne ne viennes gâcher ce que l'on a.
Moi : Illan, j'ai connu un mariage ou personne ne nous aime.
Lui : je ne te suffis pas.
Moi : si seulement des doutes.
Le serveur revient quelques minutes avec nos commandes.
Lui : Jeanne, tu veux quoi aujourd'hui avec moi, le truc des contrats, c'est juste une excuse l'argent a été viré dans ton compte bancaire.
Moi : je sais bien...
Lui : bébé, mes cousines cherchent à ceux que je les épouse depuis je ne sais pas quand et je m'en fous même si mes tantes viennent et parlent mal , je m'en fiche , si elles veulent qu'elles ne me calculent plus, je ne vais pas mourir.
Moi : Ilan.
Lui : il n'y a que toi bébé.
Moi : j'ai peur, je pense aux répercutés, car je suis en train de tomber amoureuse de toi.
Je me retourne, j'avais de très mauvais pressentiments.
Je me retourne et je le fixe, il avait un énorme sourire.
Moi : enlève-moi ce sourire.
Lui : je me sens bien là d'un coup.
Moi : arrête s'il te plaît.
Lui : oh, elle est amoureuse du mec le plus beau.
Moi : Ilan, tu m'énerves.
Lui : tu es mignonne mon bébé.
Moi : tu m'énerves et arrête.
Il me tire vers de lui et pousse un peu sa chaise.
Lui : vient là.
Moi : où?
Lui : sur mes jambes.
Je m'assois sur lui et le fixe.
Lui : si tu savais ce que je ressens pour toi, je pense que tu n'assumerais pas.
Je frotte mon nez contre le sien.
Moi : on est trop love aujourd'hui.
Lui : je sais aller embrasse-moi.
Moi : et toi embrasse-moi.
Lui : dit d'abord les trois mots magiques.
Moi : quels mots magiques ?
Lui : tu sais bien de quoi je parle.
Moi : fais-moi l'amour.
Lui : c'est quatre mots ça.
Moi : fais-moi kiffer.
Lui : allez dit le.
Moi : je t'aime Ibrahima Ilan.
Il m'embrasse profondément et caresse mon dos.
Sa langue caresse la mienne et il m'embrasse délicatement.
Je sentais ma culotte se remplir d'excitation.
Lui : je n'ai vraiment pas envie de rester là, je devrais être en train de te faire l'amour.
Moi : on aura le temps pour ça.
Des heures plus tard, on arrive à la maison, il me portait en mode princesse et m'amène dans la chambre où il me fit l'amour pendant toute la nuit.
Ce matin, j'étais d'une humeur tellement coquine, mon esprit ne pensait qu'à un seul truc cette nuit mon Dieu, j'en ai des frissons.
Je sentis deux grands bras entourer ma taille.
Moi : bonjour.
Lui : comment va ma femme ?
Moi : très bien cher époux.
Lui : tu es prête à aller affronter toute une vie avec moi.
Moi : oui, je me retourne et lui fait un smack, il se baisse sur ma poitrine et frotte ses cheveux mouillés sur mon t-shirt.
Lui: en plus tu n'as de pas de dessous suis moi je ne veux plus de petit déjeuner suis-moi.
Je le suis et il m'amène dans le sous-sol...
Le soir, on a repris l'avion pour Dakar, il avait pris un nouvel appartement qu'il a d'ailleurs décoré, il reste juste certains détails.
On était éclaté j'ai un mari qui a toujours faim de sexe, j'étais épuisée même dans l'avion et il y a moi qui ne lui refuse rien mon Dieu, j'avais mal partout, je me suis couché direct.
Le lendemain matin, je me suis réveillé un peu en forme et l'on a fait une bonne sceance de sport après notre douche, nous sommes allé chez ses parents, on y a trouvé Razack Rania.
Après avoir discuté avec eux un peu, Razack a voulu parler à Illan.
Je sens que je vais mourir tellement je flippais.
Ils vont dans le jardin tous les deux.
PVD de Razack
Moi : tu te rappelles ma copine dont je t'ai parlé ?
Illan: oui.
Moi : j'ai parlé à ses parents hier.
Illan: j'aurais pu venir avec toi.
Moi : c'est juste la première discussion.
Illan: quand même, je voulais participer à tout, mais je suis très content pour toi.
Moi : merci, mais il faut que je te dise qui est cette femme, je l'ai connu lors d'un de nos voyages, je la connaissais depuis mais c'était différent.
Illan: donc je la connais pourquoi tu ne me ne l'as pas présenté depuis t'es bête ou quoi ?
Moi : ça fait deux ans que l'on est ensemble mec, il me fallait du temps, car je savais que j'allais te perdre.
Illan: me perdre comment ça ?
PVD de illan
J'étais choquée, je ne comprenais rien à cette situation.
R : c'est Rania Illan.
Je le regarde surpris, ensuite, je me mets à rire, j'avais tellement rigolé que je n'en pouvais plus.
Moi : ma soeur, tu es con arrête parle-moi sérieusement.
R: Rania vient s'il te plaît.
Ma sœur arrive les yeux larmoyants.
Moi: ce n'est pas possible, c'est pas vrai, tu es avec ma sœur.
Rania: on voulait t'en parler.
Direct, je lui mets une droite.
Je me jette sur Razack, je l'ai vraiment frappé que je ne savais plus ce que je faisais.
Moi : ma sœur, tu couchais avec ma sœur et tu crois quoi tu n'es qu'un imbécile mon père couru avec le gardien pour nous séparer.
Moi : tu étais mon meilleur ami, tu comptes même plus que quiconque.
Razack: tu crois qu'ont choisi qui l'on aime.
Moi : JE T'AVAIS PRÉVENU TOUT SAUF ELLE IMBECILE FILS DE PUTE TU AS COUCHÉ AVEC ELLE ET TOI RANIA T'ES VRAIMENT UNE SALOPE JE VAIS PERDRE MON AMI POUR TA GUEULE IGNORANTE.
Ma mère : Tu te calmes Illan.
Moi : me calmer, tu sais ce qu'il a fait ?
Maria : arrête Illan.
Moi: non-bébé je n'arrête pas, tu vois ce que ça fait quand je fais confiance à quelqu'un, tu aurais pu choisir tout le monde sauf elle, deux ans, deux ans , que vous me prenez pour un con, deux ans que vous me mentez, tu me regardais dans les yeux, tu me mentais et toi plus jamais je veux te revoir Rania Elisabeth Gueye, tu n'es plus ma sœur, tu ferais mieux de rentrer, car sinon je risque de bientôt te tuer.
Razack: Illan.
Moi : n'essaie même pas de me parler, je veux que cette relation s'arrête imaginé-je sors avec ta sœur, tu brises les promesses que l'on s'est faites Razack.
Razack: on avait neuf ans.
Moi : je m'en fiche tous nos moments étaient vrais moi, j'aurai tout fait pour ne jamais te perdre, tu m'as menti deux ans, deux ans, je n'arrive pas à y croire alors tes petits voyages c'étaient avec elle et cette menteuse disait être en sortie de classe la Menteuse.
Mon père : Ilan ça suffit.
Moi : déjà papa, tu ne me cries pas dessus et non ça ne suffit pas.
Jeanne : Illan vient, on rentre s'il te plaît, depuis quand tu es comme ça.
Ça m'énervait qu'elle me voit comme ça, en colère, énervé.
Moi : prend tes affaires, on s'en va et toi papa si tuacceptes ce mariage, je ne te le pardonnerai jamais.
PVD de Maria
J'étais tellement choquée que je n'arrivais à rien faire.
Je vais prendre mon sac et ses affaires et je le rejoins dehors.
Sa mère : essaie de le calmer s'il te plaît.
Moi : oui oui.
Lui : tu viens bébé bandes d'hypocrites.
Il entre dans sa voiture.
Moi : laisse-moi conduire s'il te plaît tu n'es pas en état là.
Lui : ok.
Je conduis jusqu'à la maison, il va direct prendre une douche et il met un jellaba sort son tapis et commence à prier comme pour se calmer, je le regardais en admiration.
Une fois finis. Il me regarde enfin.
Lui : je suis désolé que tu aies vu cette facette de moi-même.
Moi : tu devrais essayer de les écouter.
Lui : je peux te poser une question, tu n'étais pas surprise certes, je parlais à Razack, mais je te regarde beaucoup bébé était tu au courant et depuis quand ?
Moi : Le jour du mariage.
Lui : donc tu savais et tu ne m'as rien dit.
Moi : ce n'était pas à moi de le faire bébé.
Lui : es-tu sérieuse ?
Moi : Ilan, tu me vois te dire ça le jour de notre mariage.
Lui : oui et tu me l'affirmas bébé et là, je suis en colère contre toi aussi.
Moi : oui, je sais, mais tu arrêtes pas de m'appeler bébé depuis tout à l'heure, je ne comprend rien.
Lui : t'es ma femme, non, je t'appelle comme je veux en colère ou pas.
Moi : tu es vraiment bizarre Illan.
Je m'approche de lui et le serre dans mes bras.
Moi : ça me fait mal de te voir comme ça.
Lui : je suis désolé.
Moi : il faut que tu leur parles. S'il te plaît.
Lui : Jeanne jamais, tu me mens ou me cache des trucs s'il te plaît, je n'aimerai jamais devoir te perdre.
Il me serre en retour, je commence réellement à flipper qu'il m'en veuille un jour.
Bonne nuit demain un nouveau chapitre.
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