Comment une gamine peut etre aussi....
Je n'avais pas dormi de la nuit, entre des rêves érotiques, cette sensation de le sentir encore sur moi, je n'arrivais plus à trop bien respirer ni à calculer la situation le matin après la prière de Fadjr, je n'ai plus fermé l'œil, j'étais en stress complet.
Sa sœur Rania vint me chercher vers 7 heure
Moi: donc il était vraiment sérieux ?
Elle: il n'a pas l'habitude de ne pas tenir ce qu'il dit.
Moi: mon Dieu !
Elle: ne stresse pas, c'est juste le mariage religieux.
Dans ma tête, si seulement elle connaissait la raison ce mariage.
Elle: ne prends rien, je me suis occupé de tout, tu as seulement à me suivre, on va à la maison familiale.
Moi : bon dieu attend s'il te plaît.
Je vais dans ma chambre et appelle Ilan.
Moi: toi, tu as oublié, je suis chrétienne.
Lui: qui t'a dit que c'était HARAM, c'est accepter, tu ne peux pas me faire décourager bébé ?
Moi: qui de ma famille, tu connais, tu connais personne ?
Lui: c'est déjà réglé, je suis allé voir ton père, j'ai son accord, on dirait qu'il n'aimait pas ton ex-mari.
Moi: rien qui ne te concerne, tu me stresses Ilan, tout ça, c'est pour coucher avec moi, on se connaît que depuis quatre mois et demi.
Lui: je n'aime pas perdre mon temps
Moi: trois mois, ce n'est pas du temps, arrête, car là, tu fais exprès
Lui: bébé, je t'attends pour le moment, je vais me changer.
Moi : je ne veux pas d'un mariage comme ça Ilan.
Lui : écoute-moi s'il te plaît marietou, tu crois que si c'était un caprice, je te courrais après Lahila, tu serais ma femme sans même être au courant.
Moi : un truc qui va finir d'ici à un an.
Lui : et je te verse l'argent dans ton compte.
Moi : si je tombe amoureuse de toi.
Lui : là, cela serai mal barré, car sinon tu ne pourrais plus partir.
Moi : mon Dieu, ce n'est pas comme ça que ça marche.
Lui : je suis comme ça mon amour.
Moi : mon Dieu, je me suis foutu dans quoi tu veux juste coucher avec moi.
Lui : il y a de ça sauf que tu es la seule fille que j'aie toujours voulue, tu sais même pas ce que j'ai vécu pour toi et combien j'ai attendu bébé, s'il te plaît viens à moi ou j'irai te chercher.
Moi : j'arrive
Lui : merci beaucoup
Je suis Rania qui m'amène au salon et ensuite, je fus habillé et préparé comme une reine, j'étais tellement chouchouté, Rania était magnifique, mais ça ce ne voyait qu'elle n'était pas bien.
Moi : tu ne vas pas faire cette tête, c'est à moi d'être sur le cul.
Elle : je sais ma chérie mon chéri m'a quitté et ça fait des jours et des jours qu'il ne me parle plus bilay legui ma dof (je vais devenir fou).
Moi : oh ma chérie, je suis vraiment désolé, vous êtes ensemble depuis quand ?
Elle : deux ans et demi.
Moi : mon Dieu, pourquoi cela c'est finis ?
Elle : mon insolence, comme toujours.
Moi : toi insolente, je pensais que c'était juste ton frère qui l'était dans cette famille.
Elle : c'est que tu ne me connais pas, je sais qu'il m'aime, je le crois, mais il y a trop de choses qui...
Elle éclate en sanglot et je la serre dans mes bras.
Elle : c'est moi qui ai fait le premier pas, c'est moi qui me suis donnée à lui corps et âme, les hommes et quand tu l'es suivi et c'est toi qui fais tous les efforts, ils te tiennent pour acquis, c'est la deuxième fois qu'il ne me quitte je ne le laisse jamais tomber, mais il est comme...
Elle soupire encore.
Moi : il vit ici où aux États-Unis ?
Elle : ici parfois, je passe toutes mes vacances avec lui, je dis à mes parents que je vais en vacances avec mes amis. Cependant, je reste qu'avec lui pendant deux mois, nous sommes allés partout, sa famille est aussi riche que la mienne, nos parents se connaissent, mais personne n'est au courant.
Moi : tu es avec Razack, je me trompe ?
Elle : non, c'est lui.
Moi : oh mon Dieu !
Elle : mon frère va me tuer surtout s'il sait qu'on l'a fait, je ne sais plus combien de fois, je l'aime Maria de toute mon âme s'il le voulait que je serai sa femme demain enne. En revanche, il a choisi mon frère, il l'a choisi à moi Il me parle comme il veut, car il sait que je l'aime, je ne sais plus, je suis perdue, je ne veux pas aller le voir. Cependant, tu sais ce que ça me fait quand je le vois quand je sens son regard sur moi mon Dieu, on avait prévu d'attendre le mariage. Pourtant, notre premier voyage à Miami était de la tentation en ce moment, je ne sais plus où j'en suis.
J'avais tellement de peine pour cette petite, elle est si belle, je n'aurai jamais cru Razack comme ça, je l'ai serré dans mes bras longuement avant de l'embrasser.
Moi : il ne mérite pas tes larmes, fait le souffrir, ne le calcule plus
Il doit venir nous chercher avec le convoi et normalement, je suis dans sa voiture
Moi : Rania ici si un homme ne se comporte comme un con avec toi, c'est que tu lui as trop facilité les choses s'il fait plus qu'il ne devrait c'est que ce fut trop facile aujourd'hui, tu te remets en question certain homme qui qu'ils soient ne mérite la facilité là c'est à toi de savoir ce que tu veux dans ta vie et ce que tu ne veux plus ce que tu tolères et ne tolère plus c'est toi qui dois lui montrer que tu es forte et que tout cela ne t'atteint plus s'il est prêt à parler à sa famille et à la tienne et assumer votre relation, tu auras bientôt 21 ans, tu n'es pas un bébé s'il te demande en mariage aujourd'hui, tu accepteras.
Elle : bien sûr, mais pas dans ses conditions tout cela, on a déjà parlé de comment j'allais gérer mes études et tout ça, il me considère comme une gamine capricieuse.
Moi : tu dois lui montrer que tu es une femme.
Elle : merci beaucoup Jeanne.
Moi : c'est normal, bon, on y va, on a tardé là.
Vers 15 heures trente, on quitte le salon pour aller chez Ilan.
Je me rappelle mon premier mariage, j'avais tout préparé moi-même, je me croyais amoureuse
Les filles, je ne sais plus combien de fois, on a eu à confondre amour et affection.
Je me dirige vers la sortie et là, je vis la file de voiture, il y a tellement de gens que je ne connaissais pas, je vis illan oh mon Dieu, il est tellement beau si propre avec son jetzner blanc, ma robe était aussi magnifique, je m'approche de lui et il me prend doucement la main en m'embrassant bien la paume ce qui me fit frissonner.
Lui : tu es magnifique mon bébé
Moi : tu n'es pas mal aussi comme futur mari
Lui : ça je le sais très bien
Je rigole et lui fait un smack
Lui : j'aime trop quand tu es comme ça, bon, viens-je te dépose chez ma mère avant d'aller à la mosquée.
Je le suis et l'on entre dans la voiture, ils redémarrent tous.
Moi : c'est le mariage le plus bizarre de ma vie.
Lui : l'autre était comment ?
Moi : préparer au millimètre près.
Lui : quoique les surprises soient mieux.
Moi : je ne sais même pas où je vais avec toi.
Lui : tu en as des jours, des mois pour savoir bébé.
PVD de Razack
Elle était si belle, elle était sur son téléphone en appel avec un certain ami ne me calculant toujours pas, j'avais envie de l'embrasser, de la prendre dans mes bras, de la câliner.
Elle : oui, je rentre bientôt, oui oui toi aussi d'accord prend soin de toi.
Elle raccroche.
Moi : c'était qui ?
Elle ne me regarde même pas.
Moi : c'était qui Rania ?
Elle était si concentrée sur son téléphone.
Moi : BORDEL TU VAS ME DIRE QUI EST CET HOMME ?
Elle se retourne et me regarde.
Elle : tu ne me cries plus dessus sale con.
Moi : putain bébé, je suis désolé d'avoir tout fait foirer.
Toujours aucune réponse. Cette situation est épuisante.
Moi : s'il te plaît Rania.
Elle : elle, tu veux quoi de moi.
Moi : je veux que tu me reviennes.
Elle : assume notre relation alors et épouse-moi, je n'ai plus le temps de passer d'hôtel en hôtel ou d'appartement pour que tu me fasses l'amour compris.
Moi : tu veux que l'on se marie.
Elle : ça, c'est à toi de voir, mais sache juste que je t'attends plus, je m'entends très bien avec amis et je sais ce que je mérite maintenant, je sais ce que je vaux et toi, tu n'en fais pas partie, je ne veux pas d'un homme qui ne sait pas ce qu'il veut, c'est comme avoir une Ferrari et la conduire comme une Fiat, tu n'es pas prêt.
On arrive avant même que je n'ai le temps de répondre qu'elle a voulu ouvrir la porte, je la bloque heureusement la vitre sont teintées.
Je la regarde, elle était en colère, ses lèvres tremblaient, j'avais tellement envie de l'embrasser.
Moi : je t'aime Rania, je ne sais plus ce que je fais quand je suis avec toi, tu me tiens par les couilles, tu remplis ma tête de ta personne, je t'aime vraiment trop et je ne supporte pas de te voir avec quelqu'un d'autre.
Elle : alors assume cet amour, elle clique sur le bouton et débloque avant de sortir, je respire longuement avant de sortir.
Je la prends par la taille, elle frissonne dans mes bras
Moi : je parle à illan après sa lune de miel
Elle : je serai rentré
Moi : tu n'as plus rien à faire là ba
Elle : je termine des choses
Moi : mon amour, tu sais que c'est faux Rania là, je suis réellement pas bien, j'ai vraiment envie de t'embrasser.
Elle avance à l'intérieur
Mika s'approche de moi
Lui : tu sais que s'il te voyait comme ça tout le monde saurait venir, on y va ne crée pas de bagarre ici.
Moi : mon Dieu!
Mika: je sais que c'est dur, mais tu dois absolument lui parler.
Moi : je suis complètement claqué man.
PVD de illan
Moi : tu y vas et tu attends mon appel.
Je voulus lui faire un smack et là, elle se retourne.
Elle : tu crois que ce gloss a été fait pour toi, tu t'es vue tête de chacal.
Je rigole
Moi : autant de méchanceté alors que tu m'as fait un smack.
Elle : l'a, ce n'est pas pareil.
Moi : tu es réellement un cas.
Elle : je m'en fous, j'y vais d'ailleurs.
Moi : tu vas me manquer mon amour.
Elle : comme si tu m'aimais.
Moi : mais tu le crois, c'est l'essentiel.
Elle : à plus illan.
Lui : évite de manger beaucoup, mangé que je suis ce que ma mère ou Rania te donne.
Moi : d'accord chef.
Ma famille paternelle est très compliquée, ma mère en sait quelque chose, combien de fois Jasmine ma nounou à déterrer des talismans et autres du jardin, je vais tant bien que mal là protéger de tout cela. Je pense qu'elle ne se rend pas compte de là où elle a mis les pieds, évidement je ne l'ai pas prévenue sinon elle s'en irait, mes parents sont restés deux ans à faire chambre à part à cause de mes tantes qui l'avaient maraboutée, mais ma mère, c'est resté, elle n'a jamais fui, elle en a vécu des choses meme si elle n'en parle jamais, je sais très bien qu'elle en a bavé même si maintenant ça va.
PVD de Maria
Je m'assois sur le lit de la maman de illan.
Elle : tu stresses ?
Moi : un peu.
Je vis une jeune femme entrer.
Elle : wa tata illan war n'a fi andi toubab, elle est trop claire en plus catholique.
Ma belle-mère ne lui répond même pas.
Elle : ah tata tay dal dagu may vent ki dal, j'ai la confiance.
Elle croit que je ne comprends pas la langue, on dirait.
Elle : tu es magnifique Maria.
Moi : merci beaucoup.
Salope.
Elle sort et Rania me caresse la main.
Rania: cette famille de merde.
Mon téléphone se mit à sonner.
Je décroche rapidement.
Illan: la femme de ma vie.
Moi : c'est fait.
Illan: tu es officiellement mienne, je suis tellement content.
Moi : je le suis aussi.
Lui : je te rendrai heureuse Jeanne.
La journée fut si belle, les parents , de mon mari sont vraiment super, mais je n'ai pas vu Ilan de la journée, quel mariage c'était si rapide.
Le soir les badiennes était devant la porte m'attendant.
L'une d'elle : les enfants d'aujourd'hui ne montrent pas de drap ni rien.
L'autre : aucun membre de sa famille n'est là, ce n'est même pas logique en plus catholique deh lafi indi telle mère, tel fils.
Je marche et rejoins mon mari dans la voiture.
Moi : Ilan t'es autres parents ne savent pas que j'étais marié.
Lui : il y a que ma mère et mon père et Rania qui savent.
Moi : j'ai l'impression de m'être fait déjà des ennemis Illan, je n'ai pas signé pour ça.
Illan: calme-toi.
Moi : non, déjà une qui était dans ma chambre est venue et à mal parler, ma religion et ma couleur de peau est-il un frein, je te rappelle juste que rien est fait, devenir célibataire ne me dérange pas avant qu'il y ait plus de sentiments.
Illan: je ne peux plus te quitter bébé, je ne veux pas.
Moi : écoute-moi bien, si c'est pique sur piques, je ne sais pas quand j'exploserai.
Illan: ne leur réponds pas s'il te plaît.
Moi : ça va , je vais bien !
Illan: bébé, ma famille est très compliquée.
Moi : tu aurais dû me dire ça, j'aurais su où je mettais les pieds, les souffrances, j'en ai donné étant enfant avec ma belle-mère.
Illan: je sais, je vais régler ça.
Moi : tant mieux.
Il me tire pour que je sois voient sur lui le chauffeur conduisait.
Moi : nous allons où ?
Lui : a l'aéroport.
Moi : où allons-nous ?
Lui : une surprise bébé.
Moi : donc on va en lune de miel.
Lui : oui sauf que c'est toi le miel.
Bonne nuit ❤️
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