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Je sortait de la douche, simplement vêtue d'un pyjama, mes cheveux étaient légèrement humide et il faisait froid, du moins j'avais froid. En arrivant dans la chambre de Léonie, celle ci était silencieuse alors que quelques secondes avant, je l'avait entendue pleurer. La chambre était plongée dans le noire complet, mon sang s'est glacée lorsque j'ai remarquée cette ombre ce dessiner devant le lit de ma fille. La silhouette était d'une taille moyenne, de dos, je n'arrivait pas à voire s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme. L'ombre s'est penchée au dessus du lit, caressant mon enfant du bout des doigts d'un geste doux. Elle ne semblait pas m'avoir vue, ne pas m'avoir entendu. Sans faire de bruit, j'ai ouvert le tiroir le plus proche de moi, en sortant un canif cacher sous une pile de vêtement bébé. Et, alors que j'allais m'approcher dans le plus grand des calmes, la silhouette s'est tournée brusquement face à moi, me balançant quelque chose à la figure qui m'a brûlée les yeux. On aurait dit du sable, mais vue l'odeur il s'agissait plutôt de poivre. Quel genre de créature pouvais attaquer avec du poivre ? Elle m'a ensuite sauter dessus, me faisant tomber à la renverse et m'a saisit les poignet et désarmer sans que je ne puisse faire quoique se soit. Il avais de la force. Les yeux brûler, je parvenais à peine à voire devant moi, je lui est pourtant mis un coup de tête qui l'a fais s'écarter de moi. Je me suis remise debout, il n'a pas perdu de temps pour faire la même chose , je lui est alors mis un coup de pied en visant la tête. Je lui est touchée l'épaule et il s'est écroulée sur le sol, rapidement , il s'est relevée et ma fait face. Il était rapide le con. Je ne voyais toujours rien, j'était incapable de voire qui était en face de moi. Il s'est saisis d'un objet et m'en a mis un coup que je n'est pas pu esquiver, l'obscurité de la pièce, le poivre dans les yeux, ça m'empêchait d'agir correctement. Visant une deuxieme fois sa tête avec ma jambe, il a esquivé légèrement et mon pied a fracassé le mur. J'ai tenté un coup de poing et il s'est retrouvé propulser sur la porte, je l'ai saisis par le colle , j'ai essayé de viser son visage que je ne voyais pratiquement pas, et je lui est mis une série de coups de poings en plein visage.

Je ne m'attendais pas à ce qu'il riposte, me mettant un coup de genoux dans le bas ventre qui m'a propulser contre un des meubles de la chambre. Bientôt, les cries de ma filles ont résonner entre les murs.

Je me suis réveillée en sursaut dans mon lit, croyant avoir entendue les pleurs d'un bébé, je me suis alors dirigée à toute vitesse dans la chambre d'en face qui n'était autre que celle de Léonie. Mais rien, il n'y avais aucun pleur, il n'y avais même aucun bébé. J'avais rêvée , et ça m'avais paru si réelle.

Je suis restée là, face à ce petit lit de bois, le fixant pendant de longues minutes en essayant de me remémorer ce qui s'était passer ce soir là, en essayant de reconnaître un visage. Un bras s'est alors enroulé autour de ma taille, puis un autre, je le reconnaissait à son odeur, à son toucher. Et un souffle chaud et venu me caresser l'épaule.

«— Viens te coucher Dakota, tu a besoin de dormir.

Je ne l'est pas écoutée, je n'avais aucune envie d'aller me coucher. Je repensais simplement a cette après midi. "On a du nouveau" avait dit Sam en rentrant, mais il n'avait rien de très concluant et j'avais l'impression que l'affaire durait une éternité. C'était une histoire familiale , nous n'avions pas le temps de dormir, nous n'en avions pas même le droit.

— Dean, ai-je dit en me tortillant dans ses bras pour me retrouver face à lui. Je veux retrouver Léonie, ont a pas le temps de dormir si ont veux retrouver notre fille en vie.

— Pourquoi elle ne serait pas en vie ? s'est braquer Dean en fronçant les sourcils.

— Tu a vu comme moi toute ses affaires sur les bébé, même si elle était en vie qui te dit qu'elle n'a pas été revendue hein ?

Ma gorge ce nouait rien qu'en prononçant ses mots qui m'ont paru tranchant. Dean m'a subitement relâché, il m'a fixé sans comprendre, il me prenait pour une folle, je le voyais sur son visage, il ne me comprenait pas. Il était complètement perdu. Pourtant j'avais bien parler.

— Ont doit envisager toute les possibilités, ai-je souffler.

— Elle est en vie, a dit sèchement Dean. Si tu parle encore une seul fois comme si elle était morte, ou comme si il lui était arrivé le moindre malheur, il a serrez le poing fermement, ses jointures en sont devenu blanche .

Je savais ce que ça signifiait. Il était énervé, contre moi sans doute, parce que j'était tellement fatiguée que je ne disais que des bêtises et qu'il ne voulais pas me croire. Mais c'était les mots même que Sammy avait dit , il fallait envisager toute possibilités. J'ignore pourquoi, mais je semblais avoir perdue toute trace d'espoir en l'espace d'une seconde à peine, et je me mettait déjà à penser au pire alors qu'au contraire je ne devais penser qu'au meilleure pour ma fille . Dean s'est approché, il a poser ses mais sur mes joues, il a séché une de mes larmes avec son pouce, j'ignorais même que mes yeux pleurais, il à plonger son regard dans le mien. Il était sincère, il était plein d'assurance, et encore remplis d'espoir.

— Ne dit plus de connerie Dakota. Ça suffit.

J'ai hocher la tête positivement, il avais raison. Ont avaient plus le temps pour les pétages de plomb, je devais me secouer un peu, redevenir la Dakota que j'avais toujours été. Soudainement, les images de mon rêve me sont revenue à toute vitesse dans la tête, comme des flashs puissant qui m'ont donner un mal de crâne énorme. Sans que je ne m'en rend compte, je m'était accroupis sur le sol, la tête entre les mains, criant presque par la douleur.

— Dakota qu'est-ce qui ce passe bon sang ?! m'a demander Dean, désemparé et extrêmement paniqué.

Il s'était accroupis à mes cotée. Les images ont recommencer, accompagnée de son, le pleur de ma fille, et par dessus, une berceuse chanter par une voix douce. Mais ça n'était pas ma voix, je n'avais jamais su chanter et je n'avais pas une voix douce. Ma voix était enraillé, petite et presque brisée, à la limite même d'être rauque. Puis l'image de la main de cette ombre caressant ma fille est repassé en boucle dans mon esprits.

Trop naturel.

Trop doux.

Trop maternel.

— Une femme, ai-je laché a voix basse, légèrement tremblante.

— Quoi une femme ? a demander Dean en fronçant les sourcils.

— Ce n'était pas un homme, ni un démon. C'était une femme, j'ai dit en croisant son regard.»

Dean m'a tout de suite compris, et comme moi il s'est mis à réfléchir à toute vitesse à un coupable ou plutôt une coupable en l'occurrence. J'avais beau me creuser la cervelle dans tous les sens, j'avais l'impression que je n'y arriverai jamais. Et pourtant, je devais connaître cette personne. J'en étais sure, à force de chercher, elle finirait par me revenir en mémoire.

hm le retard Brenda , so comman ?🤔😂
J'espère que ça vous plait quand même !❤