Promise me we'll see each other again.

Après avoir quitté le conseil et ramener Hector qui s'était évanoui dans la salle chez eux, les Baudelaire ont beau lui expliquer la vérité et le fait qu'il ne peuvent pas partir avec lui car ils doivent encore retrouver leurs amis et Jacques Snicket doit être sorti de prison le plus rapidement possible, il reste un trouillard. Mais en échange d'une réparation du moteur du dirigeable de Hector, celui-ci ne partira pas avant que les orphelins aient libéré leurs amis.

Dans la prison, Olaf et Jacques "discutait" de ce qu'est le thé, l'innocent en prison et le coupable en dehors. Mais aussi du temps passé et de leurs exploits héroïques et bienveillant, mais Olaf semble bien loin de l'homme avec un cœur qu'il était auparavant. Snicket lui même ne peut plus rien pour lui.
Quand à la terrifiante compagne de Olaf, elle torturait mentalement la jeune bibliothècaire dans la cellule adjacente. Mais la nouvelle a plus d'un tour dans son sac et réussit très bien à manipuler la grand Esmé...
Après s'être échappés des cellules, nos deux agents se trouvaient dehors devant le taxi de Snicket.

-Désolé ! Je n'avais pas d'autre idée ! S'excuse Olivia tout en arrivant devant le taxi avec Snicket.
-Vous avez bien fait. La rassure-t-il. Arrivez au sucrier avant eux. Trouvez notre meilleure agente. Elle sait où il est caché et quoi faire avec. Elle sait tout. Il tends un dépliant d'une voyante : Madame Lulu sait tout. Elle est fiable, prenez mon taxi.
-Et vous ?
-Je dois protéger les enfants. Occupez vous du sucrier. On se retrouve bientôt. Il accélère la cadence, sachant les ennemis non loin.
-Promettez moi de les sauver. Insiste-elle.
-Promis. Il la regarde droit dans les yeux.
-Promettez moi d'être prudent.
-Bien sûr. Il lui ouvre la porte du taxi. Elle se retourne vers lui, la voix tremblante.
-Promettez moi qu'on se reverra.

Les deux se regardent et Olivia se rapproche pour embrasser Snicket qui contre toute attente recule.

-Je... Désolé mais je ne suis pas très...Enfin...Il rougit légèrement ce qui le rendait plus adorable mais la situation devenait gênante. On se reverra, je vous le promets. Cette histoire n'est pas finie.
-Merci...Elle sauta dans le taxi, lui souriant, et il lui donna sa lunette. Elle démarra et parti au loin.

Mais derrière Snicket, l'ombre du Comte de fit enfin voir et il reprit de sa voix d'agent du chaos :

-En fait, elle se termine ce soir.
-On va voir ça. Le défie Snicket.

Olaf se mit alors à fuir vers le saloon, suivit par un Jacques marchant calmement mais avec charisme. Il entra dans le saloon et signifia sa présence :

-Ça ne sent pas le déjà-vu ? Un héros, un méchant, un saloon poussiéreux...
-On peut toujours varier un peu. Lance Olaf en se relevant avec un sourire confiant derrière le bar et lance une bouteille sur Snicket qui l'esquive sans problème. Olaf se cache de nouveau derrière le comptoir et Snicket se rapproche encore.
-Tu n'en as pas marre des plans ? Des costumes ? De la même routine encore et toujours ? Tout serait terminé si tu me suivais sans un mot.

Un léger bruit de pas se fit entendre par Snicket, derrière lui, mais il retourna son attention vers Olaf. Il ne savait pas ce qui se cachait dans l'ombre du saloon, et Olaf non plus. Snicket se pencha alors par dessus le comptoir mais un bruit de piano se fit à des côtés et Olaf se tenait là, appuyant sur les touches.

-Je préfère faire du bruit ! Il attrape une lance de la tête de sanglier se trouvant là et la jette en direction de Snicket qui esquive et elle vient se planter dans la cible. En plein dans le mille.
-Tu as fait mouche.
-C'est du sanglier. Et n'essaie pas de flatter mon égo Snicket. J'en ai assez de toi et de ton organisation !
-Tu ne pensais pas ça avant. Jacques reste calme et approche doucement. Tu étais des nôtres, tu pourrais le redevenir. Il est dans le dos de Olaf qui lui sourit tel le diable mais ça, Snicket ne le sait pas. Je sais ce qui s'est passé à l'Opéra et j'en suis désolé.
-Vraiment ? Demande Olaf avec une voix sombre et ironique.
-Vraiment. Lance Jacques, sincère. Olaf se tourne vers Jacques qui tends sa main. Rends toi. Je te promets qu'on ne t'assommera pas de reproches, mon vieux.
-Je ne peux pas en dire autant.
-Comment ça ?

Olaf lève les yeux au plafond puis semble agacé.

-J'ai dit que je ne peux pas...Jacques leva les yeux lui aussi et aperçu un énorme livre, lâché par Esmé, lui tomber dessus et l'assomer sous le sourire satisfait de Olaf...En dire autant. Il tomba allongé au sol tandis que Esmé descendit à son tour par la rampe de l'ancienne caserne.
-Les vieux avaient raison. Les livres sont dangereux.
-Au moins les plus lourds. Les deux ricane et Olaf attrape son nouveau jouet. Regarde ! Un pied de biche qui traîne. Jacques lève les yeux, encore par terre, vers Olaf. C'était toi ou moi, mon vieux.

Le Comte leva son arme et s'apprêtait à donner le coup fatal mais s'était sans compter sur la grenade de fumée qui roula aux côtés du petit groupe, dégageant une fumée noire et épaisse qui brûlait les yeux et la gorge. Une ombre rapide glissa discrètement vers Snicket qui crachait ses poumons, encore au sol. Impossible de savoir si c'est un homme ou une femme mais Jacques ne se concentrait pas sur ça pour le moment. Elle portait un masque à gaz et en plaça un sur le visage de Snicket. Elle le regarda fixement et se rapproche de son oreille pour glisser :

-Je suis là pour aider. Ne vous inquiétez pas, j'ai tout prévu. La voix était extrêmement calme. Olaf et Esmé s'enfuyaient pour attendre la disparition de la fumée. J'ai tout prévu, levez vous.

Snicket obéit tout en tenant le masque et ne lâche pas des yeux la personne qui part sur un côté et revient avec un...Corps qui lui ressemble à quelques détails près, il a l'impression de se voir. Elle place le corps à la place ancienne de Snicket et se tourne vers lui, lui faisant signe de la suivre. Perdu mais ne réfléchissant pas, Snicket suivi cette personne et ils disparurent alors dans l'ombre et la fumée.

Peu après, les deux agents du chaos entrèrent, la fumée disparu aussi, et virent le corps sans vie de Snicket. Ils penseront alors tout les deux que celui-ci c'est étouffé avec la fumée mais ils ne sauront jamais qui a fait ça et ne chercheront pas a le savoir car ils étaient débarrassé du problème et leur plan allait fonctionner.
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Au petit matin, réveillé par les corbeaux, le village se lèvera bientôt mais les orphelins se dirigeaient déjà avec une nouvelle machine pour sortir Snicket de sa prison vers le commissariat. Mais ils ne s'attendaient pas à ce qui allait se passer.

Derrière la prison, là où ils se trouvaient, un homme passa en hurlant derrière eux :

-Le comte Olaf a été assassiné !
-Quoi ?! S'exclamèrent les trois orphelins en même temps.
-Il a dit "Le comte Olaf a été assassiné !" Cria alors une dame passant derrière l'homme.
-Qu'ont-ils dit ? Violette et Klaus, épaule contre épaule, étaient perdus. Et derrière eux arriva le fameux et unique...
-Ils ont dit : Le Comte Olaf a été assassiné.

Olaf.
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-Olaf a été assassiné ? Mr.Poe regarde les orphelins sans comprendre lui non plus.
-Olaf n'a pas été assassiné ! Attaque Klaus, exaspéré et triste. C'est Jacques Snicket...

Deux hommes emmenaient le corps de Snicket sur un brancard roulant au loin, passant sous le regard abattu et maussade des orphelins.

-Allons-y. Dit alors doucement Hector en arrivant derrière eux. Vous ne devriez rien voir de tout ça.
-Une seconde mec ! Le "détective Dupin" qui n'était autre que le monstre Olaf poussa un peu en arrière Hector et se plaça devant les Baudelaire. Ce n'est pas cool de renvoyer les suspects d'un crime.
-Suspects ? Lance Klaus, choqué. Si il y a un coupable, c'est vous !
-C'est encore moins cool de contredire le détective Dupin.
-Dupin n'est pas votre...
-Silence ! Approchez ! S'écrit alors une voix au fond, sur la place. Il s'agit du conseil.
-Le conseil des Anciens a convoqué une réunion urgente.
-Il y en a beaucoup récemment. Lance une femme dans la foule. J'ai pris du retard dans mes séries.
-Il est impératif que nous parlions de ce meurtre mystérieux. Lance alors l'homme âgé.
-Ce n'est pas impératif. C'est absolument indispensable ! S'exclame alors "Luciana".
-Imperatif signifie absolument indispensable, Esmé. Dit simplement Klaus.
-Je ne m'appelle pas Esmé, mais Sarah Pétunia Alexandra Maryellen.
-C'est ce qu'elle a dit hier ? Reprends la femme de la foule.
-Mais appelez moi officier Luciana. Il est de mon devoir d'emprisonner les criminels et Jacques était en sécurité dans sa cellule hier soir.
-Qui est Jacques ? Attaque l'aigrie du conseil.
-C'est...C'est le surnom du comte Olaf ! Et je suis la seule ayant sa clé, son décès est donc un mystère.
-J'adore les mystères. Relance la femme du peuple. Surtout s'ils ont lieu dans un village, et que le détective a une drôle de voix.
-Vous avez raison les vioques ! Lance "Dupin". Heureusement pour vous, je suis un super détective télégénique. Et j'ai déjà résolu l'affaire !
-Comment c'est excitant !
-C'est affreux ! Un innocent est mort ! Reprends Violette.
-Je suis aussi choqué que vous. Interpelle alors Mr.Poe. Mais Omar n'était pas innocent.
-Comte Olaf. Le corrige de nouveau Klaus.
-Vous voyez, même son nom me donne des frissons. Son sourcil et l'oeil tatoué sur sa cheville...Brrr...
-Pas un œil ! Ce sont les lettres V-F-D ! S'enerve Klaus.
-C'est absurde ! Pourquoi se serait-il fait tatouer le nom de la ville ?
-On ne sait pas ! Mais le vrai Olaf, c'est lui ! Exaspéré, Klaus pointe du doigt "Dupin".
-Et le commissaire est Esmé d'Eschemizerre. Lance Violette. La foule est choqué par les révélations, ne sachant pas si elles sont vraies ou fausses. Ils ont enlevés les Beauxdraps et assassiné Jacques Snicket !
-C'est mômes ont perdu la boule ! Relance Dupin. Je suis la star des hommes de loi. Je ne ferais pas de mal à une mouche. Mais visez un peu ça. Ils me montrent de leur petit doigt osseux parce qu'en fait, ce sont eux, à 100%, les meurtriers ! Tout le monde est sous le choc et la surprise.
-Impossible ! Ce sont des enfants. Réponds Mr.Poe.
-Vous devez avoir des preuves pour lancer cette étonnante et magnifique accusation détective Dupin. Défends alors Esmé.
-Correcto la policière ! Réponds Olaf, en plein jeu. Ce n'est pas cool d'accuser quelqu'un de meurtre sans preuve. Heureusement, je suis un détective génial et j'en ai trouvé. Il pointe du doigt ses acolytes déguisés qui jouent alors un air de musique. Ces orphelins sont méga louches. Ils débarquent dans votre village et entrent dans la prison. Ils s'adonnent au leurre et au pillage. Avec l'aide de ceci ! Il attrape les plans de la prison dans la veste de Klaus. Des plans ! Eh ouais ! Il le déplie devant la foule. Grâce a eux, les Baudelaire ont pu trouver une faiblesse dans le mur, pour pouvoir utiliser...Il montre un de ses acolytes amener leur machine pour secourir le défunt Jacques Snicket. Qu'est-ce que c'est que ça ?
-On dirait une sorte d'appareil mécanique. Réponds la personne.
-Oui ! Un appareil mécanique complètement dingue que les Baudelaire ont utilisé. Ils ont fait un trou dans le mur de la prison. Ils sont entrés à pas de loup. Et ils ont fait la peau au comte Olaf dans votre dos. Les orphelins ! La foule claqua des doigts en rythme.
-C'est scandaleux ! Lance le vieil homme.
-C'est faux ! Réponds Klaus.
-Ces plans et cet appareil ne sont pas à vous ? Demande alors l'aigrie.
-Si. Mais on est pas des meurtriers ! Réponds à son tour Violette.
-Elle a raison. Reprends Dupin. Ces deux là, il montre les deux aînés, ne sont pas les meurtriers. Ils sont complices.
-Ceux qui aident le meurtrier. Leur glisse Mr.Poe.
-On sait ce que ça signifie ! S'énerve Klaus.
-De quoi parlez vous ? Questionne alors la femme plus douce du conseil.
-Parlez leur de ce dont vous parlez. Lance Esmé.
-Je parle des traces de dents sur le corps du Comte Olaf. Il n'y a aucune personne assez nase pour l'ordre quelqu'un à mort. L'assassin qui a assassiné le Comte Olaf c'est nul autre que Prunille Baudelaire ! Dupin a annoncé son plan finale.

Il est vrai que Prunille, la plus petite, mais ne sachant même pas parler, avait des dents de fer et pouvait les utiliser pour tout et n'importe quoi. Elle pouvait tailler un caillou à l'aide de celle-ci.

-Elle a les dents étonnamment pointus, mais...Défends Mr.Poe.
-Et c'est une tueuse ! Réplique Dupin. Un bébé tueur aux dents mortelles. Matez les chicots !
-Notre sœur n'a mordu personne a mort ! Attaque Violette. Le détective Dupin ment ! -Au lieu d'accuser des détectives cool, vous devriez vous préoccuper des accusations contre vous. Réplique-t-il.
-Sí, sí. Ils devraient nous donner leur alpaga. Lance Esmé.
-Oui ! Une seconde, quoi ? Demande Mr.Poe.
-Alibi ? Propose une personne.
-Oui ! Leur alibi ! Relance Esmé.
-Les Baudelaire, où étiez vous hier soir, entre le crépuscule et l'aube ? Demande l'aigrie.
-On était chez Hector. Énonce Klaus.
-Il vous le dira. Violette et Klaus ainsi que les tout le monde se tourne vers Hector.
-Dites leur qu'on était avec vous. Le supplie Klaus.
-Eh bien...Je...En fait...
-Hector, je vous en prie. Quémande Violette.
-Hector on attends. Reprends la douce du conseil.
-Non, non, pas ça...Klaus panique en voyant Hector tourné de l'œil.
-Oh non...Suit Violette. Hector... Celui-ci semble se concentrer pour rester debout.
-C'est vrai ! Ils étaient avec moi. Ce ne sont pas des meurtriers ! Hector a réussi à tenir pour le plaisir des orphelins.
-Et d'où viennent ces objets Hector ? Reprends le conseil. Leur avez vous donné des matériaux illicites malgré les règles de VFD ?
-Hector n'a rien fait. Le défends Violette.
-Vous voulez faire tomber un innocent avec vous ? Reprends Dupin. Ça craint un max.
-On en assez entendu ! Les preuves sont claires ! Décide de conclure l'aigrie.
-Nous avons adopté des meurtriers. Annonce alors l'autre femme.
-VFD ne peut plus servir de tuteur a des orphelins aussi infâmes. Continu l'homme.
-Le procès est donc terminé. On devrait les brûler vifs ! Reprends Esmé.
-Attendez ! Ce sont des enfants ! Défends Mr.Poe.
-N'attendons pas ! Ce sont des meurtriers ! Lance un homme dans la foule. Brûlons les maintenant ! La foule semble acquiescer.
-Un instant. Coupe l'aigrie. On ne peut pas brûler des gens quand nous le voulons. Nous sommes civilisés. Grand silence.
-Après dîner alors ? Propose la deuxième femme.
-D'accord. La foule applaudit.
-Je vais garder ces monstres en prison. Conclut alors Dupin.
-On ne vous suivra pas ! Attaque Klaus.
-Vous refusez d'obtempérer ? Patronne !
-On peut faire ça discrètement. Glisse Esmé. Ou on peut faire beaucoup de bruit. Dit-elle tout en sortant sa matraque.
-Rendez vous au bûcher. Leur lance Olaf avec un grand sourire.
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Une ombre, cachée derrière un mur d'une des maisons, observait la scène discrètement, son sourire ayant disparu et une expression très sombre et inquiète ayant apparu sur son visage.

-C'est pire que je le pensais...Il va falloir que vous vous en sortiez sans mon aide cette fois les Baudelaire.

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