3 jours étaient passés et Sasuke n'avait pas remit un pied au parc. Voulant tirer un trait sur cette fille, il s'était dit préférable de ne plus retourner la voir. Même s'il ne l'avouerait jamais, il savait que sa musique lui manquerait. Mais il en était mieux ainsi.

Pour ce qui était question de ses rêves. Il avait retrouver une sorte de stabilité. C'était toujours le même rêve, avec cette femme et ses enfants, dans cette maison. Mais il n'allait pas se plaindre de cette répétition, c'était toujours mieux que ses cauchemars insoutenables.

Après s'être préparé et s'être rempli l'estomac, l'Uchiwa s'élança vers la sortie. Cependant une chose attira son regard vers la fenêtre. Il tombait des cordes. Une pluie ravageuse s'abattait dehors. Il se résolu à appeler Kakashi, préférant le sec de la voiture plutôt que l'humidité de la pluie.

Le trajet se passa dans le plus grand des calmes. L'Uchiwa ne décrochait pas un mot et son chauffeur n'osait briser le silence. Le jeune homme n'avait pas besoin qu'on lui parle de bon matin. Lui, préférait se perdre dans les oublis de l'eau. Malgré que la pluie était un inconvénient pour lui, il devait se l'avouer qu'elle en était un beau spectacle. Les gouttes s'entremêlaient entre elles, dansaient gracieusement avant de toucher le sol. Et leurs chants résonnaient comme une douce mélodie aux oreilles du garçon.

Il entra dans la salle de réunion, où, encore une fois, l'attendaient ses salariés patiemment. La présentation du projet aux concepteurs se passa royalement bien. Tout le monde était favorable à la création de Toyzu et personne émît une seule opposition. Sasuke commença d'énumérer ses idées pour la conception. Un débat apparue sur certaines matières qui étaient pas assez écologiques, ce qui pouvait ternir l'image de la boite. L'uchiwa prit en compte l'opinion de chacun et le rendu final fût au delà de ses espérances, plus qu'exceptionnel.

Sasuke : « bien récapitulons. Toyzu sera créé à partir de matériaux le plus écologique que possible. Ensuite le produit sera façonné selon l'envie de l'acheteur. Il sera ludique mais également un soutien scolaire pour l'apprentissage. Il parlera japonais, français, anglais et espagnol. Il aura une fonctionnalité sécuritaire en cas de danger potentiel. Reste plus qu'à mettre en pratique nos idées. Je contactera notre agence publicitaire pour la futur pub de notre produit. Bonne chance à vous ! »

Chacun se dépêchèrent d'aller mettre la main à la patte au plus vite alors que le pdg regagnait son bureau, satisfait. Karin, l'interpella au moment où celui-ci allait franchir les portes.

Karin : « Monsieur Uchiwa ! »

Sasuke : « Hm ? »

Karin : « Monsieur Hyuga a appelé, il a dû reporter son rendez-vous, un de ses enfants s'est blessé alors qu'il jouait au parc. Il s'excuse pour son empêchement. Il demande si demain vous conviendrait-il ?»

Sasuke : « Hm je vois. Rappelez le pour confirmer le rendez-vous et demandez des nouvelles de son enfant par la même occasion. »

Karin : « Bien Monsieur. »

Sasuke : « Ah, j'allais oublié ! Contactez Mlle Yakumo. J'ai besoin d'elle prochaine pour développer une publicité ! »

Karin : « Tout de suite, Monsieur. »

Sasuke : « Merci Karin. »

Sasuke s'assit sur son fauteuil fixant la fenêtre d'un air fasciné. Il pleuvait toujours autant mais ça n'avait pas l'air de le déranger au contraire. Il se perdit dans la contemplation de la pluie, oubliant tout ce qui se passait autour. C'était assez idiot de rester admiratif devant des gouttelettes d'eaux tombant du ciel. Mais pour l'Uchiwa s'était plus profond que ça. Il avait l'impression d'avoir une autre perception du monde que les autres. La pluie reflétait, pour lui, un ange triste, pleurant toutes les larmes de son corps. Le soleil était un présent de Dieu pour remotiver les êtres vivants. Le vent était un soutien à la Terre pour l'aider à tourner sur elle même. Et le tonnerre était là pour montrer la colère de toutes les divinités aux Hommes qui osaient négliger mère Nature. Chaque changement climatique avait une signification à ses yeux. C'était toujours un spectacle au quel il aimait bien assister. Et ça lui était égal d'être prit pour un fou. De toute façon, cela faisait bien longtemps qu'il ne portait pas la moindre attention à l'avis des gens.

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3 jours étaient passés et Sasuke n'avait pas remit un pied au parc. Hinata s'était rendu à l'évidence il voulait tirer un trait sur elle. Elle le savait après tout. Dès qu'on met l'Homme face à ses démons, il préfère prendre la fuite plutôt que de les combattre. Pour plusieurs raisons. La première, c'est que c'est moins fatiguant. La deuxième, c'est moins douloureux. Et la troisième, parce que la fierté en prend un coup. S'apercevoir qu'une inconnue à su mettre un mot à sa douleur alors que lui n'a jamais trouvé la cause, à toujours un impact sur son égo. Au début il y a la stupéfaction, on est sans voix, ébahi prend tant de lucidité, il faut du temps avant de reprendre ses esprits. Ensuite on à l'incompréhension, on se demande où la personne voulait en venir, quelle était ses sous-entendus. Après on a le déni. On ne veut pas croire à ses paroles. On se dit qu'elle se trompe, que ce n'est pas nous. Parce que si c'était nous on aurait remarqué le problème depuis longtemps déjà. Puis vint la colère. On ne supporte pas que cette personne puisse dire de telle chose. On lui en veut. On se dit qu'elle a un énorme culot. Et enfin la dernière étape, le rejet. On ne veut pas accepter ses paroles alors on ne veut plus voir la personne. Préférant tirer un trait sur elle plutôt que de se remettre en question. On se berce d'illusions, se disant qu'avant qu'elle n'entre dans notre vie tout allait pour le mieux. 

C'était tellement facile de le comprendre parce qu'elle aurait réagi de la même façon si une personne lui avait dit les mêmes choses. D'ailleurs partir loin, lui avait permis que ce genre de situation ne lui arrive pas. Être percé à jour n'est pas forcément la meilleure solution pour être aider. Mais dans l'état où était Sasuke, s'était la seule.  Sauf que, maintenant qu'il ne venait plus à leur petit rendez-vous hebdomadaire, elle n'avait plus le moyen de l'aider. Elle avait besoin de lui pour le changer s'était indéniable. Sans lui, il n'y aurait pas de changement. Sans lui il n'y aurait pas de rebondissement. Sans lui il n'y aurait pas d'histoire.

Les deux jours qui avaient précédés, elle s'était rendue au parc. Encore. Patientant des heures durant. Encore. Sur ce même banc. Encore. Sauf à la différence près qu'elle n'avait plus aucun espoir quant à sa venu. À chaque fois elle rentrait chez elle le coeur lourd. Le jeune homme lui trottait en tête même la nuit, l'empêchant d'avoir un sommeil réparateur. Elle en venait même à s'en vouloir pour ses propos qu'elle avait eu. Peut-être qu'elle n'aurait pas dû être aussi brusque ? Ou peut-être elle n'aurait pas dû être aussi direct ? Peut-être qu'elle aurait dû prendre des pincettes ? Ou peut-être qu'elle aurait dû l'aider dans l'ombre sans lui en parler directement ?

Elle se prit la tête dans ses mains. Raaah ce que les hommes pouvaient être borné. Comment allait-elle faire ?

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Dring.

Sasuke : « oui ? »

Anko : « Allo ? Oui Monsieur Uchiwa. Désolée de vous dérangez mais une personne est là pour vous. »

Sasuke : « une personne dites-vous ? Pourtant je n'ai pas de rendez-vous aujourd'hui. »

Anko : « je le sais bien mais elle dit que c'est urgent. »

Sasuke : « Bien faites-là monter. »

Anko : « c'est que.. elle ne veut pas rentrer ? »

Sasuke : « comment ça entrer ? »

Anko : « Bah elle patiente dehors et refuse de mettre un pied dans le hall. »

Sasuke : « je n'ai pas le temps pour ça. Qu'elle reste dehors alors. »

Puis l'Uchiwa raccrocha, les sourcils froncés. Mais cela ne s'arrêta pas là. Le téléphone sonna à nouveau.

Sasuke : « Que voulez-vous encore Anko ? »

Anko : « Monsieur.. c'est que.. je suis confuse.. mais.. »

Sasuke : « je n'ai pas été assez claire ? »

Anko : « Si si mais.. »

Sasuke : « bah alors pourquoi me rappelez vous ? »

Anko : « C'est qu'elle a insisté pour vous voir. Elle dit qu'elle vous connais et ne bougera pas tant qu'elle ne vous aura pas vu. »

Sasuke : *soupire* « bien. J'arrive alors. »

Sasuke descendit les marches d'escaliers excédé par la situation. Pourquoi ne pas prendre l'ascenseur me direz-vous ? Et bien il ne voulait pas faire le plaisir à cet inconnu d'arriver rapidement. Si il tenait à le voir il devrait attendre un minimum. L'uchiwa commençait vraiment à en avoir marre. Entre son cousin hier et maintenant ça, il se demandait comment les gens trouvaient tout ce temps libre. Ils ne devaient pas connaître la signification du mot travail. Il était désespéré par leur manque de professionnalisme. Il arriva enfin dans le hall et se dirigea vers l'accueil.

Sasuke : « bien. Où est ce mystérieux inconnu ? »

Anko : « dehors monsieur. »

Il jeta un coup d'œil vers l'extérieur mais ne vit personne.

Sasuke : « mais il n'y a personne. »

Anko : « je.. la personne s'est mit vers la droite, on ne la voit pas de là où on est. »

Sasuke : « sous la pluie ? Elle n'a pas eu l'intelligence de s'abriter sous l'infrastructure du bâtiment. »

Anko : « non monsieur.. »

Sasuke : « je vous jure, certains ne manque pas de toupet ! Bon. Allons voir qui est l'idiot qui m'a fait me déplacer jusqu'à lui. »

Le jeune se dirigea en direction de la sortie. Il n'était plus à quelques mètres. Il n'avait pas de parapluie, ce qui l'irritait assez. Il continua son ascension, passa le pas de la porte et tourna à droite se retrouvant nez à nez avec..

Sasuke : « vous ? »

Taiyo (Hinata) : « bonjour Sasuke ! »

Sasuke : « que faites-vous ici ? Et qu'est-ce que vous me voulez ? »

Taiyo (Hinata) : *surprise par tant de fermeté* « oh.. je.. et bien.. comme je ne vous voyais plus au parc, je me suis fais du soucis et je me suis dis, pourquoi ne pas lui rendre visite ? »

Sasuke : « vous n'auriez pas dû. »

Taiyo (Hinata) : « pourquoi ? »

Sasuke : « écoutez, j'ai beaucoup de travail. Je n'ai pas le temps de blablater sous la pluie avec vous. J'ai une entreprise à faire tourner alors vous m'excuserez mais je dois y aller. »

Taiyo : « attendez ! »

Sasuke : « qui y a-t-il encore ? »

Taiyo : « vous me fuyez à cause de ce que je vous ai dit l'autre jour ? J'ai simplement voulu vous aidez. »

Sasuke : « je ne vous ai jamais demandez d'aide. »

Taiyo : « si on attendait que les gens viennes nous voir pour les aidez on serait tous psychologue, vous ne pensez pas ? »

Sasuke : « ce que je pense à l'heure actuelle c'est que j'ai du boulot. »

Taiyo : « arrêtez de fuir à chaque fois ! »

Sasuke : « si c'est comme ça que vous le voyez tant mieux pour voir. Bien je vous laisse. Une voiture peut être mit à disposition pour vous ramenez si vous le souhaitez. »

Taiyo : « moi je souhaite que vous aidez.. »

Mais l'Uchiwa était déjà parti, n'entendant pas sa dernière phrase. Il monta deux par deux les marches aillant la même humeur qu'en les descendant. Elle ne pouvait pas lui foutre la paix. Il arriva aux derniers étages sans aucun essoufflement. Décoiffé par la pluie, une mèche de cheveux descendait sur son visage, le rendant plus séduisant qu'il ne l'était déjà. Ce qui n'échappa à toutes les salariés féminines qui croisaient son chemin. En particulier une, à la crinière de feu. Il passa devant elle, sans un regard, sans une parole et claqua la porte de son bureau.

Pdv Karin.

Je senti, le rouge monté aux joues lorsqu'il passa devant moi. J'étais consciente d'avoir un copain, que j'aimais de tout mon être, mais que vouliez-vous ? Le charme de Sasuke..  hm pardon, de Monsieur Uchiwa me déstabilisais. Il a un tel charisme, une telle prestance, que je ne pouvais rester indifférente. Il est comme une bonne grosse part de gâteau aux chocolats, sur laquelle on salive dessus lorsqu'on est en plein régime. Et puis fantasmer sur quelqu'un d'autre n'était pas vraiment de la tromperie, si ? Comme dirait le dicton : « ce n'est pas parce qu'on est au régime qu'on ne peut pas regarder la carte du menu ». Et puis si cela pouvait amener à un combat final entre sugietsu et Sasuke, je ne dirais pas non ! Ça serait tellement romantique.

Sasuke : « Karin. Karin. KARINN !! »

Karin : « HIN ?! QUOi?! Monsieur Uchiwa ! Excusez-moi.. je ne.. »

Sasuke : « laissez-tomber ! Allez me chercher une serviette je suis complètement trempé ! »

Karin : « bien monsieur. »

Sasuke « merci Karin »

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Hinata arpentait les rues de Tokyo à la recherche d'une autre idée. Dépitée par son échec d'il y a quelques minutes. Elle n'avait pas prévu qu'il soit aussi coriace. Elle avait pensé qu'il aurait suffit qu'il la voit en vrai pour qu'il se remette en question mais ça avait fait l'effet inverse. Malgré ce plat total, la jeune fille n'allait pas en rester là. Et c'est seulement lorsqu'elle vu un couple monter dans un immeuble, qu'elle eu l'idée divine. Elle se mit à courir sous la pluie, essayant d'éviter tant bien que mal les passants. Elle rentra dans son bâtiment et monta deux par deux les marches. Arrivée à son appartement, elle s'empressa de trouver un numéro qu'elle avait noté sur un bout de papier. Une fois trouvé, elle composa les chiffres sur son téléphone et laissa la sonnerie retentir.

Hinata : « Allo ?! Oui ? Monsieur Sarutobi ? Vous pouvez être là dans 10 minutes ? Génial ! Merci beaucoup ! »

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Sasuke regarda l'heure sur son téléphone. 19h23. Un bâillement s'échappa de sa bouche, ce qui signa la fin de journée. Il s'étira pour retrouver souplesse dans ses membres. Puis ramassa ses affaires et s'en alla du bureau. Il décida de marcher jusqu'à chez lui, à pied, pour se dégourdir les jambes. Ses pensées dérivèrent vers Taiyo. Il se demandait s'il n'avait pas été un peu trop fort avec elle. Après tout, ce qu'elle avait fait partait d'une bonne intention. Même s'il voulait qu'elle se mêle de ses affaires, devait-il lui en vouloir pour ça ? Ce doute l'accompagna tout le long du trajet. Tellement prit dans sa réflexion, il ne remarqua même pas qu'il était déjà arrivé.

Machinalement il ouvrit la porte de son immeuble, monta les quelques marches qu'il le séparait de son appart et ouvra la porte. Il resta figé devant la scène qui se déroulait devant lui. Là, sur le canapé, était assit tranquillement Taiyo (Hinata), sourire aux lèvres et le regard doux. À côté de la porte se trouvait deux grosses valises grise et bleu, appartenant certainement à la jeune femme. Le sang de Sasuke ne fit qu'un tour et il senti la colère monter en lui.

Sasuke : « MAIS.. MAIS.. QU'EST-CE QUE VOUS FOUTEZ CHEZ MOI ?! »

Taiyo : « et bien comme ma venue à votre travail n'a pas changé la situation, je me suis dis que je devais venir directement chez vous »

Sasuke : « MAIS.. MAIS.. COMMENT AVEZ VOUS FAIT POUR RENTRER ?! MON APPARTEMENT EST TOUJOURS FERMÉ À CLÉ ! »

Taiyo : « j'ai usé de mon charme au près du concierge. Je lui ai dit que j'étais votre compagne et que je venais emménager chez vous. Au début il était septique mais après deux battements de cils, il a fini par me croire. Et puis j'avais mes deux grosses valises pour appuyer mon mensonge. »

Sasuke : « MAIS QUEL BRAS CASSÉ CELUI-LÀ !! Et attendez une petite minute.. EMMÉNAGER ?! »

Taiyo : « oui. Je n'ai plus d'appartement, du coup je me suis dis pourquoi ne pas venir ici. »

Sasuke : « HORS DE QUESTION ! Allez chez votre père ou chez votre frère ! »

Taiyo : « Mon père est en voyage d'affaire et mon frère ne peut pas m'héberge. Son fils s'est blessé plus tôt dans la journée. »

Sasuke : « mais vous ne pouvez pas rester ! Enfin.. vous êtes une fille et moi un homme ! Ce n'est pas possible. »

Taiyo : « Êtes-vous troublez par ma présence ? »

Sasuke : « absolument pas. Vous dites n'importe quoi ! »

Taiyo : « ah bon ? Alors pourquoi venez vous de me sortir cette phrase ? Vous êtes réticent vis-à-vis des relations homme/femme ? »

Sasuke : « PASSONS. Je veux bien que vous passiez quelques nuits mais je ne veux pas que cela s'éternise sur le temps ! »

Un sourire plus grand apparut sur le visage d'hinata. Inconsciemment elle se lança dans les bras de l'uchiwa et l'enlaça chaleureusement pour le remercier. Avec l'élan, le parfum de la brune arriva violemment dans les narines du jeune homme et le contact avec elle fût comme une agréable décharge. Il se crispa directement. Car mise à part sa mère il n'avait jamais eu de geste affectif avec une femme. Hinata remarqua le trouble du jeune homme et s'écarta rapidement. Prenant conscience de son geste elle sentit ses joues rougirent. Toute son assurance s'envola d'un coup. Elle essaya de balbutier de maigres remerciements.

Taiyo : « ex-excusez moi.. et.. euh.. merci Sasuke.. »

Sasuke reprit très vite son sang-froid et alla lui montrer la chambre d'ami sans rien laisser paraître. Après lui avoir emmené ses valises, il s'enferma dans sa chambre pour prendre une bonne douche glacée. Il inspira un bon coup, il regrettait déjà d'avoir accepté qu'elle reste.