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⚠️ VIOLENCE ⚠️
PasqualeDiNuzzo
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Passage dans la vraie vie
- C'est forcément des personnes qui ont accès au cassettes aussi et qui les remanient à leur guise. Donc c'est forcément un complice de Javier. - Dît Karol en voyant toutes les publications à son égard sur Instagram.
- Oui mais c'est impossible de savoir de qui il s'agit. On a attrapé les trente complices de Javier plus Malena et Carolina. - Dit Ruggero en tirant sur ses cheveux alors qu'il marchait d'un côté et de l'autre de la chambre, préoccupé.
- Chéri, tu ne veux pas t'asseoir ? - Lui proposa-t-elle en tapotant la place libre à côté d'elle dans le lit.
L'italien hocha la tête et s'allongea à côté de sa petite amie avant de l'embrasser sur le front.
- Je suis inquiet. Je ne veux pas que tu sois affectée par toutes ces vidéos et ces insultes. Je ne veux surtout pas que tu penses des mauvaises choses de toi. Tu es une victime dans toute cette histoire et tu ne mérites pas de passer par tout ça.
Ruggero prit le visage de Karol dans ses mains pour la regarder dans les yeux. La mexicaine passa sa main sur la joue de son petit ami et lui sourît tendrement. Ils rapprochèrent leurs visages l'un de l'autre et s'embrassèrent avec douceur.
- Je t'aime. Merci d'être toujours là pour moi. Je ne sais pas ce que je ferai sans toi.
- Arrête de me remercier mon amour. Tu sais que je serai toujours là pour toi. - Dît-il en l'embrassant sur le haut de la tête alors qu'elle se réfugiait dans ses bras.
- Et tu sais que moi aussi je serai toujours là. Je ferai n'importe quoi pour toi.
Ils se serrèrent dans les bras et restèrent dans cette position avant de s'endormir.
***
Vers une heure et demi du matin, Karol remuait dans le lit, toute transpirante. Encore un cauchemar. Elle se redressa légèrement et posa sa main sur sa tête en sentant son mal de tête revenir. Elle se leva du lit pour entrer dans sa salle de bain et passer de l'eau sur son visage.
C'est là qu'elle entendit un bruit qui venait de l'étage du dessous. Rapidement, elle accourut au lit pour réveiller Ruggero. Celui-ci se réveilla rapidement.
- Qu'est-ce qu'il se passe mon amour ? Tu te sens pas bien ? - Se redressa-t-il sur le lit.
- J'ai entendu du bruit à l'étage du dessous. - Dit-elle angoissée.
- Tu es sûr ? - Lui prit-il ses mains.
- Pendant que je nettoyais mon visage dans le lavabo, j'ai cru entendre un bruit de porte...
- Tu veux que j'aille voir ? - Lui demanda-t-elle.
- Non non, c'est peut-être aussi juste mon imagination. Je viens de faire un cauchemar.
Ruggero lui sourit tristement et la fit s'asseoir sur le bord du lit pour la prendre dans ses bras.
- Je suis là ma princesse, il ne t'arrivera rien. - Lui caressa-t-il le dos alors qu'elle tremblait.
C'est alors qu'ils entendirent des pas dans les escaliers. Karol se détacha rapidement apeurée.
- Tu as entendu ?
- Oui... Je vais aller voir. - Dît-il en se levant.
- Je viens avec toi. -
- Non. Tu restes ici, en sécurité. - Lui dît-il lui caressant la joue.
- Mais si c'est un voleur ? - Lui demanda-t-elle inquiète.
- Je vais prendre de quoi me défendre au cas où. - Dit-il en enlevant les fleurs du vase sur sa table de nuit pour les prendre. - Reste ici, d'accord.
- Je vais appeler la police quand même.
L'italien hocha la tête pour dire qu'il approuvait son idée. Ruggero sortit de la chambre juste après que Karol ait passé l'appel. La mexicaine se leva doucement du lit, décidée à s'assurer qu'il n'arrive rien à la personne qu'elle aimait le plus au monde.
Ruggero avançait prudemment dans le couloir sombre jusqu'aux escaliers avec le vase à la main. Il s'apprêtait à descendre les escaliers lorsque Karol vit le rideau de la buanderie bouger légèrement juste derrière lui. Elle cria lorsqu'elle vit un homme cagoulé en sortir et planter quelque chose dans le cou de Ruggero.
Elle courut vers son petit ami qui perdit directement l'équilibre à cause de ses muscles qui ne répondaient plus et tomba au sol après avoir fermé les yeux. Pendant ce temps, l'homme cagoulé donna un coup de pied dans le vase pour le faire tomber dans les escaliers où il se brisa en mille morceaux.
Ensuite, il ne perdit pas de temps et prit la nuque de Karol dans ses doigts pour la ramener brusquement vers lui. Elle n'eut le temps de finir de prononcer une phrase qu'il la frappa au visage en la bousculant contre le mur avant de lui redonner un autre coup.
Étourdie, elle vit flou pendant plusieurs secondes et lorsque sa vue redevint normale, elle vit l'homme porter Ruggero et se diriger vers la chambre.
Karol se leva rapidement, malgré sa tête qui tournait et les suivi rapidement.
- Lâchez-le ! Lâchez-le ! Qui êtes-vous ?
L'homme cagoulé balança Ruggero par terre pour se retourner vers Karol et la coincer contre un mur.
- Tu ne me reconnais pas ?
Elle reconnut immédiatement sa voix.
- C'est... c'est impossible. Comment ?
L'homme cagoulé ricana simplement et sortit une corde.
- Dis adieu à ton petit amoureux. Il rejoindra mon fils dans quelques minutes et toi, tu vas venir avec moi.
- Je ne te laisserai pas lui faire de mal. Tu devras me passer sur le corps. - Affirma-t-elle plus sûre d'elle que jamais.
- Tu ne peux rien contre moi. Tu es bien trop faible.
- Ne me sous-estime pas. Tu ne sais pas de quoi je suis capable lorsqu'on touche aux personnes que j'aime. - Dît-elle en le voyant dérouler sa corde.
- Oui, je sais. Tu as toujours su protéger ton frère. Pourtant tu as échoué avec Renata et avec José, alors Ruggero fera parti de tes échecs avec eux. - Lui assura-t-il prêt à l'attacher.
Karol lui donna un coup de pied dans sa partie intime. Elle commença à courir rapidement vers la table de nuit, là où se trouvait Ruggero. L'homme cagoulé se remis rapidement de la douleur et couru vers elle pour la plaquer contre le mur et la faire tomber. Dans le processus, la table de nuit tomba sur le sol, faisant tomber tous les objets qui se trouvaient dans le tiroir. La mexicaine sourit et se releva en prenant rapidement le petit ciseau à ongle mais elle tomba sur le sol lorsque l'homme cagoulé lui donna un coup dans son ventre.
- Tu es trop faible et trop lente. Tu ne peux pas me vaincre. - Dît-il en posant un pied sur elle alors qu'elle était à terre. Il se pencha pour attacher ses mains à son corps sans voir le petit objet qu'elle cachait et se releva rapidement en ricanant. - Je vais évidemment te laisser profiter du spectacle. - Ajouta-t-il pour la mettre à côté de la fenêtre avant d'ouvrir celle-ci. - Un suicide, quelle dommage non ?
Karol serra les dents en le voyant se diriger vers le corps endormi de Ruggero sur le sol. Elle se dépêcha de couper les fils de la corde avec le petit ciseau. Lorsqu'elle la sentit commencer à tomber, elle la retenue pour ne pas que l'homme ne remarque quelque chose.
En portant Ruggero, l'homme à la cagoule s'approcha de la fenêtre, prêt à la lancer à travers.
Des sirènes de police s'entendaient de l'extérieur et l'homme commença à paniquer. Karol se défit de la corde et poussa les deux corps loin de la fenêtre. L'homme tomba par terre tandis que Ruggero se cogna la tête contre la table de nuit qui était tombée ce qui le réveilla.
- Qu'est-ce qu'il se passe ? - Ouvrit-il les yeux, confus. Il ne voyait pas clairement ce qu'il se passait.
Les sirènes se rapprochaient et Karol sourit malicieusement à l'homme cagoulé.
- C'est fini pour toi. Tu as perdu.
- Non ! Si je dois aller en prison, alors je vais me débarrasser de toi. Ce sera ça ma vengeance. - Dit-il en se relevant et en courant vers Karol pour la pousser à travers la fenêtre.
Elle n'eut pas le temps de réagir, qu'elle sentit l'air frais parcourir tout son corps et celui-ci était en chute libre jusqu'au sol. En tombant, elle avait la vue sur le ciel, et la fenêtre. Elle vit Ruggero passer sa tête à travers la fenêtre avec l'horreur qui dominait son visage. L'italien avait à peine eu le temps de reprendre ses esprits, qu'il avait vu la femme de sa vie être poussée par la fenêtre et tomber.
Le sang de Ruggero bouillait et il se retourna d'un coup sec vers l'homme cagoulé et lui mis un des plus gros coups de poing qu'il n'avait jamais donné. Il plaqua le mec sur le mur et continua ses coups jusqu'à ce qu'il entende des pas dans les escaliers.
- Police ! On vient pour l'appel qu'on a reçu. Un suspect... - Le policier arrêta sa phrase lorsqu'il vit Ruggero frapper l'homme cagoulé contre le mur.
- Il a balancé ma petite amie par la fenêtre ! Appelez les secours ! Arrêtez cet homme ! - Cria-t-il alors que les larmes couler sur son visage.
Les policiers s'approchèrent de l'homme à la cagoule et ils n'eurent pas le temps de dire quoi que ce soit à l'italien que celui-ci dévala les escaliers en moins de deux secondes pour sortir de sa maison et courir là où Karol était tombée. Il cria son prénom jusqu'à trouver son corps sur le trottoir.
- Mon amour ! Karol ! - S'écria-t-il en pleurant avant de s'accroupir à côté d'elle alors qu'il voyait un liquide rouge couler de sa tête. - Tu m'entends ? Tu es là ? Répond-moi.
- Rugge... - Chuchota-t-elle faiblement.
- Tu es encore vivante. - Sourît-il une demi seconde avant que l'inquiétude ne reprenne possession de son visage. - Reste avec moi d'accord. Ça va aller d'accord ? Ça va aller. - Il retira son tee-shirt rapidement et le plia pour arrêter le saignement avec.
- Je t'aime Ruggero. - Dît-elle en tremblant.
- Moi aussi je t'aime. Ça va aller. - Lui caressa-t-il sa joue.
Pendant ce temps, la police sortit avec l'homme cagoulé menotté et le firent rentrer dans leur voiture.
- Les secours sont en route. Ils arrivent d'une minute à l'autre. - Dit un des policiers en s'approchant d'elle. - Parfait, vous avez mis quelque chose pour arrêter le saignement. Tentez de la maintenir éveillée au moins jusqu'à l'arrivée des secours. D'accord ?
L'italien hocha la tête et continua à parler avec Karol alors que les policiers emportèrent l'homme à la cagoulé avec eux.
Il ne fallut qu'une minute et demi pour entendre la sirène des secours.
Ruggero n'avait plus trop la notion du temps. Tout s'était passé rapidement. En quelques minutes, Karol se trouvait sur le brancard dans le camion et luttait pour rester en vie. Il lui tenait la main aussi fort qu'il pouvait alors qu'il voyait ses yeux se fermer de temps en temps.
- Je sais que tu es déjà forte, mais résiste s'il te plaît. Ne me laisses pas. - La regarda-t-il en sentant une larme couler sur sa joue. Il embrassa sa main et s'assit à côté d'elle jusqu'à arriver à l'hôpital.
Là-bas, il ne put évidemment pas rester avec Karol jusqu'au bloc et se rendit à la salle d'attente pour appeler tous ses amis qui se précipitèrent de venir même si c'était en pleine nuit.
Et alors qu'il attendait que les autres arrivent, il s'assit sur une chaise et se demanda pourquoi il n'avait pas réussi à la protéger cette fois. Il n'avait rien fait pour empêcher cela de se produire.
✨♦️✨
Hello !♦️
Voilà le cinquante-troisième chapitre de la deuxième partie de cette histoire ✨
Ne vous fiez pas aux apparences 🤫
😨😨😨
Karol va-t-elle s'en sortir ?
Qui est l'homme cagoulé ? (Il y a des indices, si vous avez trouvé dites-le)
Vous n'imaginez pas ce qui va arriver dans les prochains chapitres 🤭🤭😱😱
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