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MalenaRatner

« Je suis une patronne 💰 »

Aimé par CarolinaKopelioff et 143 autres personnes.

MalenaRatner Déjà 3 ans que je suis madame Malena Ratner de Sevilla 💍❤️‍🔥🔥♠️

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AgusSevilla Quoi ?! Comment ça ?!
↪️MalenaRatner Je suis ta tante par alliance Agustin 😇
↪️AgusSevilla 🤮

KarolSevilla ...
↪️MalenaRatner On est d'accord, c'est un Dieu au lit ? 😛🔥🔥

RuggeroPasquarelli 😱
↪️MalenaRatner 😂

AnaJaraMartinez On est au courant, on vous entend tous les soirs 🙄
↪️MalenaRatner On essaiera de faire moins de bruit la prochaine fois mais c'est difficile avec lui 😏🔥

CarolinaKopelioff Queen 👑🔥🔥
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Une reine 👑🔥🔥
↪️MalenaRatner La seule reine 👑🔥🔥

GuidoMessina Mais il a au moins plus de vingt ans que toi 😵
↪️MalenaRatner Et alors ? L'âge ne compte pas dans l'amour 😏
↪️GuidoMessina C'est très glauque..







Passage dans la vraie vie

Javier, Malena, Carolina et Ana ne s'étaient pas encore présentés au tribunal. Ils y étaient conviés il y a plus d'une heure pour l'audience mais ceux-ci avaient décidé de rester cachés dans leur planque pour ne pas être envoyés en prison. Ils avaient réussi à faire en sorte que personne ne les trouve. Ils croyaient être à l'abris, mais des policiers avaient finalement réussi à trouver leur cachette.

Dans les talky walky des policiers du tribunal, la nouvelle se répandait autant chez les juges que pour Karol, Ruggero, Agustin, Valentina, Giovanna, Pasquale, Chiara, Katja et Jorge qui s'étaient présentés à l'heure au tribunal et qui attendaient que l'audience commence pour pouvoir enfin se débarrasser du gang de Javier.
Ils étaient tous stressés, mais espéraient enfin être arrivés à la fin de ce cauchemar qui dure depuis trop longtemps pour les Sevilla.

Karol était assise sur un banc avec Ruggero, Agustin et Valentina à ses côtés. Elle essayait de rester calme mais rien que l'idée de recroiser le regard de son oncle la terrifiait. Agustin ne se sentait pas bien non plus mais essayait de rester fort pour sa sœur.

- Ils sont arrivés. Preparez-vous à entrer dans la salle. - Annonça quelqu'un qui travaillait ici.

Cette annonce réussit à donner des frissons à Karol qui ne put s'empêcher de trembler.

- Je suis là mon amour. Je ne te lâcherai pas. - Lui chuchota Ruggero à l'oreille en l'embrassant sur le front.

- Oui, et moi aussi je suis là. - Lui Dît Agustin en posant une main sur son dos.

- J'ai peur.. - Dît-elle en essayant de ravaler ses larmes qui menaçaient de couler.

- On est tous là avec toi Karolita. - Ajouta Pasquale en s'approchant d'elle avec les autres.

- Tu n'es pas toute seule. - Lui assura Chiara en lui prenant la main.

- Merci beaucoup d'être là. Vous n'étiez pas tous obligés de venir. - Les remercia Karol en levant les yeux vers ses amis.

- Tu rigoles ? On va affronter ça tous ensemble. On est une famille. - Dît Giovanna en lui souriant.

- On n'allait pas t'abandonner dans un moment aussi important. - Ajouta Jorge.

- Tu peux toujours compter sur nous, tu le sais. - Lui dît Katja.

- Et on est là pour vous protéger Agus et toi. Personne ne vous fera du mal. - La rassura Valentina.

Reconnaissante et touchée par leurs mots, la mexicaine se leva pour les enlacer et tout le monde vint la serrer dans leurs bras pour lui montrer leur amour et leur soutien.

- Vous êtes les meilleurs. Je vous aime tellement.

En bas du tribunal, Javier et ses complices étaient menottés et transportés par la police qui les obligeaient à avancer jusqu'à la salle d'audience.

- Je ne sais pas comment ils ont fait pour trouver notre planque... Elle était pourtant sûre. - Marmonna Javier frustré.

- Ne t'inquiètes pas chéri, on a ce qu'il faut pour se défendre grâce à Ana. - Le rassura Malena.

- Mais oui, vous n'avez pas à vous en faire. J'ai créé toutes les preuves qu'il faut pour démontrer que rejeter la faute sur quelqu'un d'autre et vous dédommagez de tout ce dont vous êtes accusé. - Lui assura la rousse.

- Je suis satisfait, et impressionné. Vous êtes d'une grande aide depuis que vous êtes entrer dans mon gang Ana. Je ne regrette pas de vous avoir recruté. - La complimenta-t-il.

- Vous n'avez pas idée. - Lui dît Ana alors qu'ils arrivaient devant la porte de la salle où se trouvait déjà tout le monde. Elle croisa le regard de Jorge parmi la foule qui lui fit un hochement de tête alors qu'elle acquiesça. L'heure de la vengeance avait sonné.

La porte de la salle d'audience s'ouvrît et tout le monde entra. Les policiers emmenèrent Javier et sa bande s'asseoir sur un côté de la salle tandis que Karol et les autres prirent place sur les bancs de l'autre coté de la salle. Les juges, les magistrats, les avocats, le jury, le président de l'audience se placèrent aussi. Quelques longues minutes passèrent alors que les deux clans angoissèrent sur la suite des événements, jusqu'à ce que la séance débute enfin.

Le juge déclara le début de l'audience. Un magistrat présenta rapidement l'accusation portée sur Javier en expliquant qu'ils étaient déjà condamnés pour des crimes et des délits qu'il avait commis auparavant. Ils allaient se faire arrêter sauf s'ils démontraient des preuves qui démontraient leur innocence. Mais d'abord, ils accordèrent le droit aux accusateurs d'apporter des preuves supplémentaires.
C'est Agustin et Ruggero qui se levèrent de leurs sièges pour présenter les preuves et les expliquer.

- Nous avons là tous les papiers qui stipulent que Javier Sevilla est notre oncle et qu'il est devenu notre tuteur il y a douze ans après la mort de nos parents. Vous pouvez constater qu'il est à notre charge depuis lors. - Commença Agustin.

- Vous pouvez constater dans cette période de douze ans, plusieurs examens médicaux qui stipulent que Karol Sevilla et Agustin Sevilla aient souffert de lésions physiques et sexuelles alors qu'ils vivaient sous le toit de leur oncle.

- Objection ! Rien ne dit que je suis l'auteur de ses agressions ! Ce n'était pas moi - S'exclama Javier en se levant.

- Monsieur Sevilla, vous parlerez lorsque la parole vous sera accordé. Veuillez rester assis et attendre votre tour. - Intervînt le juge en charge de cette affaire.

- Vous pouvez aussi vérifier auprès de chaque préfecture, mairie ou ambassade qu'il n'y a eu aucune activité de Karol durant les six dernières années. Il n'y a rien d'elle car on nous a trompé en nous faisant croire qu'elle était morte. Vous pouvez voir ici les papiers qui traitent de l'organisation de son enterrement. - Poursuivît Ruggero.

- Encore une fois, vous pouvez voir une grande coïncidence au fait qu'il n'y ait pas non plus aucune activité enregistré pour Javier à ce moment là. Il a complètement disparu de la carte avec ses complices Stefano Zapiola et Malena Ratner ainsi que d'autres membres de son gang mais je n'ai pas tous les noms. - S'exclama Agustin. - Voici les dires de ma sœur. Pendant six ans, elle était séquestrée dans un sous-sol d'une maison dans un quartier abandonné du Mexique où elle a subi de nombreux coups et viols de la part d'une trentaine d'hommes. Vous pouvez voir dans les annotations les plus récentes de son dossier médical que les médecins, professionnels de santé et psychologue ont confirmé qu'elle avait été victime de nombreux viols durant les dernières années et d'une violence extrême.

- Cependant, Javier n'a pas agit seul. Pour garder son secret à l'abri, il a engagé Carolina Kopelioff et Ana Jara Martínez pour nous surveiller et nous empêcher de retrouver Karol. De plus, Carolina a essayé de tuer Agustin sous les ordres de Javier et Malena. - Rajouta Ruggero. - Parallèlement à tout cela, Javier Sevilla, Stefano Zapiola et Malena Ratner avaient organisé une séquestration à l'époque et nous avait enfermé Karol, José Giménez Zapiola et moi dans un sous-sol où on a subi des coups et où j'ai été forcée d'assister à des agressions sexuelles sur les deux nommés précédemment. Je voudrais ajouter que José a perdu la vie dans cette séquestration à cause de son propre père et de Javier Sevilla. Il repose actuellement au cimetière de la Recolta. - Termina Ruggero.

Ruggero et Agustin donnèrent tous les papiers et toutes les preuves qu'ils avaient au juge afin qu'il les exploitent de lui même. Les deux garçons retournèrent ensuite s'asseoir après avoir tout déballé et rejoignirent Karol qui leur lança un regard de reconnaissance totale. Elle les serra très fort dans ses bras et elles remercia plusieurs fois de suite. Agustin la serra plus fort tandis que Ruggero l'embrassa doucement sur le front avant qu'ils ne se rassoient tous les deux.

Pendant ce temps, les juges débattirent un peu avant qu'ils ne laissent finalement la parole au camp adversaire. Javier se leva le premier et se présenta à la barre pour plaider son innocence.

- Je sais que vous pensez que j'ai fait subir ces atrocités à mes neveux mais c'est faux. Depuis la mort de mon frère et de son épouse, je m'efforce de les élever et de les protéger. Mais avec Stéfano s'était compliqué. C'est lui qui a tout manigancé. C'est lui qui a agressé physiquement et sexuellement mes neveux, lui qui a kidnappé ma nièce, lui qui a tué son propre fils, lui qui m'a piégé. Stefano Zapiola est le seul coupable de cette histoire. Moi j'ai essayé de l'arrêter et de protéger mes neveux de lui. Je ne ferai jamais de mal à Karol et Agustin. Ce sont les enfants de mon frère enfin. On ne fait pas de mal à sa famille. C'est inhumain. Je vous le promets, c'est Stefano Zapiola qui vous a toujours maltraité les enfants, ce n'est pas moi. - S'adressa-t-il à Karol et Agustin qui le regardèrent complètement incrédules.

- Avez-vous des preuves pour démontrer ce que vous avancez monsieur Sevilla ? - Lui demanda le juge.

- Oui, mon associée Ana Jara Martínez a les preuves qu'il vous faut pour vous prouver que tout ce que je vous dis est vrai. - Annonça Javier en tournant son regard sur la rousse qui se leva de son banc.

- Mademoiselle Jara Martínez, veuillez vous présenter à la barre.

Javier se leva pour retourner à sa place en croisant Ana. Il lui fit un clin d'œil alors qu'elle lui répondit d'un sourire sûre d'elle. Elle ne pouvait plus faire machine arrière à présent. La rousse se plaça puis prit la parole.

- Effectivement, j'ai les preuves qu'il faut pour prouver que Javier est innocent. - Dît-elle fermement. - Voici une clef USB où se trouve des enregistrements qui vous démontreront les faits tels qu'ils se sont déroulés. Vous pourrez constater qu'aucun trucage n'a été effectué avec vos équipes d'informaticiens en décodages et en pirates informatiques. - Déclara-t-elle en tendant la clef USB au juge qui l'inséra dans son ordinateur.

⚠️Passage en italique mature ⚠️

La caméra venait de s'allumer. Elle montrait deux enfants nus et attachés par des menottes aux barreaux du lit. On aperçoit un homme de dos, nu aussi, face aux enfants.

- Tonton, j'ai mal. Tu peux me détacher s'il te plaît. - Demanda la petite fille gentiment.

- Je te détacherai seulement si tu es gentille et que tu fais tout ce que je te dis.

- Tonton, qu'est-ce que tu vas faire ? - Lui demanda le petit garçon intrigué, incapable de deviner ce qui allait se passer.

- Je vais faire ce que j'ai toujours eu envie de faire. - Répondît l'homme en s'approchant d'eux.

Il monta sur le lit et embrassa rapidement la petite fille alors qu'elle se plaignait.

- Arrête, je n'aime pas ...

Elle fut interrompu dans sa phrase par une gifle de l'homme. Le petit garçon s'agita pour essayer de protéger la petite mais les menottes le lui empêchaient.

- Qu'est-ce qui te prend de la frapper comme ça ? - S'énerva-t-il.

- Dégage-toi ! - Lui cracha-t-il en lui donnant plusieurs grosses claques sur les fesses jusqu'à ce qu'elles deviennent rouges. Le petit garçon pleurait et criait.

- Agustin ! Laisse-le tranquille ! - S'écria la petite fille affolée.

L'homme lâcha Agustin et se tourna vers la petite fille. Il enfonça directement son doigt dans son intimité ce qui la fit crier alors qu'il ajoutait d'autres doigts en entrant et sortant sans arrêt.

- Maintenant je veux que tu fasses comme tonton t'a montré. Que tu prennes ma queue et que tu la suces comme un bonbon. - Lui ordonna-t-il.

- Mais je... je ne veux pas.. je .. je n'aime pas ça.. - Pleura-t-elle.

- Je m'en fou Karol. Tu fais ce que je te dis. - Dît-il alors qu'il enfonçait son engin dans la gorge de la petite.

Après une dizaine de minutes à la pénétrer par la bouche, l'homme se tourna vers son neveu et fit exactement la même chose avec Agustin. Il le retourna ensuite pour qu'il soit dos à lui et le pénétra violemment par l'arrière. Le petit hurlait de douleur et criait le nom de ses parents.

- Haha, rien ne sert de les appeler. Ils sont morts. - Ricana-t-il alors qui le pénétrait de plus en plus fort.

Après quinze minutes, il sortit brusquement de son neveu alors que celui-ci tombait sur le lit, complètement rendu et traumatisé du haut de ses dix ans. Sa sœur subit le même sort lorsque son oncle rentra en elle de la même manière qu'il l'avait fait avec son frère.

Alors que Karol et Agustin pleuraient et criaient leur douleur, l'homme prit une grosse ceinture et les frappa avec. Leur cris se transformèrent en hurlements et on pouvait voir des traces indélébiles marquer leurs corps.

Après tout cela, les deux enfants étaient allongés en position fœtale dans le lit lorsque l'homme leur détacha les menottes. Il s'approcha ensuite de la caméra pour l'éteindre et on put apercevoir Javier qui souriait avec satisfaction.

Fin du passage mature

Il y avait d'autres vidéos où on pouvait voir Javier apprendre à ses neveux de huit ans à le masturber, à lui faire une fellation. Des vidéos qui montraient comment il les violait de différente façon, sur des viols collectifs avec des violences sexuelles irréversibles.
On pouvait entendre les cris d'horreurs des enfants et les cris de plaisirs et les rires satisfaits de leur oncle.

Tout le monde dans la salle d'audience était choquée d'avoir vu ses horribles images. Agustin était dans les bras de Valentina qui essayait de calmer ses pleurs tandis que Karol avait cachée son visage dans le cou de Ruggero qui la tenait fortement contre lui. C'était horrible pour eux de revoir les images des scènes qu'ils avaient déjà vécu. Leurs amis étaient choqués, le jury était choqué, les juges et magistrats étaient choqués.

Ana posa innocemment sa main sur sa bouche.

- Oups, je me suis complètement trompée de clef USB quelle idiote ! - S'exclama-t-elle avec ironie.

Javier, Malena et Carolina se levèrent de leur banc affolés par ce qu'Ana venait de montrer. Ils lui lancèrent un regard meurtrier. Alors que de l'autre côté, Ruggero et les autres regardaient Ana avec étonnement.

- Je suis rentré dans le gang de Javier uniquement pour récupérer les preuves qui pourront les mettre définitivement en prison. Je me sentais tellement bête d'avoir été si dupe avec Carolina et j'ai été très blessée que les autres me croient capables d'être avec ce genre de psychopathes.

<< Alors j'ai décidé de me venger. Je voulais que tout le monde pense que j'étais encore contre Ruggero et sa bande pour m'avoir jeté de cette façon mais en vérité je n'avais qu'une envie, c'était faire payer à Carolina, Malena et Javier de m'avoir pris pour une idiote. Ils sont tombés dedans, comme tout le monde d'ailleurs. Et lorsque j'ai eus leur confiance, j'ai pu m'approcher des preuves en prétextant les détraquer alors que ma seule intention était de les prendre et de les présenter.

<<Je n'ai rien à voir avec ces gens là. Ce sont des psychopathes et ce fut horrible de vivre avec eux pendant tout ce temps. J'avais hâte que le jour de l'audience arrive pour pouvoir enfin les mettre en prison. Carolina est une manipulatrice, une espionne, une meurtrière. Malena est une harceleuse, una manipulatrice, une complice de viol et de meurtre. Javier est un meurtrier, un violeur, un pédophile. Ma suggestion est de les mettre en prison et de ne plus jamais les laisser sortir.

Le discours de la rousse avait rendu tout le monde silencieux. Personne, dans les deux camps, ne se doutait qu'elle était entrée dans le gang de Javier pour les mettre en prison. Tout le monde pensait qu'elle avait fait appel à eux pour mener à bien sa vengeance.
Seul Jorge était au courant depuis l'incendie car lorsqu'Ana s'était enfuie en courant, il l'avait suivi en cachette et avait par conséquent, trouvé la planque de Javier et de ses complices.
Il avait donc coincé Ana lorsqu'elle était ressortie et celle-ci lui avait raconté tout son plan de A à Z en le suppliant de là croire. Quelque chose en Jorge a voulu lui faire confiance, et il n'était pas déçu.
Son plan était risqué et dangereux, mais elle a tout fait pour se venger de ceux qui l'avaient pris pour une conne et ceux qui l'avaient mal jugé, regrettaient de l'avoir autant insulté.

Comme elle l'avait dit, ils regretteraient tous de la voir traiter de cette façon. Certains plus que d'autres.

- Tout cela me semble suffisant pour les jeter en prison. Monsieur Javier Sevilla vous êtes condamné à la prison ferme à perpétuité. Madame Malena Ratner vous êtes condamnée à soixante ans de prison ferme. Et Madame Carolina Kopelioff vous êtes condamnée à trente cinq ans de prison ferme. - Annonça le juge.

- Soixante ans ?! Autant dire à perpétuité, j'y serai jusqu'à ma mort ! - S'exclama Malena énervée alors que les policiers se précipitaient sur les trois pour leur enfiler à nouveau les menottes et les emporter dans leur camion en direction de la prison.

- Ça y est, c'est terminé. On s'est débarrassé de lui. - Souffla Karol avec un poids en moins dans la poitrine.

- Et tout ça grâce à Ana en grande majorité. - Ajouta Agustin. - On lui doit des excuses.

- Je suis d'accord. On l'a vraiment traitée comme du poisson pourri alors qu'elle n'avait rien fait. - Se lamenta Ruggero.

- Je savais qu'elle avait un bon fond. Je suis contente de ne pas m'être trompée. - Dît Karol en regardant Ana expliquer tout son plan aux juges.







✨♦️✨






Hello !♦️
Voilà le quarantième chapitre de la deuxième partie de cette histoire ✨
Ne vous fiez pas aux apparences 🤫

Audience au tribunal. 😶

Cette phase de l'histoire est terminée. ✔️

Il reste une dernière phase avant la fin de cette histoire. 🤫

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