~~ Chapitre 29 Partie 2 ~~
Bonsoir à toutes ! Heureuse de vous retrouver pour cette seconde partie ! N'oubliez pas de charger la page avant de me lire afin d'évitez les mots collés comme d'habitude :) Je vous laisse en bonne compagnie avec Isaac ;) <3 Enjoy ma Cindy :D
Ne lui laissant pas de répit, il captura sa bouche à la saveur délicieuse de manière possessive et la brutalisa jusqu'à la faire gémir contre la sienne. Voyant qu'elle peinait dorénavant à tenir entre lui et le mur, il décida de passer à l'étape suivante. Se décollant du mur et la portant avec un bras il l'emmena vers le milieu du salon.
« - Plutôt table ou canapé, Davis ? Questionna-t-il en fixant ses pommettes rougies.
- Quoi ? Repose-moi au lieu de ..., commença-t-elle en le frappant sur les épaules, la poitrine se soulevant rapidement.
- Soyons fous, chérie ! Lança-t-il en recouvrant ses yeux de sa main et en la dirigeant vers une destination surprise. »
Hilare à cause de ces petits poings qui ne risquaient aucunement de le blesser, il s'avança vers cette surface qu'il n'avait encore jamais utilisé. Quoi de plus excitant que de s'en servir avec celle qu'il semblait dégoûter ?! Avant de la déposer dessus, il l'embrassa de nouveau et fut surpris de la voir répondre avec entrain. Elle accueillit ce baiser avec soulagement. Lui avait-il manqué ces quelques secondes ? Intéressant.
Le moment de la libération étant enfin arrivé, il la reposa doucement sur le bois frais de leur grande table. Sentant la surface dure sous son postérieur, elle reconnut aussitôt ce sur quoi elle était assise. Il eut l'immense plaisir de voir ses grands yeux chocolat s'écarquiller de choc.
Les tables ne servaient pas seulement à travailler et à manger, Davis !
Elle esquissa un mouvement pour glisser de son piège mais il lui empoigna rapidement les genoux, nouant automatiquement leur regard. L'un était méfiant et l'autre confiant. Ne restait plus qu'à rendre l'autre également. Et il y parviendrait.
Lui ayant clairement fait passer le message, il entreprit de remonter lentement ses paumes, offrant des caresses qui en présageaient d'autres à divers endroits ciblés. Lorsqu'elle comprit également cela, ses joues s'empourprèrent et son souffle se heurta tandis qu'elle maintenait le contact visuel. Comme si elle cherchait une certitude à ce qu'elle venait de réaliser. De son comportement, il percevait réellement un relâchement, une part d'elle reconnaissant les désirs qui grondaient en elle et les acceptait. C'était déjà cela de gagné avec Julianne Davis.
Il frôla en une douce caresse les bordures de sa culotte dont il avait hâte de découvrir la matière et les motifs. Il la sentit se tendre lorsqu'il atteignit le périmètre pubien. Lorsqu'il obtint son attention, d'un bond il fut sur la table faisant plier la brune sous lui. La moue de surprise fut si adorable qu'il eut de nouveau envie de cueillir un baiser sur sa bouche charnue.
« - Qu'est-ce que tu fais, Isaac, murmura-t-elle, les pupilles tourmentées liées aux siennes. »
Le dominant qu'il était aimait entendre cette voix de soumise, mais à l'heure actuelle ce n'était pas ce ton et cette expression qu'il souhaitait. Il le voulait plus expressif et dans les aigus. Posant ses doigts frais sur sa nuque brûlante, il les accompagna rapidement de ses lèvres humides. Malgré les paumes qu'elle venait de poser sur ses pectoraux, il ne s'en formalisa pas et passa sa langue le long de cette peau tout en libérant les mèches indomptables de leur pince argentée. Les cheveux retombèrent en une cascade joyeuse et vinrent lui chatouiller les tempes. Avec un sourire ravi aux allures de moue enfantine, il continua ses caresses avant d'y planter tendrement les dents. Attrapant un morceau de chair de son trapèze, il s'amusa quelque peu pour éveiller des sensations pas si lointaines. Vu ce qu'elle lui avait offert par la suite, elle devait clairement s'en rappeler. Et puis, elle portait aussi les traces du passage d'Isaac sur son corps immaculée. Il y avait planté son drapeau mais la conquête n'avait pas encore été officialisée. Elle ne tarderait plus à l'être.
« - Isaac ..., murmura-t-elle comme une plainte.
- Je cherche à éveiller ton dégoût, Davis. Montre le moi, chuchota-t-il en donnant un coup de langue à son lobe gauche qui la fit frissonner contre lui. »
Continuant ses petites manigances perverses, il fit glisser ses doigts mal intentionnés jursque la fermeture éclaire dorée qui traversait tout son dos. Elle ne tint pas compte pas de la caresse mais lorsque son pouce et son index se refermèrent sur la navette, elle parut comprendre la suite. Reculant quelque peu, elle chercha son regard. Avec un clin d'oeil, il l'abaissa avant qu'elle n'ait pu dire quoi que ce soit. Ils découvriraient cette peau halée ensemble, au fur et à mesure qu'elle serait dévoilée.
« - Arrête ça tout de suite, ordonna-t-elle en posant sa main sur celle du brun.
- A d'autres ! »
Posant son empreinte sur le bas du dos dorénavant découvert, il la fit plier sous le poids de son corps, la faisant rencontrer le support froid. Ses cheveux s'éparpillèrent autour de son visage tel une belle couronne.
Qu'elle était belle ainsi, mi-colérique, mi-excitée. Tous deux ne parvenaient jamais à trouver d'équilibre sain, valsant toujours entre deux extrêmes qui amplifiaient les émotions ressenties.
Faisant courir ses doigts sur cette peau douce, il souleva sa taille, la contraignant à se cambrer, les fesses reposant toujours sur la table. Il entreprit de glisser le tissu le long de ses bras, dévoilant lentement la chair tendre. Parcourut la naissance de sa poitrine de ses lèvres gourmandes, il la sentit frissonner à son passage. C'était grisant...
Lorsque la robe dévoila complètement ses monts de chair enfermés dans ce soutien gorge, il haussa un sourcil, l'air surpris et séduit... De la dentelle noire Mesdames et Messieurs ... La forme corbeille mettait diablement en valeur l'arrondie et le galbe du haut de cet atout féminin. La dentelle florale très visuelle rendait l'habit quasi-transparent, offrant ainsi un délicieux aperçu. Le tout était chic et bougrement sexy.
« - Et bien, Davis, j'attends toujours ton rejet ...»
Elle semblait fondre sous les caresses de ses doigts et cette langue avide de découverte. La température du corps de Julianne montait en flèche et sa chaleur venait flirter avec la sienne. Bientôt, il devrait aussi se débarrasser de sa chemise...
Il déposait un baiser appuyé sur le sein gauche après avoir embrassé le droit lorsqu'il découvrit ce qui lui fit clairement perdre pied. Figurait un petit nœud noir ultra-sexy dans l'entre-seins.
Sacrée Julianne !
Tout en s'abaissant un peu, le regard ancré dans celui de sa partenaire inespérée, il passa sa langue dans les deux fines bandes de tissu avant de mordre cette peau dissimulée.
La faisant hoqueter et relever la tête. Se maintenant à l'aide de ses coudes, les joues pivoines, elle le vit faire dévaler le pauvre tissu le long de sa taille et hanches, laissant dorénavant entrevoir la naissance de son fin collant noir. Débarrassé des barrières, son buste était à présent offert à l'admiration. Sous le regard appréciateur du brun, sa peau parsemée de marques rouges à quelques endroits se couvrit de chair de poule.
Elle était maintenant presque nue, seulement vêtue du collant. Et pauvre homme qu'il était, cette pensée grilla ses neurones. L'avait-il déjà imaginée nue ? Non. Le souhaitait-il maintenant ? Oh que oui.
« - Tu es fier de toi ? Lança-t-elle. »
Il ignora sa remarque et plongea sur son ventre qu'il assaillit de baisers avides et humides. Elle tremblait comme une feuille dès qu'il posait sa bouche ardente sur elle. Il était fier de ce tourment qu'il créait dans son monde intérieur, provoquant cette fine pellicule de sueur qui recouvrait son corps somptueux. Fier de ces battements effrénés, de ce souffle qu'elle peinait à récupérer. Elle devait le désirer tout autant qu'elle devait le détester. Il la forcerait à choisir.
Plantant ses dents au bas de ce soutien-gorge alléchant, il mordilla la chair jusqu'à ce qu'elle émette une plainte de douleur. Abaissant l'élastique de son collant, il réserva le même sort à une des hanches qui ne tarda pas à rougir sous ses attaques puis sans crier gare, il en fit de même plus bas. A l'orée de ce bas en dentelle noire sexy, offrant autant de transparence que celle qui l'accompagnait plus haut, il mordilla un bout de peau, alternant entre lapements et morsures tortueuses. Reculant quelque peu pour admirer la trace rouge qui virerait plus tard au violet, il y déposa son souffle frais, offrant baume et trêve dans cette bataille qu'elle avait d'ores et déjà perdu.
Tandis qu'elle se remettait de ce petit épisode en marmonnant des « ça ne veut rien dire, rien du tout », les collants disparaissaient eux aussi permettant à ses pupilles gourmandes de se nourrir de ces jambes qu'elles adoraient. Il promena ses phalanges à l'intérieur de ses cuisses, faisant des allers et retours parfois lascifs parfois rapides destinés à lui faire perdre pied. Ne s'attardant jamais là où elle le voulait.
Le dilemme intérieur se faisant toujours dans la tête de la brune, elle rapprocha ses jambes pour mettre fin à cette torture et à ces petits jeux érotiques. La foudroyant du regard, il empoigna ses genoux qu'il sépara sèchement lui coupant le souffle. Maintenant une jambe sur le bois frais de la table, il souleva l'autre qu'il vint placer sur son épaule. S'approchant de l'arrière de son genou, il vint embrasser cette partie ultra sensible. Sentant qu'elle appréciait, malgré elle, ce qu'il lui faisait, sa langue vint accompagner la caresse. Si elle devait s'en réjouir en cachette, autant qu'elle en profite pleinement jusqu'à s'en exploser les veines.
Lorsqu'il la vit remuer le bassin et le rapprocher d'elle, l'enjoignant silencieusement à engloutir l'espace entre eux, il lui obéit avec un sourire pervers. S'abaissant, il dessina des arabesques avec sa langue humide, s'approchant lentement et s'éloignant aussitôt de sa culotte noire. Lorsque la droite fut contentée, il s'attaqua à la gauche, pour ne laisser aucune place à de la jalousie.
« - J'attends, Davis. Tu es en train de perdre, lui rappela-t-il tandis qu'il traçait de sa bouche avide les contours de son bas en dentelle.
- Tu .. me .. dégoûtes, confia-t-elle avec difficulté, une chaleur extraordinaire émanant d'elle. »
Il continua ses jeux de langue tout en massant et pétrissant sa chair. Lorsqu'elle rejeta la tête en arrière, les doigts s'accrochant à ses propres cheveux et le corps s'arc-boutant, il se détacha d'elle et remonta vers son ventre.
Observant cette peau halée brillante, il se dit que le corps de Julianne était un appel aux baisers et plus particulièrement aux morsures. S'attardant sur la finesse de ses poignets qui lui rappelait celle de ses chevilles aux balancement érotique, il reconnut qu'elle était magnifique, ainsi étendue sur cette table de son salon. Vêtue seulement de dessous aussi élégants qu'alléchants, elle s'offrait corps et âme. Elle était un diamant brut, dans tous les sens du terme.
Son Joyau.
« - Où cachais-tu ce superbe corps au lycée, Davis ? Ne put-il s'empêcher de demander en dévorant du regard la taille fine et les hanches plus larges de la jeune fille.
- Je le cachais de tes yeux de pervers ! »
Il pouffa de rire. Elle n'avait même pas répondu à sa question ...
Tout en continuant ses caresses sur son ventre et à l'orée de son bas sexy, il sentit des doigts frais se faufiler dans sa tignasse noire et le presser contre la poitrine offerte aux assauts. Il étouffa son sourire grandissant et lécha de nouveau son entre-seins.
« - Je t'assure que tu me dégoûtes, Evans, articula-t-elle les yeux fermés, parcourut de doux spasmes. »
Bonjour la crédibilité !
Isaac décida de l'aider pour confirmer ces dires débordant de sincérité. Il descendit le long de son corps, laissant une traînée de feu sur son passage et posa un baiser appuyé sur son nombril. Percevant les pulsations de sa veine, il y enfouit sa langue pour une explosion de sensations. La faisant tournoyer à l'intérieur, il réitéra les cercles à l'extérieur, la faisant gémir, les doigts manucurés tirant ses cheveux.
« - Je... te... dé-teste ! Lui confia-t-elle tout en caressant sa nuque. »
Il acquiesça tout en descendant plus bas. Atteignant l'orée de son sous-vêtement, il passa sa langue sous la bordure de la culotte en dentelle qu'il avait envie de lui arracher pour découvrir sa féminité. Mais chaque chose en temps, il devait d'abord obtenir une capitulation !
« - Je ju-re que tu me dég-oûtes, rappela-t-elle tout en pétrissant les trapèzes masculins ... »
Il continua son manège encore quelques secondes percevant clairement les contractions du bas-ventre de sa proie. Agissant ainsi, elle allait aussi l'amener à l'explosion. La chaleur qui émanait de lui, lui donnait envie de se déshabiller sur le champ et de mettre fin à cette torture illico presto.
« - Mais ... , reprit-elle »
Il posa une jambe sur ses épaules et entreprit de lui caresser l'autre pour lui faire perdre pied comme elle le rendait irrémédiablement dingue.
Satanée bonne femme !
« - Putain j'aime trop ce que tu me fais, Isaac ! Lâcha-t-elle, n'en pouvant plus. »
Enfin !
C'était le moment qu'il choisit pour déposer un baiser appuyé sur son Mont de Vénus.
Elle était bougrement prête pour l'accueillir !
Mais la partie n'était pas terminée. Il n'irait jusqu'au bout que lorsqu'elle-même viendrait le supplier.
Enserrant sa taille, il la rapprocha de lui, faisant cogner leur poitrine et provocant des étincelles dans son bas-ventre. Les pupilles dilatées de plaisir et de colère, elle soutenait son regard telle une tigresse protégeant son territoire.
Ainsi tu ne me laisseras pas te marquer comme je le souhaite ?
« - Regarde-toi, Davis. Tu es pantelante, attendant désespérément une conclusion à cette soirée improvisée, murmura-t-il en lui en lui empoignant la nuque avec un peu de force.
- Avoir aimé tes jeux pervers ne signifie pas que je vais t'offrir ce que tu veux, Evans ! »
Enervé et surtout excité, il agrippa ses cheveux, les tirant en arrière pour la soumettre à son regard. Lorsque la domination fut établie, il la fit de nouveau plier sous lui, collant leur poitrine tout en laissant de l'espace entre leur deux visages. Il l'amènerait à l'embrasser de la plus bestiale des manières, il en faisait le serment.
Tu crieras tes souhaits avant de crier mon nom, Julianne Davis !
« - Parles-tu de mes morsures ou de mon bisou sur ta culotte sexy, Juli ? »
Sa main ponctua sa question, glissant lentement mais sûrement vers la zone concernée. Dépassant cette fois-ci l'orée du sous-vêtement et allant à la rencontre de son intimité.
Vivre une étreinte était un moment indéniablement bon. Mais se la remémorer grâce aux souvenirs et à des caresses bien placés décuplait les sensations, surtout lorsque l'envie de réitérer se faisait ressentir. L'intensité du souvenir et la douleur du manque étaient les composants d'un cocktail explosif.
C'était à ce moment là qu'il les perçut clairement. La colère et la haine qu'elle pouvait lui porter atteignirent leur summum, noircissant son regard. Elles étaient là, plus significatives et dangereuses que jamais. Attestant leur présence bien ancrée dans ce cœur insensible, elles disparurent ensuite, en un claquement de doigts. Apparut alors celui qu'elle tentait de toute ses forces de refouler, d'écraser et d'éradiquer, le désir. Lui aussi était là. Le vainqueur se manifestait sous lui.
Il avait gagné la partie. Julianne Davis venait de capituler sous ses assauts buccaux. Son cœur se gonfla de fierté.
Bien joué, Isaac !
Il maintint le contact visuel. De son côté, la brune détaillait ses traits comme si elle le découvrait sous un nouveau jour. Les secondes s'écoulaient lentement comme si elles se devaient de marquer ce moment aussi inédit qu'interdit ... Puis, il la sentit se rapprocher doucement de lui tandis qu'elle implantait ses dents dans sa lèvre inférieure. Cette vue fit naître un frisson dans son corps, lui grillant encore des neurones. Prenant son temps, elle vint agripper les pans de sa chemise à hauteur de ses pectoraux, créant une nouvelle vague de chaleur. Tout en provoquant un raz-de-marée chez lui elle instaurait paradoxalement ce calme familier. Elle l'apaisait tout en l'excitant outre mesure. Déstabilisant, non ?
« - Aussi bon soit tout ce que tu me fais, je continue de te haïr, Evans ! »
Son cœur manqua douloureusement un battement à l'entente de cette haine et ce nom de famille. Il aurait voulu un Isaac prononcé de manière sensuelle... Mais son organe vital se remit à battre la chamade la seconde d'après, lui retournant le cerveau. Ce cœur était-il son ami ou son ennemi ? Ou était-il aussi instable et indécis que la fille qui lui faisait face ? Pleurant son sort et battant avec fougue la minute d'après ? Ce cœur et Julianne Davis allaient causer la perte d'Isaac Evans, c'était une certitude...
« - Alors, que perdure cette haine qui te lie à moi, Davis. »
Ils se toisèrent quelques secondes, concluant ce pacte silencieusement. Espérant réciproquement que ce sentiment aussi destructeur que puissant perdurerait jusque la fin des temps. Leurs pupilles se nouèrent, renforçant le lien qui les unissait. Les deux adversaires étaient devenus amants le temps d'une soirée. Les organes vitaux battant à l'unisson, réclamèrent cette même trêve. A ce signal il sentit ses doigts renforcer leur prise sur les cheveux de la brune tandis que les petites mains agrippaient plus fermement les pans de la chemise immaculée.
Je suis ton pilier et tu es le mien.
Sentant l'orage éclater en lui, il plaqua ses lèvres sur celles de Julianne. Elle l'accueillit en enroulant ses bras autour de son cou tandis qu'il la rapprochait de lui. Maintenir une distance entre leur deux corps n'avait plus aucun sens. Ils se devaient d'être réunis. Maintenant !
Il força le barrage de ses lèvres sachant très bien qu'elle l'aurait laissé faire mais il ne voulait plus d'autorisation. Il voulait s'imposer, marquer cette bouche, ce corps comme il le souhaitait. Avec Julianne, il avait ce besoin d'autorité et de domination sur elle. Elle devait l'accepter tel qu'il était et se laisser faire lorsqu'elle était en sa présence. C'était leur ordre des choses et ces derniers temps, prenant ses distances, elle se libérait de l'emprise qu'Isaac avait sur elle. Pour leur bien à tous les deux, c'était la dernière chose à faire. S'ils souhaitaient, et Isaac le désirait, que leur lien destructeur perdure, elle devait subir et lui dominer. Et ce désir se manifestait maintenant, provenant douloureusement de ses entrailles.
Il caressa sa langue, la noua à la sienne avant de claquer dessus avec hargne. Il la soumettrait avec fougue. Heureux de l'avoir faite souffrir à son tour, il recueillit avec sadisme.
Retrouver son goût humide après toutes ces minutes et sentir l'organe timide sous le sien lui procura une violente décharge d'électricité, partant de la plante de ses pieds à la racine de ses cheveux. La prise dans ses mèches disparut et il la souleva dans ses bras.
Sa bouche s'empressait de la dévorer tandis que ses mains parcouraient son corps avec frénésie, comme si le temps leur était compté. Comme si viendrait le moment où ils devraient indéniablement se séparer, parce que l'union était indésirable entre ces deux êtres. Eux-même ne la souhaitaient pas mais leur corps se réclamaient farouchement. Depuis quand ?! Pourquoi ne l'avait-il jamais remarqué avant, ce désir tapi au fond de lui ?
« - Ne t'arrête surtout pas, chuchota-t-il contre ses lèvres. »
Et ce cœur qui battait avec fougue ? Des battements effrénés qui lui donnaient l'impression de revivre... Comment une femme pouvait-elle avoir autant d'effet sur un homme ? Comment Julianne pouvait-elle faire naître autant d'émotions en Isaac ? Et pourquoi ces dernières étaient-elles aussi renversantes ? Lorsqu'ils se disputaient c'était puissance mille. Alors il pouvait imaginer que la guerre étant comme l'amour, s'ils faisaient bien la guerre, ils feraient à coup sûr bien l'amour.
A cette idée, une nouvelle vague de chaleur s'abattit sur lui, le faisant clairement trembler contre elle. Faire l'amour à Julianne ... Cela sonnait si étrange et à la fois si juste. Comme une évidence bien longtemps reniée.
« - Caresse-moi, Isaac, surtout ne t'arrêtes pas, supplia-t-elle en lui offrant sa gorge. »
Comme si j'étais en mesure de mettre fin à tout ça, Juli...
Il plongea sur cette chair appétissante et la parsema de baisers avides et humides, faisant apparaître d'autres traces rouges sur son cou et décolleté. Elle serait belle le lendemain au réveil, marquée de la sorte.
Il la fit lentement redescendre et la plaça contre le dos du canapé couleur crème. Liant leur iris, les doigts plongés dans cette chevelure indomptable qu'il reverrait souvent en rêve dorénavant, il lui susurra :
« - Je veux te voir, ma Julianne. »
Elle acquiesça et se laissa manipuler. La prenant par les épaules, il la retourna de manière à ce qu'elle lui présente son dos. Plaçant la succulente masse sombre sur l'épaule gauche, il put se repaître de cette vue magnifique. Il embrassa du regard cette nuque et ces épaules façonnées pour faire tourner les têtes, glissa sur son dos, s'attardant sur cette taille marquée et cette chute de reins qui le fit saliver outre mesure. Ces fesses rondes et rebondies à souhait appelaient à des milliers de caresses et de ... morsures.
Bon sang !
Cette petite pensée flatta grandement son excitation, l'enjoignant à déboutonner quelques boutons de sa chemise pour rafraîchir quelque peu son corps.
Posant ses mains d'hommes sur ces hanches délicates, il déposa une ribambelle de baisers, alternés de coups de langue de sa nuque au bas du dos. Portant son attention sur ce postérieur de rêve, il déplaça quelque peu le tissu de façon à faire de cette culotte un string nouveau modèle, dévoilant ainsi toute cette chair qui l'obsédait.
Elle parut se tendre face à cette transformation et cette tension le ravi. Preuve que sa Julianne ne se laissait pas aller à n'importe quoi avec n'importe qui. Isaac était ... Qui était-il pour elle d'ailleurs ? ... Il était son meilleur ennemi alors elle pouvait s'adonner à ce type d'activités !
C'était le monde à l'envers avec eux !
« - Fais-moi confiance, Julianne. Je ne te ferai pas de mal ... »
Relevant la tête, il la vit hocher la sienne. Ayant son accord, il entreprit de caresser sa croupe, pétrissant cette chair et la marquant de ses mains avant de déposer un baiser sur chacune. Elle se figea sous l'assaut mais à la manière dont elle bougea son corps, il en déduit qu'elle avait apprécié.
La pluie de baisers continua quelques instants avant qu'il ne plante ses dents sur le merveilleux rebondi de son postérieur. Il la sentit se cambrer contre lui, lui offrant davantage qu'il n'osait prendre. Cette confiance et ce don ravir son cœur puissance mille.
« - Bon sang, Isaac ! Tu vas me rendre folle, lâcha-t-elle tandis qu'il passait sa langue sur la rougeur qui apparaissait fièrement. »
Remontant en déposant de nouveau des baisers sur son dos, il la retourna pour capturer sa bouche avec gourmandise. Elle se coula dans ses bras et vint déboutonner le reste des boutons de sa chemise. Calquant son comportement sur celui du brun, elle embrassa chaque centimètre de peau dévoilé par le tissu qui perdait du terrain. Lorsque le dernier céda à son tour, le vêtement se retrouva illico presto sur le canapé derrière eux.
« - Ton regard et tes mains m'excitent. »
Entendre le mot excitation de la bouche de Julianne à une heure aussi tardive eut pour effet de lui procurer un énième frisson et de le faire se sentir encore plus serré dans son pantalon. Il la souleva de terre en la prenant dans ses bras et elle enroula aussitôt un bras autour de ses épaules et se laissa porter, muette et en totale confiance. Il contourna le canapé et vint s'asseoir, la faisant reposer sur ses cuisses. Changeant les rôles, elle se mit à l'embrasser avec passion, passant ses mains dans ses cheveux et dans son dos avec frénésie. Comme si après s'être nourrie de la vue, elle avait elle aussi besoin de sentir et toucher l'autre. Si tel était le cas, ils étaient deux !
Se laissant dévorer les lèvres, il empoigna ses hanches avec possessivité et colla leur deux bassins.
Il se sentait bien ainsi, protégé par ses bras, caressé par sa chaleur. Il se sentait chez lui.
Le désir montant par vague, le baiser devint bientôt incontrôlable, les paumes se retrouvant sur la nuque, les flancs et la croupe.
« - Bon sang ! Je pourrais passer ma vie à t'embrasser, Juli ! Lâcha-t-il en reprenant son souffle.
- Et moi donc ! avoua-t-elle en lui offrant sa gorge. »
Dégrafant son soutien-gorge, il caressa son dos tandis qu'il parsemait son cou de baisers appuyés, percevant l'état alarmant de son cœur. De son côté, elle remuait lentement son bassin contre le sien, en réponse au désir grondant dans son bas ventre. Faisant glisser les bretelles une par une, il dévoila le sein droit qu'il embrassa avant de finir par celui de gauche.
Face à cette quasi-nudité, une rougeur colora ses pommettes. Pudeur qui le fit fondre.
« - Tu es magnifique, Juli, déclara-t-il en lui embrassant le nez et le front. Dis-moi ce que tu veux que je te fasse ...
- Fais-moi du bien, Isaac, demanda-t-elle en glissant ses doigts dans les cheveux du brun. »
Le dirigeant silencieusement vers les endroits qu'elle souhaitait qu'il explore. Il lui obéit tout en restant maître de la situation. Il l'amènerait à dépasser cette pudeur et à exprimer clairement ce qu'elle voulait. Enlever le caractère chaste de leur relation, c'était tout ce qu'il voulait. La domination devait être rétablie en sa faveur et pour ce faire, il l'amènerait à le supplier d'agir.
« - Comment, Julianne ? »
Il empoigna son postérieur et le pétrit sans gêne, face aux frottements qu'elle lui administrait sans même s'en rendre compte. Leur désir grandissant se rejoignait mais il ne lui accorderait une délivrance que lorsqu'elle formulerait ses souhaits.
« - J'en sais rien, souffla-t-elle, la poitrine se soulevant à un rythme effréné et se couvrant de traces rouges. »
N'y tenant plus, elle vint planter ses ongles dans ses épaules et ses dents dans la lèvre inférieure du brun. Elle le mordit avec force en gémissant en réponse à l'envie qui la consumait tout entière. Une douloureuse chaleur se manifesta dans cette zone, mais il ne lui en tint guère cure.
Isaac voyait bien qu'elle était incapable de prendre les rennes dans cette étreinte avec lui. Et pourtant, si le contexte avait été différent, il était certain qu'elle aurait pu se débrouiller et lui faire perdre les pédales comme jamais. Leur histoire empêchait clairement la brune de lâcher prise. Mais, même si elle avait clairement exprimé son envie d'Isaac et celle d'aller plus loin, il lui manquait la formule exacte avec laquelle Julianne se donnerait à lui, corps et âme.
« - Fais-moi du bien comme tu sais le faire, Isaac, l'implora-t-elle. "
Ce n'était pas suffisant. Pas du tout. Face à ses mouvement de hanches, il entreprit de lui répondre en calquant son bassin sur le sien.
Cela eut pour don d'assombrir son regard. Tout en maintenant ses caresses et ayant pris possession des lèvres de Julianne, il calma son désir comme il put en attente de la délivrance que seule Julianne pouvait leur donner. Elle avait clairement compris ce qu'il attendait d'elle mais ne souhaitait le lui accorder.
Ce sera ça, Julianne, ou rien !
Face à l'inaction du brun, elle vint prendre son visage entre ses mains et croiser leurs pupilles. Elle le questionna silencieusement, trop pudique pour aborder ce sujet. De la même manière, il lui répondit négativement. L'incompréhension marqua ses traits se mélangeant à la frustration qui était maintenant douloureuse.
Chaque sentiment est partagé !
Caressant ses joues et ses cheveux, elle le supplia, toujours muette, les yeux brillants. La réponse fut encore la même. Tant qu'elle ne mettrait pas de mots, ils en resteraient là. Des secondes s'écoulèrent et il accepta sa tendresse et baisers sans intervenir.
« - S'il-te-plaît, Isaac, fais quelque chose, sanglota-t-elle à moitié. »
Il avait amené au désir celle qui prétendait être dégoûtée alors il pouvait aussi l'amener à dire ce qu'il désirait entendre. La soumission à ces deux conditions provoquerait le basculement de leur relation, à tout jamais.
« - Dis-le, Juli et je mets fin à cette torture, promit-il en embrassant ses pommettes brûlantes. »
Elle baissa la tête, mordant sa lèvre inférieure tandis qu'un tremblement parcourait son buste. Quelques secondes furent offertes pour y réfléchir. Il espérait de tout cœur qu'elle briserait ses barrières et s'offrirait rapidement, son bas ventre devenant clairement douloureux. Son corps lui faisait urgemment comprendre qu'il devrait très vite l'allonger sous lui ou définitivement la quitter. Un reniflement se fit entendre et il craignit qu'elle ne se soit mise à pleurer face à son entêtement. Plaçant sa paume sur sa joue brûlante, il vit ses iris briller. Son état avoisinait le sien...
Pourquoi même lors d'étreinte censée apporter tendresse et plaisir devaient-ils se faire du mal et se torturer de la sorte ? La douleur les accompagnerait-elle jusque la fin de cette étrange relation qu'ils entretenaient ? Parce que là, Isaac saturait vraiment. Il avait besoin de trouver une Julianne qui pourrait apporter un semblant de paix dans sa vie. Parce qu'elle en était capable. Il le savait.
Arrête de nous faire souffrir, ma Juli...
Comme si elle avait entendu ce cri du cœur, elle posa une main sur son pectoral gauche, là où son cœur s'était soudainement mis à défoncer sa cage thoracique. A travers ce regard qu'ils échangeaient, il pouvait clairement lire les traces du dilemme qui avait lieu en elle mais ne pouvait en suivre le cours. Il n'avait plus toute sa tête maintenant. Besoin de mots et seulement de cela.
Il pouvait comprendre que l'exprimer haut et fort équivalait à une acceptation de ce désir qui sous-entendait une réelle défaite et une soumission définitive ... mais avaient-ils le choix ? Isaac lui ne l'avait guère. Pour son équilibre mental, il fallait que ce soit Julianne qui formule la demande. Elle devait perdre pour qu'ils puissent gagner tous les deux.
Observant son visage, la peur marquant dorénavant les traits du brun, il vit les paupières s'abaisser. Et il réalisa.
Julianne refusait et ne leur laissait donc aucune chance. Soulagée, voilà ce qu'elle voulait seulement être en utilisant Isaac. Elle ne comptait pas se donner à lui, corps et âme.
Des secondes qui lui parurent interminables s'écoulèrent tandis qu'une déception mêlée à de la colère naissait en lui, assombrissant davantage ses yeux. Une subite envie de la repousser brusquement et de tout envoyer valser sur le champ le prit dangereusement.
Tu as tout gâché, Julianne Davis ...
Une fureur sourde enflait dans sa poitrine et la jeune fille devait sans doute la percevoir étant donné que sa main était toujours posée sur son cœur. Il était aussi responsable de cette conclusion mais il ne pouvait se donner à elle si elle ne se soumettait pas à ses conditions. Certes il les avait instaurées tout seul mais il s'était juré de l'amener une requête. Il avait échoué. Ils avaient échoué...
Mettant sa main droite sur l'épaule gauche de Julianne, il allait lui sommer de s'éloigner et de quitter la maison lorsqu'elle rouvrit les yeux. Dégoûté et ignorant la brune, il effectua une pression sur son épaule lui faisant ainsi comprendre que tout prenait fin.
« - Prends-moi, souffla-t-elle. »
Son cœur manqua un battement. Deux. Trois. Le temps lui-même sembla ralentir... Lentement, il tourna la tête vers elle et plongea son regard dans le sien. Il y vit des éclats de douleur. Pour asseoir son bonheur, il avait besoin d'avoir recours à de la peine. Là où le sexe était un terrain d'entente pour un grand monde, pour eux, il était aussi un champ de bataille. Et elle continuait encore...
Julianne venait de le terrasser. Qu'on le secoue, qu'on le réveille ! Miss Davis venait de former une demande mais il était incapable de réagir. Ses deux souhaits se matérialisaient devant lui, elle avait reconnu son désir et lui sommait de la faire sienne. Mais il était pétrifié par tout ce qu'il venait d'endurer. Cette fille était un ascenseur émotionnel. Attiser la colère puis finir par vous donner une syncope.
Que Dieu me protège !
Il fallait qu'il se reprenne et plus vite que cela ! Fermant les yeux à son tour, il reprit possession de son cœur et surtout de son cerveau qui s'était fait la malle. Il s'empara de quelques secondes pour remettre de l'ordre après que le chaos se soit fait.
« - Supplie-moi, Julianne Davis. »
Ses yeux mordorés se plissèrent. Elle l'avait poussé à bout, alors il en ferait autant. Il soutint son regard insistant, assistant au combat y lut finalement la capitulation.
« - Prends-moi, Isaac Evans... Je t'en supplie, implora-t-elle en collant son front au sien. »
Avant qu'il n'ait pu faire quoi que ce soit, elle avait plaqué ses lèvres brûlantes sur les siennes, lui arrachant un grognement tant elle l'avait fait souffrir avec cette attente. La tension et le désir étaient devenus insoutenables. Il avait besoin de tendresse de paix. Et pour l'instant, il ne pourrait les frôler qu'en étant en elle.
Tout en l'allongeant sous lui, sur le canapé, et en l'embrassant avidement, parcourant son corps de caresses, il se dit qu'il préférait ce désespéré « prends-moi » plutôt qu'à un cru et trash « baise-moi ». C'était sa Julianne dont il s'agissait et jamais il n'aurait pu accepter cette expression franchir ses lèvres. Par contre il aurait bien apprécié un lascif « fais moi l'amour, Isaac » mais il reconnaissait rêver et trop en demander.
Faisant glisser ses doigts vers le bas ventre de la brune il prit conscience de la moiteur de son vêtement.
Elle était bougrement prête pour le recevoir !
Cette information lui procura de nouveau une violente décharge qui réveilla tout son corps. Déposant un baiser sur son front après lui avoir retiré son sous-vêtement sexy, il se releva pour se dévêtir de son pantalon. Il avait tellement et douloureusement attendu ce moment, que plus il s'en rapprochait, plus il peinait à y croire.
Il allait faire l'amour à Julianne Davis. Sa meilleure ennemie. Cette fille qui lui en faisait voir de toutes les couleurs. Qui faisait naître tant de sensations en lui du haut de son mètre cinquante cinq. Il allait l'aimer une fois, deux fois, trois... peut-être même toute la nuit. Parce qu'il savait d'avance qu'il allait aimer cela.
S'ils étaient bons pour faire la guerre, alors ils étaient à coup sûr bons pour faire l'amour.
Et cela grisait son coeur et son esprit d'un sentiment revigorant. Tellement puissant qu'il se sentait heureux rien qu'à cette idée. Ce n'était plus seulement du désir. C'était de la joie. Il avait l'impression que dans quelques instants, il aurait cette impression de plénitude comme lorsque l'on était serein. Entier.
Le brun s'installa sur le canapé, prêt à vivre une nuit magique avec cette fille qui venait de le marquer au fer rouge. Il allait s'abaisser pour l'embrasser de nouveau et la caresser lorsque son genou se cogna contre une surface dure, éveillant aussitôt une douleur... qui lui fit ouvrir les yeux.
Le cœur faisant des bons de cabri dans sa cage thoracique, les martèlements se faisaient entendre dans toute la pièce. Ajouté à tout ce bazar une respiration effrénée qui soulevait son torse à un rythme alarmant. Il regarda à droite à et à gauche, de l'obscurité partout. Aucun canapé. Des draps humides et froissés, un torse en sueur, des mèches collés à son front, le corps en nage. Aucune trace de Julianne. Se mettant sur ses coudes, il remarqua l'état critique de la partie sud avant de noter que la couette blanche gisait sur le sol, rejetée.
Passant une main dans ses cheveux, il tenta de calmer le chaos qui régnait en lui. Ses battements étaient célères et sa respiration saccadée comme jamais ...
Qu'est-ce qui lui arrivait, bon sang ! Quel était ce rêve qu'il venait de faire... Rien qu'au souvenir d'une Julianne dénudée se donnant à lui, il sentit son ventre se contracter et implorer une capitulation.
Tournant la tête vers le réveil digital posé sur sa table de chevet, il lut l'heure affichée : 04:40. La journée allait être longue ...
« - Bordel ! Lâcha-t-il en se laissant retomber sur l'oreiller. »
MDR !! Désolée pour cette chute, je sais que je suis sadique .... mais que voulez-vous !! Pensez-vous réellement que ma Juli aurait permis ça ?!! Pas sûr ... Quoique moi aussi je me pose des questions xD
Isaac est dans de beaux draps maintenant ( pas de jeu de mots, oui oui ). Cette scène va chambouler pas mal de chose. Ce qui semblait être à priori qu'un jeu a pris des proportions folles.
C'est la première fois que j'écris une scène de ce genre, soyez donc indulgentes lectrices de mon coeur. Je reconnais que pour un rêve c'est long, voire très long, mais comme toujours des longueurs et des longueurs ( promis je vais m'améliorer ! :D ) mais comme excuse je brandirais cette fois-ci que je voulais que ça soit lent et détaillé ( ça fait du bien de les voir se faire du bien ;) ). Que vous puissiez visualiser la scène comme si c'était un film que je vous proposais. :) J'avoue aussi que je me suis lâché sur les gif xD J'ai trop kiffé les chercher et vous les proposer ! J'espère qu'ils vous auront mis dans l'ambiance caliente en tout cas !
N'hésitez à me laisser un petit avis, ça fait toujours plaisir :D <3
Merci pour tout,
Fidèlement vôtre,
Miss-Key.
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