~~ Chapitre 25 ~~


Bonjour à toutes les chouquettes qui me lisent , nous nous retrouvons pour un petit chapitre, ( considéré le comme un petit cadeau de ma part ^^), en ce Jour Saint du 24 Décembre où nous fêtons la naissance du Christ Seigneur. N'oubliez pas de recharger la page avant de lire pour éviter les mots-collés.Sur ces mots et la magie de Noel, chères lectrices de mon coeur je vous souhaite une agréable lecture de ce chapitre mouvementé. :) 


Son souffle se heurta tandis que son corps se figeait. Baigné par une lumière légèrement orangée, Isaac avait encerclé le visage de sa cavalière et avait plongé ses yeux dans les siens, effaçant ainsi tout ce qui se trouvait autour d'eux. Donnant l'impression de s'être isolé des autres, n'étant conscient que de la présence et du toucher de l'autre. Ils s'étudièrent longuement. S'attardant sur chaque trait comme s'il était une œuvre d'art à lui tout seul. Il semblait à Julianne qu'ils s'embrassaient du regard avant de passer à l'acte. Aussitôt pensé, aussitôt réalisé. Camélia mima un furtif baiser et Isaac s'esclaffa en levant la tête. Sa cavalière l'imitait lorsqu'il plaqua ses lèvres sur les siennes.

Le cœur de la jeune fille avait arrêté de battre depuis bien longtemps mais elle ne s'en apercevait que maintenant. Son organe vital se serrait lentement. Tout semblait disparaître autour d'elle,les images devenant floues, tandis que des liens invisibles,redoutables, venaient s'enrouler autour de ses poignets, de sa taille et la tiraient en arrière. Ils s'acharnaient à l'arracher à cette scène comme si elle n'avait pas à la voir, comme si elle lui était interdite. Alors, elle sentit ce corps qui ne lui répondait plus,partir en arrière, entraîné comme une vulgaire chose dans cette chute qui ne menait qu'au gouffre qui espérait l'aspirer, depuis bien longtemps. Malgré le mouvement entamé et le sol qui s'ouvrait sous ses pieds, ses pupilles ne voulaient pas se détacher du spectacle que lui offrait la bouche d'Isaac Evans collée à celle de Camélia Parkinson.

Cette dernière se détacha lentement du jeune homme et lui caressa les cheveux pour le décoiffer. Il se débarrassa de cette main indésirable d'un mouvement de tête puis suite à l'échange d'un sourire complice il entoura ses épaules de son bras et l'attira doucement contre lui en une étreinte possessive.

Ne pouvant en supporter davantage, elle tourna brusquement la tête.C'était à ce moment là qu'elle remarqua une pression sur son avant-bras. Ses yeux fixèrent cette main masculine serrant sa manche puis remontèrent le long du corps pour découvrir son identité. Erwan Evans la considérait avec inquiétude.

« - Julianne ? Répéta-t-il. Allez-vous bien ?

- Ou-oui, bredouilla-t-elle, tout va bien. J'ai juste eu une bouffée de chaleur, avec cette musique, tout ce monde autour ... vous comprenez ? Débita-t-elle rapidement.

- Vous êtes sûre que tout va bien ? Renchérit-il, visiblement inquiet en retirant sa main.

- Ne vous inquiétez pas, le rassura-t-elle, je vais aller prendre l'air et puis tout ira pour le mieux. »

Après un signe de tête, elle le quitta. S'étant servie un grand verre d'eau bien fraîche, elle rejoignit la terrasse, où le vent semblait maintenant souffler fort. Elle alla s'adosser au mur gauche,à l'abri des regards. Fermant les yeux, la main gauche posée à plat contre la pierre rugueuse, elle inspira longuement afin de remplir ses poumons d'air frais et d'aérer son cerveau. Elle réitéra cet exercice quatre fois. Lorsqu'elle sentit le vide se faire en elle et le calme se manifester, elle releva lentement ses paupières et ses iris se posèrent sur une surface lisse, scintillante sous les assauts de la noble lune. Le ruisseau semblait si serein, suivant son rythme nuit et jour, sans aucun soucis. Pourquoi sa vie ne pouvait-elle pas lui ressembler et suivre lentement un rythme similaire, dénué de soubresauts de la sorte ?

Son poing se serra et ses ongles vinrent se planter dans sa paume, y laissant des petites traces rouges en demi-lune. Cet imbécile d'Isaac Evans l'embêtait au plus haut point... Pourquoi devait-il l'énerver même lorsqu'il ne lui adressait pas la parole ? Pourquoi ses agissements avec Camélia lui donnaient des envies de le gifler alors que cette scène était à prévoir ? Célia l'avait d'ores et déjà prévenue de leur passé et du potentiel partage de salive et autres microbes. Les paroles de sa meilleure amie lui revinrent en mémoire.

« Elle veut que ça aboutisse à quelque chose. Je ne te cache pas qu'ils se sont embrassés. »

Pour le bon déroulement de leur plan, tout ceci était à pressentir. Ils devaient se rapprocher physiquement pour que Camélia devienne sa priorité dans l'ordre établi. Néanmoins,elle n'aurait jamais imaginé qu'ils feraient ça dans une salle pleine de monde, avec ses grands-parents et son propre père pas très loin. N'avait-il pas de pudeur ? Tous les deux n'avaient-ils pas honte de se peloter de la sorte en public. Bon, il fallait tout de même rappeler que la salle était plongée dans la pénombre,seulement éclairée par quelques néons colorés, afin d'instaurer une ambiance festive, un brin intime. Peut-être même que Rosalie,Carlos et les autres invités n'avaient même pas assisté à cela. Julianne était-elle donc la seule à les avoir vus ? Erwan s'était trouvé à ses côtés pourtant...

Quoi qu'il en était, elle ne devait plus se rappeler. Elle n'avait aucune raison de se remémorer ces instants. Sa réaction incompréhensible n'était due qu'au choc de les voir agir devant tout le monde et rien d'autre. Voilà tout était clair et net et il n'y avait plus nulle autre piste à envisager.

Etant débarrassée de cette désagréable sensation, elle emplit ses poumons d'air en collant sa tête contre le mur et relâcha tout d'un coup. Elle se sentit de nouveau légère comme au début de la soirée. Et ceci lui fit du bien. Un état appréciable qui vola en éclats, trop rapidement à son goût.

« - Julianne ? Appela une voix qu'elle n'aurait plus jamais voulu entendre. »

Elle eut envie de taper du pied. Pourquoi la vie s'acharnait-elle ainsi sur elle ! Ne pouvait-elle pas trouver de répit ... En temps normal il aurait été envisageable d'opter pour de l'ignorance afin qu'il en déduise qu'elle n'avait pas envie de converser avec lui.Mais là, après le comportement étrange d'Isaac et l'étreinte qu'il lui avait offert ajouté à cela, le baiser auquel elle venait d'assister, c'était la chose à ne pas faire. Si elle l'ignorait, elle lui laisserait facilement entendre qu'elle avait été perturbée par ce qu'ils avaient vécu, et en plus de le lui avoir montré, elle ne pouvait lui donner la certitude de ce qu'il pouvait déjà penser.

Elle se tourna donc vers lui, un léger sourire sur les lèvres. Elle était aimable de nature et donc pouvait aussi l'être avec des garçons de la trempe d'Isaac. Il avançait vers elle et elle remarqua qu'il s'était dévêtu de sa veste.

« - Mon père m'a dit que tu ne te sentais pas bien et m'a demandé de venir voir, révéla-t-il en la regardant de haut en bas comme s'il cherchait des symptômes.

- Je vais bien, dit-elle en le regardant dans les yeux. Tu peux retourner à l'intérieur. »

Il continua son inspection, n'avalant certainement pas sa réponse qui pourtant transpirait de vérité.

Il s'approcha d'elle et sans crier gare posa sa main sur le front de la brune. Elle écarquilla les yeux et le repoussa aussitôt sèchement et les mots fusèrent tout seul.

« - Ne me touche pas avec ces mains, asséna-t-elle à voix haute, se surprenant elle-même, et le fusilla de ses pupilles mordorées qui semblaient brûler. »

Les sourcils du brun froncèrent dangereusement avant que ses iris tempétueux n'annoncent leur retour. Voilà, le véritable Isaac Evans était de retour, pour de bon.

« - Qu'est-ce qui te prends de me repousser comme ça, Davis? Je viens te voir et tu me craches ta haine au visage ! »

Malgré la fureur anormale qui palpitait en elle, elle ne rata pas le Davis balancé comme une insulte. Une once de bonheur la traversa.

« - Oh, je t'en prie, Isaac ! Tu aurais très bien pu refuser cette requête, tu n'es pas homme à obéir aussi facilement ! Lui rappela-t-elle, agressive.

- Qu'est-ce qui ne va pas chez toi ?! Quand je t'ignore tu me suis du regard et quand je viens te parler ça t'énerve ... Qu'est-ce que tu veux, au juste ?! Lança-t-il, exaspéré. »

Face à ces provocations niaises elle se mit à rire devant lui, sans prendre en compte la portée des paroles, frôlant l'hystérie.

« - Tu ne sais toujours pas ce que je veux, abruti ? Je vais te le rappeler : je veux que tu dé-ga-ges, plaqua-t-elle en prononçant chaque syllabe comme si elle s'adressait à un illettré. »

Sur ces mots, elle tourna les talons et entreprit de rejoindre le salon d'où les notes de Lean On s'élevaient. Elle était certaine que c'était l'idée de Thomas et qu'il avait dû brancher son smartphone à la chaîne hi-fi. Ses talons claquaient sur la pierre à mesure qu'elle mettait de la distance entre eux. Il ne restait plus que quelques mètres la séparant de la baie vitrée lorsque sa voix se fit entendre.

« - Papa m'a dit que tu t'étais figée ... »

Elle se stoppa aussitôt. Elle commença à craindre les mots qui  suivraient...

« - Et que tu étais devenue blanche quand tu m'as vu danser avec Camélia.»

Son cœur se mit à marteler dans sa cage thoracique. Erwan Evans avait-il tout vu ? Quelle était son interprétation ?Avait-il compris ce qu'elle avait ressenti ? Bon sang ... La honte la submergea aussitôt faisant flageoler ses jambes, tandis que son cœur bourdonnait à ses oreilles, violentant ses tempes avec ses battements effrénés. Elle se retourna dans sa direction d'un coup et refit le chemin inverse à grandes enjambées. Il fallait absolument qu'elle le fasse taire avant qu'il ne débite d'autres idioties.

« - On n'a jamais dansé ensemble, mais si tu le voulais... ,commença-t-il les yeux plissés, rivés au sol, tu aurais pu me le ...»

Il ne finit jamais sa phrase car elle ne lui en laissa guère le temps. Se postant face à lui, elle lui jeta le contenu de son verre en pleine face. Quelques secondes s'écoulèrent puis, estomaqué, il releva son visage ruisselant, parsemé de gouttes d'eau. Ses traits s'étaient figés en une expression de stupeur qui aurait pu paraître comique dans d'autres circonstances.

« - Ne me remercie de pas t'avoir rafraîchi les idées, Evans. Jamais je n'ai souhaité dansé avec toi et jamais cette idée dégoûtante ne me traversera l'esprit ! Rentres bien ça dans ton crâne ! cracha-t-elle avec hargne, le regard ancré dans le sien,coléreux. »

Après une dernière oeillade haineuse, elle le supprima de son champ de vision en rebroussant chemin et en posant le verre vide sur une table. Ses mains tremblaient encore de l'adrénaline qui l'avait parcourue lorsqu'elle avait eu ce dessein tout bonnement génial. Il avait besoin qu'on le remette à sa place et cette eau glacée en plus d'être humiliante ferait l'affaire pour établir de l'ordre dans sa cervelle à l'imagination tordue. Julianne danser avec Isaac? Julianne espérer une danse avec Isaac ? La respectait-il ne serait-ce qu'un peu pour avoir ce type d'hypothèses ? La Julianne de dix-sept ans avait nourri ces espoirs mais certainement pas celle d'aujourd'hui.

Toutes ces pensées volèrent en éclats lorsqu'une poigne redoutable la tira en arrière par l'épaule, la plaquant dangereusement contre le mur rugueux, la pierre écorchant son omoplate gauche. Un gémissement s'échappa de ses lèvres lorsqu'elle sentit la brûlure et elle essaya de dégager ses épaules de cette emprise sauvage en les remuant fortement. Peine perdue, il accentua sa prise en les écrasant davantage, si cela était toutefois possible. Le corps emprisonné entre le mur et la carrure d'Isaac, elle était misérablement prise au piège. Sentant la fureur qui émanait de son pire ennemi rejoindre la sienne, elle réalisa que celle d'Isaac était beaucoup plus forte. Elle enveloppait la jeune fille pour mieux l'oppresser. Il n'utilisait pas seulement son corps pour l'encercler, mais faisait appel à son aura pour la clouer sur place et à son regard noir pour la réduire au silence.

Ne s'avouant pas vaincue, malgré son omoplate qui chauffait, elle releva les yeux pour le fusiller comme il se devait. Formidable erreur de sa part.

Une tempête sans pareil faisait rage dans ses orbes noires et il lui sembla lire toute l'ampleur du ressentiment qu'il nourrissait à son égard. La haïssait-il autant qu'elle ? Elle aurait tant voulu les avoir, mesurer cette haine. Ses traits transpiraient son irritation,ils étaient serrés comme jamais et sa mâchoire était tellement contractée que la brune en vint à se demander s'il n'avait pas mal aux dents ainsi. Son regard la brûlait comme un fer chaud, bouillant et elle se dit que face à lui, le sien ne faisait pas le poids. Alors elle réalisa. Le ressentiment du jeune homme était plus fort que le sien. Comment cela était-il possible ? Sa haine envers Isaac était compréhensible, après tout ce qu'il lui avait fait et continuait encore, mais elle, qu'avait-elle fait pour le conduire à de tels extrêmes ?

« - Comment as-tu osé, idiote ! Asséna-t-il, glacial.

- Tu l'as mérité, répondit-elle du tac au tac, soutenant les prunelles noires.

-  Mérité ? Cria-t-il. Personne ne mérite ta présence et tes caprices de gamine, Davis ! tonna-t-il. »

Ses sourcils froncèrent dangereusement et elle vint empoigner le col mouillé de son interlocuteur avec brusquerie, avec l'espoir de l'étouffer jusqu'à ce que mort s'ensuive.

« - Mes caprices ?! Scanda-t-elle, hors d'elle. »

Pour qui se prenait-il, à la fin ? Elle ne lui avait aucunement demander de l'aide, il avait débarqué la bouche en cœur comme s'il se préoccupait d'elle. Mensonge et pathétisme.

«- On t'accepte chez nous par amitié, j'essaye de me montrer aimable avec toi, avoua-t-il en la perforant de ses iris ardents, et toi, buta-t-il sur ce pronom, toi  la seule chose que tu trouves à faire c'est de me faire regretter tout ça ! »

Il lui donnait encore une fois l'impression d'être un meuble, une valise qu'il trimbalait depuis assez longtemps. N'était-elle qu'un poids pour lui, encore aujourd'hui ? Et le « on t'accepte » aurait pu la faire rugir tant sa colère venait de redoubler.

« - On ne m'a pas acceptée, abruti ! Rosalie m'a presque forcée à venir tant elle voulait que je sois là ! C'est auprès d'elle que tu devrais te plaindre au lieu de ...»

Il la coupa sans se soucier de ce qu'elle pensait et de ce qu'elle avait à dire, seulement intéressé par la tempête qui grondait en lui.

« - J'essayais de bien faire. Je tentais d'arranger la situation,siffla-t-il, mais toi, lui rappela-t-il en baissant la tête vers elle et en s'attardant sur la dénomination, tu es toujours là pour tout foutre en l'air. »


Alors voici mon petit présent pour vous, j'espère qu'il vous aura plu ^^.Il était assez court je le reconnais, mais je voulais poster un petit quelque chose aujourd'hui ^^ ( surtout pour ma chère Camille ( Liastille ) et ma chère  Charlotte  ( syaellos )  :).

On y retrouve une Julianne désemparée face au baiser de Camy et Isaac.C'est peut-être vache de ma part de lui faire subir ça mais je pense qu'elle avait besoin de ce choc pour réaliser certaines choses et parfois les manières brutales sont efficaces xD Elle sent bien que ça la dérange énormément mais elle se l'explique comme elle peu en mettant ça sur le coup du choc et rien d'autre, afin d'amenuiser la peine, vous l'aurez bien compris. Cette scène est vraiment importante pour les deux ou trois autres qui vont suivre. L'intervention d'Isaac moi je l'ai trouvé vraiment adorable et vous qu'en avez-vous pensé ? J'ai essayé de montrer ici, que lorsque l'un part avec de bonnes intentions l'autre ne les voit et ne les perçoit pas et tout ça finit la plupart du temps en embrouille de ouf xD Ils sont aveugles et fermés, les pauvres pourtant Dieu sait qu'ils auraient des choses à remarquer et ressentir ~~ Elle lui reproche d'être un abruti violent de surcroît et lorsqu'il l'approche avec amabilité elle le repousse, décidément elle sait pas ce qu'elle veut la Mère Davis...

En ce qui concerne la scène du verre d'eau glacée je reconnais que c'est cliché, mais c'était trop amusant et trop beau à écrire alors je me pardonne xD C'était je crois le seul moyen qu'avait Julianne pour faire taire Isaac à ce moment pour éviter l'embarras et le stopper avant qu'il ne cogite trop. Et cette phrase de fin de la part d'Isaac, moi je la trouve tellement forte,tellement véridique et douloureuse. Il y a un écho au passé !!

Voilà voilà je vais arrêter de commenter mon propre chapitre et vous laisser me donner votre avis en espérant qu'il vous aura pas fait fuir.

Beaucoup de choses au programme aujourd'hui et demain : le repas de Noel à préparer, comme vous toutes j'imagine, la veillée de Noel à la collégiale et la messe de 11 heures. En général j'aime beaucoup les messes mais mes préférées sont bien celles de Noel et de Pâques surtout que les chants qu'on chante sont vraiment trop beaux accompagnés de l'orgue magnifique. Je sais pas si je vous l'avais déjà dit mais je suis une petite choriste de ma paroisse. Et vous, qu'avez-vous prévu ? quels mets pour le dîner ? Beaucoup d'invités ? Des cadeaux ? Une messe le soir ou celle du 25 ? Racontez-moi tout, j'adore en parler :D

Je vais terminer ce petit discours sur ces vers que je trouve très belles et riches de sens.

"C'est Noël chaque fois qu'on essuie une larme dans les yeux d'un enfant,
C'est Noël chaque fois qu'on dépose les armes, chaque fois qu'on s'entend,
C'est Noël chaque fois qu'on arrête une guerre et qu'on ouvre ses mains,
C'est Noël chaque fois qu'on force la misère à reculer plus loin."

Sur ces notes porteuses d'espoir, je vous souhaite à toutes un Très Joyeux Noel, que cette magie et cette joie qui nous enveloppent en ce jour saint perdurent à tout jamais.

A très bientôt,

Une Miss-Key heureuse.





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