Chapitre 47
P.D.V Adrien
Je la regarde partir, accompagné de Clowns, et je ne dis rien.
Je ne peux pas bouger, ma jambe droite est paralysée. Je pourrais l'interpeller en criant, mais les mots me manquent. La peur me paralyse, m'empêche de la retenir.
Peu à peu mes forces me quittent, mes yeux se ferment au moment où Nino et les autres sont autour de moi et m'entoure.
******
Deux jours plus tard...
P.D.V Marinette
J'étais allongé sur le lit, mon nouveau lit. Quand la porte
s'ouvre brusquement sur Aidan rouge de colère.
Je le regarde et n'ai même pas le temps de dire quoi que ce soit que je suis dans ces bras.
J'écarquille violemment les yeux et essaye de me repousser mais il dit:
-N'essaye même pas. Il dit d'un ton froid et en colère.
Contre et forcer j'attends qu'il se lasse de m'avoir dans ces bras et soupire intérieurement. Quelques minutes plus tard qui pour moi semblaient être des heures il dègne enfin me lâcher. Il s'allonge sans rien dire et me regarde.
Je le regarde étonné, priant pour qu'il ne me demande rien. Mais c'est un échec car il me dit:
- Je vais t'emmener voir Adrien. Me dit-il d'un seul coup.
Je le regarde surprise et en même temps heureuse mais me sourire disparaît aussitôt quand il me dit:
-Mais avant je dois te former. Ajoute-t-il en se relevant du lit et s'avançant vers le buffet.
Il sort d'un tiroir une arme qui me fait automatiquement déglutir. J'écarquille les yeux et serre mes poings derrière mon dos. Il se retourne vers moi et s'avance en me disant:
-Tu vas pouvoir commencer l'entraînement. M'avoue-t-il en me regardant d'un regard vainqueur et sur.
Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire... je ne le sens pas...
******
P.D.V Adrien
-Alya arrête ! Tu vois bien qu'il ne veut pas. Gronde Nino.
-Mais si ! Il a faim ça se voir quand même, regarde ces pauvres joues ! Rétorque Alya en le pointant de la main.
-Mais non... il est juste fatigué ! Râle-t-il en levant les yeux au ciel.
-Je pense qu'il est juste fatigué. On devrait le laisser se reposer. Conclus Max en ajustant ces lunettes.
-Ouais, chui d'accord. Ajoute Alix en s'asseyant en tailleur sur mon lit.
Mylène réajuste son bandeau puis finit par dire:
-Bon... on va arrêter de se chamailler et le laisser un peu seul. Conclut-elle d'une voix calme. Il en a besoin. Dit-elle doucement en intensifiant son regard.
Ils acquiescent tous et s'en vont en refermant la porte. Alya rajoute avant de sortir:
-Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas. Nous sommes dans la pièce d'à côté. Rajoute-t-elle d'une voix douce avant de refermer la porte.
Je me lève de ma chaise puis m'avance vers mon lit pour me glisser sous les draps.
Le silence règne et m'effraie. Je sors de sous mon oreiller une culotte en dentelle rouge.
J'hume son parfum avec délicatesse. L'odeur sucrée de Marinette me remonte aux narines. Du réconfort vient m'envahir en chassant la peur de la solitude qui recommençait à monté depuis son départ.
Je ferme peu à peu les yeux et m'endors en m'imaginant l'avoir avec moi, la caresser, la toucher, la goûter, apprendre à connaître chaque millimètre de sa peau par cœur. Passer ma main dans ces beaux cheveux, regoûter encore une fois à ces lèvres si douces et délicates et enfin, la garder avec moi pour toujours.
Ma douce Marinette...
Bonsoir !
J'espère que ce chapitre vous aura plu !
Franchement, je pense que c'est mon chapitre préféré. ^^*
N'hésitez pas à me laisser vos avis en commentaires.
Bonne soirée, bisous à vous. 💖💚
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