Chapitre 36

La veille...

P.D.V Omniscient

M.Tsuguri marchait à pas lent au milieu de la grande salle d'accueil à son bras une jeune asiatique qui semblait apeurée.

Le visage fier accompagné d'une carrure suffisamment imposante pour en faire trembler plusieurs, il s'avançait en trainant presque sa compagne.

Il regardait de haut les convives et n'hésitait pas un instant à les rabaisser ou juste les ignorer comme de vulgaires insectes.
Cela avait tendance à agacer plusieurs convives qui n'osait faire part de leurs pensées.

Son regard divaguait sur la foule à la recherche d'une personne inconnue au public.

-Cherches-tu quelqu'un ? Demandait son invité accrocher à son bras, calme.

Il ne répondit pas et tourna la tête. Son regard se posa sur la personne attendue et chercher.

-Gabriel ! Dit celui-ci en s'avançant vers le prénommé.

M.Agreste se tourna et sourit à monsieur avec classe et froideur.

-Bonsoir Naruhito ! Comment vas-tu ? Demanda Gabriel en lui serrant la main.

Naruhito, M.Tsuguri le regarda calmement et répondit sur un ton si froid que le sang des personnes à leurs alentour en gelait.

-Bien. Et toi ? Demanda M.Tsuguri calmement avec froideur tout en le fixant avec haine et colère.

Gabriel ne fut pas pour autant déstabilisé et répondit avec légèreté pour cette fois:

-Bien merci ! Je ne sais malheureusement pas où se trouve mon fils, j'en suis navré. Mais des apéritifs sont à votre disposition pour l'attente. Dit-il en leur souriant calmement d'une fois douce mais froide.

Naruhito le regarda en plissant les yeux puis finit par conclure après plusieurs minutes de réflexion:

-Non. Cela ira, nous allons rentrer. Bonne soirée a toi. Dit-il en tournant le dos à présent à son collaborateur puis en partant vers la sortie énervée.

Il rentra chez lui sans prononcer un mot. Son invité se posait plusieurs questions mais n'osait les poser par peur alors préférait rester dans le silence.

Arrivant chez lui, il partit directement dans son bureau. Il se servit un verre d'alcool pur puis s'assit sur l'un de ses fauteuils plus coûteux que la plupart des gens de certains peuples européens.

Il se mit à réfléchir et a oublié en plongeant son chagrin dans l'alcool, et cela pour tout le reste de la nuit.

Du côté d'Adrien et de Marinette:-
Dîner romantique, l'a veille:

P.D.V Omniscient

Adrien et Marinette étaient en voiture et roulait en silence.

Chacun dans ses pensées ni l'un ni l'autre n'avait l'audace ni l'intention de débuter une discussion. Le chemin fut long mais rapide, suivant les avis des deux. Marinette avait trouvé cela court alors qu'Adrien trouvait le chemin trop long. Ils n'avaient décidément pas les mêmes goûts.

Ils descendirent tous les deux de la voiture en silence une fois de plus. Ils marchèrent jusqu'à la réception et demandèrent une place au nom Agreste. Le réceptionniste les plaça puis leur donna la carte et partit. À présent seuls à table ils avaient le champ libre pour débuter une discussion mais ce n'est pas Adrien qui la commença mais Marinette gêné du silence devenant pensant.

-Humm... tu... tu... tu travailles comme grand patron ? Demanda Marinette déstabilisant en détournant le regard.

Adrien leva les yeux vers elle et la regarda rougir avec joie. Au plus grand étonnement de Marinette, Adrien posa ses mains sur les siennes et s'avança pour déposer un court et doux baisers sur ses lèvres.

Marinette resta surprise et figée pendant plusieurs secondes avant de se reprendre et de rougir de plus belle. Adrien en rigola puis lui dit:

-Oui, je suis le grand patron. Mon père est toujours en tête mais ma donner cinquante pourcents de l'entreprise. Je suis donc moi aussi patron. Dit-il en la regardant amoureusement.

Marinette resta muette pendant plusieurs minutes rougissantes avant de répondre plus calmement:

-C'est bien pour toi... Cela ne t'est pas trop fatiguant ? Demanda-t-elle en le regardant curieuse.

Il la regarda et s'approcha d'elle et lui chuchota à l'oreille:

-Moins que toi... Dit-il d'une voix sensuelle et terriblement sexy.

Marinette sentit sa chaleur corporelle montée d'un degré et se recula brusquement et tomba en arrière.

Nous pouvions entendre les rires d'Adrien et des autres clients dans le restaurant. Marinette était si gêné qu'elle se réfugia sous la table. Adrien rigola puis souleva le drap blanc pour regarder ce que faisait Marinette.

Il rigola en apercevant la bouille rouge et gênée de Marinette.

-Hahaha ! Tu... ne t'inquiète pas ! Dit-il en rigolant. C'était un accident, ce n'est pas grave ! Dit-il en souriant.

Marinette, ses jambes recroquevillées contre elle rougissante n'osait regarder Adrien dans les yeux. C'est à peine si elle pouvait le voir.

Pris dans un élan soudain se faufila sous la table à son tour disparaissant son l'épais drap blanc. Il regarda Marinette qui ne le regardait pas. Il la regarda de profil et la trouvait si ravissante qu'il approcha son visage et déposa un baiser sur sa joue, comme un enfant de quatre ans, heureux.

-Je rigolais Marinette. Dit Adrien d'une voix rassurante.

Marinette détourna petit à petit le regard vers lui et le regarda surprise.

-Vrai... vraiment ? Demanda-t-elle en bégayant.

Adrien lui sourit et lui dit:

-Oui. Ne t'inquiète pas, tu n'es pas fatiguante enfin... je ne sais pas. Dit-il en l'un disant un clin d'œil coquin, déstabilisant Marinette au plus au point.

Elle écarquilla subitement les yeux et sans comprendre fut projeter dans les bras d'Adrien. Ses lèvres rencontrèrent les siennes. Au début surprise elle resta figée une demi-seconde puis se détendit et répondit au baiser en posant ses mains sur ses joues prenant en coupe le visage de son amant.

Adrien la serra dans ses bras et l'embrassa passionnément.

Puis la soirée passa, ils sortirent de sous la table sous le regard surpris mais en même temps amusé du personnel et des clients autour d'eux.

En rentrant Marinette avait déjà bu plusieurs coupes de champagne. Il s'avérait que même avec les mises en garde d'Adrien notre belle bleutée a été trop bornée pour écouter la voix de la raison qui la conseillait de rester à l'eau. Tout cela car une cliente avait réussi à boire dix coupes à une vitesse folle et qu'Adrien avait complimenté la jeune femme. Marinette en avait été jalouse et avait essayé de reproduire la même chose. Mais elle oubliait qu'elle ne tenait pas l'alcool comparer à la jeune femme qui elle s'entraînait depuis déjà plusieurs années.

Adrien lui avait même dit:

-Tu vas aller beaucoup aux toilettes toi cette nuit ! Avait-il dit en rigolant.

En rentrant Marinette avait regardé Adrien refermé les portes et avait eu envie brusquement de... sexe.

Elle s'était donc approchée de lui et avait commencé à l'embrasser sauvagement, faisant des gestes que sobre elle n'aurait jamais faits ni même oser dire.

En arrivant dans la chambre du jeune homme ils se déshabillèrent mutuellement. Mais au dernier moment avant qu'ils ne commentent la plus grosse erreur du siècle Adrien avait repris ses esprits et avait dit:

-On ne peut pas Mari. Tu n'es pas sobre, attendons donc demain. Avait-il dit en se couchant à côté d'elle malgré ses supplications.

Ils avaient donc finit la nuit non en couchant mais enlacé l'un à l'autre.

L'image de ses deux tourtereaux était si touchante qu'elle est gravée dans leur histoire.

*[ Rose ]*

La larme d'Adrien alimentait la Rose parfaitement. Ses pétales n'avaient jamais été aussi resplendissants. Mais malgré sa, quelque noirceur apparaissait du côté de la tige au niveau des feuilles.

Et si la larme passait du côté maléfique ? Tournait du camp de l'adversaire ?

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Bonjour ! Bonsoir !

Comment vas-tu ?

Moi, je vais bien merci.

J'espère que ce chapitre vous aura plu ! N'hésitez pas laisser vos avis !

Bisous 😘

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