Chapitre 19

-Adrien je t'en prie calme toi ! Supplie désespérément depuis plus d'une heure Marinette en larme face à un Adrien d'une colère sans nom...

   |........| Quelques temps plus tôt.

P.D.V Adrien

Je me réveille grâce au première lueur du soleil, m'éblouissant avec des rayons plus agressifs et lumineux que d'habitude. Je plisse les yeux puis les frottes à l'aide du revers de ma main pour mieux me réveiller. Je me rend compte que je suis dans ma chambre, je décide d'aller me préparer voulant retourner à l'hôpital voir Marinette. La nouvelle m'a boulversé mais ce n'est pas sa qui m'empêchera de surveiller ma belle et douce Marinette. Mais sa a tout de même donner un grand coup dans mon moral déjà fragile.

Je me lève puis part me préparer. Je resort de la salle de bain prêt et propre puis descend, récupère mes clés de voiture puis part. Je sort de la maison pour me rendre à ma voiture quand en sortant je découvre une lettre au sol face à ma porte. Je fronce les sourcils examinant quelques secondes les alentours puis me baisse et la récupère. Je regarde avec attention la lettre puis décide après quelques temps de recherche que je l'ouvrirais plus tard. Je range suite à sa la lettre dans ma poche puis reprend mon chemin jusqu'à ma voiture. J'y arrive quelques instants plus tard, j'active le moteur puis me met en route pensif. La lettre, a-t-elle été déposé ce matin même ou plutôt dans la mâtiné. Est-ce de la part du Clowns ? Je l'avais presque oublié avec la tournure qu'a pris les événements c'est dernier temps. Au réveille de Marinette je compte bien faire ce que j'ai dit, c'est à dire le tuer.

J'arrive à l'hôpital déjà agacer puis sort de la voiture et me rend dans la chambre de Marinette, quand j'arrive, je découvre tout le monde autour du lit de Marinette, discutant. Comme si c'était normal...

Alya et Nino discutent avec Marinette en souriant. Lui expliquant au passage certaine chose. Quand je perce la pièce les trois regards se retourne vers moi. Alya et Nino me regarde désolé quand à Marinette c'est comme si elle cherchait qui j'étais. Je comprend instantanément les paroles du médecin et la regarde abattu. Mon cœur se fissure douloureusement, baissant la tête je m'empêche au passage de pleurer face à eux. Le diagnostic du médecin était donc bon, Marinette ne se souvient plus de moi. Je n'ai point eu besoin de parole. Son regard paraissant étranger me l'a prouver. Elle ne sait plus qui je suis, elle m'a effacer de sa mémoire, totalement .

-Adrien ? Vient faut que je te parle d'un truc. Me dit Alya m'emmenant en dehors de la pièce. Je regarde une dernière fois Marinette puis la suis. Nous sortons de la pièce puis elle comme à m'expliquer quelque chose qui me fracasse en deux, si sa continue je vais mourrir.

-Écoute Adrien... euh.. comme le médecin l'avait prescrit Marinette ne se souvient plus de toi, c'est certains. Mais elle ne se souvient de moi et Nino, et de sa famille puis de ses amis au état Unis. Enfaite le problème c'est que... Explique-t-elle gêner.

Mon angoisse augmente, si elle se souvient d'eux sa veux dire qu'elle se souvient de moi. Moi et Alya sommes arriver la même année.

-Adrien tu m'a entendus ? Demande Alya en me regardant bizarrement.

-Euh..oui continu. Répondais-je calment.

C'est triste à dire mais j'aurais préférer qu'elle ne la finisse jamais sa phrase. Tout simplement parce que cette vérité est trop dur à endurer.

-La seule personne d'on elle ne se souvient pas c'est toi, Adrien. On dirait que sa mémoire a fait exprès de t'oublier. Dit Alya tristement.

Je palis en un seul coup. Je loupe un battement, le peu d'espoir que j'avais récupéré pendant quelques secondes disparaît en fumer puis se transforme en grande mélancolie. Je regarde Alya, pendant que mes yeux se remplissent de larmes. Mais jamais je ne l'ai laisserais couler et encore moins ici.

-Très bien..j'ai compris, Alya. Merci de m'avoir prévenu. Dis-je avant de me retourner pour partir. Je passe devant la porte de la chambre de Marinette mais décide de ne pas y rentrer. Trop de souvenir à présent douloureux vont refaire surface si je recroise son beau regard azur. Putain, j'en reviens pas... je l'ai perdus. J'en ferais rien. Plus rien...

J'entre chez moi le cœur lourd, en rentrant je me dirige vers mon bureau et me sert sans attendre un verre de vodka. L'alcool me brûle la trachée habituellement, sauf là. La peine recouvre entièrement ma souffrance. Je bois un verre puis deux puis trois, noyant ma peine à chaque gorgée.

18h30

Je n'arrive même plus à penser convenablement et pour ce qui est de marcher je ne peux tout simplement pas. Je zigzague comme un lézard et rentre dans tout les meubles, même les mûrs.

Mon esprit est seulement tourner vers une chose, où plutôt une personne. Marinette, noiraude au yeux bleus. D'une beauté dévastatrice et d'une personnalité exemplaire. Je suis accros à cette fille, et j'ai réussis à rester sept ans sans elle, sept putain d'année sans putain d'elle. Je tiens à cette fille. Oh oui plus que tout. Plus qu'à ma propre vie. Et malheureusement, le destin à décider de m'éloigner d'elle pour mieux me faire souffrir.

-Bande de salopard ! Dis-je ivre en me levant quand la sonnerie de chez moi se fait retentir.

Qui c'est ? Je me lève et part ouvrir me recoiffant avant d'ouvrir pour paraître plus au moins sombre. J'ouvre la porte et découvre une Marinette timide me fixant presque éblouis de ses grands yeux azur. Toute alcool installer dans mon corp s'évapore en croisant son regard timide et en même temps confus. La voir aujourd'hui, après mettre soûler la gueule toute la journée pour noyer ma peine, rien que pour l'oublier. Alors qu'elle se pointe la face à moi, comme une fleur. Comme si de rien n'était. Je vais m'évanouir...

-Bon..bon..jourbon. EUH ! Non ! Je veux dire Bonjou.. non.. bonjour ! Voilà bonjour ! Bégaye-t-elle gêner.

Sa réaction me rappelle tellement de souvenir lointains. C'est comme la première fois lorsqu'on c'est connus. Au collège. Elle avait la même réaction, et c'est se qui la rendait à mes yeux une personnalité étonnante et mignonne. À cet instant j'ai envie de la prendre dans mes bras et de ne plus jamais la lâcher. De lui prouver que je l'aime et tien plus que tout à elle mais me retiens fortement. N'oublie pas Adrien ! Elle t'a oublier !

Je lui souris gentiment. Puis prend la parole.

-Je dirais plutôt bonsoir, le soleil commence déjà à ce coucher. Entre je t'en pris. Dis-je en souriant examinant la moindre réaction négative pour changer mes propos.

Je me décale sur le côté puis lui permettre de rentrer, elle me remercie dans un souffle. Merci.
Mon sourire qui avait disparut depuis son accident réapparaît plus lumineux que jamais. Je referme la porte derrière elle puis l'emmène dans le salon. Je lui dit de s'assoir où elle le souhaite et de faire comme chez elle. Elle l'est..

Elle s'installe timidement au milieux du canapé en velour, jambes collées, mains sur les genoux examinant la pièce moderne avec des yeux éblouis et intrigué à la fois. Je souris puis en profite qu'elle n'est pas le regard poser sur moi pour l'observer et essayer en même temps
de dessoûler le mieux possible.

-Alay...euh non Alya..m'a..dit..dit que...que ...j'ha..j'ha..j'habitais...i..i...ici. Bégaye marinette en prenant une certaine couleur.

Je vois qu'elle n'a pas oublier les mauvaise habitudes. Pensais-je amuser.

Je la regarde sans grande réaction, puis après quelques secondes à la fixer sans réagir. Elle reprend la parole rouge pivoine, me décrochant au passage un sourire.

-Euh..heum.. j..j...je..p..peux.. peux....te..te..poser..une..une qu..questia...euh..non ! Question ! Dit-elle rouge et surtout gêner.

Mon cœur prend un coup quand elle me sourit timidement et détourne le regard pour ne pas être encore plus mal alaise. Je souris gentiment. La fixe sans gêne, puis prend la parole.

-Oui, je t'écoute ? Dis-je en portant toute mon attention à son égard.

Elle n'ose relever la tête mais reprend finalement la parole me fixant droit dans les yeux.

-Je..enfaite..Alya, m'a..eum..expliquer que..tous les deux ont..comment..dire...

Je fronce les sourcils attendant sa réponse mais soudainement on sonne à la porte l'empêchant d'ajouter un mot. Pourtant, je ne bouge pas de ma place attendant la suite qu'elle n'est pas décider à m'accorder. Elle baisse le regard honteuse, puis commence à jouer avec ses doigts. Je réfléchis et c'est inquiet que je me lève pour aller ouvrir quand sa voix retentit à nouveau.

-Adrien !...oublie..ce que...euh...je veux..de..te...dire. Dit-elle en me regardant perdus.

Elle est elle-même perdus, alors comment ne pourrais-je pas l'être.
Je la regarde une dernière fois puis incline légèrement la tête puis part ouvrir.

J'arrive face à la porte puis l'ouvre brusquement furieux. J'ai bien l'intention de faire payer cette fameuse personne qui vient de me déranger. Ce n'est que quand je vois un petit paquet au sol que les question à propos de Marinette s'arrête.

Je fronce les sourcils le regard méfiant vers le paquet face à moi puis me penche et le ramasse d'une seule main. Une lettre collée au mini colis face à moi. Je relève la tête et regarde au horizon pour vérifier qu'il n'y ait personne, mais rien. Je regarde méfiant une dernière fois l'horizon puis referme la porte calmement.

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Bonjour ou Bonsoir à tous !
J'espère que ce chapitre vous aura plu !

Plusieurs choses ce sont donc produites comme vous pouvez le constater. Marinette qui a perdue la mémoire ect...

N'hésitez pas à me faire par de vos remarques. Mily arrivera dans le chapitre 21 finalement. Désolée.

Bref, bisous 😘

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