Chapitre 18

P.D.V Adrien

Le médecin a dit qu'elle se réveillerait, ça c'était sûr. Mais quand, sa il ne le savait pas. J'ai appelé les plus grands médecins du monde mais ils ont tous donné le même diagnostic.

Marinette est plongée dans un coma sans date se réveille depuis maintenant 4 mois. J'essaye de tenir bon mais rien ni fait, je déprime. Je passe ma vie dans cet hôpital que je commence à haïr de tout mon cœur. Même si Nino à essayer a multiple reprise de me remonter le moral sa n'a pas fonctionné, j'ai même prévenu Alya. Je ne sais pas pourquoi, je me suis dit que c'était tout de même sa meilleure amie et elle devait être mise au courant, que c'était la moindre des choses à faire. Même Alya qui m'en a toujours en quelque sorte voulu elle a fait la paix, car elle avait de la peine pour moi. Mais, ça n'a pas vraiment arrangé la situation.

Toute la société à été mise au courant pour le coma de Marinette. Bien évidemment sans la raison, ni les détaille. Personne ne sait vraiment les détaille de l'accident. Les médecins m'ont dit qu'elle avait reçu un choc crânien assez violent, puis une balle près des poumons. Mais par chance ça ne l'est à pas percée, sinon elle sera certainement morte. Je ne peux m'imaginer dans un monde où elle n'existe pas. Non, jamais.

Je me lève de la chaise et rente dans sa chambre. Je la vois sur le lit d'hôpital et l'état dans lequel elle se trouve me brise le cœur. Lié à des machines qui veille sur la régularité de son cœur et de sa respiration me transperce le cœur, avec le masque quelle porte sur le visage, recouvrant sa fine bouche et son nez. Je referme délicatement la porte derrière moi et m'approche à pas de loup tout en la regardant amoureusement. Parce que oui, je suis amoureux de mademoiselle Marinette Dupaing Cheng. Et la perdre sera comme pour moi mourir. Je préfère quitter se monde si elle n'y ait pas. Si elle n'est pas là c'est comme si la vie n'avait aucun goût, qu'elle était aussi fade qu'un plat sans un peu de sel, sans goût ni joie. Je pourrais dire que si elle se réveille je ne recommencerais pas mes âneries et ne lui cacherais plus rien. Mais me connaissant sa serait me mentir à moi-même puis à elle. Et si elle est dans cette situation c'est entièrement de ma faute. Je n'aurais jamais dû provoquer Clowns. Jamais.

Je prend délicatement sa main frêle et la sert légèrement dans la mienne. J'approche sa main près des mes lèvres et dépose un doux baiser dessus, délicatement. Mes yeux se ferment en même temps que j'exécute le geste. Mon regard se pose sur elle, encore endormie. Son visage est paisible mais à l'air si fatigué et triste. J'approche mon visage du sien et m'arrête à seulement quelques centimètres du sien.

-Réveille-toi à présent. Tu t'es assez reposer, tu m'entend. Je n'arrive plus à supporter ton absence. Je veux que tu reviennes auprès de moi. Je ne peux pas vivre sans toi. Je suis amoureux de toi Marinette, je t'aime. Oh oui, plus que tout. Dis-je avant de déposer un doux baiser sur son front.

Elle me manque, terriblement. L'odeur de l'hôpital me rend à chaque fois plus déprimer en le l'inhalant. La peine me ronge de l'intérieur et finira par avoir ma perte. Une épine c'est installer dans mon cœur, m'empêchant à chaque battement de me sentir bien. Chaque battement est douloureux. Aussi douloureux qu'un couteau tranchant soigneusement en petit morceaux la peau de la partie intime d'un garçon. Je me redresse les yeux fermer puis souffle doucement. Je réouvre les yeux puis décide de m'assoir sur le fauteuil à côté du lit de Marinette. Je m'installe en ayant toujours mes mains accrochées aux siennes puis attend avec patience qu'elle se réveille.

P.D.V Marinette

Blanc, je me trouve entouré de blanc. Comme le paradis, serais-je à cet instant même au paradis ? Cela devrait donc dire que je suis morte. Des fractions d'image me revienne subitement en tête. Un garçon, blond avec de magnifique yeux verts. Me souriant. Puis plus rien. D'un seul coup la fatigue me prend et un seul nom me vient à l'esprit alors que je ne le connais point. Étrange. Le nom se nomme Adrien...

P.D.V Adrien

Mes yeux la fixe sans jamais se fermer. Ce qui me surprend le plus c'est qu'il ne s'assèche pas. Pas du tout même, toujours humide. De long cils, un petite bouche pulpeuses très attirante puis un visage d'ange. Mon ange doit se réveiller à présent, il a suffisamment dormit. J'en peux plus, mon corp ne tiens plus, je manque trop de sommeil, mais je ne lâcherais rien ! Je serais là, présent lorsqu'elle se réveillera, lorsque ces paupières, libérant c'est belle iris bleu. Ils s'ouvriront et la première chose qu'ils verront se sera moi, et seulement moi.

Je décide de me lever et de sortir quelques instants, prendre l'air. Je deviens fou. Je sort de la chambre fermant délicatement la porte épuisé puis me retourne et aperçois Nino et Alya plus loin en train de discuter avec le médecin, inquiet. Curieux, et surtout intrigué je m'avance vers eux. Le peux de la conversation que j'entend me détruit.

-Il est fort possible qu'elle est perdus la mémoire.. Dit le doctor.

Je m'arrête et le fixe anéantit par la nouvelle. Le docteur me vois et s'arrête immédiatement de parler, mais j'ai entendus l'essentiel de leurs conversations, malheureusement ou heureusement, je ne sais point. Alya et Nino se retournent dans ma direction puis me regarde peiner de la nouvelle mais aussi inquiet.

-Adrien il... Commence Alya avant que je ne l'a coupe.

-Depuis quand ? A partir de quelle année s'arrête ses souvenirs ? Demandais-je la voix tremblante mais froide.

Le médecin me regarde tristement, je comprend que la réponse risque d'être négative. Je souffle et passe une main dans mes cheveux inquiet mais en même temps triste. Je me retourne leur offrant la vue sur mon dos. Me permettant au même instant de ne pas craquer au cas si je recroiserrais leurs regards triste, remplie de pitié.

-Elle ne souviens plus des septs dernières années et quelques poussières. Je ne sais malheureusement pas si elle se souvint de vous malheureusement. Il est possible qu'elle est oubliée certaine personne même des années précédentes. Répond le docteur me plantant un poignard en plein cœur.

C'est donc possible que Marinette ne se souvienne plus de moi. Qu'elle est oublier toute notre histoire. Quelle n'es oublier, effacer de sa mémoire. C'est même possible qu'à son réveille elle ne m'aime plus, qu'elle tombe amoureuse d'un autre que moi et qu'elle me quitte, pour toujours cette fois. Mon dieux... mais qu'est ce que je vais faire. J'hoche tristement la tête puis m'en vais. Je monte sur sur le toit de l'hôpital puis m'accoude à une rambarde tout en regardant l'horizon sombre de Paris.

Marinette ne m'oublie pas... je t'en pris.

-J'ai besoin de toi.. moi. Je ne veux pas que tu m'es oublier. Je ne pourrais pas le supporter. Soufflais-je à moi-même en fermant les yeux laissant échapper une larme.

P.D.V Omniscient

La larme dévale le visage peiner d'Adrien puis s'envole dans l'air grâce à un coup de vent pour venir se jeter sur une rose rouge naissante. Celle-ci s'illumine en un rouge vif magnifique lorsque la larme fond en elle. Elle représente l'amour qu'Adrien porte à Marinette. Elle se fanera si il meurt, elle s'illuminera à chaque fois qu'il sera heureux. Et si la fleur fane à jamais, elle emporte avec elle l'amour qu'éprouve Adrien pour Marinette avec elle, à jamais.

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Coucou tout le monde ! J'espère que ce chapitre vous aura plu ! 😘

Vous en apprendrez plus sur Mily dans le chapitre suivant, désolée. 😘

N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé.

Bisous 😘

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