Chapitre 10
Marinette
Tout mon stresse se relâche quand la poignet est relâchée. Heureusement, il n'a pas forcé. Je souffle de soulagement et pose ma tête contre la porte.
Ce beau regard vert, il m'avait manqué. Son visage, ses lèvres fines mais pulpeuses n'ont pas changé. Il es toujours aussi... beau.
Mon cœur à loupé un battement quand j'ai croisé son si beau regard vert qui c'est intensifier en rencontrant mon regard.
Je suis rester figé, je m'attendais à le voir, mais pas si...rapidement. Pas dès mon arrivé, j'ai déjà faillit le voir. J'ai échapper de peu et la encore mais sa se joue de si peux que je sais que la prochaine fois sera la bonne. C'est toujours ainsi.
Quand j'eus finis mon discours je me suis précipité vers la sortie croisant les doigts pour ne pas qu'il ne me rattrape. J'ai commencer à courir quand son parfum m'ai venue aux narines. J'ai sentis une présence influente derrière moi, la panique ma envahit et j'ai commencer à courir aussi vite que je le pouvais. Par chance j'aperçus cette porte et je me suis cacher dans ce placard à ballet. Mais je m'en fiche le plus important c'était de lui échapper.
Pourquoi le fuir, je le verrais bien un jour et ce jour ne risque de tarder. Mais ce soir je n'ai pas le courage de le voir. Je sais pourtant qu'il se trouve derrière cette porte à un millimètre de moi. Mais le faites qu'il y est la porte pour nous séparer m'apaise.
Mon cœur ralentit peu à peu ces battements précipiter et commence à reprendre une allure régulière. Peu à peu mon souffle s'apaise et retrouve son cours normal.
De le voir après cette illusion m'a surprise si sa ne serait choqué. Trop de chose en même temps, mes nerfs ne sont pas aussi fort.
Je n'aurais jamais du revenir ici... Mais je ne pouvais avoir le faites qu'une entreprise de toute une vie et des milliers de salariés se retrouve au chômage par ma faute.
De refuser aurait été égoïste de ma part, mais ai-je penser à moi avant de penser au autre ?
J'aurais du, mais maintenant c'est trop tard. Mon cœur ses ré-ouverts, ré-ouvrant au passage toutes mes blessures les plus profondes.
Ses lèvres...son visage...ses lèvres....son regard... tout m'avait manqué de lui. Et même de ressentir son parfum ma enveloppé d'une sensations de bien être que je n'ai qu'avec lui. Je ne serais dire pourquoi ni comment cela se dit que je ne ressente sa qu'avec lui mais ce n'est pas du tout saint. Pas saint pour moi...pour mon cœur.
Les émotions finiront par m'avoir, par me briser. Encore une fois...
-Adrien...tu m'as manqué. Soufflais-je faiblement en fermant les yeux.
Je ne pense pas qu'il est entendus. Ces mots sont sortit d'eux même de ma bouche, mais bizarrement je ne m'en veux pas. Ce n'est que la pure et stricte...vérité.
Une vérité qui me chagrine, mais qui est vrai. Il m'a manqué, plus que je ne l'admet. Et puis il n'a sûrement, strictement rien entendus alors pourquoi paniquer.
-Toi aussi....marinette. Entendis-je de l'autre côté de la porte.
Il..il a entendus ce que j'ai dis, il a même très bien répondus ! C'est pas vrai, il entend tout ce que je dis, même à travers la porte.
Mon coeur reprend ses battements accélérés et mon angoisse reprend place. Je commence à avoir chaud, mon stresse se mélange à mon angoisse.
Tout sa à cause d'une réponse. Je suis si...Pathétique. Je me déçois moi-même de ne pas réussir à tenir le coup. Je devrais arrêter tous sa même avant que sa ne commence.
Me connaissant et connaissant Adrien tout se finira comme je ne le désire. Serons-nous encore brisés ? Était-il triste de mon départ, de mon absence ? non. Il était en train de s'amuser avec des filles m'oubliant. Comme si je n'avais jamais existé, rien.
C'est de ta fautes aussi ! Gronda ma conscience.
Je sais, je le sais bien... Mais tout sa n'est pas entièrement de ma faute, j'ai voulus me protéger. Me protéger de ses sentiments qui vont recommencer à faire surface en moi.
Est ce que tout va recommencer comme avant ? Nous avons murit tous les deux, avons grandis. Tout devrais être différent, pourtant je réagis comme une ados de 15 ans, comme avant. Je le fuis, par peur. Qu'elle peureuse je suis. Je suis incapable de lui faire face, je n'ai donc aucune fierté.
Je prend mon courage en main et au moment au j'allais ouvrir la porte pour lui faire face et garder la tête haute j'entend des pas s'éloigner.
Je souffle de déceptions, trop tard. Je n'ai pas réagis assez vite. Mince !
Je n'entend plus les pas, j'ouvre la porte mais plus personne derrière. Je souffle, pourquoi j'ai fais sa.
Parce que tu es une grosse trouillarde !
Mais non ! Enfin si mais..euh..et voilà ! Je m'embrouille même l'esprit à cause de ma conscience. Merci conscience.
Mais de rien !
Pff...
Je marche en direction de ma chambre. J'ai eu assez d'émotions pour aujourd'hui. J'ouvre ma porte de ma chambre et tombe nez à nez avec..Adrien.
Il est assit sur mon lit. Son regard se tourne vers moi et il y reste verrouiller au mien.
Je n'en crois pas mes yeux. Adrien est la face à moi, dans ma chambre. Et moi, face à lui comme paralysé.
Il est face à moi, et les mots me manques. Les larmes ne veulent pas faire surface et mon cerveau est sur OFF. Comme si plus rien ne répondais.
Adrien. Est là.
P.D.V Adrien
J'y crois toujours pas. Elle est face à moi, juste la à quelques mètres de moi. Elle me regarde de son regard bleu azur qui m'avait manqué. Un immense désir naît en moi. L'envie de l'embrasser, de la toucher de ma sentir me démange. Je me lève elle se recule surprise.
Je m'avance vers elle, elle recule, elle finit par heurter le mur. Je continue de m'avancer comme posséder.
Ce qu'elle a dit tout à l'heure derrière la porte était vrai ? Je lui ai donc manqué. Je mettrais ma main à coupé tellement je suis sûr de ne pas avoir rêver quand je l'ai entendus derrière la porte. Elle l'a vraiment dit.
Mais alors que lui dire. Je ne sais même pas si elle m'a entendus. Je me demande à quoi peut-elle bien penser en ce moment. À moi ? À notre vie ? À nos sentiments ? Ou tout simplement à rien.
J'arrive à quelques centimètres d'elle. Je pose mes mains délicatement de chaque côté de sa tête. Coller au mur je rapproche mon visage du sien.
Je respire à présent son parfum sucré et doux que j'idolâtre tant.
Yeux dans yeux, plus aucun de nous deux ne clignons des yeux.
La tension dans la pièce passe de gênante à intense. Je la dévore des yeux, je l'admet, je suis comme verrouiller à son beau regard bleu qui désigne plusieurs couleurs. Et tant de chose...
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Bonjour !
J'espère que ce chapitre vous aura plut ! 😘
La rencontre avec Adrien et marinette est enfin réaliser, qui aime ? 😬
Bref..j'attend vos commentaires. 😁😉
Gros gros bisous 😘
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