56
« Don't you remember I'm your baby girl?
How could you throw me right out of your world?
So young when the pain had begun
Now forever afraid of being loved »
Quand je me réveille le lendemain matin, ma tête est posée sur le torse nu d'Adam et sa main est toujours dans mes cheveux, les caressant lentement. Je relève légèrement les yeux avant de voir que mon beau ténébreux était réveillé et me regardait.
- Bonjour murmurais je d'une voix endormie.
- Bonjour ma douce. Tu as bien dormi ?
- Parfaitement bien et toi ?
- Comme un bébé puisque tu étais dans mes bras.
Je m'approche doucement d'Adam afin de pouvoir l'embrasser tendrement alors qu'il saisit mon visage entre ses mains pour approfondir le baiser. Hum parfait. Je rapproche un peu plus mes jambes avant de m'assoir sur lui pour être dans une position convenable alors qu'il glisse ses mains sous mon tee-shirt pour caresser tendrement mes hanches. Maintenant qu'on avait franchi une première étape au niveau de la nudité, Adam se lâchait un peu plus et caressait avec attention mais sensualité certaines parties de mon corps qu'il ne touchait pas auparavant. Il fait néanmoins attention à ne jamais toucher les zones « interdites » à savoir mes fesses, ma poitrine et surtout ma féminité. Sauf pour hier soir où ses mains ont tâtés un peu mes fesses mais la situation était exceptionnelle. Je me détache lentement de ses lèvres pour jouer avec ses cheveux alors que ses mains sont toujours sous mon tee-shirt, caressant mes hanches tendrement.
- C'est le meilleur des réveils fit Adam soudainement en déposant un baiser dans mon cou.
- On fait quoi aujourd'hui ? demandais-je.
- T'as envie de quoi aujourd'hui ?
- On se regarde une série ? Moi dans tes bras sur le canapé ... fis je en enroulant une de ses mèches de cheveux autour de mon doigt.
- Pourquoi pas ma douce fit il en m'embrassant tendrement. En revanche, est-ce que tu veux bien te lever pour que j'aille te préparer un bon petit déjeuner qu'on mangera devant la série ?
- Oh oui pardon fis je en me levant pour le laisser se lever alors qu'il dépose un baiser sur mon front avant de partir à la cuisine.
J'attrape mon smartphone pour voir si j'avais reçu des messages durant la nuit et hormis un message de Lucas et d'Eva, j'ai également un message de Clément. Décidément. Il peut continuer à s'accrocher, de toute façon, entre lui et moi, c'est fini. Définitivement. Je repose mon téléphone avant de me diriger dans la cuisine, où Adam, vêtu simplement de son boxer, commençait à préparer le petit déjeuner. Je me pince les lèvres alors que j'admire son joli dos et surtout ses fesses moulées par son unique sous-vêtement on ne va pas se le cacher. Qu'est-ce qu'il est beau quand même. Je m'approche doucement d'Adam, passant mes mains autour de sa taille pour ensuite ma tête contre lui. Adam continue de préparer des pancakes tout en me déposant un baiser sur le front longuement.
- On n'est pas bien tous les deux ? fit-il soudainement en terminant sa pâte pour ensuite me prendre dans ses bras pour me faire un gros câlin.
- On est trop bien même fis je en relevant la tête alors qu'il se penche pour me déposer un baiser sur les lèvres tendrement.
Alors qu'on est en train de s'embrasser tendrement, profitant ensemble de ce petit moment qu'on peut enfin s'accorder sans personne pour nous interrompre, la porte sonne soudainement. Je me détache lentement des lèvres d'Adam, me demandant un peu qui pouvait venir à l'appartement en cette belle journée. J'ai comme l'impression que personne ne veuille que je profite d'Adam pour moi toute seule.
- T'attends quelqu'un ? demanda-t-il en me regardant.
- Pas à ma connaissance fis je en me dirigeant vers la porte d'entrée, un peu perplexe.
Alors que je traverse le couloir, je me demande un peu qui cela peut-être pour me rendre visite aussitôt. Rian ? C'est fort probable. Tout ce que j'espère, c'est que ce n'est pas Clément. En même temps, il ne sait pas vraiment que j'ai « déménagé » aux Etats-Unis. Enfin je crois. Une boule au creux de mon ventre se forme alors que je prie pour ne pas tomber sur mon « ex ». J'ouvre la porte et me retrouve face à mon père et Eva. Je recule un peu sur l'effet de la surprise, me demandant ce qu'il se passe. Qu'est-ce qu'ils font ici ?
- Papa ? Eva ? Mais qu'est-ce que vous faites ici ? Qu'est-ce qui se passe ? demandais-je, surprise.
- On droit parler fit mon père. On ne te dérange pas au moins ?
- Bah ... euh ... c'est-à-dire que ... bégayais-je.
- Oh tu viens de te réveiller toi sourit mon père.
- Oui ... oui c'est ça ... je viens juste de me réveiller.
Non je ne venais pas juste de me réveiller mais je ne savais pas trop comment j'allais expliquer la présence d'Adam dans l'appartement. Surtout Adam en boxer noir dans la cuisine en train de me préparer mon petit déjeuner. La gêne totale. Surtout pour une première rencontre avec mon père. Enfin une rencontre qui n'est pas encore officielle si je puis dire. Oh la honte pour une première impression.
- Bon tu nous fais visiter ? fit mon père pour me sortir de mes pensées.
- Oui oui bien sûr fis je en commençant la petite visite de l'appartement.
- Celly ? Qu'est-ce qui se passe ? Oh bonjour fit Adam en sortant de la chambre après avoir enfilé sa chemise et son pantalon en deux temps trois mouvements.
- Qui est-ce ? demanda mon père.
- Ne me dis pas que tu ne le reconnais pas fis je en le regardant et il secoue négativement la tête. Ce n'est pas comme si on avait vu les deux derniers films Star Wars ensemble ... soupirais-je.
- C'est Adam Driver fit Eva, surprise. Waouh. Le Kylo Ren de Star Wars.
- Effectivement sourit Adam en s'approchant pour les saluer poliment. Celly, tu ne me présentes pas ?
- Si bien sûr. Adam voici Eva, ma cousine et accessoirement ma meilleure amie et Jean, mon père. Le vrai hein. Papa, Eva, je vous présente Adam Driver, l'acteur principal de You're not lonely anymore.
- Pourquoi tu as dit Jean, mon père, le vrai hein ? demanda mon géniteur alors qu'il serre la main d'Adam poliment.
- Parce qu'Oscar me considère comme sa fille de cœur et que du coup, il s'agit de son super papa fis je en haussant les épaules.
- Oh je vois. Et qu'est ce que vous faites ici jeune homme ? demanda mon père sévèrement.
- Papa ... soupirais je.
- On a fêté les vingt-deux ans de Celly hier soir et je l'ai raccompagné jusqu'à l'appartement. Comme j'étais un peu fatigué, elle m'a proposé de passer la nuit dans la chambre d'amis et du coup, j'ai dormi ici.
- Oh très bien.
- J'étais parti faire des pancakes fit Adam en les regardant. Du coup, j'en fais aussi pour vous ?
- Avec plaisir sourit Eva.
Adam repart dans la cuisine, m'adressant un clin d'œil discret, alors que je termine la petite visite de l'appartement avec mon père et ma meilleure amie. Ça me fait tellement bizarre de les voir ici à Los Angeles avec moi. Je ne m'y attendais pas du tout.
- Vous restez combien de temps ? demandais-je alors qu'on s'installe sur la table de la terrasse.
- Deux-trois jours pour qu'on puisse parler et discuter de ton film et peut-être une petite visite de Los Angeles fit mon père.
- Los Angeles c'est très grand moi-même je ne connais pas toute la ville rigolais je nerveusement.
- On visitera ce que tu connais alors fit Eva alors qu'Adam revient avec les pancakes et du café, s'installant à côté de moi.
- Ça fait plaisir de vous voir mais je ne m'y attendais pas du tout fis je en les regardant.
- On doit parler Célestine fit mon père alors que je prends une tasse de café.
- Parler de quoi ? demandais-je.
- De ce trailer du film ... je ne me suis jamais intéressé à tes écrits mais ... il faut qu'on parle de ce scénario.
Je reste les yeux rivés sur ma tasse de café car je n'ai pas spécialement envie d'aborder le sujet. Le liquide passe difficilement dans ma gorge alors qu'une des mains d'Adam glissent doucement contre ma cuisse pour la caresser tendrement et me dire qu'il était là.
- Tu te scarifies c'est ça ? demanda Eva soudainement et timidement, j'acquiesce d'un signe de la tête. Pourquoi est-ce que tu ne m'as rien dit ?
- Parce que je ne voulais pas que tu en parles à tes parents qui en parleraient aux miens expliquais-je. Je ne voulais pas que ma famille soit au courant ... parce que je ne voulais pas être jugée.
- Quand est-ce que tu as commencé ? demanda mon père.
- Il y a sept ans, le 13 avril pour être exacte. L'année de troisième a été difficile pour moi à cause de Vanessa ...
- Vanessa ... la fille avec qui tu étais super amie depuis la maternelle ?
- Oui cette Vanessa. Quand mamie est décédée, j'ai vraiment eu du mal à m'en remettre ... personne ne le voyait d'ailleurs mais j'ai été troublé.
- C'est normal ça Celly. Mais tu aurais dû nous en parler au lieu de faire ça ...
- J'en ais parlé à maman quand j'ai commencé à faire des crises d'angoisse chaque matin avant d'aller à l'école. J'avais peur de me retrouver face à cette traitresse qui m'insultait et m'a promis de me casser la gueule en sortant du collège parce que je méritais d'avoir des coups ...
- Mais qu'est-ce que tu lui as fais pour qu'elle en soit arrivée à te haïr à ce point là ? demanda mon père.
- Je ne sais pas exactement. A vrai dire, je n'ai pas compris son changement brutal de comportement. Quand j'ai dû commencer à faire mon deuil, tout allait bien et mes potes étaient gentilles puis soudainement, elle s'est mis à dire que je n'avais pas de caractère, que j'étais qu'une gamine, que j'étais trop gentille, que j'étais un bébé. Ça me faisait mal mais j'encaissais. Après ça, elle a commencé à m'insulter et à me dire que j'étais inutile. Là aussi j'ai encore encaissé jusqu'à ce fameux vendredi treize avril.
- Qu'est-ce qui s'est passé ce jour-là ? demanda Eva alors que je ravale mes larmes.
- J'avais respectivement cours de maths puis cours d'allemand puis deux heures de technologie. J'étais en cours de maths et elle a commencé à dire assez fort que j'étais une gamine et que je n'avais aucun caractère sous les moqueries de mes camarades. A la sortie, je l'ais pris et lui ais demandé pourquoi elle avait dit ça. Elle m'a dit parce que j'avais envie de te le dire et tu n'es qu'une gamine tout le monde le pense. T'as pas de caractère, t'es molle comme fille je ne sais pas comment on a pu être amies et sous les moqueries de tous mes camarades de classe. On est rentrées en cours d'allemand et elle m'a dit qu'elle faisait ça pour mon bien, qu'elle voulait que je m'affirme car sinon j'allais morfler en vieillissant. Les insultes et tout ça c'était pour que je réagisse apparemment ...
- On ne fait pas ça fit Eva, énervée. On n'insulte pas son amie soi-disant pour l'aider à faire son deuil n'importe quoi. Elle a craqué elle !
- Et qu'est-ce qui s'est passé ensuite ? demanda mon père.
- Je lui ais dit tout ce que j'avais sur le cœur que moi j'étais mal avec ses insultes, que j'étais triste de voir qu'elle m'insultait alors que je n'avais rien fait et je me retenais de pleurer. Elle a rigolé et disait que j'étais vraiment une gamine et sous le coup de la colère et de la tristesse, je lui ais dit tu rigolerais moins alors que la gamine a des envies suicidaires et qu'elle veut mourir. Et là, elle a littéralement pété un câble en disant que moi contrairement à elle, j'avais une vie de famille heureuse, que je n'avais aucune raison de mourir et qu'elle en bavait depuis toute petite. Elle est sortie de classe parce qu'elle était en train de faire une crise de nerfs alors que moi, j'ai décidé de rentrer chez moi parce que je ne me sentais pas bien. La professeure d'allemand m'a même dit que si je voulais partir ou être seule, j'avais le droit mais si je serais restée seule, je me serais jeté depuis la fenêtre du second étage du collège.
- Comment ça elle n'avait pas une vie de famille heureuse ? demanda Eva, perplexe.
- Elle avait une sœur handicapée, ses parents ne s'occupaient pas énormément d'elle, elle avait de nombreux frères et ce n'était pas évident pour elle de ses dires ...
- Oui mais toi tu n'y es pour rien dans ses problèmes de famille s'emporte Eva. Elle n'avait pas à agir comme ça.
- Pourquoi est-ce que tu ne nous as jamais dit ça ? demanda mon père.
- Je ne vous en ait jamais parlé ? Vous ne m'avez jamais vu pleurer chaque matin parce que j'en pouvais plus des insultes au collège ? Que maman m'a dit que je devais affronter ça et que je ne pouvais me laisser morfondre sur mon sort parce que les insultes ce n'était rien ? C'est au travers de l'écriture que j'ai réussi à trouver la force pour surmonter ça.
Sans rien dire, Eva se lève soudainement et me prend dans ses bras pour me serrer fort en pleurant. Elle ne devait pas s'attendre à ça. Je l'entends me murmurer des pourquoi est-ce que tu ne m'as rien dit, je m'en veux de t'avoir laissé aussi mal. Je lui dis que ce n'est pas sa faute alors qu'on continue de se câliner. Je ne tarde pas à fondre en larmes à mon tour non seulement parce que ma meilleure amie pleure mais aussi parce que je n'ai jamais parlé de ça à personne depuis que cela est arrivé et que je gardais ça en moi depuis des années.
- Qui était au courant contrairement que tu te scarifies ?
- L'ensemble de mes lecteurs car j'en ais parlé ouvertement dans un de mes livres, celui qui a servi de base pour le scénario, Lucas depuis quelques années maintenant, Clément. Ils n'étaient pas beaucoup à savoir.
- Attends t'en as parlé à Clément et pas à moi ? demanda Eva, énervée.
- Oui je lui en ais parlé quand ça commençait à devenir « sérieux » entre nous. Il m'a beaucoup aidé au début à ne pas le faire ...
- Et quand il t'a abandonné ce petit con ?
- Ca a été dur ... et je pense qu'il me prend pour une folle.
- Je le hais encore plus maintenant que je sais la vérité déclare Eva.
- Et ... tu as continué ... depuis ? demanda mon père.
- Oui. Je n'ai jamais véritablement arrêté.
- Pourquoi est-ce qu'on n'a rien vu ? se reproche Eva.
- Je faisais tout pour le cacher. Tout le temps. J'avais peur de vos réactions ...
- On ne te jugera pas. Pas sur cela en tout cas.
Soudainement, mon père se lève de la table pour rejoindre probablement la chambre ou la salle de bains mais en tout cas, il cherche à s'isoler. Il n'avait pas prononcé un mot alors que je venais de débiter tout ce que je n'avais jamais évoqué jusqu'à présent ni même me regarder. Je le regarde partir un peu triste. Je ne sais pas du tout ce qu'il pense à ce moment-là. J'aurais aimé qu'il ait une réaction différente : me dire que je mentais, s'excuser de son absence de soutien, je n'en sais rien mais qu'il fasse quelque chose. Le fait qu'il reste impassible me déstabilise. J'aurais aimé une autre réaction que cela. Je me lève de ma chaise alors qu'Adam me retient par le poignet. Je tourne le regard alors qu'il plonge ses jolis yeux noisette dans les miens, cherchant à me rassurer et à me dire que ça se passerait bien avec mon père. Je lui dépose un baiser sur la joue avant de m'éloigner pour rejoindre mon père qui était dans ma chambre, trouvant rapidement mon journal intime pour le lire en s'asseyant sur mon lit. Il était concentré dans sa lecture, lisant chaque passage noir avec la plus grande attention, une expression illisible sur le visage. Je m'approche doucement de lui et m'assoit à ses côtés.
- Comment tu as pu me cacher tout ça Cel' ... comment tu as pu garder un tel secret aussi longtemps enfoui en toi ?
- Ca n'a pas été facile je le reconnais avouais-je, la voix tremblante. J'ai craqué et j'en ais parlé à Lucas ... puis à Clément par la suite. Ils ont été là pour moi et à m'aider à me sentir mieux ... Papa ... dis quelque chose je t'en supplie ...
- Tu m'as tellement pris de court que je ne sais pas quoi dire. En l'espace de quelques minutes, j'apprends que ma fille aînée s'est faite harcelée à l'école il y a maintenant sept ans, qu'elle a succombé à la scarification, qu'elle a fait une crise d'anorexie mentale si j'en suis les termes que tu as employé ... tu veux que je te dise quoi ? Je m'attendais à absolument tout sauf à ça.
Je détourne les yeux, totalement désemparée par la situation. Au moins, il a l'air d'y croire contrairement à ma mère qui ne croit toujours pas à « mes mensonges grotesques » pour reprendre ses termes. Soudainement, je sens deux bras s'enrouler autour de moi pour me serrer fort contre lui et il pleure contre. Entendre mon père pleurer pour la première fois depuis la mort de ma grand-mère est vraiment perturbant. Je ne tarde pas à fondre en larmes à mon tour.
- Je te demande pardon ma puce murmure-t-il. Je n'ai pas su être un bon père sur ce coup-là. Je n'ai pas su voir que tu étais mal et que tu avais besoin absolument de nous. Pardon, pardon, pardon ...
- Papa je ne t'en veux pas ... toi aussi tu étais en deuil. Tu n'as pas su voir à quel point moi j'étais mal ... comme moi j'ai vu trop tard à quel point tu étais mal depuis ...
- Et ta mère ? Elle est au courant de tout ça ?
- Elle pense que c'est un mensonge grotesque. Elle ne veut pas voir la vérité en face ... pourtant elle a vu l'assistance sociale du collège mais rien n'y fait ... elle est toujours dans le déni.
- Ma puce ... je suis tellement désolé. Je te promets que tout ira bien désormais fit il en me serrant davantage dans ses bras.
Tout ira bien désormais j'aimerais que ce soit le cas Papa. Ce jour là j'y ais cru pourtant en me disant que maintenant que j'avais révélé mon secret tout irait mieux. Oui de ce côté-là, ça allait mieux. Mais pour le reste, rien n'était plus comme avant. Ces deux jours avec mon père et ma meilleure amie étaient parfaits : visite de Los Angeles, sorties au bar, on avait profité de ces quarante-huit heures à fond. Eva avait rapidement compris que quelque chose se passait avec Adam mais ne m'avait rien dit mais à l'époque, j'avais compris à son regard qu'elle savait. Adam. Entre mon anniversaire et le sien, on n'a pas eu l'occasion de se voir si ce n'est qu'une petite minute volée dans les toilettes de la salle des interviews. Du temps à l'arrache qui me faisait plaisir. Ah non, j'oublie cette fameuse journée contre le harcèlement scolaire, quelques jours avant l'anniversaire d'Adam. Ce fameux jour ...
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Hello, voilà pour le 56ème chapitre de Ne me détruis pas. J'espère qu'il vous as plu :) Alors, le réveil d'Adelly et une journée cocooning qui se termine par l'arrivée d'Eva et Jean, le père de Celly, qui apprennent le passé de l'héroïne et fondent en larmes, Jean présentant ses excuses à sa fille pour l'absence de soutien ;)
(ps : tout ce que Celly a dit à propos de Vanessa est réel. C'est tiré de ma vraie vie. Je vous vois poser la question donc j'y réponds directement : oui c'est vrai et jusque là, j'en avais jamais parlé à personne ni même réussi à l'écrire véritablement depuis 7 ans.).
TEASER du prochain chapitre (à venir jeudi) : C'est une nouvelle journée d'interview pour notre Celly chou ... mais cette journée ne s'est pas déroulée comme prévu ;)
Oscar : Mais je ne te mentais pas.
Célestine : Pas convaincant papa.
Qu'avez-vous pensé de ce chapitre ? N'hésitez pas à voter, commenter, partager la fiction et vous abonner à ma page pour (re)découvrir mes autres histoires ! Je vous dis à jeudi pour la suite de Ne me détruis pas ! 😘😘
Je vais parler d'un truc un petit peu triste si je puis dire x) Comme vous le savez, toute histoire comprend une petite fin (c'est déjà déprimant d'y penser 😭). Ne me détruis pas, qui a vu le jour en mars 2019, se terminera en août 2019 (oui oui le mois prochain 😭). Elle comptera depuis sa sortie 76 chapitres (prologue exclu donc 77 si on le compte). D'ici 20 chapitres, elle sera officiellement terminée après six mois de publication régulière 😭
MAIS ... une tome II verra le jour. Pour l'instant, je ne sais pas encore quand celle-ci verra le jour étant donné que je n'ai pas encore terminé l'écriture de la tome I et que la fin de la première tome se terminera à la toute fin août, ce qui ne me laissera pas beaucoup de temps pour écrire l'ensemble de la tome II. Je ne sais pas si elle verra le jour en septembre, en octobre, en novembre, en décembre, en janvier ou je ne sais quand puisque je vais enchaîner les cours dès septembre jusqu'à janvier et qu'à partir de janvier, normalement je suis en vacances mais je vais occuper mes six mois de vacances soit par des stages juridiques soit par des jobs pour ne pas rester six mois à rien faire sans oublier les dossiers pour les masters mais j'aurais normalement du temps pour moi donc peut-être à partir de janvier mais c'est vraiment une première idée totalement approximative : ça pourra arriver plus tôt comme ça pourra arriver plus tard.
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