Chapitre six. [warning]

Harry se réveilla avec un mauvais pressentiment à l'intérieur de son cœur. Sans connaître les raisons de son manque de courage à lutter de sortir de son lit, il soupira de frustration. C'était bien étrange pour lui. Cette sensation n'était pas la première, cette semaine avait été la plus douloureuse. Niall lui manquait atrocement. Cette rupture avait creusé un profond trou dans la vie de l'enseignant d'école. Harry regrettait, maintenant que les parents de Niall avaient tout gagné, Harry avait désormais perdu la seul chose qui comptait pour lui pour le bonheur des autres. Comme d'habitude, il n'avait pas pensé à lui, et avait agit pour la volonté des autres. Harry sécha ses larmes qui coulèrent le long de ses joues puis décida de sortir de sous ses draps et prit son café avant d'entamer une journée de travail à la petite école primaire comme tout les matins.

Niall avait rendu visite à sa mère de bon matin, pour déjeuner avec cette dernière tandis que son père travaillait dans le jardin. Silencieux, et triste, il tourna lentement sa cuillère dans son liquide chaud fulminant de caféine.

« Comment se passe ton travail mon chéri ? » demanda curieusement la mère de Niall avec un grand sourire.

« Ça pourrait aller ! » répondit en nonchalance ce dernier.

« Qu'est-ce qui ne vas pas mon amour ? »

Niall haussa les épaules ne sachant quoi lui répondre. Maura posa une main sur le visage de son garçon.

« J'ai vu Harry hier. Je ne l'avais pas vu depuis longtemps. Il est toujours aussi beau, je l'aime tellement et il me manques. » lâcha Niall, en posant ces coudes sur la table, son menton sur ces avant bras. Il en avait rien à faire de ce que sa mère avait à lui dire sur Harry. On aurait dit un petit garçon boudeur. Maura grimaça alors que son fils révéla sa peine de cœur.

« Oh chéri, à propos...je ne sais pas si je devrais t'en parler... Mais ton père et moi avait raison pour ce jeune homme. »

« Maman je sais ce que tu vas le dire... Comme d'habitude, Harry n'est pas fais pour moi.» Niall souffla et ferma les yeux tristement.

« Tout à fais ! Il n'a pas perdu de temps à te remplacer. Je l'ai vu, avec un autre homme. Il avait l'air heureux et très amoureux. Je sais que depuis le début, il en a rien à faire de toi. C'est peut-être mieux ainsi. Tu devrais passer à autre chose, tout comme il a fais avec toi... »

Niall fronça les sourcils et ouvrit les yeux aussitôt. Son cœur frappa d'une tel violence contre sa poitrine. Ce que venais de révéler sa mère était ce qu'il craignait mais Niall douta longuement avant de demander à sa mère qui lui confirma. Tout d'un coup, Bobby Horan déboula dans le salon pour allumer la télévision. Le sujet fut alors clos.

« Il s'est passé quelque chose de terrible dans le centre ville ! » s'écria t'il, la voix tremblante.

« Comment-ça ? » s'empressa de demander Maura, inquiète par l'attitude de son mari retraité.

Un silence se créa, seulement les présentateur d'une émission spécial clôturèrent alors ce silence en annonçant un affreux événement.

" ALERT ATTENTAT. Nous intervenons spécialement pour déclarer une alerte attentat. Ce matin deux hommes ont violemment assassinés a coup de revolvers des passagers dans les métro du centre ville de Londres puis ce sont sauvés. Ces deux hommes cagoulés sont recherchés depuis quelques mois par les services de l'ordres. Ils sont actuellement en poursuites policiers sont actuellement à leurs recherches, nous vous demandons d'être vigilant et de ne pas sortir de chez vous. "

L'annonce tomba comme une lettre à la poste, et fit frissonner plus d'un. Niall avait la bouche ouverte, Bobby Horan s'assit sur la chaise et Maura plaqua sa main sur la bouche. C'était l'horreur dehors, à quelque mètres de leurs maison. Le silence réapparue alors, aussi pesant que la première fois mais très vite interrompue par la sonnerie de bipper du jeune l'officier Horan.
Un code vigipirate clignota sûr l'outil électronique. Le sang de la famille Horan se refroidissait aussitôt. Niall se leva précipitamment.

« Niall ! Je t'en prie, tu n'es pas obligé de y aller. Bobby fait quelque chose ! Il pourrait bien se faire tuer. » hurla Maura, en sanglotant.

Niall se dépêcha de prendre ces affaires, afin de retrouver le commissariat où le travail l'appelait. « Maman, il ne m'arrivera rien. Il faut sauver la ville, c'est mon métier. Je t'aime ne t'inquiète pas. » la voix douce et rassurante de son fils ne suffisait pas pour faire cesser Maura de pleurer. Cette dernière continua, empêchant son fils de partir mais celui ci, claqua la porte et enjamba le jardin pour retrouver sa Range Rover.

Après cette annonce qui déclencha la panique dans la ville, les commerces fermèrent, les banques, stations de métro, et écoles clôturèrent tous leurs portes. Harry fit rentrer ces élèves dans la classe, tentant de rassurer et expliquer tout d'abord la situation sans causer de peurs.
La directrice annonça l'inutilité de faire rentrer les enfants chez eux. Harry hocha la tête, et aidés de ces collègues, il rassembla les enfants de la petite école dans une même classe, sans pour autant, remarquer que deux hommes armés entrèrent discrètement dans la cours.

Niall reçut un appel alors qu'il conduisait prudemment sur l'autoroute, les jambes tremblantes, en 4 ans de carrière, le blondinet n'avait jamais vécu une chose aussi grave. Pensant que tout ces drames se passaient dans les films et séries, il se trompa bien évidement. Il activa le kit main libre rapidement, laissant son collègue Zayn s'expliquer.

« Niall tu m'entends ? »

« Je t'écoute Zayn, je suis sur la route en direction du centre ville. »

« Tu as reçu l'alerte ? »

« Oui, c'est dingue ! Je n'arrive pas à y croire. » Niall ne perdit aucune concertation, les yeux sur la route en même temps que de parler avec le jeune homme grâce à la nouvelle technologie.

« Ces mecs sont des malades ! Ils sont complètement fous, ils sont descendu plus de 60 hommes dans le métro. »

Le visage du blondinet se décomposa et son estomac remua désagréablement. Niall eu un pincement au cœur en pensant à ces hommes et femmes qui avaient perdu la vie de façon aussi injuste.

« Je sais vraiment plus quoi penser, est-ce qu'ils sont localisés ? Les collègues ont une piste ? »

« Oui, oui, attend... Oh bon dieu de merde ! »

Niall tapota son capot et s'écria inquiet.

« Zayn tu es toujours là ? »

« Oui ! La police, les militaires sont sur place, le RAID ne devrait pas tarder. Ils sont cachés dans une école, pas loin. »

« Quoi ? Mais que font-ils et qu'est-ce qu'ils cherchent ? »

« Je te rappelle quand j'ai des nouvelles parce l'informations vient à l'instant de passer. Si tu es suffisamment équipé, tu devrais te rendre à l'école, c'est à rue Rotherfield. Ces cinglés sont ont de gros problèmes mentaux de s'attaquer à une école maintenant... »

Niall lâcha l'accélérateur, son sang coula rapidement dans ces veines jusqu'à se glacer sur place. Le cœur lourd, tomba alors dans son estomac, ses jambes se figèrent et ses mains sur le volant se crispèrent en entendant cette nouvelle annonce.

« R..Rotherfield ? Zayn ! C'est Rotherfield Primary school ? »

« C'est ça même ! Je serais pas là-bas. Aucune entrée est possible dans le bâtiment ni sortie. »

Niall eu un haut le cœur, les larmes monta aux yeux à l'idée de perdre l'homme qu'il aimait. Tout mais pas ça. Le blondinet paniqua, les mains tremblantes, il raccrocha la conversation de son collègue pour appeler d'urgence Harry qui était professeur dans l'école primaire de Rotherfield.

Il attendit une sonnerie, puis une deuxième, et une troisième sans nouvelle.

« Répond-moi.. Répond moi Harry ! » murmura Niall dans sa barbe.

Mais en vain, le bouclé ne répondit pas ce qui entraîna l'angoisse de l'officier de police qui eu une autre idée et decida d'appeler le demi-frère du garçon dont il était fou amoureux. Louis décrocha au bout de deux sonnerie et fut très étonnée d'entente la voix de l'ex petit ami de son frère mais lorsque le policier expliqua sérieusement ce qui était en train de se dérouler.

« Oui, comme tout les matins, Harry est partis au travail ce matin... » avoua Louis avec une petite voix alors que Niall ferma les yeux un quart de seconde. Son cœur cogna plus fort, et sa respiration s'accéléra. Il avala durement sa salive avant de réaliser que l'homme qu'il aimait était en danger. Niall lâcha alors un juron entre ces dents, le poing cognant contre le volant. Louis sursauta à l'autre bout du fil. Le blondinet raccrocha et appuya son pied sur la pédale d'accélération. Harry était en danger.

Un coup de feu, puis un deuxième, retentit dans la petite école primaire, la police entourèrent les locaux et tirèrent a leur tour. C'était le carnage. Des cries et des pleurent résonnèrent, l'école devenait un vrai champs de bataille. La peur avait pris place dans les esprits de chacuns, les enfants avait tous leurs petites mains posées contre leurs oreilles pour entendre le minimum des coups de feux. Harry leurs avaient tous conseillée de se cacher sous les tables en silence sans bouger, et de boucher leurs oreilles en pensant à quelque chose d'heureux. C'était douloureux et affreux, de faire endurer des enfants innocents. Soudain, le bouclé réagit, et pensa très fort à Niall. Ces pensée se brouillèrent et se mélangèrent, est-ce que Niall était à l'extérieur ? À la poursuite de ces malades ? Où était il blessé ? Harry était malade rien que d'y penser. Il renifla, et sécha une larme qui coula le long de sa joue sans qu'il ne le remarque. Harry pleura silencieusement avant de sentir la main du petit Kilian se poser contre la sienne. Il sourit avant de prendre l'enfant dans ces bras, et le serrer fort.

Des heures plus tard, Niall attendait comme avec ces collègues équipés d'armes et de protection par balle, derrière les grilles qu'il se contraignait de franchir pour sauver Harry, et tous ces malheureux enfants. Louis et Liam étaient là eux aussi comme pleins d'autre parents en pleurs et apeurés. Liam et Louis se tenaient mains dans la mains, liés, et aussi soudés que de la Roche. C'était le fils de Liam, qui se trouvait dans cette salle de classe avec Harry où les prisonniers les tenaient en otage, désormais.

Quand tout à coup après de longues heures d'impatience, la porte s'ouvrit sur un homme armé, le revolver pointé sur une petite fille qui tenait son Doudou contre sa poitrine. Cette dernière sanglotât, tandis que tout le monde ne pipa plus un moindre mot. Le cœur dans la gorge, Niall trembla, ces mains accroché au barreau de la barrière. Ces paumes lui brulèrent. Il hurla entièrement, tandis que les patrouilles pointèrent l'homme cagoulé.

« Je vous défense de tirer devant les enfants, gardez votre position ! » s'écria un homme des forces de l'ordre. Tous obéissaient, fusils pointé sur la cible.

Le deuxième hommes armés se joignit à son copain d'armes, et ils formèrent tout les deux un chemin de passage, puis laissèrent enfin sortir après six heures d'attente, tous les enfants un par un. Une trentaine d'enfant marchèrent vers la grille où les parents lâchèrent des cries de joies et des merci au bon dieu. La main de Kilian fut arraché violemment de la main d'Harry qui frémit à cette sensation de vide. Le petit garçon sauta dans les bras de son professeur qui le rattrapa aussitôt. Les ravisseurs râlèrent, en les séparent difficilement avant qu'un coup de fusil retentit de nul part, et abattu un des ravisseurs. Le second hurla, furieux, il pointa les policiers de son flingue avant de pointer la tempe de son premier otage, Harry, qu'il s'apprêtait à fusiller lâchement mais Niall, qui observait la scène sans perdre aucun détails pertinents, tira, sans pitié, les yeux remplit de rage, sa balle planté dans le crâne de l'agresseur qui tomba au sol. Raide mort.

A suivre.

[Inspiré de faits réels] #jesuicharlie #oncedemarzo #londres et pleins d'autres...

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