Chapitre 35: Une promesse sous le soleil couchant

Coucou, on se retrouve aujourd'hui pour l'avant-dernier chapitre de cette fic! Vendredi, je vous mets le dernier chapitre! 

Sur ce,

bonne lecture!

oOoOoOoOo


Les Pevensie et Lilyah regardèrent l'armée d'Aslan s'éloigner d'eux vers Cair Paravel. Peter regarda Edmund avec fierté. Edmund lui offrit un grand sourire et il sentit la main de Peter sur son épaule, le félicitant de son dur labeur et de son courage. Susan restait auprès de Lilyah et de sa sœur adorée, Lucy. Celles-ci discutèrent de la vaillance de Lilyah. Rougissante de gêne, Lilyah les remercia.


Le temps était aux félicitations et aux encouragements. La température tantôt glaciale par la présence de la Sorcière Blanche se tarirent dans l'atmosphère, apportant une certaine chaleur auprès des Pevensie et de Lilyah.


—Allons-y, ils vont finir par nous attendre et ça ne serait pas agréable, annonça Peter le sourire aux lèvres.

—Oui, acceptèrent les autres en chœurs.


Susan et Edmund récupérèrent leurs montures. Lucy tendit sa main vers celle de Susan qui la fit monter sur son cheval étant donné qu'elle était arrivée sur le dos d'Aslan, déjà parti. Quant à Edmund, il guida du doigt Peter vers un autre cheval. Lilyah les suivit de près et s'arrêta, se demandant ce qu'elle allait faire. En si peu de temps, une main vint lui couper son champ de vision. Surprise, elle recula de quelques pas et tourna la tête pour voir l'identité de cette personne qui bloquait son horizon. Son cœur bondit dans sa poitrine lorsqu'il s'agissait nulle autre que du grand Roi Peter.


Un fin sourire naquis sur son visage et elle prit immédiatement la main de Peter qui la souleva pour l'aider à monter derrière lui sur sa jument temporaire, sa monture blanche ayant péri lors du combat.


—Merci, remercia Lilyah.


Peter hocha positivement la tête, compréhensif.


—Accroche-toi à moi. On va au galop pour rattraper les autres, informa Peter.


Aussitôt dit aussitôt fait, Lilyah encercla de ses fins bras la taille de Peter, se positionnant contre le dos du cavalier. Peter mit sa main sur celles de Lilyah qui releva la tête pour croiser le regard chaleureux de l'homme qu'elle aimait. Ses joues rebondies se teintèrent de rouge et continua de plonger ses yeux dans ceux de Peter qui étendit son sourire, tout en faisant une légère pression sur les petites mains de Lilyah.


—Merci d'avoir sauvé ma sœur. Je t'en serais reconnaissant pour longtemps, Lilyah. Ça ne vaudra jamais un « merci » aussi simpliste, déclara Peter.


Lilyah ne dit rien, ne sachant que dire en entendant ses paroles si sincères et si gentils. Elle hocha et secoua la tête, se serrant d'autant plus contre Peter.


—J'ai fais mon devoir. Je devais le faire autant pour moi que pour toi. Je ne voulais pas vous perdre, révéla Lilyah.

—Moi non plus, ni Susan ni toi, je ne voulais pas vous perdre toutes les deux, confirma Peter.


Lilyah sentit son cœur bondir de joie dans sa cage thoracique et ses rougeurs s'amplifièrent. Elle sentit une douce caresse sur le haut de son crâne avant que Peter ne commence à faire galoper son cheval pour rejoindre Edmund, Susan et Lucy qui les appelait en souriant. Lilyah croisa le regard tendre de Susan et le petit sourire de Lucy. Baissant la tête, elle la nicha dans le dos de Peter pour se cacher de ses meilleures amies qui partirent à rigoler.


Leurs ombres s'élancèrent sur le sol herbeux ensanglanté et ils n'entendirent plus que le hennissement de leurs montures qui foulèrent le sol de leur sabot.


oOoOoOoOo


C'est que très tard dans l'après-midi du lendemain, qu'ils arrivèrent enfin devant Cair Paravel. Ils arpentèrent le sol herbeux qui les séparait de la forêt Shribble et du village qui gravissait en bas du château. Ils traversèrent la ville sous les applaudissements et la joie des habitants qui accouraient autour d'eux, les appelant parfois.


—Longue vie à la Reine Lucy la vaillante ! Longue vie au Roi Edmund le juste ! Longue vie à la Reine Susan la douce ! Longue vie à la Princesse Lilyah ! Longue vie au grand Roi Peter le magnifique ! entendirent les Pevensie et Lilyah.


À nouveau, Lilyah fut surprise d'entendre ce titre lié à son prénom tout en l'intimidant. Elle serra ses bras autour de la taille de Peter et celui-ci la réconforta en lui tenant une main dans l'une des siennes.


—Tu le mérites ce titre Lilyah, princesse de Narnia.

—Je ne sais pas pourquoi ils me donnent tous ce titre...Je ne fais pas partie de Narnia.

—Maintenant si. Tu es avec nous...et plus particulièrement avec moi, déclara Peter.


Lilyah releva immédiatement la tête, surprise de telles propos tenus par Peter et son étonnement s'adoucit en voyant une légère teinte rouge sur les joues de Peter. Rassurée, Lilyah mit sa joue droite contre le dos de Peter et resserra son emprise, confirmant les propos de Peter. Un fin sourire s'afficha sur le visage rondouillet de Lilyah. Les acclamations s'accentuèrent quand ils s'enfoncèrent dans le village jusqu'à en sortir, gravissant une pente avant qu'ils n'escaladent le pont qui les séparait du château de Cair Paravel.


Aslan les attendait à la porte de Cair Paravel. Les rayons solaires donnant une certaine aura chaleureuse autour du Lion d'Or. Les Pevensie arrêtèrent leur monture et en descendirent d'un même homme. Aslan hocha la tête et les salua avec élégance et sympathie.


—Reine Lucy, Reine Susan, Roi Edmund et grand Roi Peter ainsi que Princesse Lilyah, je vous souhaite un bon retour parmi nous.

—On est très content de vous retrouver, Aslan, annonça Peter.


Aslan hocha la tête et lui sourit, signalant qu'il était content lui aussi de sa présence à Cair Paravel. Son regard s'attarda sur Lilyah qui baissa la tête, timide de la présence du Lion d'Or qu'elle avait tant entendu parler de la part de Lucy.


—Princesse Lilyah, je vois que tu as trouvé ta place parmi les Pevensie. Je suis heureux de savoir que tu as trouvée bonne compagnie, dit solennellement Aslan.


Lilyah releva la tête et jeta un regard vers Peter qui l'observait du coin de l'œil. À ce fait, Lilyah rougit et baissa à nouveau la tête, timide faisant rire Aslan.


—Après la cérémonie de ce soir, il sera grand temps pour vous de revenir chez vous, annonça Aslan.

—Oh non, pas déjà...on est si bien ici à Narnia, réfuta Lucy, déçue.

—Chaque chose en son temps, Reine Lucy.

—Je le sais bien Aslan...Mais ici, il fait tellement bon et l'ambiance à Narnia est différent de chez nous. S'il le faut, on resterait ici à Narnia pour toujours, annonça Lucy.


Aslan émit un sourire et son regard s'adoucit tandis que les autres réfléchissaient aux propos de Lucy.


—Vous n'êtes pas d'accord avec moi ? interrogea Lucy, déçue.

—Si bien sûre que si. On a des responsabilités ici, à Narnia. On est dans l'obligation et le plaisir de les faire respecter, confirma Susan.

—Je ne parlais pas de ça, Susan, rigola Lucy avec une légère pointe de déception.

—Je le sais bien, Lucy. Que veux-tu qu'on y fasse ? On reviendra si l'occasion s'y prête, déclara Susan.


Lucy fait une petite mine, la tristesse du départ l'ayant abattue.


—Pour le moment, le temps est à la fête. Nous en reparlerons plus tard. Les habitants doivent vous préparer la fête des réjouissances, déclara Aslan.


Lucy releva la tête et la hocha.


—Viens Lilyah, on va se préparer pour ce soir! S'écria-t-elle aussitôt.

—Mais...attend !


Lilyah fut entraîné par la jeune sœur de la famille Pevensie sous les rires de Susan et d'Edmund tandis que Peter regardait sa dulcinée s'éloigner dans les couloirs de Cair Paravel.


—Allons-y à notre tour, annonça Edmund, tout en croisant les bras avec le sourire aux lèvres.


Susan hocha la tête et suivi le pas de son petit-frère. Elle jeta un regard en arrière et sourit chaleureusement en voyant son grand-frère discuter avec le Lion d'Or. Aslan était un ami tellement important autant pour Lucy que pour Peter. Susan se sépara de son frère Edmund pour rejoindre la chambre de sa sœur, qu'elle retrouvât seule. Elle fronça les sourcils et la questionna de l'absence de Lilyah.


—Oh ne t'inquiète pas, elle essaye l'une des robes offertes par Mme Castor dans la salle de bain.

—Oh bonjour, Mme Castor. Je ne vous avais pas vue, dit Susan en voyant sa très chère amie près de Lucy, contre le rebord du lit près de la fenêtre, faisant dos à l'entrée de la chambre.

—Ce n'est pas grave, ma chère Susan. Je voulais tant voir votre nouvelle amie. J'ai tellement entendu parler d'elle à travers les lettres que m'envoyait Lucy et dont me parlait Mr. Tumnus lors de notre dernière rencontre avant la guerre d'Ettinsmoor, déclara Mme. Castor.


Susan sourit et regarda la lumière sous la porte de la salle de bain, signalant la présence de Lilyah à l'intérieure. Elle reporta son regard sur la fourrure brune de Mme. Castor qui parlait joyeusement avec Lucy.


—En tout cas, elle ferait une très bonne partenaire pour Peter, annonça Lucy.

—Oh ne dite pas cela ici! Et si on nous entendait ? demanda Mme Castor, tout aussi timide que Lilyah.

—Lilyah serait tout autant gênée que vous, Mme Castor, plus que Peter de toutes les manières, rigola Lucy dans un rire cristallin.


Mme Castor rigola de plein cœur et la porte de la salle de bain s'ouvrit, interrompant Mme Castor et faisant pénétrer Lilyah dans la chambre à nouveau.


—Oh vous êtes tellement resplendissante dans cette robe ma très chère Lilyah, annonça Mme Castor, ravi que sa robe sied à merveille la future Reine de Narnia.


La robe qu'avait fait Mme Castor durant son temps libre était de couleur turquoise avec des ornements dorées sur les épaulettes et la devanture du buste, mélangée à des teintes de gris, de vert et de bleus. Le dos était légèrement nu en « v ». Le buste offrait un fin décolleté montrant les clavicules de Lilyah et son cou dégagé. Un voile bleu et argenté entourait de part et d'autre la jupe turquoise d'un léger voile. Une petite traine dans le dos glissait sur le sol à chaque pas que faisait Lilyah. Le pan de la jupe légèrement volante était orné de dorure bleu et vert. Lilyah portait un bas chignon en tresse serré par un petit nœud.


—Tu es ravissante pour ce soir, Lilyah ! La robe de Mme. Castor est si belle, complimenta Lucy, les yeux pétillants.

—Oui, elle te va merveilleusement bien. Vous avez fait du bon boulot, Mme Castor.

—Merci les filles, remercièrent en chœur Mme Castor et Lilyah.


Mme Castor et Lilyah se sourirent, leur offrant à cette occasion pour toutes les deux une nouvelle amitié.


—Vous devriez remercier Lucy, elle m'a donné les mensurations de notre très chère Lilyah, rigola Mme Castor.

—Lucy! C'est pour ça qu'à la rivière tu me demandais mes tailles?

—Oui, après tout tu en avais marre de devoir déranger Susan, alors j'ai eue ma petite idée en demandant à Mme Castor d'être ta couturière dédiée, annonça Lucy.


Lilyah sentit ses joues rougir de gêne.


—Si Peter ne te surnomme pas « Coquelicot » je ne comprendrais jamais ce grand-frère, déclara Susan en rigolant.


Lilyah se fit toute petite, cachant son léger sourire du mieux qu'elle le pouvait et sentit son cœur bondir dans sa cage thoracique en se rappelant de sa promenade et du baiser qu'elle avait échangé avec Peter. Des moments qu'elle chérissait particulièrement et amplifiait ses rosissement ainsi que ses battements de coeur. Susan comprit la timidité de Lilyah.


—Il l'a déjà fait, c'est ça ? demanda Susan, en rigolant face au silence de sa meilleure amie.


Lucy sautilla de joie et encercla Lilyah dans ses fins bras.


—Allez vous préparer au lieu de vous occuper de moi. C'est bientôt l'heure.

—Oui, oui, mais sache qu'on en reparlera, rigola Lucy.


Lilyah croisa le regard tendre de Susan et elle offrit un sourire à ses amies. Mme Castor aida à préparer les trois jeunes femmes qui dirigeaient Narnia. Elle savait que son mari était auprès d'Edmund et du grand Roi Peter. Elle rigolait intérieurement en imaginant le comportement de son mari auprès d'eux.


Le soir venu, ils se retrouvèrent tous dans la salle de balle du château, profitant de la musique et de la bienveillance des narniens qui attendaient leur roi et reines qui ne tardèrent pas à se montrer sous les chuchotements attendrissants et époustouflés des narniens.


Edmund et Lucy s'engouffrèrent dans la foule, parlant avec les narniens, se rapprochant de ceux-ci. La musique agréable amplifiait les oreilles des Pevensie et Lilyah regardait la foule qui s'attardaient sur la princesse de Narnia. Elle vit Mr Castor féliciter de la beauté de sa robe sur sa personne. Elle sourit face à la gênante de Mme Castor. Elle lui ressemblait fortement. Elle vit Lucy au loin discuter avec une centaure. Lucy était habillée d'une robe à motif arabesque de couleur violette tandis que Susan portait une de ses robes bleue et argenté aux manches bouffantes. Lucy avait une coiffure tressée et quant à Susan, elle avait ses cheveux détachés et bouclés.


Elle allait pour rejoindre Susan qui parlait à Mr. Tumnus et fut bloquer par Peter qui l'observait de haut en bas, la complimentant immédiatement. Lilyah rougit et regarda Peter qui lui tendit une main, se courbant vers l'avant quand la musique dynamique se transforma en une musique dansante. Lilyah jeta un regard sur la main tendue de Peter sous les chuchotements des narniens et des autres Pevensie qui souriaient.


—M'accorderez-vous cette danse, gente dame ? demanda Peter.

—Mais...je...

—Nous devons ouvrir le bal, fit Peter en souriant.


Lilyah croisa les yeux azurs de Peter et mis sa main dans celle de Peter, délicatement.


—Je ne suis pas très douée en danse, Peter, confia Lilyah.

—Eh bien, vous n'avez qu'à suivre la musique et mes pas, déclara Peter.


Lilyah hocha timidement la tête et fut surprise de sa proximité de la carrure de Peter. Son corps était enlacé au sien.


Ils ouvrirent le bal sous les yeux bienveillants des narniens, Susan, Lucy, Edmund, Mr et Mme Castor ainsi que de Mr. Tumnus. Aslan regardait de loin, souffla dans l'atmosphère comme s'il prodiguait un charme de bienveillance et il quitta les yeux. Lucy le vit bien et son regard triste prit le dessus sur son émotion joyeuse. Edmund lui fit une petite pression sur son épaule droite et elle releva la tête pour croiser le regard corbeau de son grand-frère.


—Ne t'en fait pas, il reviendra comme il l'a toujours fait, déclara Edmund.

—Oui, confirma Lucy d'une petite voix.

—Regardons simplement ce que nous offre Peter et Lilyah en spectacle, continua Edmund.


Lucy hocha la tête positivement et reporta son attention, à nouveau, sur le couple de son premier grand-frère.


Au bout d'un certain temps, après que la danse d'ouverture offert par Lilyah et Peter furent terminer, Lilyah sortit de la pièce pour se diriger vers l'extérieur, étouffant à l'intérieur avec ce beau monde qui les entourait. Elle soupira de bien-être lorsque la fraîcheur de l'extérieur la frôla. Elle sourit et se dirigea vers l'une des tours extérieurs, ouvrit la porte de celle-ci et descendit les escaliers. Elle descendit le petit perron et enleva ses chaussures noires avant que ses pieds nus ne touchent le sable frais de la plage en contrebas. Le bruit intérieur de la salle de bal était bien loin, mais elle pouvait toujours entendre la musique qui en dégageait grâce au balcon et aux fenêtres ouvertes.


Lilyah profita du coucher de soleil pour admirer la beauté du crépuscule. Elle s'avança sur la plage et sursauta quand l'eau éclaboussa ses chevilles. Elle rigola et marcha le long du bord, entre le début de l'océan et la fin de la plage. Elle profita du léger vent qui l'entourait et faisait valser ses quelques mèches rebelles qui encerclaient son visage. Tout à coup, elle frissonna et sentit un vêtement se glisser sur ses épaules. Elle le prit entre ses doigts et se tourna pour voir son accompagnateur. Elle sourit tendrement en croisant le regard océan de Peter.


—Merci, remercia-t-elle.

—Tu vas attraper froid si tu sors comme ça, décréta Peter, la taquinant.

—Mais tu seras là pour me soigner, non ?

—C'est vrai, rigola Peter.


Lilyah sourit et resserra l'emprise du veston de Peter sur ses épaules. La chaleur amplifia et envahisse immédiatement tout son corps frais de la fraîcheur du soir. Ils ne virent pas qu'une pair de yeux en haut du balcon les observait au loin, le sourire tendre aux lèvres, son visage ancré dans sa paume de main gauche.


Lilyah et Peter longèrent le bord de la plage, se promenant au crépuscule et écoutant le bruit des vagues s'échouant sur la plage.


—Que va-t-on faire, maintenant ? demanda soudainement Lilyah.

Peter tiqua et haussa un sourcil, observant du coin de l'œil sa dulcinée.

—C'est ça qui t'inquiète ? demanda Peter.

—Hum...Y'a plus aucune menace pour le moment qui pourrait nous prodiguer ne serait-ce qu'un combat. On a un temps libre de dingue et on ne sait pas ce qu'on va en faire pour profiter un maximum de tout ce temps. Je n'aimerais pas en perdre et profiter de Narnia quand on peut encore le faire avant que l'on reparte chez nous, Peter, déclara Lilyah.


Peter ne disait rien. Il avait compris où voulait en venir Lilyah. Ils ne leur restaient pas énormément de temps avant de tout perdre. Lilyah n'habitait pas près de chez eux. Elle habitait dans une ville plus loin qu'eux. Oxford...C'était loin de Londres ou même de la campagne chez le Professeur Kirke.


—Ne t'inquiète pas, on trouvera un moyen de se retrouver, déclara Peter.

—Tu crois ?

—Oui, je ferais tout pour te retrouver, Lilyah. Il est hors de question de ne pas être auprès de toi les prochains jours.


Touchée par les mots de Peter, Lilyah sourit chaleureusement et remercia fortement son amoureux. Elle ne voulait pas se séparer de Peter, ça, jamais.


Main dans la main, ils continuèrent leur promenade en révélant l'un comme l'autre ce qu'ils souhaiteraient faire lorsqu'ils se reverraient dans leur propre monde avant de retrouver leur train de vie quotidien : Peter à l'école et Lilyah isolée dans ses livres en tout temps.


Ils finirent par s'assoeir en bas du pont de Cair Paravel, admirant les reflets du soleil sur la surface de l'eau et les sirènes sauter à la surface du lac leur donnant un spectacle rien que pour eux à la lumière du coucher de soleil. Peter l'appela et Lilyah tourna sa tête vers Peter et celui-ci se pencha pour happer les douces lèvres de Lilyah qui ferma les yeux. Une main dans le sable, Peter embrassait Lilyah avec passion tandis que le crépuscule en était le protecteur de ce moment rempli de tendresse et d'amour porté l'un à l'autre.





Dans cette échange, ils se promirent à nouveau de se retrouver.






Après tout,






une promesse était une promesse. 

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top