Chapitre 15: Le calme avant la tempête

Comme promis, voici le deuxième chapitre de la semaine ! On passe de deux chapitres par semaine, à présent! :) L'histoire avance progressivement ! Je vous laisse avec ce quinzième chapitre ! Chapitre assez long, mais nécessaire  au bon déroulement du dénouement de l'histoire !

Sur ce, 

Bonne lecture~✨📖

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-Présent, Vendredi, 12h-


D'un pas confiant, ils se dirigèrent tous les deux vers la salle du festin et retrouvèrent, déjà attablés, Susan, Lucy et Edmund. En passant à côté de ce dernier, Peter lui mis une main sur son épaule droite faisant redresser la tête du plus jeune et il croisa le regard plus doux de son frère aîné. Il serra l'épaule droite d'Edmund et lui tapota légèrement afin de le rassurer.


Edmund sut que la colère était passée.


Edmund hocha la tête, souriant légèrement, sachant que c'était une dispute passagère et il regarda Peter s'asseoir avant de tourner son regard sur Lilyah qui venait, elle aussi, s'attablé devant lui, au côté de Susan. Edmund l'observa tranquillement et Lilyah croisa son regard et lui sourit timidement, gênée de cette fixation que lui lançait Edmund.


Un coup de coude de la part de Lucy réveilla instantanément Edmund qui se tourna vers la plus jeune de la fratrie tout en se tenant le coude avec un visage crispé en raison de la douleur. Des murmures se firent entre les deux cadets de la famille sous les yeux de Peter, Susan et Lilyah.


Le repas se termina jovialement et Lilyah retrouvait Edmund et Peter qu'en soirée. Toutefois, elle avait eu l'occasion de croiser Peter dans les grands couloirs du château, mais uniquement pour quelques secondes.


Durant l'après-midi, Susan était avec M. Tumnus avant la réunion de son grand-frère et d'Edmund, et se retrouvât seule dans le petit jardin lorsque M. Tumnus dû la laisser pour se joindre à la réunion de ses frères. Peter et Edmund s'enfermèrent dans la salle du conseil pour exposer les faits actuels aux Narniens formant la table ronde de Cair Paravel. Quant à Lilyah, elle se trouvait à l'écurie auprès d'Anissa et de Lucy qui l'accompagnait. Lucy et Lilyah passaient du temps ensembles, s'occupant les chevaux. Seul les hennissements des chevaux brisaient leur discussion des deux jeunes femmes les faisant rires parce qu'elles avaient l'impression que les chevaux intervenaient leur conversation.


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Entre temps, au Nord, les géants du Nord se hâtèrent dans leur camp des montagnes. Le bruit métallique résonnait fortement aux alentours. Le crépitement des feux de camps s'harmonisait avec les fourneaux des forgerons. De la fumée s'échappaient des feux de camps en bois en forme de tipi, s'élevant haut dans le ciel et brumaient le sol. Des paniers en fer forger et certains en bois étaient posées contre les rochers recouverts de mousses. Si les feux n'étaient pas allumés, le froid des montagnes les envahirait. Des chutes de petits rochers s'entendaient parfois, tombant de la montagne. Des stands de tir à l'arc étaient positionnés sur le flanc droit tandis que sur le flanc gauche, on pouvait apercevoir l'entreposage des armes pour les haches, les arcs, des arbalètes, des lances, les épées, les dagues ou les poignards. 


Des caisses étaient éparpillées un peu partout contre les tentes marrons affaissées et certaines légèrement trouées donnaient un air abandonnée et lugubre au campement. D'autant plus que les arbres morts installés partout où est-ce que c'était possible n'arrangeaient en rien à l'aspect horrifique du camp. Les pas des géants retentissaient et s'harmonisaient aux autres bruits du camp. Un croassement s'élevait parmi tout ce boucan, un corbeau s'envola en lâchant quelques plumes noires aux reflets violets sur le sol rocailleux du territoire d'Ettinsmoor.


Certains géants parlaient dans leur barbes et baragouinaient des mots contemplatifs en voyant l'armurerie et que la préparation de la rébellion avançait sans aucun problème depuis la venue des rois de l'âge d'or de Narnia. Bien sûr, certains pouvaient parlé plus convenablement que d'autres, moins démunis puisqu'ils accompagnaient en tout temps la Sorcière blanche, ayant appris le langage humain au côté de Jadis sans qu'elle ne le sache de prime abord et ils étaient devenus les plus intelligent de leurs comparses, s'occupant alors de la stratégie guerrière et amplifiant les pilleries dont ils en étaient les maîtres dans ce domaine obscure.


Dans une tente plus grande et plus clair tout en gardant des nuances de gris que les autres, le chef des géants regardait ses sbires. Il donna un grand coup de point sur le rebord du trône auquel il était assis, régnant sur son territoire. Son coup fit crépiter les brasiers de chacune des chandelles qui encerclaient ses extrémités gauches et droites.


—Alors ?

—Ça avance progressivement. Les autres arrivent sans problème à ramasser les armes pour que l'on continue notre avancée sur les terres du Sud, de l'Ouest et de l'Est.

—Qu'en est-il des rois de l'âge d'or ? demanda le chef des géants en posant sa main contre sa joue droite.

—Ils sont revenus à Cair Paravel, Messire. De ce que j'ai appris, ils ont réussi à dépasser le marais et arriver jusqu'à notre campement grâce à un Touille-Marais qui les a aidés.

—Ne gaspille pas le temps, je m'en contre-fous de comment ils sont arrivés jusqu'ici. Qu'est-ce que tu as appris d'autre ? On doit gagner cette bataille si on veut régner sur tout Narnia, déclara le chef des géants.

—Eh bien...Une fille qui ne fait pas partie de la prophétie des rois et reines de Narnia actuels se trouverait avec eux. Elle ne sort pratiquement pas du château. On ne sait pratiquement rien d'elle.


Le silence s'en suivit de cette information. Le chef regardait fixement son sbire qui déglutit.


—Bien, bien...On pourra faire emprise sur eux avec elle, je suppose. Hum...


Le géant amena sa main droite sur son menton et le frotta, pensive. Ses yeux corbeaux étaient toujours fixes sur son sbire, ne le lâchant pas du regard.


—Qu'en est-il des autres ? Ont-ils réussi à atteindre l'objectif que je leur avais donné ?

—Oui, ils ont réussi à gagner le terrain de l'ouest en passant par le château de la Sorcière Blanche. Les autres territoires ne savent pas ce que l'on prépare, avoua le sbire.

—Excellent, oui, excellent. Continuez les préparatifs. Oh! Et trouvez des informations sur cette jeune fille que vous parlez, déclara le chef des géants. Au possible, aidez-vous des nains.


Le sbire hocha la tête, se pencha pour saluer son chef et sorti promptement de la tête sous les yeux froncés du chef. Le chef pouvait entendre le crépitement des flammes et l'entrechoquement des lames des épées contre une surface métallique, les façonnant au meilleur de leur forme. Ce dernier repensait à leur prochaine cible qui, peut-être, les aiderait à neutraliser les rois et les reines de Narnia. L'âge d'or prendrait bientôt fin. Il sourit et son rire retentissant dans tout le campement créant les cris de guerre des autres géants qui accompagna le salut grimpant du chef.


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En fin de soirée, Lilyah retrouvât les Pevensie dans le grand salon de Cair Paravel. La plupart des Pevensie étaient présent dans le salon en compagnie de Lilyah et tous presque installés sur les fauteuils marrons de la pièce puisqu'Edmund et Peter levaient la table basse pour la mettre de l'autre côté de la pièce afin de faire de l'espace. Un tapis rouge ornait le centre de la pièce où y'avait la longue table en bois autrefois. En décoration : des hautes chandelles, des cadres, un bouclier avec deux épées en forme de « x » derrière ledit bouclier, deux tables de chevet contre les murs et quelques armures en chevalier longeaient l'encadrement de la porte ainsi que le mur du droit. Le centre du salon était éclairé par les nombreuses fenêtres du mur Nord. La lumière de la lune s'infiltrait à travers les vitres et tamisait le salon d'une lueur bleutée. Seul Susan et Lilyah étaient assises. Lucy arrivait en courant dans le salon avec un panier en main.


—C'est bon, je l'ai! Je l'ai retrouvée, s'écria Lucy en souriant et en agitant le panier en l'air.

—Bien, on va pouvoir commencer ce jeu, déclara Peter en se retournant, les mains sur ses hanches.


Susan et Lilyah se sourirent à cette entente positive. Edmund leva la tête au haut plafond, exaspéré et n'aimant pas le jeu qu'ils allaient effectué ce soir. Cette soirée leur convenait, pourtant, à tous afin d'oublier les problèmes le temps d'un soir.


—Qui veut démarrer ? ajouta Edmund en regardant ses comparses.

—Je veux bien commencer! s'écria Lucy en levant la main.


Peter et Edmund se regardèrent en souriant, pas étonné que la première personne soit leur petite-sœur. Lucy mit le panier au milieu et sautilla légèrement, excitée. Elle s'abaissa et prit un bout de papier. Elle le lit et leva les yeux au ciel pour réfléchir à ce qu'elle pourrait faire. Lucy remit le papier dans le panier et s'écarta afin de commencer son jeu de mime.


Pour le mime, Lucy bomba son buste, mit ses mains sur ses fines hanches et afficha un air soucieux, fronçant les sourcils, ouvrit légèrement la bouche faisant relever ses pommettes et plissa le nez. Elle secoua négativement la tête quand ses proches lui disaient plusieurs solutions et elle se mit à rigoler.


—Allez, faite un effort ! dit-elle en haussant les épaules.

—Ah! C'est Edmund quand il est offusqué ! s'exclama Lilyah.


Lucy sautilla sur place en tapant faiblement dans ses mains, heureuse de la bonne réponse de sa meilleure amie. Edmund haussa un sourcil, ouvrant la bouche surpris tandis que Susan émis un sourire amusée, camouflant son sourire de sa main droite.


—Moi ? C'était moi, ça ?

—Allez, ne soit pas démoralisé Edmund! Déclara Peter.

—Mais oui, après tout, je t'ai bien imité, non ?

—Mais je ne ressemble absolument pas à ça! Je ne bombe pas le torse et je ne ressemble pas à un crapaud!

—Où est-ce que tu vois un crapaud, Edmund ? se vexa Lucy.

—Puis, Lilyah a trouvée alors soit doit être assez ressemblant, déclara Susan.


Peter s'esclaffa de rire suivit de Susan. Edmund regarda ses frères et sœurs, éberlué.


—Dites, je ne ressemble pas vraiment à ça, si ?


La voix d'Edmund se tarie dans les rires des deux aînés. Lucy s'approcha du canapé et souri à Lilyah. Edmund croisa les bras en voyant que sa voix se faisait sourd. Il s'affaissa dans le canapé.


—C'est à ton tour, Lilyah.


La jeune femme se leva, hésitante et amena ses mains contre son ventre pour jouer avec ses doigts, dévoilant son stress. Elle piocha dans le panier et haussa un sourcil en voyant le mot qui était écrit noir sur blanc.


—Comment je vais faire ça, moi ? se demanda Lilyah, incertaine.


D'une certaine façon, cela allait l'humilier. Gênée, elle se mit à quatre pattes et commença son mime sous les yeux éberlué des Pevensies avant que le rire ne reprenne. Tout autant vexée que Lucy, Lilyah se releva et croisa les bras contre sa poitrine, fâchée.


—Alors ? demanda-t-elle, malgré tout.

—Me dit pas que tu as pioché le cochon ? demanda Susan.

—Si, grogna Lilyah.


D'autres rires parvenaient aux oreilles de la brunette et elle gonfla ses joues, mécontente. Elle s'assit brusquement sur le canapé entre Susan et Lucy, toujours les bras croisés. Ce temps mort...Ils en avaient tellement besoin. Susan se leva et piocha à son tour. Elle lit plusieurs fois le mot inscrit sur le papier blanc afin de réfléchir à comment procéder le mime. Susan amena ses mains contre sa bouche et bougea ses doigts de façon irrégulier comme si elle faisait de l'air guitare, mais là c'était un autre instrument qui fit tiquer sa cadette. Susan bougea sa tête au rythme de la musique fantôme qu'elle interprétait. Après cette petite interprétation, l'archère fit semblant de mettre une écharpe et souffla un bout coup en souriant. Elle scruta son petit public, attendant patiemment la réponse de ses confrères qui ne tardèrent pas. Elle sourit en voyant Peter et Lucy en même temps la réponse.


—M. Tumnus ! s'écrièrent-ils.

—Exact !

—C'était si simple! déclara Edmund.

—Comment on fait ? Peter et moi on a dit la réponse en même temps, avoua Lucy.

—Peter n'a qu'à faire le prochain mime vu que tu en as déjà fait un, proposa Lilyah

—Bonne idée ! confirma Susan en retournant à sa place au côté de Lilyah.


Devant l'engouement de ses amis, Lilyah sourit et décroisa les bras, oubliant rapidement sa petite colère passagère. Peter se leva en soufflant et piocha à son tour. Il replia le papier en quatre et le déposa à côté du panier. Il se retourna pour regarder l'assemblée et il tendit ses bras à l'horizontale, ne bougeant plus. Il se renfrogna quand Edmund se mit à rire.


—Tu sais que tu peux bouger, Peter ? s'enquit Lucy.

—Je sais, grogna Peter.


Il ne pensait pas que son mime allait être plus ridicule que le cochon de Lilyah. Susan haussa un sourcil et réfléchissait. Y'avait pas grand-chose comme objet qui pouvait avoir cette forme. Quelques secondes passèrent qui énerva Peter, puisqu'il n'aimait pas son mime.


—Vous avez trouvé ? lâcha-t-il.

—Non, mais reste comme ça Peter. Tu es très bien, assura Edmund.


Peter lâcha un soupire d'exaspération en baissant légèrement la tête. En la redressant, il croisa les yeux ambre de Lilyah et s'y plongea quelques secondes avant de détourner la tête en sentant son cœur tambouriner.


—Ah ! Tu imites un bonhomme de neige ? demanda Lucy.

—Pfiou, non ce n'est pas tout à fait ça, répondit Peter esquissant un léger sourire en soupirant, las.

—Alors...Un arbre ? proposa Lilyah, hésitante.


Peter hocha la tête positivement et retourna auprès d'Edmund, content de finir ce mime. Susan et Edmund regardèrent Lilyah avec surprise. Lilyah les regarda intrigué.


—Comment tu as deviné aussi vite ?

—Bah...y'a pas grand-chose qui a des bras écartées en horizontale à par un bonhomme de neige, un chandelier et un arbre, n'est-ce pas ? J'ai fait par élimination vu que Lucy avait déjà proposée le bonhomme de neige et que ce n'était pas la bonne réponse, répondit Lilyah.


Edmund hocha la tête et se sentit naïf. Lilyah se leva et fit un autre mime. La soirée continua pendant plusieurs minutes, vidant le panier progressivement. Après cette soirée plein aux rires, ils regagnèrent chacun leurs chambres respectives. Lilyah suivit toujours Susan jusqu'à la chambre de celle-ci. Par ailleurs, Lilyah et Susan se sont beaucoup rapprochés, étant donné qu'elles soient partenaires de chambre et en plus de cela, elles passaient la majorité de leur temps ensemble avec Lucy.


—Je pense que ce sera la dernière nuit que tu passeras dans ma chambre, déclara Susan en ouvrant la porte.

—Ah bon ?

—Oui, j'ai entendu M. Tumnus dire qu'il t'avait trouvé une chambre non loin de la mienne. Ne t'en fait pas, ça va bien se passer.

—Ça me fera bizarre...

—De quoi ?

—D'avoir ma propre chambre...Ici, à Cair Paravel. Après tout, je ne suis pas une princesse ni une reine comme vous tous, déclara Lilyah.


La jeune fille s'asseyant sur le rebord du grand lit de Susan, de son côté gauche puisque sa colocataire dormait sur le flanc droit. Susan ouvrait son placard pour se préparer pour la nuit.


—Ah oui...C'est vrai que ça te fera un changement, mais ça passera vite crois-moi. En Angleterre, je partageais ma chambre avec Lucy avant que je n'aie seize ans. À partir de là, j'avais ma propre chambre.

—Et...Lucy était triste ?

—Bien sûre! Mais on se relativisait comme quoi on se voyait tout le temps dans la maison et que même si on n'est pas dans la même chambre, on resterait proche l'une de l'autre. On passait le plus clair de notre temps ensemble, même si par moment j'avais besoin d'être seule. Lucy comprenait ces moments.

—Elle semble toujours être...compréhensible.

—Elle l'est. C'est une de ses particularités qu'on apprécie chez elle.


Lilyah sourit aux propos bienveillants de Susan par rapport à sa petite sœur. La fratrie Pevensie semblait être si soudée. Avait-elle sa place parmi eux ? N'était-elle pas de « trop » ?


Dans ses pensées, Lilyah s'affaissa contre le matelas moelleux du lit. Susan sourit en la voyant et se dirigea vers la salle de bain pour prendre une douche. Lilyah suivit après elle et elles se couchèrent tout comme le font Lucy et Edmund.


Seul Peter restait éveillé, penseur. Il regardait le plafond de sa chambre, la tête contre le creux de ses bras derrière son crâne, maintenant sa nuque. Il soupira et ferma les yeux avant de se redresser. Il dégagea les draps blancs qui le recouvrait et se dirigea vers la grande vitre qui lui montrait le village en contre-bas, illuminé par les rayons de la lune.


Il repensait à toute la journée : les géants que ce soit celui qu'il avait vu à la forêt des hiboux ou dans le camp territoriale du Nord, à Lilyah et à tout le reste. Il se demandait ce qu'il allait devoir faire pour régler le problème des géants du Nord. Devait-il vraiment déclarer la guerre ?


Et Lilyah dans tout cela ? Serait-elle capable de l'accepter et d'y survenir ? Il se questionnait sur ses propres sentiments à son égard. Il savait qu'un fort lien commençait à se construire entre eux, il fallait juste les voir dans la salle des trônes quelques heures plutôt pour le comprendre. Pour lui, c'était impensable de passer une journée de plus sans sa présence.


Coûte que coûte, il devait protéger Lilyah. Elle était devenue importante pour lui. C'était sûrement, la même chose pour Lucy, Susan et Edmund. Sur cette pensée, Peter soupira et retourna s'allonger. Il remonta la couverture sur ses épaules, et posa confortablement sa tête contre sa taie d'oreiller. Il finit par s'endormir. Son épée à tête de lion brillait fièrement contre le mur près de son miroir, éclairée par les rayons lunaires qui pénétraient la chambre grâce aux fenêtres.


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Voilà pour ce chapitre ! Je voulais que ce chapitre donne une grande avancée à la trame tout en essayant de rapprocher la fratrie Pevensie à Lilyah encore plus que ce que j'ai écris jusque maintenant. J'espère que c'est réussie et que le jeu de mime n'a pas ''plombé'' ou ''ralenti'' la trame. Et qu'au contraire, qu'il a donné un léger temps de repos à tout ce chaos avec les géants du Nord. Bref, j'espère que vous avez aimé et que ce n'était pas barbant. :)

Merci d'avoir lu jusque-là ! On se retrouve lundi 20 décembre pour un nouveau chapitre ! 


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