Lorsque la sorcière se fit voir dans l'aller central, Éoria se secoua et son tigre refit surface tout en grognant.

La sorcière était protéger par plusieurs minotaures et 4 cyclopes qui tenaient sa chaise où le démon était assis.

Soudain, les rois et reines apparurent. Ils semblaient terrorisés surtout Lucy. La tigresse sortit des rangs et se plaça devant eux. Edmund sursauta tandis que les autres souriaient.

La sorcière se leva se son banc et s'avança tout en détaillant Edmund d'un mauvais oeil. Aslan se leva à cet instant.

- Tu as un traite dans tes rangs Aslan, commença la sorcière.

Des murmures s'élevèrent dans le camp tandis que la tigresse regardait le jeune homme.

- Se n'est pas vous que se garçon à offensé, répliqua Aslan calmement.

- Aurais tu oublier les lois sur lesquelles Narnia a été batti.

- Ne me parle pas de la puissante magie sorcière, grogna Aslan.

La tigresse montra ces crocs et se mit en position d'attaque.

- J'étais présent lorsqu'elle a été instauré, continua le lion.

- Donc dois je te le rappeler. Chaque traite doit m'appartenir. Son sang est ma propriété, s'exclama Jadis la sorcière en le regardant la tête haute.

- Alors venez le prendre, lança Peter en s'avançant l'épée à la main.

La tigresse s'avança elle aussi en grognant contre la sorcière.

- Crois tu que la simple force peut me dépouiller de mes droits... petit roi, répliqua Jadis.

Elle se tourna vers Aslan et continua.

- Aslan sait que si je n'ai pas ce sang, comme la loi l'exige, tout Narnia sera mis sens dessus dessous, et périra par le feu et par l'eau.

Elle pointa du doigt Edmund et continua.

- Cet enfant là, mourra, sur la table de pierre. Comme la tradition l'exige. Vous ne pouvez me le refuser, termina t'elle en regardant à nouveau Aslan qui n'avait pas bouger.

La féline grogna contre elle en répliquant.

- Vous oser dire que vous respecter les lois alors que se n'est pas vrai. Vous m'avez enlever mon frère, par le passé, et je compte bien le récupérer. Maintenant, disparaissez d'ici sale sorcière. Vous n'avez pas d'affaire ici, continua la féline en se préparant à bondir sur Jadis.

- Sa suffit, s'exclama Aslan qui fit taire sa fille et qui la fit se stopper dans son élan. Je veux vous parler seul a seul.

Aslan se retourna pour se diriger à l'intérieur de sa tente suivi de près par la sorcière blanche. La féline les regarda s'éloigner.

Alors que les Pevensie étaient assis dans l'herbe entrain de se tourner les pouces tout comme l'armée des narniens, la jeune féline n'arrêtait pas de tourner en rond tout en fixant la tente du coin de l'oeil.

Soudain, les soldats se relevèrent tout comme les Pevensie. La sorcière sortit la première suivie par Aslan.

Jadis lança un regard noir à Edmund mais aussi au jeune tigre devant eux. Elle partit en direction de sa chaise tandis que tous les regards se tournaient vers Aslan. La féline se dépêcha d'aller près de lui, à sa gauche, et de regarder la sorcière.

Aslan regarda la foule avec un regard triste et dit d'une voie haute et forte:

- Elle renonce à réclamer le sang du fils d'Adam.

Tous le monde soupira de soulagement mais la sorcière répliqua.

- Comment être sur que vous tiendrez votre promesse.

Digne d'un lion, Aslan rugit tout comme sa fille qui firent, ensemble, rasseoir la sorcière sur sa chaise. La foule cria de joie, tandis que la sorcière partait dans la direction opposé, dans celle d'où elle était venu, tout en regardant une dernière fois Aslan et la jeune tigresse.

Aslan baissa la tête sous le regard inquiet de Lucy et d'Éoria. Le grand lion les regarda et il partit dans la forêt. La tigresse regarda son père s'éloigner. Au lieu de venir voir les rois et reines ou même de suivre son père, elle partit en direction de sa tente pour réfléchir et pour être toute seule.

Une fois à l'intérieur, elle scruta du regard la pièce et lorsqu'elle vit 2 lits une larme coula sur sa joue au moment ou elle pensa à son frère qui n'était toujours pas là et aussi en pensant à leur passé lorsqu'ils dormaient dans cette tente. Elle s'allongea par terre, dans un coin et commença à pleurer.

Lucy qui suivait la tigresse, accompagné de ses frères et de sa soeur, se rendit compte qu'elle était rentrer dans une tente. Peter hésita à rentrer mais, Susan rentra la première suivie de Lucy et des 2 autres retardataires. Une fois entrer, ils entendirent des pleures.

Lucy se dirigea vers le bruit et elle s'accroupit devant la féline.

- Est se que sa va?, demanda calmement Lucy.

Les autres se rapprochèrent aussi du félin.

- Est se que sa va?, redemanda Lucy en approchant sa main pour la toucher.

La jeune tigresse finit par regarder Lucy. Sous le choc, la jeune reine recula la main et dans le regard du tigre, on y voyait de la douleur, de la tristesse et de la peur.

- Veuillez, s'il vous plaît me laisser toute seule, répondit Éoria en déposant sa tête entre ses pattes.

- Tu semble être triste mais pour qu'elle raison, demanda Susan. Tu peux tout nous dire, tu le sais.

- La sorcière m'a pris mon frère et je sais qu'elle veut ma mort. Je ne veux pas avoir à me rebattre contre elle. Je veux juste le revoir sans avoir à combattre.

- Ton frère a été transformer en statue?, demanda Edmund.

La tigresse acquissa.

- Lorsqu'il a été transformé, comment était-il placer.

La féline le regarda surprise, se releva et prit la même posture que son frère avant de se faire transformé.

Sa tête était retourné à l'arrière de son corps de manière à ce qu'elle ne puisse voir devant elle.

- La sorcière a une statue qui a la même posture, s'exclama Edmund en voyant la féline s'asseoir et en baissant la tête. Donc, se serait ton frère. Alors, sa expliquerait pourquoi...

La féline se releva d'un seul coup et plaqua au sol Edmund sous les regards surpris des autres.

Elle lui dit d'un air menaçant et en grognant.

- Si tu ose redire se que tu viens de dire, je t'égorge moi même. Suis je assez claire.

- Très clair, répondit Edmund d'une petite voie et en tremblant.

La tigresse s'écarta et se dirigea vers la porte mais avant de passé de l'autre côté, la féline commençait à se transformer en humaine. Tous les Pevensie sursautèrent mais avant que l'un des 4 ne puissent dire quelque chose ou même la voir, Éoria sortit les laissant en plan comme ça.

En passant devant la plupart des tentes, les narniens la saluaient. Elle les salua en retour en se forçant de sourire. Lorsqu'elle passa près de l'armurerie, elle y pénétra tout en laissant ses yeux observer les armes qui restait.

Elle prit des couteaux pour les amener devant le centaure responsable des armes.

- je vais prendre ses 4 là, dit Éoria en montrant les 4 armes sur la table.

- Très bien, s'inclina le centaure. Soyez très prudente.

- Promis, répondit la féline.

Elle lui sourit et sortit de l'armurerie pour se diriger vers le coin d'entraînement. Sur le chemin, elle sentait l'odeur de son père mais elle n'y prêta pas attention et continua son chemin. 

Rendu sur les terrains d'entraînements, elle prit ses couteaux et se pratiqua à les lancer sur les cibles des archers. Elle s'entraîna durant des heures. 

Lorsque vint le soir, Éoria rangea deux de ses couteaux sur sa taille tandis que les 2 autres se trouvèrent placer en X dans son dos. Elle se rendit à sa tente pour aller se reposer mais avant de pouvoir y entrer, elle vit que son père l'attendait. Avant que Éoria ne puisse dire quelque chose, son père la devança. 

- Se que je vais faire, je le fais pour toi et pour aussi les rois et reines, commença Aslan.

- Que vas tu faire?, demanda la jeune fille.

- Je veux juste que tu saches que je t'aime plus que tout. Ton frère va revenir très bientôt mais tu dois avoir de la patience.

- N'y va pas père. Tu es la dernière famille qui me reste. J'ai déjà beaucoup perdu à cause de la première bataille contre la sorcière alors je ne veux pas te perdre. Papa, s'il te plaît, ne t'en va pas. Je ne veut pas me retrouver à nouveaux toute seule. 

Aslan s'approcha et il se colla à sa fille qui pleurait à chaude larmes. Cette dernière se colla de toute ses forces contre son père et une fois trop épuiser pour essayer de convaincre son père de rester, elle s'endormit contre sa fourrure douce. Le grand lion la mit sur son dos et il l'emmena jusqu'à la tente des reines. Il l'allongea sur un lit. Il plaça, avec ses dents, la couverture de façon à ce que sa fille ne prenne pas froid. Une fois bien bordé, il colla son museau contre son visage et il partit sans se retourner et sans faire de bruit. 

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Salut gagn, nouveau chapitre.

Pourquoi Aslan n'a pas voulu parler de se qu'il allait faire à sa fille.

Que pensez vous de la confrontation entre la sorcière et Éoria. A t'elle raison d'être en colère.

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La suite dans 3 jours.

Zigi