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Tout à commencer par des regards et des mots
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N A D J I V A













J'avais fini ma journée de travaille à l'instant T je suis dans le bus

Ce fut mon arrêt je descendis alors et marcha jusqu'à la cité comme d'habitude il avait plusieurs hommes assient qui observaient tout

Je les salue puis continue mon chemin jusqu'à ma demeure où je trouva Marwa en train de cuisiner

- JE SUIS RENTRÉ

Marwa - FERME TA GUEULE

Je rigole puis passe me changer je troque mes vêtements pour un jogging et un tee-shirt Blanc Juventus

Toute en allant à la cuisine je me fesait une queue de cheval puis je me lave les mains

- Alors ça prépare quoi ?

Elle - Couscous...

Je ne l'écoute même  plus que je me mis à danser

Elle me regarde mal puis me dit << vas prendre l'air >>

Ne voulant pas qu'elle passe ses hormones sur moi je fis ce qu'elle me dit et alla prendre l'air

Dans le hall je croisa Nabil et Lucas que je salue

Seul Lucas me répondit  Nabil detourna le regard comme à  son habitude

Et moi qui pensais que tout avais changé entre nous

Je marchais jusqu'au parc ou je me posa...je pouvais observé les petits qui jouais

Jusqu'à ce qu'une petite fille tombe...Elle se mis à pleurer

Devrais-je l'aider ? Non je ne suis pas sa mère alors elle se debrouillera toute seule

Mais ses cris me transpercent le coeur... je m'approche d'elle et la relève et nettoie sa robe

- Elle est où ta maman ?

La petite - au près d'allah. Tu es jolieeeee comme une fleur

- -rire- toi aussi. C'est quoi ton prénom? 

Elle - Merveille mais tu peux m'appeler Mervouille et toi ?

- Nadjiva

On a joué au moins pendant  10 min puis une voix d'homme se fis entendre


L'homme - Merveille dit-il
Je t'ai dis de rester avec Yanis

Elle baissa la tête puis jouais avec ses doigts

Elle - Pardon Nassell

Le prénommé Nassell pris la petite et me remercie de l'avoir nettoyé

Il s'en alla sous mes yeux... Je décida aussi de rentrer chez moi

Dans les escaliers je tomba sur Nabil et un jeune homme il avait les même traits je ne m'attarde pas trop dessus et continua ma route







TWO MONTH








Peur du vide
Peur de la solitude lorsqu'on a toute les solitudes à la fois

Celle du coeur et celle  physique... Quand nos âmes  ont trop été consumé par la vie

Et dans ce noir qui noua toutes mes émotions mon téléphone se mis à sonner

Je me racle la gorge avant de lancer un allo attendent patiemment que mon interlocuteur se mis à parler

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