Chapitre 8
Pdv Adil
Je termine de lasser mes crampons et part sur le terrain pour l'entraînement. Je me place et commence à m'entraîner l'esprit ailleurs.
Bixente et Greg sont parti dans le domaine pour essayer de trouver un endroit où se connard de Cantonna pourraient séquestré mon bb.
Je regarde plusieurs fois Hugo pour lui demander s'il a des nouvelles mais rien. Je soupire.
Hugo : arrête un peu de soupirer mec. S'il trouve quelque chose tu sera le premier prévenu.
Moi : je sais bien capi mais pendant se temps là il peut lui faire tout se qu'il veut.
Paul : mais il se laissera pas faire. Il a une force qu'il n'avait pas avant : toi. Tu lui a appris à se battre.
Antoine : Paul a raison. Il va lui en faire voir de toute les couleurs au Canto.
Moi : j'espère...
Je me reconcentre sur l'entraînement et le termine. On part se doucher et se changer. Je regarde mon téléphone mais rien. Je commence à stresser.
Et si on le retrouver pas à temps ? Et que ce fils de pute lui fessait du mal ? Rhô mais arrête de pensez au pure chose ! Bixente ne l'abandonner à jamais.
Je rentre donc dans ma chambre avec mon téléphone en mains. Le reste de l'après-midi je n'ai fait que de regarde mon téléphone attendant une nouvelle mais rien.
Je suis allonger sur le dos à regarder le plafond avec mon portable près de moi. On toque et je me dépêche d'ouvrir la porte mais je découvre Antoine et Hugo.
Je m'écarter et les laisse entrer. Ils partent s'assoir sur mon lit et me regardent.
Moi : il y a un problème les gars ?
Antoine : non enfin pas tout à fait.
Hugo : j'ai une question à te poser et je dois être sur de ta réponse.
Moi : je t'écoute.
Hugo : quand Bixente et Grégoire auront trouver l'endroit où Éric retien Didier, tu fera quoi ?
Je laisse sa question en susoent pendant plusieurs seconde. En faite j'y et réfléchis au moment où j'ai appris tout se qu'il avait fait subir à Didier.
C'est donc pour ça que avant l'entraînement j'ai réussi à choper l'arme d'un vigil. Quand on n'aime quelquun on est prêt à tout pour le protéger.
Moi : je préviendrai les flics.
Ils se regardent.
Antoine : et tu compte intervenir avec eux vu que ta une arme dans ta veste en cuir ?
Et merde....
Moi : Antoine...
Hugo : donc tu compte t'en servir. Et tu compte aussi y aller tout seul ?
Moi : oui... Les mecs je veux pas vous mettre en dangers.
Antoine : mais toi t'es prêt à tout pour sauver ton mec ! Mêle jusqu'à tuer !
Moi : ouai !! J'irais jusque là si cela permet au moin à se que Didier soit en sécurité !!
Antoine : et tu crois qu'il serait heureux de te voire en taule ou même entre 4 planches !! Mais réfléchis avant d'agir !!
Hugo : STOP !!!
Antoine et moi sur sautons et croisons le regard noir du capitaine. Il soupire fortement.
Hugo : vous vous calmez. Déjà il faudrait que bixente trouve où il le retien et après on conservera un plan pour le sortir de la sans violence.
Moi : Hugo je veux pas que vous soyez mêle à ça.
Antoine : et pourtant on les tous. Adil Didier c'est notre coach et il nous a fait confiance on doit bien le lui rendre.
Moi : tu a raison grizou. Tu deviens philosophe. Le capi déteint sur toi.
Hugo : he !
Presnel : les mecs ! Bixente et Greg sont revenu !!
Hugo : on arrive. Venez.
Sans perdre une seconde et descend. Je cours vers le Basque et son copain.
Moi : alors ???
Bixente : on sait où il le séquestre.
Je souffle littéralement de soulagement.
Moi : je veux voir ou c'est.
Grégoire : on c'en douter. Suis nous.
Hugo : je viens avec vous. Et vous vous rester ici.
Kylian : mais...
Hugo : y a pas de mais. Steve tu les surveille.
Steve : compte sur moi Hugo.
Nous sortons et montons dans la voiture. Ils nous conduisent vers le fond du domaine ou presque personne ne vas. Idéale pour séquestré quelqu'un.
Il se gare et nous guide vers un chemin de terre. Nous marchons une dizaine de minute avant d'apercevoir un hegar qui a l'air abandonner. Juste à coter se trouve la voiture qui a élever Didier. Donc il est bien là.
On se cache derrière des arbres.
Bixente : on la vu au loin et ça nous a sembler bizarre.
Grégoire : alors on la suivi et on n'a vu Éric sortir avec des paquet de nourriture pour au moin 2 personnes.
Moi : donc Didier est bien ici.
Bixente : ça m'en a tout l'air.
Hugo : faudrait en être sur après il peut faire ça pour brouiller les pistes.
Moi : ta raison. Rester ici je m' approcher.
Grégoire : adil non c'est trop dangereux.
Bixente : Grégoire a raison. Reste la.
Mais je ne les écoute pas et commence à me diriger vers le bâtiment.
Pdv Didier
Je continu de tirer comme un fou sur ses putain de corde mais je ne fais que m'ecorcher plus les poignées et à me fatiguer. Il les a bien serrées se connard.
Tien en parlant de lui. Il arrive vers moi avec un sac de nourriture. Il s'approche de moi en souriant et me retire violemment le bâillon.
Éric : je ramène à manger. J'espère que tes calmer.
Moi : tu peux te les lettres ou je pense.
Eric : on dirait que ça ra pas calmer. Bon aller mangé.
Moi : j'ai pas faim...
Eric : ce que tu peu être agaçant. Aller mangé.
Moi : va te faire foutre.
Il me gifle je le regarde droit dans les yeux et il me lance un regard qui me fait froid dans le dos. Je baisse les yeux.
Eric : on dirait que je dois te punir mon ange.
Je relève la tête vers lui en comprenant de qu'il va me faire. Et je le laisserai pas me toucher. Il sort un couteau l'approche de moi et coupe mes liens.
Il me prend par le bras et me plaque violemment contre le mur. Je vais pour le repousser mais j'ai plus de force. Je suis bloquer entre lui est son corps.
Il commence à m'embrasser le cou et a me caresse les hanches avant de remonter vers les fesses. Je ferme les yeux et souffle toute en tremblent.
Il retire mon haut et s'apprête à retirer mon dernier vêtement quand je sens une présence que je connais très bien. Adil. Il est ici !! Il est venu me chercher et il va defonce se connard!!
Je rouvre les yeux, et pris d'un élan de force je pousse Éric loin de moi. Je met à courir vers la première porte sauf qu'il le rattrape par la taille. Je me débat.
Moi : ADIL !!! ADIL JE SUIS LA !!!
Eric : fermé la!!
Moi : LÂCHE MOI !!! ADIL !!! ADIL JE T'EN SUPPLIE VIENS !!!
Eric : mais tu va te taire oui !!
Moi : NON !!!
Eric : alors peut être que ça va t'aider ça !!
Il me pousse violemment contre le mur et posé un flingue contre ma tempe. Automatiquement j'arrête de bouger et me tait.
Eric : maintenant tu la ferme sinon j'hésiterai pas à l'utiliser.
Je le regarde droit dans les yeux. Il le range dans sa poche de jeans et me pousse devant lui. Il m'entraîne vers une grande salle où se trouve plein de tuyaux.
Il me pousse contre l'un d'eux et sort une corde et du ruban adhésif. J'essaie de partir mais il passe mes bras derrière et les attaches avec la corde et met du ruban par dessus.
Éric : comme ça je suis sur que tu techapera pas.
Moi : tes un grand malade !!
Eric : ah oui j'allais oublier ça.
Il tire une grande bande d' adhésif qu'il pose sur ma bouche.
Eric : voilà qui et mieux. Jr vais préparer notre départ pour l'Australie mon amour. Oh quel étrange coïncidence : on part pour se remarier en Australie et dans quelque jours là France ebute face à se pays dans la coupe du monde enfin si elle la joue.
Je le foudroie du regard et essai de lui mettre un coup de pied mais il esquive et en rigole.
Éric : quesque tu me fais rire mon cœur. Aller je vais finaliser notre voyage.
Il sort et j'essaie de me détaché mais je n'y arrive pas. Je me laisse glisser le long du tyaux et laisse mes larmes couler.
J'était sur d'avoir senti la présence d'adil. J'en mettrai ma main au feu. Après c'est peut être moi qui commence à perdre la tête à force de ne pas me nourrir.
Je regarde la lumière qui entre par une fenêtre et prie très fort pour que l'homme que j'aime plus au monde viennent et me sorte très très vite de se cauchemar.
A suivre...
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