Chapitre 7

Je regarde Bixente encore secouer par cette révélation. L'homme que j'aime à était marié à un homme qui le viole et le frapper !

Ça me met hors de moi. Ce cantonna n'a pas de cœur ! Didier est une personne adorable qu'on n'a envi de câliner h24 et qu'on protégerai du monde entier.

Une main se pose sur mon épaule et je relève la tête pour voir Hugo qui me sourit doucement. Je soupire.

Moi : et on sait où il vit ?

Bixente : en France mais sa m'étonnerai qu'il soit rentrer avec Didier.

Hugo : déjà faudrait savoir s'il est en Russie.

Grégoire : oui sur les réseaux il a publier une photo de lui à Moscou et on sait très bien que Istra et proche de Moscou.

Bixente : c'était y a combien de temps qu'il a poster ?

Grégoire : y a 3 semaines.

Hugo : il as eu le temps de faire du repérage autour et dans le camp de base.

Bixente : si c'est vraiment lui qui a Didier vous feriez mieux de vous dépêcher à le trouver.

Moi : bon récapitulons. Cantona à su sûrement en suivant Didier qu'on n'était ensemble, il a monter un plan pour l'avoir que pour lui. Il se rend en Russie pénétré dans Istra repéré les lieux et monte son plan. Dimanche soir il se déguisé en vigile et nous bouscule moi et Didier pour nous droguer en insistant bien sur les doses. Il enlevé Didier et l'emmène dans un endroit dans l'enceinte du camps de bases vu qu'il n'est pas sorti.

Hugo : ok donc il la emmener dans un endroit dans l'enceinte où personne ne penserez aller, calme pour cacher quelque et assez éloigner.

Grégoire : comme une habitation abandonner.

Moi : ouai. On doit fouiller tout le domaine pour voir si il n'y aurait pas un bâtiment désinfecter.

Je me lève et commence à me diriger vers la porte quand Hugo me retiens.

Hugo : je te rappelle que l'on n'a entraînement après manger.

Moi : je sais mais...

Hugo : Adil... Bixente et Greg vont alker chercher dans le domaine colle ça on perd pas de temps.

Bixente : oui et au moindre truc super on vous préviens.

Je regarde les trois homme qui me regardent avec insistance. Je soupire.

Moi : ok mais je garde mon téléphone avec moi.

Hugo : oui allée venez manger avec nous.

Le capitaine ouvre la porte et plusieurs joueurs tombent par terre. J'explose de rire. Ses abrutis nous on écouter mais ils n'avaient prévu qu'en se collant comme ça à la porte, lorsqu'elle aller s'ouvrir ils allaient s'étaler comme des mères par terres.

Hugo : tien donc ça m'aurait étonner que vous ne nous ayez pas espionner.

Paul : c'était une idée de ton mec.

Antoine : non c'était ton idée !

Presnel : c'était la tienne grizou !

Hugo : stop !! Je veux pas savoir ! Maintenant vous vous levez et vous filez à la salle commune pour le repas et que ça saute !!

Tous lui obeisse. Mon DD déteint trop parfois.

Bixente : il le rappelle Didier.

Moi : moi aussi aller venez.

Nous les entrainons vers la salle à manger ou tout les mecs se sont installés sûrement par peur de se refaire engeueler par Hugo.

Pdv Didier

Je rouvre les yeux en ayant un mal de crâne horrible. Je bouge doucement mais mes mouvements sont entraver. Je rouvre grand les yeux et découvre que mes mains sont attaché au accoudoir d'un fauteuil de bureau.

Moi : non... Non... Non....sil vous plaît non...

Je commence à tirer comme un malade pour essayer de me détacher mais se fils de pute a bien serré.

Moi : putain... Aller...

Des pats se font entendre je me stop et je relève la tête pour croisés son regard. Il me sourit et pose sa main sur ma joue je bouge ma tête pour l'empêcher de me toucher. Il en rigole.

Éric : toujours aussi chiant question attouchements je vois.

Moi : va te faire connard et me touche pas.

Il prend ma gorge d'une main et me regarde droit dans les yeux.

Eric : tu n'a toujours pas compris que tu m'appartient. Depuis le jours où tu m'a dit oui.

Moi : se jours était une erreur !! Et je ne t'appartient sûrement pas mais à Adil !!! Aie !

Il me gile violemment et cela me renvoie des années au par avant ou il me fessais tout ça mais aujourd'hui je suis bien décidé à ne plus jamais me laisser faire. Je lui crache au visage.

Il m'en redonne une encore plus forte. Je le foudroie du regard. Du sang rempli ma bouche et je sens que ma lèvre inférieure fendu.

Éric : tu n'a toujours pas compris ? C'est moi qui commande, si tu me resiste tu en paye les conséquences. Tu te rappelle ?

Je fais oui d'un signe de tête.

Eric : bien. Maintenant on va parler de cet arabe là tu sais celui qui joue à Marseille et qui pas plus tard qu'avant hier te baiser.

Moi : il s'appelle Adil rami et il temmerde bien comme il faut.

Éric : eh !! Attention à se que tu dis !

Moi : vas y frappe moi!! De toute façon tu sais faire que ça !!

Il me frappe plusieurs fois au niveau du visage et du ventre. Il arrête et je tremble come une feuille. J'aurais peut être pas du l'énerver mais je m'en fous. Je suis plus faible comme je les étais y a des années.

Éric : c'est bon ta compris? Ou il faut que je continu ?

Moi : j'avais te tuer. Tu m'entendent J'VAUS TE TUER!!

Eric : tu est devenu vulgaire mon amour. C'est sûrement à cause de se musulman.

Moi : INSULTE PAS ADIL !! J'TE JURE QYAND JE LE SERAI DÉBARRASSER DE SES PUTAIN DE CORDES JTE FERAI LA PEAU !!

Eric : oh oui il t'a très mal influencer mon cœur. Tu parle mal.

Il me tourne le dos alirs que je me met à tirer comme un dingue sur mes liens. Il se retourne et se dirige vers moi avec un morceau de chiffon.

Il passe derrière moi et il me bâillonne avec alors que je me débat. Il réapparaît dans mon champs de vision tout sourire.

Éric : ça va te calmer un peu mon cœur. Juste le temps qu'il faut.

Et il tourne les talons pour se diriger vers son bureau avec toutes les caméras. Je recommence à essayer de me détacher mais sa ne fait rien à part me fatiguer.

Je souffle comme un boeuf et il a tellement serrer que ça coupe mes veines. Je ferme les yeux et espère de tout mon être à une chose : qu'Adil me sortent de la.

A suivre...

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top