Chapitre 11

Pdv Didier

Je lance un dernier regard a adil mes yeux rempli de larmes et sort par la fenêtre. Je me met à courir droit devant moi.

Au bout de plusieurs mètre je tend un grand bruit sourds qui me glace la sang. Une détonation de pistolet. Je m'arete et regarde derrière moi.

Personnes ne me poursuis ou vient me rejoindre. Une grosse montée de larmes me prend et je me colle contre un tronc d'arbre.

Je me laisse glisser contre se dernier et replié mes genoux contre moi en pleurant à chaude larmes.

C'est de ma faute !! Tout est de ma faute !! Si je lui en avais parlé bien avant ça ne sera se sera jamais passer et Adil serait la avec moi à me serrât contre lui.

Je pleure encore avant de me calmer. Il m'a dit de ne surtout pas m'arrêter de courir. Je me relève. Et me remet à courir.

Je trouve un chemin et je commence a le suivre en marchant car je commence à fatiguer. Pendant je ne sais combien de temps je marche vite en suivant le sentier.

Tout en me frictionant avec la veste en cuir de mon copain. Je sourit doucement en sentant son odeur. Celle qui me rassurait à chaque fois qu'on fessait l'amour.

Je lâche une larmes mais l'essuis vite. Il m'a sauver la vie. Je continu de marcher quand j'entends un bruit de moteur. Mon sang se glace. Il m'a retrouvé !!

J'ai pas le temps de me cacher. Une voiture arrive en face de moi. Elle s'arrête je treble comme une feuille. Mais à ma grande serptise 4 portes s'ouvre et laisse apparaître : Hugo Antoine, Grégoire et Bixente.

Bixente : Didier !!

Je ne bouge pas, il court vers moi et j'eclate en sanglot dans ses bras. Il me sert contre lui en me chuchotant des mots rassurant en Basque.

Je me calme et les 3 autres hommes arrivent vers moi. Ils me dévisage à cause de l'état que doit être mon visage.

Bixente : il t'a frappé autre part ?

Moi : au ventre plusieurs fois et j'ai mal.

Grégoire : il as dû te casser une côte.

Moi : c'est ce que pense Adil...

Hugo : mais il est où adil ??

Je les regarde chacun leur tour tout en ravalent mes larmes.

Moi : il... Il nous as surpris entrain de s'enfuir... Il a commencer à nous tirer dessus et Adil nous a emmener dans une pièce où il n'y avec que ne seule fenêtre pour sorti.... Il m'a dit de m'enfuir par la alors que lui il retiendrai Éric.... Je les supllier de venir avec moi.... Mais rien à faire il est plus têtu qu'une mule... Alors je suis sorti par la fenêtre et je me suis mis à courir et c'est la que.... Que... Que j'ai entendu un coup de feu....

Ils me regardent et Bixente me reprend dans ses bras. Ensuite il regarde mes deux joueurs.

Bixente : emmener le a l'hôpital et faite le examiner par le médecin. Nous on va appeler les flics et on va se rendre au hengars.

Moi : mais....

Bixente : y a pas de mais Didier. Puis je ne sais pas si tu savais mais Adil avait voler l'arme de service d'un vigil.

Moi : l'arme de service d'un vigil... Mais pourquoi ?

Antoine : il était conscient du danger qu'il représenter pour vous coach alors il a voulu vous protéger.

Je sourit doucement. Mes deux joueurs m'entraîne vers la voiture. Hugo conduit et Antoine se met à coter de moi.

Le capitaine démarre et Antoine me prend dans ses bras. Je me colle contre lui pour me sentir rassurer et en sécurité.

Antoine : vous avez froid? Hugo tu peux mettre un peu de chauffage il est geler.

Hugo : pas de soucis. On sera à l'hôpital dans 15 minute un peu près.

Moi : ok...

Mes deux joueurs se regardent dans le rétro et je sens bien qu'une question leur brûle les lèvres.

Moi : allez y posez moi votre question. De toutes façon tout les joueurs doivent être au courant...

Les deux prennent une grande inspiration.

Hugo : es-ce qu'il vous as... Comment dire.

Moi : violer ?

Antoine : oui violer?

Moi : il as essayé mais je me suis pas laisser faire. Bon après je l'avais bien foutu en rogne et voilà se qu'il m'a fait.

Hugo : nous sommes la maintenant.

Antoine : oui vous pouvez compter sur nous. En tout cas il as une sacré force quand il la assommer avant hier soir.

Moi : il t'a assommer ???

Antoine : oui mais je vais bien ne vous en faite pas.

Hugo : on arrive.

Le capitaine se gare et mon numéro 7 m'aide à descendre. Il m'emmène vers un médecin. Ce dernier veut l'examiner mais je veux que Antoine et Hugo soyent la. Je me sentier plus en sécurité.

Nous entrons et en anglais il me dit de m'assoie sur la table d'oscultation. Ce que je fait. Mes joueurs lui explique rapidement la situation et il le dit de retirer mon haut.

Ce que je fait. Il me touche à plusieurs endroit où les bleus on commencer à prendre place. Il me touche aussi les coter et je grimace de douleurs. Effectivement il m'a péter non pas une mais 2 côtés.

Ensuite il examine mes bleus sur le visage et désinfecte ma lèvres fendu. Hugo me tend ensuite des habille qu'il a du aller acheter.

Je me rhabille mais remet aussi la veste d'adil. Je la sert fort contre moi. Il me prescrit des anti douleurs et un peu de repos plus aller consulter un psy.

Pff mon consulter un psy ? Jamais de la vie. Je préfère me confier à Bixente ou à Christophe. Nous le saluons et repartons à Istra.

Antoine et Hugo me parle de comment ils ont enquêter pour me retrouver et je les trouvent tous adorable d'avoir fait tout ça pour moi.

Hugo : on vous doit tellement c'est normal.

Antoine : exactement. Et c'est aussi grâce à vous si Hugo et moi on c'est rencontré.

Je leur sourit et nous arrivons. Je descend et entre suivis de mon capitaine et son copain. Direction une vingtaine de joueurs me saute dessus et me sert contre eux.

Olivier : coach vous aller bien?

Moi : maintenant que je suis la oui.

Paul : mais votre visage...

Moi : ten fait pas la pioche d'ici quelque jours ça aura complètement disparue.

Greg et Bixente s'approche de moi. Je sers la veste de mon petit amis pour me donner du courage.

Moi : à... Alors??

... : alors je lui est bien niquer sa mère a se fils de pute.

Je me figé. Cette voix !! Non c'est impossible!! Bixente et Grégoire s'écarte et laisse apparaître Adil qui s'approche de moi tout sourire.

Adil : et t'en fais pas pour moi mon cœur. Je ne suis pas blesser.

Je cours vers lui et lui saute dessus. Il me sert contre lui alors que je pleure. Mon dieu j'ai eu si peur de le perdre.

Moi : j'ai eu peur de te perdre.

Adil : mais je suis la mon petit chat et je vais très bien.

Moi :mais... Et le coup de feu que j'ai entendu...

Adil : c'est moi qui et tirer en premier mon bb. Dans l'épaule gauche. Puis après les flics sont arrivés et ils l'ont embarquer puis moi il m'ont foutu une amende pour leur avoir chourave une arme.

Moi : tu as était jusqu'à voler une arme à feu pour moi.

Adil : Didier je t'aime. Je t'aime comme un fou et je laisserai personne te faire du mal comme l'autre salopard à pu le faire.

Je sourit et l'embrasse tendrement.

Adil : tes lèvres m'avait tellement manquer.

Je sourit et me colle contre lui.

Presnel : bon et moi personne ne me dit merci pour avoir regarder les vidéos surveillance.

Moi : merci presko...

Presnel : ah non mais vous coach vous avez pas à me remercier c'est tout à fait normal si je les fais pour vous. Je parle de mes très chère coéquipiers.

Adil et les autres : merci presnel.

Presnel : derien les mecs.

Adil : bon aller on va manger parce que tu dois avoir faim mon petit cœur.

Moi : oh oui je mangerai un buffle.

Il rigole et m'embrasse doucement. Il me prend la main et m'entraîne vers la salle commune pour prendre le repas qui se déroule dans la bonne humeur.

Ensuite adil et moi montons nous coucher dans sa chambre car je me sens pas trop en sécurité. Je prend les anti douleur puis part à la douche mais avec adil.

J'aime bien quand on la prend ensemble en plus cette fois il passe ses mains doucement sur mes bleus pour m'apaiser.

Ensuite on part dans son lit et je me colle un laximun contre lui ce qui le fait rire et en même temps il passe ses bras autour de ma taille.

Adil : je t'aime mon amour.

Moi : moi aussi. Je te demande pardon pour ne pas t'en avoir parlé mais...

Adil : je comprend mon cœur ne t'en fais pas mais sache que au grand jamais je ne lèverai la main sur toi ou te forcerai à coucher avec moi.

Moi : mais je le sais depuis qu'on n'est ensemble mon chéri.

Adil : aller dors je suis la rien ne pourra t'arriver et tu as besoin de repos.

Moi : merci.

Adil : aller dodo mon petit chat.

Je rigole et il m'embrasse. Je pose ma tête dans son cou et ferme doucement mes yeux emporter par la fatigue.

Et voilà le dernier chapitre je vous poste très bientôt l'épilogue.

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