Chapitre 10
Pdv Adil
Le soleil se lève. Il doit bien être 3-4h du matin. Et j'ai réussi à retrouver le chemin grâce à ça. 1 h plus tard j'arrive vers le bâtiment. Je m'en approche s'en faire de bruit.
Je vois une porte je me dirige vers elle quand d'un coup une autre s'ouvre et se connard en sort avec des sacs dans les mains et son téléphone coller à son oreille.
Éric : oui c'est ça deux billets.... En partance pour Sydney dans les plus bref délais.... Comment ça pas avant demain vous vous fichez de moi... Je sais bien qu'avec la coupe du monde vos vole son complet mais.... Ah ben voilà celui de se soir 20h...merci... Oui en jet privé si vous avez....
Il rerentre. Putain se salopard veux emmener mon homme en Australie. Je dois le faire sortir maintenant. Je rentre donc doucement par la porte et la referme sans faire de bruit.
Je commence donc à chercher dans le fond quand lorsque je rentre dans une pièce avec des tuyaux je tend la voix de l'autre. Je me cache et le vois se diriger vers quelque chose.
Éric : ah mon amour nous partons se soir pour notre lieu de mariage. Mais tu as les yeux rouges. Tu n'a quand même pas pleurer mon trésors hein ?
Je sers les poigns en plus il le fait pleurer ah il perd rien pour attendre. Attendez il a dit lieu de mariage. Il veut se remarier !! Je dois vraiment le sortitmr de la.
Éric : allons ne pleure plus mon cœur. Je finis de ranger toute mes affaires et je reviens m'occuper de toi comme il se doit.
Il tourne les talons et sors de la pièce. Ok c'est le moment. Je sors de ma cachettes et court vers l'endroit où se tenez se salopards. Et c'est la que je le vois.
Ses genoux replier contre son torse ses joues baignée de larmes un morceau de ruban sur les lèvres et ses yeux fermés. Je cours vers lui et pose mes mains sur ses genoux se qui le fait sursauter et donc ouvrir les yeux.
Moi : bb c'est moi.
Il essaye de parler alors alors aussi délicatement que possible je lui retiré se putain d'adeshif. Et c'est la que je vois son visage tumifier par les coups et sa lèvres inférieure fendu.
Didier : ad... Adil...
Moi : chut je suis la. C'est lui qui t'a fait ça ?
Il me fait un signe de tête positif.
Moi : il t'a frappé autre part ?
Didier : au.... Au torse... J'ai... J'ai mal Adil...
Moi : il a du te casser une côte. J'te détaché et on se casse.
Je me met derrière lui et retire l'adeshif qui entouré ses mains sauf que j'ai la mauvaise surpris de découvrir qu'il lui a aussi attaché les mains avec une corde.
Moi : putain. Je vais mettre une plomb avant d'arriver à te détacher.
Didier : là Adil y a un bout de verre.
Je le prend et me met à couper ses liens comme un dingue sauf qu'à un moment je l'écorce encore plus qu'il ne l'était.
Didier : aie !
Moi : pardon mon cœur. J'y suis presque voilà !
Une fois ses mains détaché il se jeté sur moi et m'embrasse passionnément. Je passe doucement mes bras autour de lui et continu le baiser. On se sépare à bout de souffle.
Didier : merci mon amour...
Moi : tu n'a pas à me remercier mon chaton. Aller on sort d'ici.
Je me relève l'aide et je remarque qu'il et frigorifié. Je retire ma veste et lui met pour qu'il se réchauffe. Je lui prend la main et l'entraîne vers l'endroit où je suis arrivé sauf que c'est à se moment la que se connard se pointe.
Éric : me voilà mon cœ... Mais quesque ?
Moi : COURS DIDIER !!! COURS ET T'ARRETE SURTOUT PAS !!
Se salopard sort un flingue et se met à nous tirer dessus enfin surtout sur moi. Nous courons aussi vite que nous le pouvons.
A un moment on bifurque dans un couloir mais nous tombons sur une impasse c'est alors que je vois une porte. Je pousse mon copain dedans et nous enfermé.
De l'autre coter je tend se fils de pute essayer de forcer la porte. Je me retourne et découvre qu'il n'y a pas de sorti à part une fenêtre. Je regarde mon homme.
Didier : adil je t'en supplie le laisse pas me reprendre.
Je m'approche de lui et prend son visage entre mes mains. Je colle nos fronts.
Moi : plus jamais je le laisserai t'approcher et te faire du mal.
Je regarde la fenêtre puis reporté mon regard sur Didier.
Moi : tu va te fuir par la fenêtre.
Didier : mais... Et toi ?!
Moi : moi je vais le retenir pendant que tu tenfuis.
Didier : mais c'est de la folie !! Il va te tuer si tu reste la !!
Moi : et toi si tu reste la il va te faire revivre le même cauchemar qu'il y a 20 ans !!
Il me regarde avec ses yeux suppliant alors que des larmes coulent.
Didier : je t'en supplie Adil vient avec moi !!
Moi : non bb. Je dois le retenir.
Didier : mais je t'aime !! Tu peux pas me laisser !!
Moi : Didier jamais mais au grand jamais je ne t'abandonnerai !!
Il m'embrasse avec ses larmes collant doucement sur ses joues. Je lui essuie d'un geste tendre.
Moi : tu voulais me demander en mariage. Sache que si tu l'avais fait ma réponse aurait était un grand oui.
Didier : Adil...
Je l'embrasse une dernière fois passionnément.
Moi : maintenant file!! Aller!!
Je le pousse vers la fenêtre. Il me regarde en pleurant à chaude larmes.
Moi : Dégage aller!!! Vite !! Et cours !! Cours sans t'arrêter !!
Didier : je t'aime!!!
Moi : moi aussi je t'aime...
Il ouvre la fenêtre et sort. Je reporte mon regard sur la porte. Je sort le pistolet que j'avais dans mon jeans et le ponte vers la porte.
Cette dernière cède et laisse apparaître un Éric Cantona fout de rage serrant son pistolet et le pointant sur moi.
Éric : OU IL EST ?!!!
Moi : loin de toi !!
Éric : DIT MOI OU IL EST OU JTE BUTE !!!!
Moi : VA TE FAIRE ENCULER SALE FILS DE PUTE !!! PLUS JAMAIS TU LE TOUCHERA !!
Éric : C'EST CE QU'ON VA VOIR !!!
Le doigts sur la gâchette il me regarde avec son sourire machiavélique. Je le bise pose mon doigts sur la détente en ayant mes yeux fixer dans les siens. Puis PAN !!!
A suivre...
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