Chapitre 1 Une annonce inoubliable et qui remonte le moral
L'année de mes seize-ans, vers le début de l'automne, je commençais à aller au lycée. J'étais dans une maison gigantesque. Ma mère a décrété que je fais de l'anorexie mais que j'étais joyeuse et bien intérieurement. J'aimais sortir mais aller dans l'établissement me faisait froid dans le dos. Je lisais parfois des livres sur les sciences et notamment d'étudier. J'avais toujours des excellentes moyennes. Ma matière préférée était toujours les mathématiques. Je mettais toujours des béquilles. Parfois ma grande sœur âgée de vingt ans m'aidait à me lever pour aller manger. Je cachais un lourd secret qui me permet de me sentir parfois en insécurité. En effet, j'avais ici un tumeur au niveau de la moelle épinière. Je ne pouvais jamais faire de sport dans ma vie. La maladie a été apparue quand j'avais l'âge de deux ans malheureusement.
J'avais un médecin traitant appelé Noah Jones. Depuis mon enfance, je l'aimais beaucoup et c'était surtout lui qui me rassurait. Il essayait en vain d'oublier ma maladie. La peur n'était pas de décéder mais de ne pas faire ma vie tranquillement. Le seul but est de trouver un traitement au plus vite et être enfin guérie.
Selon mon docteur, j'avais plein d'effets secondaires : engourdissement, difficulté à assurer des mouvements, manque de coordination et parfois des nausées, de la fatigue extrême.
Je restais toujours sur mon lit bleu. Je priais tous les jours et j'allais surtout à l'église de Saint Joseph à Jacksonville en Floride. C'était intitulée TheEpiscopal Church. Je le savais je devais aller cet après midi avec ma sœur ainsi que mon petit frère âgé de quatorze ans. Ma mère m'appela ;
-Viens manger
J'appelai ma sœur car je ne pouvais pas marcher. Elle entra et nous partîmes aussitôt. Je dormais dans une pièce en bas. Je ne pouvais jamais aller à l'étage à cause de mon dos.
Je n'avais pas beaucoup d'appétit à cause de ma maladie. Je ne mangeais que de la salade et rien d'autre. Je finissais mon déjeuner et je me préparais pour aller. Malheureusement j'étais en fauteuil roulant m'empêchant de marcher correctement. Ma mère tint aussitôt. Elle était toujours joyeuse mais je voyais dans son regard qu'elle était très stressée et je l'entendais pleurer dans sa chambre car la pièce parentale se situait à côté de la mienne. On allait à pied. On était dans une résidence et l'église se situait au bord de la route juste derrière. On passa par la route entourée de feuilles qui tombèrent au sol. Pour être apaisée je sentis toujours l'odeur de l'humidité. Il pleuvait aujourd'hui. C'était un temps lugubre pour les autres mais pour moi j'aimais bien car j'adorais entendre le bruit notamment sur le toit de la maison et les vitres de ma fenêtre. Je vis enfin ce bâtiment. Il était doré et avait deux statues de chaque recoin et possédait quatre vitraux. Il y avait que deux gargouilles. A la pointe du bâtiment il y avait la statue de Marie-Joeseph.
Nous rentrâmes tous comme convenu. J'avais une robe noire avec un manteau de la même couleur. Voilà pourquoi j'allais toujours chez le Seigneur. C'était non seulement pour prier mais aussi pour que je me sente mieux et de guérir de ce cancer désastreux.
-Bienvenue ma douce dit Aaron
-Merci mon prêtre.
Il était un prêtre et habillé d'un costume rouge et blanc. Il tint lacroix.
A l'intérieur il y avait la statue de notre prophète Jésus Christ avec le crucifix. Il était brillant et surtout ensanglanté. Devant il y avait une géante croix avec une table composée d'un drap blanc soyeux durant lequel le prête devait s'exprimer et prononcer notre prière. La pièce était répartie d'un couloir en parquet de bois et répartie par des bancs regroupant des personnes noirs.
-Doux Marie Joseph respectez cette grâce
J'essayai de retenir mes larmes en écoutant sa douce voix. Je fus à côté du banc noir. Je le connaissance depuis ma tendre enfance. Il était marié, père de trois enfants, deux petites filles âgées de huit et six ans et d'un garçon âgé de quatorze ans. Je l'ai déjà vu et ils étaient toujours souriants. Le problème c'est que sa fille âgée de six ans avait un cancer cérébral et sa croissance était ralentie. J'en pleurais à chaque fois que je pensais à elle. Il ne s'inquiétait pas de l'état de sa fille car en étant prêtre il croyait beaucoup en son seigneur. Il avait un caractère très exceptionnel. Il était très courageux.
Soudain une groupe de famille entra. C'était un jeune homme. Il y avait une fille à côté d'elle à gauche ainsi que deux frère à côté de lui. Un couple était derrière lui. Le jeune homme ressemblait plutôt un adolescent et avait des béquilles. Il était habillé d'un pantalon blanc ainsi que d'une chemise noire. Il venait d'enlever son manteau de la même couleur que le pantalon. Il avait des chaussures noires.
-Entrez les Baker soyez la bienvenue. John vient ici
John. Le prénom de ce jeune garçon. C'était un magnifique prénom.
Cette famille était à côté de nous sur l'autre banc. Je baissais ma tête pour écouter à nouveau la prière. Je ne me retins pas. Je pleurai de toutes les larmes de mon corps.
Quinze minutes s'écoulèrent. John s'approcha de moi
-Il ne faut pas pleurer vous savez ?
-Merci beaucoup c'est gentil
Il sourit. Je le fis à nouveau. J'inspirai profondément et communiquai par soupir interposé. Je me demandais ce qu'il faisait de sa vie. En retournant, je devais préparer mes devoirs pour le lycée. J'étais à la fois contente et triste et apeurée. D'une part car j'adore travailler et d'autre part le regard moqueur des autres lycéens et notamment d'une jeune fille appelée Julia. Elle était blonde et s'habillait toujours de manière vulgaire. Toujours d'un jean troué et d'un pull dépassant le ventre et observant son nombril possédant un piercing argenté. Elle était bouclée aux yeux verts.
En rentrant chez moi, je me suis allongé sur mon lit. J'ai reçu un appel de ma meilleure amie. Elle s'appelait Katherine. Elle était brune aux yeux marron. Elle avait des cheveux bouclés comme Julia. Elle n'était pas vêtue comme de la même façon. Je l'ignorais toujours. Le téléphone portable était bleu et avait une coque d'une tête de chiot avec des paillettes. J'essayai en vain de prendre sur la commode en bois à côté de mon lit. Il y avait une lampadaire bleue. C'était ma couleur préférée. Une décoration de boule de neige rose était à ma disposition. Ca se situait à gauche. A droite il y avait un placard beige et le mur était peint en blanc pâle. Il y avait une fenêtre en face de mon lit. J'adorais contempler notamment le soleil et la pluie. La porte d'entrée était de ma couleur favorite et se situait à côté de la trappe. J'adorais les deux temps. Cela permet d'oublier ma tumeur. Je pris mais la douleur de mon dos fut tellement intense que je criai. Ma sœur m'a entendu et a pris. Elle resta près de moi et s'assit sur mon lit. Je décrochai:
-Allô ma belle tu vas bien ?
-Oui souris je
-Tu sais qu'on est vendredi aujourd'hui. C'est la fin de la semaine. Il y a toujours une fête. Je le programme ce soir.
-Oh c'est vrai ?
-Oui tu es invitée.
-Je ne peux pas. A cause de ma maladie et être en fauteuil roulant ce n'est pas la joie. Des invités vont se moquer de moi surtout Julia
-Tu t'en fiches des moqueries. Vit ta vie.
-Tu penses que ma vie est meilleure ?
-Bien sûr ma belle.
Le silence s'installa. J'ai réfléchi un bon moment soit pendant une minute. Je répondis enfin :
-C'est d'accord. Au moins ça me fera du bien.
-Oh je suis heureuse ! A demain. Met une belle robe.
-Ca marche.
Je lui saluai et coupai l'appel. Je criai en appelant ma mère :
-Maman je vais à une fête le lendemain
Elle cuisina et vint rapidement. Je sentais les frites. C'étaient mes aliments préférés. Elle voulait me faire plaisir.
-Bien sûr.
Elle me câlina. Mon père travailla à la banque. Il était présent qu'à vingt heures du soir.
Ainsi ma mère m'a conseillé d'aller chez le coiffeur demain matin. Elle appela sa coiffeuse habituelle. C'était aussi la mienne. Elle s'appela Lana. Elle était rousse aux yeux verts.
-Demain matin à dix heures du matin c'est possible ?
-Bien sûr ma belle.
-Parfait. A demain matin
-A demain.
Elle me porta et m'emmena dans la cuisine. Il y avait un frigidaire noir et possédait un comptoir en granite. Devant il y avait une table ronde blanche. La pièce est composée de deux portes. L'un qui rejoignit le couloir vers la porte d'entrée verte et l'autre vers le salon. Cette pièce se situait à gauche et possédant un petit escalier et la salle à manger à droite.
Je mangeai qui était sur une assiette bleue et un verre de même couleur. Il y avait qu'une fourchette argentée. J'avais tellement hâte de penser à la fête de demain.
Le lendemain matin, je me réveillai et le soleil m'envahissait ma vue. Je pris mon petit déjeuner. Pour une fois j'étais tellement heureuse d'aller à une fête même si la vue de certains lycéens m'intriguaient et me décevaient. Je mangeai un bol de céréales aux chocolats et blancs et je bus un bon jus de fruits fait maison préparée par ma mère le matin même.
-Merci ma chère maman de m'avoir préparé
-Je t'en prie. Je te fais plaisir. J'aime bien te voir heureuse.
Je le câlinai même si j'avais du mal à bouger. Je finis mon petit déjeuner.
Nous partîmes comme convenu chez le coiffeur. Elle plia le fauteuil roulant et le mit dans la malle de la voiture bleue qui est un kat-kat. Je restai un petit moment. Elle démarra. Maman partit à côté de l'église. C'était un grand centre ville. Il y avait un musée, des restaurants et bien sûr les salons de coiffure et l'autre d'esthétique. Elle roula doucement sous peine de ma douleur. Maman s'est garée dans l'allée à côté d'un restaurant de pizzeria.
Nous arrivâmes au salon de coiffure. C'était marqué en rose en voyant une affiche d'une femme ayant des cheveux blonds bouclés et maquillée. Je voulais être comme elle. J'étais blonde et j'avais des cheveux bouclés.
-Merci maman je t'aime ! Souris je
-Moi aussi mon cœur
-Comme ça tu vas te faire des bons amis.
-Oh que oui.
Lana nous attendit avec son appel téléphonique. On était devant le bureau. Elle me fit patiente un bon moment. Je pris mon bouquin de mathématiques dans la salle d'attente. Il y avait quatre chaises composées de mousses noires. Deux étaient à chaque côté entre le bureau. Les lavabos étaient en face et comportait une grande salle de soins et à l'étage est composée d'une salle d'épilation et de maquillage.
Il y avait toujours des friandises sur le bureau ainsi qu'une bombonne cylindrique de couleur verte. Lana me le donna en guise de courage de sagesse. J'ai pris un bonbon qui était de la guimauve. Je le goûtai. Quinze minutes s'écoulèrent. Elle m'appela. Elle m'emmena et ma mère me porta sur le fauteuil du lavage. Elle me rinça les cheveux. Je perdis beaucoup. C'était une grosse touffe. J'essayai de ne pas l'observer. Je détournai le regard. Ma mère observa et je sentis la tristesse dans ses yeux.
Après trois shampooings parfumés à l'hibiscus, elle me prit et m'emmena devant un miroir. Elle me boucla les cheveux. Je ne voulais pas couper car j'avais peur. Mon regard prêta attention notamment sur mon bouquin car il y avait déjà une interrogation de maths mardi. Elle me sécha par la suite avec un séchoir rouge. Je sentis la chaleur
-Regarde moi ça tu es magnifique
Je refusai à cause de mon état. J'étais pâle et très maigre. On voyait pratiquement les os sur mon visage. J'acceptai finalement.
-Oh maman regarde mes cheveux. Ils sont magnifiques. Il y avait un ascenseur. Je pris bien sûr la bonbonnière. Plusieurs personnes me regardèrent avec insistance. Je les ignorais. L'ascenseur était rouge et ma mère boutonna. J'entendis et je vis quatre spots blanches et un miroir. Je me regardai avec insistance. J'étais fière de moi. Maintenant j'avais hâte lors de la séance de maquillage. Il y avait une autre femme avec moi. Elle avait une coupe garçon et avait une mèche violette et des boucles d'oreilles créoles. Elle était habillée d'un jean et d'un pull rouge. Je suis que sa vraie couleur était noire. Elle me demanda la couleur du vernis. Je demandai
-Du rouge s'il vous plaît.
Je compris aussitôt que c'était en lien avec ma tenue vestimentaire même si le bleu était ma couleur préférée, je voulais changer. Deux minutes s'écoulèrent, Lana me mit du fard à paupière rose violacée. Elle me mit les crayons. Je tremblai des paupières tellement que ça chatouillait. Elle rigola. Je n'avais pas retard mental mais ma croissance était peu rapide. Je mesurais que un mètre quarante huit. Ma croissance s'arrêtera à la majorité mais je mesurerai seulement jusqu'à un mètre cinquante trois. C'est ainsi que les lycéens croient que j'ai une déficience mentale. Elle me mit par la suite un beau rouge à lèvre qui sentait bon la cerise. Elle me parfuma partout autour du cou et ensuite les cheveux. Ca sentait la pêche.
-C'est bon Lisa.
Je levai les yeux vers le miroir et là c'est le choc. J'étais métamorphosée. On dirait que j'étais déjà mature. Après quelques minutes, je souris et serrai fort à ma mère. Je levai les sourcils blonds éclaircis sous signe de positivité et de bonheur.
-Merci d'avoir accepté. C'est magnifique.
Elle pleura d'émotions. De base, je n'aimais pas le lycée et surtout je voulais trouver une chose trouver l'amour. Je pris mon téléphone. Il était presque midi. Je restai déjà deux heures dans le salon. Je me pris en selfie et j'envoyai à ma meilleure amie. Une minute plus tard, le téléphone sonna. Elle m'envoya un message <<Tues magnifique! C'est comme si tu es guérie et tu es revenue normalement!>> Je pleurai tellement d'émotions. J'étais touchée par son message.
Cela faisait depuis huit ans, que je n'avais pas reçu de tels compliments. J'ai rencontré seulement l'an passé. On a tout de suite sympathisé, car elle est vouée d'une sensibilité extrême. Je saluai tout le monde. Elles étaient aussi émues.
En prenant la route, je me suis prise de nausées extrêmes et tremblai. Ma mère me dit
-Ma chérie on est bientôt arriver.
J'avais une ceinture métallique autour de mon ventre pour soulager la douleur. Si la douleur persiste il fallait consulter mon docteur.
Nous sommes enfin arrivés. Je descendis mais difficilement. Elle me mit sur le fauteuil et je pleurai.
-Voilà maman même si je suis magnifique j'ai toujours ces douleurs.
Elle ne dit pas un mot et acheta un fast-food pour que je sois soulagée.
Dix minutes plus tard, elle ramena un hamburger fish avec des frites du coca cola et enfin d'une glace qui est une crème fouettée accompagnée de sa sauce au caramel. Je le mangeai.
La fête est programmée à dix huit heures et j'étais encore souffrante.
J'étais attristée. J'appelai mon amie.
-Allô ma belle désolé mais je crois que ce n'est pas possible je suis malade.
-Ecoute ma chérie même si c'est à dix huit heures. Tu peux venir à vingt heures rien n'est perdu et il y a un fauteuil qui permet de te reposer au cas où. C'est chez moi.
-Oh merci beaucoup.
J'étais tellement épuisée après avoir vomi pendant dix minutes. Je m'allongeai dans mon lit avec ma couverture violette. Je tremblai. Je m'assoupis un moment. Mon mascara ne coulait pas. J'étais heureuse de rester un bon moment et j'avais hâte de penser à la soirée. Je me demande ce qu'il y aura.
Deux heures s'écoulèrent. Je sentis l'odeur des crêpes que ma mère a préparé. J'adorais ça. Elle a acheté un pot de nutella. Ma sœur est rentrée. Elle était chez une amie. Elle avait un long manteau violet et avait un pantalon léger noir. Elle enleva son manteau et avait un pull bleu marqué I love my sister. Elle était étonnée de mon état.
-Mon dieu comme tu es magnifique !
-Merci ma chérie. Regarde le message de mon amie
Elle l'observa et resta muette un moment. Je vis son mascara coulé.
-Excuse moi ma chérie.
-Pas de soucis.
On se câlina et elle pleura. Je le fis à mon tour. Elle m'emmena dans ma chambre. Je pris ma crêpe et m'allongeai.
Soudain je régurgitai et toussai tellement fort. Elle me tapa sur le dos. Je devins tellement rouge. Je sentis ma voix enrouée.
-Mon dieu j'en peux plus. Que faire de cette vie?
-Dit pas ça. Tu te feras plein d'amis et surtout des garçons rigola-t-elle pour me remonter le moral.
-Des amis ? Tout le monde se moque de moi en pensant que je suis une handicapée mentale.
Je n'avais plus la joie de bouger. J'étais en position foetale au niveau de ma table de nuit. Ma sœur fit le tour de mon lit et me regarda. Je commençai à faire la tête.
-Regarde maman t'a emmené chez le coiffeur et surtout elle t'a acheté tout ce que tu aimes.
-Toi tu peux bouger, tu peux avoir des amis et surtout tu manges normalement. Moi j'ai toujours besoin d'aide. Pourquoi ? Pleurai je
-Non ma belle et ton mascara va couler. Tu sais la fille du prêtre aussi est malade. Tu te rappelles d'hier ?
-Oui bien sûr.
Je me souviens de cette jeune fille plus jeune que moi et chauve. Elle sourit tout le temps.
-C'est vrai en plus elle est aussi pâle que moi et n'a pas de cheveux. Oh j'ai oublié d'elle.
-Voilà tu as compris. Maintenant il faut que tu partes et tu t'en moques du regard et de l'hypocrise des gens. Travaille sur toi même. C'est compris ?
J'inspirai profondément et j'hochai la tête. Katherine m'appela.
-Désolé Luna je réponds.
-Pas de soucis.
Elle dit qu'elle viendra dans une heure me chercher. Je retravaillais ma confiance. Je devais écouter mon instinct.
Pendant ce temps, Luna me porta et m'emmena dans la salle de bain pour qu'elle redresse ma ceinture. Je soufflai tellement fort pour ne pas faire attention à la douleur.
Maman toqua à la porte et vint
-Voilà un manteau à fourrure rouge. C'est pour toi et exceptionnellement qu'aujourd'hui. Ne rentre pas tard. Vingt deux heures pas plus. Si un problème persiste, Katherine m'appelle.
-Bien sûr maman ne t'en fais pas. Aie criai je
-Désolé paniqua Lola.
Je le fis un bisou et je mis le manteau. J'étais encore plus belle que ce matin. Là je reprenais confiance en moi. Ca sentait bon le parfum à la framboise de ma mère. C'était le cadeau de mon père quand il lui a offert lors de son anniversaire de mariage au mois d'août, soit le mois dernier.
J'entendis le moteur de la voiture. Elle est arrivée et elle était rouge. On dirait une voiture de luxe d'un film américain. Il y avait l'absence de vitre parfois. C'était Katherine. Elle avait une longue robe bleue et les bijoux de même couleur et avait des chaussures à talon. Moi je possédais seulement des ballerines. Elle sonna et Luna ouvrit
-Mon dieu tu es trop belle.
-Oh merci tu vas voir on va bien s'amuser
-Je ne m'en doute pas.
Mamère toujours aussi sensible et protectrice
-Vous veillerez sur elle ?
-Bien sûr aucun soucis.
Je les saluai tous et Katherine prit la chaise roulante. Nous sortîmes. L'odeur du vent frais du crépuscule m'envahissait les narines. J'entendis beaucoup d'automobilistes. C'était la première fois que j'allais. Elle était étonnée de voir l'ensemble de mon maquillage avec mes yeux bleus éclaircis.
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