C H A P I T R E - 39

- PDV Mira -

Avachie sur le lit, je suie Harry du regard, retenant Mes larmes du mieux que je peux alors qu'il fesait ses valises. Il n'était à présent là que pour une semaine. N'arrivant toujours pas à réaliser que ce sont nos derniers jours ensemble, une larme descend le long de ma joue.

M'ayant vu dans les nuages, les yeux rouges de colère et des larmes de nostalgie envahissants c'est dernier, Harry se dirigea vers moi.

- Tu n'est pas obliger de les faire tout de suite tes valises hein ... Tu ne pars que dans une semaine. Lui dis-je tristement.

- Tu n'est pas non plus obligé de rester là, à me regarder ... Me fait il remarquer.

- ... D'accord, je m'en vais. Dis-je, déçue de sa réponse.

- Non, attends c'est pas ce que je voulais dire c'est juste ...

- moi ce que je comprends c'est que tu est pressé de t'en aller.

- Tu crois vraiment ça ?

- Je ne sais pas ...

- J'aime pas cette réponse. Tu le sais.

- Mais c'est juste que ... Je ne veux pas que tu parte, tu ne sais pas à quel point j'ai souffert pendant ton absence. Je n'avais plus goût a rien, alors que je savais que tu allait revenir. Alors que pense tu qu'il va m'arriver après ton départ, sachant que tu ne va pas revenir. Tu ne peux pas t'en aller bordel ! Pas maintenant pas ici tu m'entends ! Je t'aime putain. Tu es ma drogue, j'ai besoin de toi, j'ai besoin d'avoir tes calins et de sentir ton souffle sur mon cou. ]'ai besoin de toi putain ! On sera heureux, on aura notre parfait couple hyper cliché, avec tout nos hauts et has. On sera heureux tu m'entends.

- Mira ... Arrête d'y penser s'il te plaît. On peux rien y faire. Me dit il en essuyant mes joue mouillés.

- Comment veux-tu que je pense à autre chose alors que tu est là devant moi entrain de faire tes valises et cette fois pour toujours. Tu ne sais pas a quel point c'est horrible de perdre la seul source de bonheur que tu aie.

- Bah vas y dit aussi que je ne tiens pas assez à toi. Dit il en s'éloignant.

- Je n'ai jamais dit ça, juste que tu ne tiens pas à moi, autant que moi je tiens à toi.

- Okey, si tu veux continuer à croire ça ...

- Mais non comprends moi, Hazz. Je dit juste que avec ou sans moi, tu te débrouillera pour être heureux et vivre ta vie, sauf que moi, ma vie à moi, c'est toi.

Il me répond par un silence, que je n'arrive pas à déchiffrer. Donc je reprends :

- C'est ce que je pensais. Tu m'aime, et j'en suis la plus heureuse au monde sauf que ton bonheur ne dépend pas de ma présence.

- Mira, les deux semaine que j'ai passer sans toi on été les pire semaine de ma vie, je n'avais plus goût à rien. Je n'ai organiser aucune fête, ce qui inquiéta la moitié du campus, je ne partais non plus à aucune fête, même celle organisé par les fraternité, je passais mes journées dans ma chambre à lire ou bien écrire, à propos de quoi ? De toi. De tout ce que je ressentais en vers toi. Tout le désespoir que j'avais sans toi à mes côtés. Et après tout ça, tu ose me dire que je ne tiens pas assez à toi ? Désolé de ne pas tout le temps parler et faire des discours à propos de mes sentiments. Je ne te fait pas non plus de scènes quand tu me laisse toute une journée seul alors que tu est avec Michael en cours, mais ce n'est pas pour autant que je ne tiens pas suffisamment à toi, bordel ! Comprend moi, il manquera toujours quelqu'un pour faire sourire ma vie ... Toi.

- ... Je ... C'est juste que ...

Je n'arrivais pas a former un phrase correcte.

- Voilà ! Maintenant, s'il te plaît, laisse moi profiter de c'est derniers jours avec toi, sans dispute. S'il te plaît Mira.

Prononçant sa phrase calmement et d'une voix qui me procure des frissons, il s'approche de moi jusqu'à ce que nos front sois collés et que nos lèvres se frôlent.

- D'accord ? En demandant cela, ses lèvre caressent légèrement les mienne, faisant naître en moi l'envie horrible et irrésistible de faire le dernier pat et de l'embrasser.

Remarquant ma détresse, ils souris d'amusement et répète :

- D'accord ?

Je hoche la tête et cède la première en l'embrassant.

Il vas tellement, horriblement me manquer. J'aimerai tout quitter pour partir avec lui, quitter cette foutu maison, quitter tout les souvenirs malheureux que j'ai eu ici, quitter ces mur témoins des atrocité qu'à vécu ma sœur, la dépression de mes parents, l'isolement et le harcèlement que j'ai subi, je n'aurai aucun remord à quitter ma famille, tout ce que je veux c'est être heureuse, avec lui, et seulement lui. Je veux réaliser mes rêve ... Je veux juste avoir une vie. Une vie normale, sans sur-protection et sans peur ...

Les larmes recommençaient à dévaler sur mes joue.

- Quoi encore ? Me demande Harry, le visage toujours près du miens.

- Je ne veux pas que tu me quitte. Dis-je tel une petite fille.

- Mira ...

- prends moi avec toi, je ne veux pas rester ici, j'en ai marre de cette vie monotone ... S'il te plaît Harry ...

- si seulement j'en avais la possibilité. Dit il.

- on parlera à mes parents, je leur dirait tout, absolument tout. Il comprendrons, je le sais, il comprendrons que tu me rend heureuse et que l'âge moi je m'en fou, Harry ... S'il te plaît.

- Mira ... Ne rend pas les chose plus difficile qu'elles ne le sont.

- Pourquoi ? Pourquoi tu ne veux faire aucun effort pour qu'on reste ensemble ? C'est bon j'en ai marre.

J'allais me précipiter en dehors de sa chambre quand il me retiens par le bras avec force, me retournant vers lui.

Nos yeux se rencontre, les siens brille, ils sont imbibé de larmes alors que les miens sont déjà rouge, fatigué d'avoir autant pleurer.

- Tu vois mes yeux ? Me demande-t-il ne deviant pas une seul seconde du regard.

- Oui ... répondis-je, hypnotisé par son regard triste.

- tu les aimes bien ?

- je les aime quand ils ne sont pas triste et baigné de larme.

- Alors ne les fait pas coulé, et laisse juste cette semaine passé. Sans dispute.

Je me blottie contre son torse et hoche la tête.

- je veux que tu penses a moi quand t'es ivre, quand tu dors, quand tu baises. Je veux que tu penses a moi toute ta vie, dans n'importe quels bras, dans n'importe quelles villes. Et je m'en fou que tu trouve ça complément fou et exagéré mais je ne veux pas que tu m'oublie.

- Jamais. Me dit il, caressant mes cheveux.

- PDV Harry -

Je criais sur tout les toits que je n'étais pas prêts pour une relation, que ça me faisait peur, que je préférais la liberté ... Puis elle est arrivée.

On était allongé, côte à côte, sur le lit.

Sur ma peau, elle dessinait avec un doigt Nos initiales emmêlés dans un coeur.

Ma main caresse son visage, ses cheveux d'un brun profond, ses yeux reflètent mon visage dans leur belle couleur marron.

Son souffle réchauffe mon cou. Je murmure à son oreille des "je t'aime" tendres et tout doux Qui retardent notre sommeil. Ses lèvres s'approchent des miennes, Y dépose de petits baisers, elle prends ma main dans la sienne pour gentiment la serrer.

- Je t'aime. Dit elle avant de s'assoupir entre mes bras.

J'aime telement entendre le son de sa voix. Je ne saurai dire ce que c'est mais ça réveille quelque chose en moi.

Je suis vite devenue accros à elle,
Comme on devient accros à n'importe quel drogue et elle s'est avéré être encore plus nocif que l'héroïne.

Me demandant comment je pourrais continuer ma vie sans elle, je lui caressait les cheveux, scrutant chaque partielle de son visage.

Quand je suis arrivé ici, j'avais peur, je croyais que j'allais passer les 5 mois les plus long et les plus ennuyeux de ma vie, que Mira et moi n'allions jamais pouvoir nous entendre ... Et maintenant je n'arrive plus à m'en détacher. Je n'aurai jamais cru pouvoir tomber autant amoureux d'une personne plus jeune que moi ...

Elle est celle qui a su obtenir de moi, une chose habituellement inaccessible, tout mon amour, toute ma compassion, toute mon admiration, voir un sentiment supérieur à tout cela.

- PDV Externe -

La semaine passa assez rapidement, et c'est déjà la vielle de la séparation.

Mira, en pleure, assise au pied de la tombe de sa sœur, se remémore les journée passées avec Harry.

Comme le jour où il l'avait emmené en balade à Londres.

Ils étaient en haut d'une coline, devant eux se trouvait la ville, illuminé par mille et une lumière, c'était magique.

- quand j'étais plus jeune, je venais ici parfois pour me rafraîchir les idées quand je n'allais pas bien, ça m'aidait de quitter le monde pour quelques instant et de me sentir libre en quelque sorte, h'm ... T-tu est la première personne que je ramène ici.

Mira se retourna vers lui, les larmes au yeux et le vis entrain de jouer avec ses doigts, la tête baissée.

- C'était le jour où il m'avait offert le pendentif que lui avait offert sa mère. J'étais telement heureuse, depuis ce jour je ne m'en détache plus. Dit Mira en regardant la tombe de sa sœur, comme si elle était là devant elle, entrain de l'écouter.

Elle souris, un sourire mélancolique, puis continue :

- il ne me laisse jamais en paix, il me montre toujours qu'il me veux, juste à lui. Les caresse, les baisés dans le coup, tout pour qu'il attire mon attention que sur lui. Ça me rendait tellement heureuse. Harry est un grand gentlemen. Tu sais, le genre de garçon qui va t'ouvrir la porte pour ensuite, la tenir et te laissez entrer la premiere. Donc, un gentlemen a le devoir de prendre une table avec sa copine dans un resto. Mais pas n'importe lequel. Non, un grand restaurant réputé. Il veux faire bonne impression et je trouve ça mignon de sa part. Mais, nos soirées finissaient très rapidement dans une chambre d'hôtel... Un gentlemen reste un gentlemen... Conta Mira en lâchant un rire, les yeux toujours fixé vers la tombe.

Elle souris de plus belle quand elle se rappela le jour où ils était allé faire du shopping ensemble et qu'elle avait mis une étiquette de pris non utilisés dans la poche du bouclé ce qui a fait sonner toute les alarmes du magasin.

Des messages qu'ils lui envoyé quand il était bourré du style :

- Heyyy ! Babbfe! Je suissss au bar aveccv Loiiuuu!! Garfee le ,litt au chauju! Xox.

Elle laisse une larme coulé tout en reprenant la parole.

- parfois je souhaite juste redevenir une petite fille, revenir à l'époque ou le père Noël existait, à l'époque ou ton père était le seul homme que tu ai embrasser, quand Disneyland était la meilleure place ou allé, quand tout le monde vivait ou bien paraissait heureux malgres tout, quand ton plus grand problème était d'apprendre à écrire ton nom, quand les personne ne changeait pas et que tes amis restaient les même. Et à chaque fois que tu était triste ou bien que tu avait passer une mauvaise journée, tu n'avais qu'à te plaindre au près de ta mère, qu'elle te fasse un gros câlin et tout allait bien, je veux revenir à l'époque sans tristesse, sans blessure ... Seulement des rire. Je veux revenir à l'époque ou tu était en vie et heureuse. Même si ça c'était il Y'a beaucoup trop longtemps. Je suis telement désolé. Dit la jeune fille en pleure.

Elle essuie les larme descendants ses joue puis continue.

- je ne me sens tellement pas à ma place. Un peu comme une fleur sur Mars ou un feu de camp sur la glace. Je suis triste avec nos parents. Le fait de rester ici me gâche la vie. Et l'arrivé de Harry dans ma vie m'a fait réaliser ça. On a tous un sauveur, on a tous une personne qui vient a une certaine heure Sans pour autant changer la donne, on reste des heures sans se soucier de personne. Dans mes yeux il ravive une lueur, il comptes plus que toutes ces personnes Parce que sans lui je n'aurait sûrement pas tenu toutes ces heures, parce que c'est une personne chère et unique à mon coeur. Et maintenant il doit le quitter. Pour toujours.

Elle lance un dernier regard vers la tombe puis regagne sa voiture pour rentrer chez elle.

En chemin, elle passa devant la coline ou Harry l'avais emmené, puis souris, ce qu'elle ne savais pas, c'est que lui, à ce moment-là, il y était.

Il y était, assis, fixant l'horizon, nostalgique de tout les bon moment passé avec sa bien aimée.

Son appareil photo et une photo Polaroïd de lui et Mira en main, il se remémore la première fois où il avait passer des heures dehors à faire des photos avec elle, c'était en Espagne, ce moment lui paraissait maintenant si loin ...

Puis se rappela leur dernière sortie :

L'automne. Les feuilles de toutes sortes de couleurs dans les arbres, le temps qui commence a se rafraichir. Aimant la photographie, ils en profitaient tout les deux pour prendre en photo ce magnifique paysage qui se tenait devant eux. Mais cette fois-ci, Mira avait interdis les photo en noir et blanc pour Harry. Les couleurs des feuilles était trop magnifiques pour les remplacer par du noir et blanc.

- Nos discussions vont me manquer. Sa voix douce et ses yeux amoureux quand elle me regardais aussi... Son parfum et cette sensation de pur bonheur que j'ai quand elle est dans mes bras vont me manquer aussi... Je crois qu'elle va me manquer tout simplement. Je voudrais pouvoir l'oublier mais mon coeur refuse de suivre ma raison... C'est en plongeant dans ses yeux, pendant plusieurs minutes, sans pause, sans mots, juste quelques clignements de paupières et des sourires tout chose, que je réalise à quel point je suis bien avec elle.

Il était avec son, chat, et il lui parlait, comme si c'était une personne consciente.

Il souris, se remémorant le jour où il a donner quelque cours d'auto-défense à Mira.

Il leva les bras devant elle.

- Frappe dans mes main, on va voir à quel point tu a de force.

Elle s'exécute, ce qui déclencha le rire de Harry, ses coup était ridicule.

- aussi fort que tu peux, vas y ne te retient pas. Dit Harry.

Elle réessaie, aussi fort qu'elle pouvait, mais ça restait toujours ridicule.

Harry essaya de retenir son rire cette fois, mais il lâcha quand même un gloussement, ce qui vexa Mira.

- Quoi ? Dit elle tel une petite fille boudeuse.

- C'était ton maximum ça ? Se moqua-t-il.

- ... Oui ...

- Bon, c'est une bonne chose, au moins je serai toujours là pour te protégé. Finit il par un baisé.

- toujours. Se dit il, comme si il se fesait à lui même une promesse.

Il reprend la route vers la maison, et fini sa dernière soirée avec Mira.

- Je pourrais intégré ton université apres le lycée, non ? Suggéra Mira, alors qu'ils étaient allongé côte à côte sur le lit.

- Tes parents on sûrement déjà choisi une université avec haute sécurité et truc du genre. Ria le bouclé.

- Je pourrais fugué.

- tu veux avoir tout le pays qui te cherche ? Je ne pense pas.

- Tu veux bien arrêter. Au moin moi je réfléchis à une solution.

- Tu te souviens de ma première semaine ici ? Quand tu avais lu pour la première fois mon journal ?

- Oui.

- Tu m'avais dit " Je parie que dans 5 mois, tu me dira you're perfect to me " tu t'en souviens ?

- Oui, alors ?

- Et bien enfaite c'est vrai, tu avais raison, You are perfect to me.

- Je le sais. Dit elle en souriant.

Il ris.

- Je t'aime. Dit elle.

- Je t'aime. Finit il.

- PDV Mira -

À moitié endormie, j'émerge lentement d'un monde de rêves. éveillée par une bouche qui erre sur mon corps, qui semble le découvrir, le gouter a chaque instant, une main hésitante, qui se fait plus ferme a chaque centimètre de ma peau parcouru dessine les monts et les vallées d'un corps qui sort du sommeil. C'était Harry qui était déjà éveillé.

- Bonjour. Dit il en déposant un léger baiser sur la joue.

- Bonjour.

Me retenant de m'enfermer dans un placard et pleurer tout ce qui le reste de larme, je m'éloigne d'Harry et quitte le lit. je descend les marche seulement vêtu de son t-shirt. Je vais vers la cuisine et prépare un petit déjeuné digne de ce nom pour notre dernier réveil ensemble puis le monte vers la chambre.

Il était là, allongé, je l'admire pour la dernière fois et je n'arrive pas à le réaliser.

Alors qu'on était toujours entrain de petit déjeuner, on entends la sonnette, puis les pas de Danaë se dirigeant vers la porte pour l'ouvrir.

Pendant que c'était Michael, je descend et laisse Harry s'habiller.

Arrivé dans le haul, je perd tout espoir en voyant mes parents, tout souriant, heureux de rentrée chez eux après 5 mois de séparation avec leur filles.

- Mira ! Tu nous a tellement manquer ma chérie. Dit ma mère en me prenant dans ses bras alors que moi je reste figé.

- à qui appartient ce t-shirt ? Me demande mon père.

Avant que je ne puisse répondre, Harry nous avait rejoint, vêtu d'un bas de pyjama, mon regard s'attarde sur son torse nu avant de me reprendre et de me retourner vers mes parents.

- Bonjours, Harry. Dit ma mère en souriant.

- Bonjours madame Sparks, et monsieur Sparks.

- Qu'es que tu fait avec son t-shirt, Mira ? Insiste mon père.

Et tout ce que je trouve à faire c'est prendre Harry dans mes bras.

- D'accord, je comprends. Dit mon père.

- Chérie, calme toi ... Lui dit ma mère.

- Je suis calme, je me retiens, merci Harry pour ton service mais j'avais raison de m'inquiéter, ça a été gentille de ta part de t'occuper de mes filles, maintenant qu'on est là, tu peux t'en aller. Lui dit il, d'un ton unpeu trop calme à mon goût.

- D'accord, Monsieur.

Malaise.

Harry quitta le haul pour monter vers sa chambre se préparer.

- Je ne veux pas qu'il parte, du moins, je ne veux pas qu'il parte sans moi. Me lançais-je enfin.

- Pardon ? Mira, tu ne vas nul part, tu n'a pas même pas le droit de parler, tu ne sais pas à quel point je suis déçu, je te fesais pourtant confiance. Me dit ma mère.

- mais je l'aime, merde ! Je suis heureuse avec lui, tu crois vraiment que je suis bien avec vous ? Je n'ai jamais aimer cette maison, je n'ai jamais aimer le fait que vous soyez aussi protecteur avec moi, laisser moi vivre à la fin ! Vous me détester à ce point ?

- Ferme là et vas dans ta chambre ! Me cria mon père.

Larme au yeux, je vais dans ma chambre.

Quelque minute plus tard, je vis Harry dans le jardin, valises à la main et je pleure de plus belle.

Il se dirige ensuite vers ma fenêtre, et commence à escalader la gouttière.

- Heureusement que je ne l'ai pas détruite, finalement. Dit il.

Je lâche un rire malgres les larmes.

- Quand tu auras besoin de moi, je serai là, immédiatement. Dit il, essuyant mes larme.

- J'ai besoin de toi ... Tout le temps.

Il souris, un sourire triste, m'embrasse puis s'en va, les yeux baigné de larme refusant de se montrer.

- PDV Externe -

Elle m'attends, elle est revenue, elle est là. La solitude. Se dit Mira, glissant le long du mur.

Harry monta dans sa voiture, fixant la fenêtre de Mira.

Je lui avait promis de ne jamais l'abandonner ... Se dit il, une larme coulant finalement le long de sa joue, avant de démarrer.

Fin.

( L'épilogue sera bientôt posté 😊 )

All The Love. M

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