Tartaglia: Chéri... Tu es sûr que ça va...?

En le sentant trembler contre lui, il caressa ses oreilles.

Tartaglia: Désolé Thoma... Il ne se sent pas bien.

Thoma: Oh Tartaglia c'est toi ? Je peux rentrer ? Je peux aider ! Je connais Morax, je pourrais me rendre utile.

Propose alors le blond, aux caresses de son roux, le loup essaye de se calmer, mais sa queue reste replier.

Tartaglia: Euh... On vient de sortir de la douche et on n'est pas présentable ! Attends quelques minutes !

Revenant un peu sur terre, le brun relève le visage et comprend la situation...

Thoma était là.

Il était pas du tout cacher.

Et...Tartaglia n'était pas du tout présentable.

Zhongli se redresse, sentant un long frisson le parcourir, mais lutta, faisant abstraction à son odorat en particulier allant vers le sac récupérer des habits pour lui, et pour son amant...

Thoma : Ce n'est rien ça ! Attends je rentre aider, je suis un homme ça ne posera pas problème au pire.

Dit-il tout sourire commençant à rentrer sans souci...?!

Le rouquin attrapa vite un pantalon, tant pis pour le haut et s'occupa de cacher la queue et les oreilles du brun avec un habit assez ample et à capuche.

Mais le loup resta tout de même en retrait, derrière Tartaglia, tandis que finalement Thoma se retrouve devant eux.

Thoma : Ce sceau que ma refilé Morax et utile au final !

Il regarde sur le côté et voit alors Morax derrière Tartaglia.

Thoma : Je vois...

Il se rapproche du loup, mais ce dernier ne réagit pas.

Tartaglia: Un sceau ?

Il restait malgré tout devant son amant, le protégeant.

Thoma ne comprenant pas trop ce qui se passe regarde le roux.

Thoma: Et bien...Il m'a expliqué que pour rentrer ici, il fallait que soit il soit là, soit avoir ce sceau. Et apparemment, il ne l'apposait qu'à moi et Gorou. Sans ça, je ne peux ni rentrer, ni sortir, ni voir cet endroit de l'extérieur. Personne ne sait où il vit...Morax pourquoi tu sembles si fragiliser à te cacher comme ça ?

Il tentait de parler avec lui, mais il n'obtient aucune réponse.

Thoma : Vous avez besoin de quelque chose ? Je veux dire, vous avez de la nourriture des habits, mais vous êtes deux ici...Vous avez assez de meubles ? D'espace...?

Ne comprenant pas cette histoire de sceau, il dévia son regard dans le miroir juste à côté de lui. Il vit soudainement un dessin apparaître, il se tourna pour mieux l'observer.

C'était ça... ?

Le sceau... ?

Le dessin avait la forme d'une rosace, et pas qu'au miroir.

À l'entrée.

À chaque pièce.

Mais aussi une barrière été parfaitement visible.

Thoma : Tartaglia?

Tartaglia: Ce sceau... Depuis quand...

Murmure le rouquin en jetant un regard au brun.

Zhongli articule au mieux.

Zhongli : ... Depuis que je suis ici.

Thoma : Pour se protéger, il disait. Il n'a jamais dit quoi que ce soit de plus. Il l'a placer le jour même de sa venue dans la résistance cela fait plusieurs années.

Zhongli allant enfin calmer ce qui le m'était...Dans un tel état, rassure alors son amant caressant tendrement son dos discrètement, se dévoilant un peu, sans montrer ces attributs. Directement, Thoma tente de s'approcher, mais...

Zhongli : Sa ira. Thoma. Je vais venir. Juste...Un moment d'absence.

Thoma : ...D'accord...? Hey, vous ne m'avez toujours pas répondu ! Vous ne voulez pas plus de meuble ou de pièces ?

Frissonnant sous ses doigts, il se ressaisit vite et sourit a Thoma.

Tartaglia: Je ne sais pas... Je ne suis pas le maître des lieux...

Dit-il en Souriant à Zhongli

Ce dernier cacher par la capuche, répond simplement.

Zhongli : Je... Quelques meubles ne seraient pas de refus surtout de rangement...

Thoma : Bien ! Je vais vous prendre ça alors ! Mais tu ne veux pas de médica-

Zhongli : Non.

Réponds sèchement le brun.

Mais réalisant sa voix rajoute.

Zhongli : Non, merci, sa iras...

Thoma : D'accord, je vous laisse tranquille alors, a demain et bonne soirée !

Puis en souriant et d'un signe de main, il s'éloigne...

Encore un peu perturbé, il regarda le loup qui continuait de se cacher.

Tartaglia: Qu'est-ce qu'il y a....?

Le loup s'accroche au roux, les oreilles plaquer en arrière, sa queue replier toujours.

Zhongli : ...Je... Tout va bien, juste je dois me calmer... Excuse-moi, je ne t'avais pas expliqué cette histoire de sceau.

Il essaye de changer de sujet, pas à l'aise.

Non, il ne voulait pas trop parler de comment il est actuellement.

Ce n'est que passager.

Et non, il ne veut pas non plus parler de ce ton qu'il a eu face aux médicaments.

Tarta: D'accord...

Il passait sa main sur sa joue en souriant tendrement voulant le rassurer un peu.

Réclamant des câlins, il couinent un peu, avant de finalement s'écrouler contre son roux, s'endorment ainsi...

Le rouquin le rattrape pour ne pas le laisser tomber et le porte jusqu'au lit, l'allongeant.

Tartaglia: Je me demande vraiment ce que tu as...

Murmure le roux en regardant le loup dormir, s'allongeant face à lui.

Sa queue semble se "détendre" tout comme ses oreilles...

Sa queue venant s'enrouler autour d'une des jambes du roux et ses oreilles se dressant vers Tartaglia.

Respirant faiblement, mais chaudement, restant contre le roux, il semblait, malgré tout, bien dormir...

Tout en l'observant dormir, Tartaglia lui caressa les oreilles, la queue, la joue jusqu'à ses lèvres. Il se mit à sourire en repensant à ses mots pendant leurs ébats.

Une drogue...

Il était devenu une drogue...

Il trouva ça néanmoins mignon et marrant.

Qui aurait cru que le prince Ajax, la perversion et la terreur à lui seul pouvait redevenir le tendre agneau qu'il était autrefois et surtout ! De devenir accro et qu'on devienne accro à lui...

D'un sens, ça le faisait rire...

Si vite, il avait pu reprendre une vie plus simple et sans problème.

Mais son sourire s'évanouit peu à peu, son père n'allait pas rester les bras croisés après sa trahison a la couronne et allait le rechercher partout, jusque sans doute faire du mal pour le retrouver...

C'était une peur qui lui tordait l'estomac...

Le loup ronronné durant ces caresses, bougeant ses oreilles vers le roux quand il les caresser.

Doucement, sa tête se frotte contre le torse du roux, restant endormie.

Il sourit attendrit devant le brun. Il tenait trop à lui pour qu'il lui arrive quoi que ce soit de mal...

Il ne se le pardonnerait pas.

Il continue ses caresses, bien que ses yeux se fermèrent peu à peu sous la fatigue et les événements de la journée. Il rejoint finalement son amant dans les bras de Morphée, le gardant bien contre lui.

Les heures passent dans le calme, ou tout deux profite d'un sommeil bien mériter...

Tartaglia dormait paisiblement bien que dans la nuit, son sommeil fut... Plus agité.

Le brun, ce réveil, le premier...Un peu désorienté, ne sachant pas quand et comment il sait endormit n'aillant pas sentis son corps épuisé...

Il regarde son amant venant le caresser au visage, aux cheveux et l'embrasser au front...

Mais en sentant son odeur, il se fige quelques secondes, faisant abstraction de son odorat.

Grimaçant dans son sommeil, il semblait faire un cauchemar bien que les caresses du loup le calmaient un petit peu.

Comprenant qu'il cauchemardait, le loup continua ces cajoleries, déposant au final un baiser sur ces lèvres, tendre et aimant.

Ce qui fit tout de suite effet sur Tartaglia qui arrêta tout mouvement, approfondissant le baiser au passage.

Sentant sa réaction, il l'approfondit à son tour, venant câliner ce dernier comme une peluche, ronronnant de plus belle comme un chaton, fermant ses yeux.

Par simple réflexe pour l'avoir près de lui et sentir sa chaleur, Tartaglia passa ses bras autour de son cou pour le rapprocher de lui, se réveillant doucement du monde des cauchemars.

Venant embrasser son nez, et son front, il passe ses mains à son dos le caressant doucement.

Zhongli : Tarta... Réveille-toi, mon beau...

Tartaglia ouvrit doucement les yeux, bien qu'un peu voilé de fatigue.

Tartaglia: Hum...

Zhongli : Tu as besoin de dodo encore...?

Questionne doucement le brun en le regardant dans ses pupilles.

Zhongli : ...Adorable

Tartaglia: Non, ça va aller...

Sourit-il.

Le loup vient l'embrasser tendrement de nouveau, gourmand, voulant lui offrir un très bon réveil, venant le cajoler au dos et au visage.

Souriant contre ses lèvres, il se plaça sur le brun pour se délecter de ce doux réveil

Se reculant un peu, souriant, il le libère.

Zhongli: Tu as...Bien dormis ?

Tartaglia: A peu près...

Dit-il en dévia le regard, légèrement fuyant.

Zhongli: Tu es sûr...? Tu semblais cauchemarder...

Il le prend à la taille le tirant contre lui, prenant son visage pour qu'il le regarde.

Le rouquin soupira.

Tartaglia: Oui c'est vrai... Mais rien de bien méchant... !

Voulait-il rassurer son amant.

Zhongli le fixe, et lui prend les mains.

Zhongli: Dis-moi...S'il te plaît....

Tartaglia baisse les yeux.

Tartaglia: J'ai juste pensé à mon père...

Comprenant rapidement le loup baisse les oreilles, et garde son amant contre lui.

Zhongli: Tarta... Ça ira, on n'est pas seuls maintenant. Thoma et Gorou se défendent bien, et moi aussi.

Il l'embrasse au front.

Zhongli: Il faut que tu aies confiance en nous...D'accord ?

Tartaglia: J'ai confiance... ! Mais je sais aussi comment est le roi ! J'ai trahi le trône, il ne me laissera jamais partir sans rien faire...

Dit-il en se blottissant contre le loup.

Tartaglia: Sauf que s'ils vous arrivent quelques choses... Surtout à toi... Je ne me le pardonnerais jamais...

Zhongli: As-tu oublié ?

Il rigole, puis pose une des mains du roux sur son "cœur".

Zhongli: Je suis immortel. On ne peut pas le tuer ou autre...C'est impossible. Crois-moi, plusieurs ont déjà essayé.

Le rouquin lui sourit faiblement.

Tartaglia: C'est plus fort que moi... Puis malgré que ton corps tiendra... Ton esprit aura du mal...

Zhongli: Tant que tu es là, et que tu seras à mes côtés, je tiendrais. Promis.

Souriant tendrement à son roux, il vient doucement l'allonger de nouveau sur le dos, pour l'embrasser en se m'étant sur lui.

Se prêtant au jeu, il approfondit le baisait en passant sa main derrière sa tête pour presser ses lèvres contre les siennes.

Le loup fait de même, léchant par gourmandise les lèvres du roux par moment avant de les saisir, l'embrassant une, puis deux, puis une dizaine de fois avant de lui susurrer.

Zhongli: Si tu ne m'arrêtes pas, on ne va pas sortir de ce lit, tu en a conscience...?

Tartaglia soupira contre ses lèvres, les délaissant tout en les gardant à proximité.

Tartaglia: tu commences toi aussi... Je suis accro à tes lèvres moi...

Lâcha-t-il en reprenant ses lèvres en otage.

Ce sentant dangereusement vouloir plus, et son odorat venant le titiller avec l'odeur alléchante du roux, il se recule un peu, murmurant.

Zhongli: Pareillement...Et de toi intégralement...Même trop...

En l'avouant ses oreilles se rabaisse un peu, regardant ailleurs, sa queue s'agitant de gauche à droite.

Souriant, le rouquin échangea les positions se retrouvant sur le brun.

Tartaglia: Trop ? Vraiment ?

Il descendit son buste pour se retrouver entre les cuisses du brun, qu'il caressa du bout des doigts.

Le loup regarda son amant, un peu rouge, son corps frissonnant.

Zhongli: Surtout comme ça...

Il commençait à être en transe avec l'odeur du roux qui lui retournait peu à peu l'esprit, et chauffer son corps, mais ne lutta pas de sa position sous le roux.

Tartaglia: Dit moi vraiment ce que tu ressens...

Dit-il en se mordant la lèvre, attrapant son bas qu'il descendit pour pouvoir au moins prendre son membre déjà bien dressé dans sa main et le caresser.

Les pupilles luisant doucement, lâchant un faible gémissement, as sa prise, en le regardant hypnotiser, le loup articule au mieux...

Zhongli: De l'envie...Un désir me prendre, une chaleur m'envelopper, un amour sans fin, des sensations agréable me prenne dans tout mon corps...

Il essayait en vain de dire des choses "compréhensibles" mais c'était fichu, il était déjà en transe.

Heureux d'entendre tous ses mots, ses sensations, il voulait le détendre davantage. Il lui sourit et prit son membre en bouche jouant avec sa langue en plus de ça.

Zhongli gémis de plus belle, couinant de chaleur intense. Puis il articula au mieux avec sa langue pendante.

Zhongli: Continue mon prince

Tartaglia commença de long et profond vas et viens au fond de sa bouche tandis que ses mains ne restèrent pas inactives. Elles passèrent sur le ventre du loup, sous son haut, sur son V, ses inducteurs jusqu'à descendre sur ses cuisses et pour finir sur ses boules, les caressant et les malaxant au rythme de sa langue.

Le loup gémissait sans contenue, au chaudement, voyant des étoiles, ses mains caressant le visage du roux, son regard été déjà désireux de bien plus...De petits cœurs pouvait être aperçus à l'intérieur de ses pupilles, bougeant légèrement son bassin au rythmer des vas et viens du prince...

Zhongli: Si bon~ j'en veux toujours plus quand tu me lances comme sa

Voulant lui faire encore plus perdre la tête, il entra deux doigts en lui pour le préparer tout en accélérant ses mouvements et accentuant bien sur ses points sensibles.

Zhongli manqua de crier de plaisir en sentant les deux intruses en lui, ne le quittant pas du regard.

Si beau.

Si délicieux.

Et sien...

Une chaleur commencée à se faire sentir autour du brun, sur son corps.

Zhongli : Fais-moi tout ce que tu veux.

Tartaglia: Très bien et je vais essayer autre chose après...

Il reprit le fruit de ses plaisirs dans sa bouche, décider de le faire jouir au moins une fois avant de commencer, ses doigts s'activèrent en lui allant frotter contre sa prostate.

Des gémissement mêler à des grognements de plaisir se font entendre rapidement, la respiration chaude, il commença à bouger son bassin voulant allez encore plus loin en son roux, mais ses doigts le fait grogner davantage.

Zhongli : Je vais venir tu es trop bon !

Continuant, il le retira un peu de sa bouche pour garder son gland en bouche tandis que sa main libre vient le branler pour le finir.

Ses doigts en lui continuaient de bien le toucher, son regard bleu océan avec un petit cœur violet dans chaque œil encré dans le regard du brun.

Le loup finit par crier de plaisir, se contractant légèrement sur les doigts en lui, se libérant en le sentant insister sur son gland, ses mains saisissent la tête du roux et enfoncent davantage son membre dans sa gorge, se déversant en lui.

Reprenant son souffle le regard luisant de plaisir, il enlève lentement ses mains, son cœur tambourinant.

Il le rendait dingue en peu de temps.

Et il était complètement à sa merci.

Avalant chaque goutte de ce liquide si précieux, il retira lentement son membre de sa gorge le nettoyant avec sa langue au passage jusqu'à le retirer totalement, souriant.

Tartaglia: Ton expression est jouissive bordel...

Murmure le rouquin en rentrant un troisième doigt en lui.

Tartaglia: Mais je n'ai pas encore fini...

Couinant en sentant le troisième intrus, il se cambre légèrement.

Zhongli : Que...Compte tu me faire ?

Le loup était curieux de ce qu'il pourrait lui faire subir de plus agréable...

Il était impatient et son corps demander que de voir ça.

Son regard doré, il admirait l'océan qu'il avait face à lui, en transe...

Tartaglia: Tu vas voir

Il le prépara assez, puis en le trouvant bien assez dilater, enlever ses doigts pour y mettre son membre a la place, le pénétrant lentement, mais en profondeur. L'attrapant par les hanches, il remonta ses fesses pour bien entrer en lui et d'un mouvement de main, un tentacule apparut à ses côtés.

Hurlant en le sentant en lui, il s'agrippe au roux, se cambrant vers lui, puis en voyant le tentacule, commence à comprendre ces intentions.

Mais bien trop happé, par le plaisir qu'il avait, il ne réfléchissait plus vraiment...

La chaleur le submergeait, au point que chaque toucher avait l'air d'un glaçon pour lui...

Tartaglia: Je vais te rafraîchir chéri

D'un mouvement de doigt, le tentacule aspira le membre du brun, commença de rapide coup en gémissant et grognant le sentant serrer autour de lui.

Zhongli : Ah encore, continue Tarta

Il se sentait dans un nuage, savoureux, qu'il aimait savourer...

Et le tentacule empira cet état de plaisir.

Zhongli : Ton tentacule... Bonne idée

Tartaglia: Je voulais essayer...

La créature pompa le membre du loup sans ménagement tandis qu'il culbuta son amant sans retenu allant au plus profond en lui et frottant contre son point sensible.

Le loup crié de plaisir, sentant son membre emprisonner dans cette pompe si bonne, et son roux en lui, il allait rapidement craquer, se cambrant de plus en plus tout en se contractant.

Zhongli: Essaye d'autres choses... Quand tu veux !

Se tenant au mieux à son roux, il ne voyait rien d'autre que l'océan devant lui, et ne sentait que son corps pris par tout ce plaisir immense.

Le rouquin remontait un peu plus le fessier du loup alors que de petits tentacules apparurent et se faufilèrent dans l'antre du brun faisant gémir fortement le roux en même temps, les sentant se frotter à son membre. Ces petites créatures allèrent titiller les endroits sensibles du loup en appuyant bien tandis que la pompe continuait, aspirant.

Zhongli: Tarta...! Je vais venir... C'est si bon !

Sa voix avait vite viré en cri, sentant un énième coup sur sa prostate, il hurla le nom de son amant, avant de venir, se contractant autour du membre et des tentacules, parcourut de spasme de plaisir, ses oreilles rabattues, et sa queue toute molle.

À sa contraction, le rouquin fit une grimace de plaisir avant de se déverser dans son amant dans un râle. Le membre palpitant, il fit disparaître les créatures d'eau essoufflée.

Tandis que le brun tenter tant bien que mal de rester accrocher au roux, malgré que menaçant de perdre toutes ces forces d'un coup.

Zhongli: Allonger...

Finit-il par murmurer d'une voix fracassée, et épuiser.

Le rouquin relâcha sa prise sur le loup, le reposant sur le lit, bien que ses cuisses et ses hanches avaient encore les marques de ses doigts, reprenant ses esprits et son souffle.

Couinant faiblement, le brun tend les bras vers le roux, voulant l'accueillir contre lui tout de même...

Tartaglia sourit et plongea dans ses bras pour un câlin.

Le prenant dans ses bras, il le recouvre de sa queue, le câlinant tendrement contre lui, ronronnant.

Zhongli : Vais...Dodo encore un peu...

Puis un ronron plus tendre se fait entendre...Il s'était endormi gardant précieusement son amant contre lui.

Souriant, le rouquin enfoui sa tête dans le cou du brun fermant les yeux, somnolants.

Zhongli: Désolé....

Sa voix était faible, et... Remplis de culpabilité.

Il s'effondre contre son amant, s'endormant de nouveau.

Tartaglia: Pourquoi tu t'excuses encore...

Murmure le rouquin, endormi alors que sa main montait dans sa chevelure pour lui caresser ses oreilles tendrement.

Il fallut quelque longue minutes pour qu'il s'endorme d'un sommeil profond...Mais aussi ces précieuses minutes avant que l'on vienne frapper à la porte.

Grognant au coups, le rouquin resta contre son amant somnolant.

Ça repassera...

Mais ça insista.

Le loup couina, ne voulant pas sortir de sa torpeur, se mouvant contre son roux, ses oreilles rabattu.

Tartaglia: Qui est-ce ?

Grogna fort Tartaglia tandis qu'il s'enfouit encore plus contre son amant.

Thoma : Thoma, je viens prendre des nouvelles, et j'ai apporté les médicaments au cas où pour Zhongli. Je peux rentrer ? Je veux juste déposer les cachets.

Sa voix était un peu troublée, cela s'entendait, et aussi un peu honteuse.

Thoma : Navré de vous déranger encore, mais on s'inquiète beaucoup avec Gorou, du coup, je voulais au moins lui donner ce qu'il faut au besoin... Surtout que c'est unique que Morax soit malade.

Se sentant un peu coupable, le rouquin se défit de son emprise sur son amant pour se relever. Il cacha n'empêche le loup avec la couverture ne laissant que son visage de visible avant de s'habiller au moins d'un pantalon et d'aller ouvrir au blond.

Tartaglia : Désolé de vous inquiéter...

Thoma : Ce n'est rien...C'est surtout qu'on tient à chacun qui est ici, même toi alors que tu viens à peine d'arriver !

Le blond lui sourit amicalement, la voix douce.

Thoma : J'ignore tout de toi, mais ici...Tu n'as que des alliés d'accord ? On veut juste t'aider et faire de ta vie la mieux possible à présent. À toi et à Morax.

Ému, Tartaglia lui sourit tendrement.

Tartaglia: Merci... Thoma.

Thoma : Puis-je...?

Il regarde le roux, hésitant à rentrer, avec un petit sac en main.

Tartaglia: Oh oui ! Excuse-moi...

Il s'écarta pour le laisser entrer.

Souriant au roux, il lui fait une tape à l'épaule et rentre posant le sac sur une table non loin.

Thoma : Vous êtes...Très proche vous deux non ?

Tartaglia se mit à rougir en passant sa main derrière la tête ébouriffant ses cheveux.

Tartaglia : Oui très proche...

Thoma se met à rire doucement.

Thoma : Je comprends mieux son comportement, on dirait une louve avec ces petits !

Souriant de nouveau, il ouvre le sac.

Thoma : Prends soin de lui...Peu de personnes, on put s'approcher de lui, ou même lui parler. Alors que lui nous a beaucoup aidés, même aujourd'hui.

Puis du sac, il sort une sorte de cachet, 9 au total, mais du même médicament.

Une louve hein... ?

Le rouquin se mit à rire dans sa tête, il n'était pas si loin de la vérité d'un côté.

Tartaglia: Je vois... Alors je ferais en sorte qu'il aille bien, tu peux me faire confiance...

Lui sourit-il en se rapprochant.

Thoma : Tu es le mieux placé, je pense pour ça. Et peut-être que si tu lui fais avaler ça, il ira mieux...? Gorou m'a dit qu'il semblait bizarre, et moi aussi... Mais quand on parle de médicament, il se braque et se recule toujours. Mais avec toi peut-être que ça passera...? Ce médicament aide à soigner le corps et l'esprit de tous les maux. On en a peu, mais je pense que Morax en a besoin... Tu voudrais essayer ?

Demande ce dernier en regardant le roux et cherchant du regard le brun.

Tartaglia le regarde puis jette un œil vers la chambre.

Tartaglia: Je vais essayer... Mais je pense aussi qu'il faudrait que vous lui parliez sérieusement... Il a des choses enfouies qui doivent sortir, mais... Comme tu viens de le dire, il se braque. Vous tenez à lui, alors faite lui cracher ses mots pour qu'il arrête de se torturer...

Dit-il en baissant la tête.

Thoma : J'imagine...J'essayerais quand je le verrais, merci pour m'avoir dit ça.

Voulant le rassurer, il sort du même sac, des bentos.

Thoma : On vous a fait ça avec Gorou, fais maison ! J'espère que cela vous plaira à vous deux ! Pour ce qui est de l'aide dont j'aurais besoin... Ça peut attendre Gorou va venir m'aider en attendant, prend soin de toi et de lui en attendant.

Tartaglia: Merci, merci beaucoup. Et t'en fait pas, je ferais en sorte que Zhongli aille mieux.

Lui sourit le rouquin en s'inclinant légèrement.

Thoma : "Zhongli" ?

Il le questionne du regard confus.

Tartaglia: Euh... Je veux dire Morax...

Se reprit vite Tartaglia en riant nerveusement.

Thoma était curieux voulant en savoir plus, mais...

Zhongli: Thoma...?

Le principal concerné arrive complétement couvert par la couverture, avec une voix très faible, et marchant lentement.

Zhongli: Navré de te faire attendre, on viendra aider plus tard...

Thoma : Non, non, ce n'est rien ! Tu te sens bien ? Tu sembles avoir un fardeau ces derniers jours autant mentaux que physique...

Regardant le roux, un peu confus, et dans un nuage encore, il s'approche du roux, se tenant à lui un peu.

Thoma : Morax...?

Zhongli: Ce n'est rien... Ça va passer ce n'est que temporaire malgré que ça dure un peu...

Thoma : J'ai ramené de quoi t'aider si tu veux...

Le rouquin avait beau savoir la peur et les inquiétudes de son amant, ça lui faisait du mal de le voir se faire du mal en cacher son identité. Il se mordit la lèvre et baissa le regard.

Ce n'était pas à lui de le dire, mais si quelqu'un pouvait l'aider, c'était Thoma et Gorou...

En le sentant contre lui, il passa sa main à sa taille pour le soutenir.

Sentant la main du roux, il tourne complétement son visage vers lui, encore un peu confus, mais Thoma n'avait pas oublier les paroles du roux.

Thoma : ..."Zhongli"...N'est-ce pas ?

Le concerner regarde alors le blond.

Thoma : Tartaglia a dit ce prénom par mégarde, et étrangement, je trouve qu'il te va bien.

Il lui sourit, mais le loup se braque se reculant...Sans vraiment pouvoir étant bloquer par la main du roux.

Thoma : Zhongli, maintenant que j'y pense à chaque fois qu'on te voit, moi ou Gorou, tu es souvent très caché... Même chez toi. Et cette absence, et la venue de Tartaglia soudaine... Dis-moi ce qui se passe.

Zhongli: Je ne peux pas.

Thoma : Avec tout ce que tu as fait pour nous, tu peux tout nous dire. On l'acceptera. On sait tous comment et qui tu es pour nous. Un ami, et un allié qui nous aura beaucoup aidés...S'il te plaît fais nous confiance.

Tremblant peu à peu, le loup n'oser pas bouger, il réfléchit, mais sa tête été remplit de mille et une question... Puis finalement murmure en se cachant contre Tartaglia, de face au roux, mais de dos à Thoma.

Zhongli: ...Tarta...Fais ce choix... Choisis selon toi la chose à faire...

Il avait honte de se cacher, et de ne pas être capable de prendre cette décision...Mais seul Tartaglia lui vient à l'esprit pour l'aider...Et s'il le voulait...Il pourra enlever ces couvertures qui cachaient ses oreilles et sa queue...

Le rouquin plongea son regard dans celui de son homme. Cette peur était là... Présente dans ses beaux yeux couleurs ambre, qui lui rongeait le ventre.

Tartaglia: J'en ai marre de voir cette torture dans tes yeux... Cette souffrance qui te ronge et t'empêche de vivre une vie en paix...

Murmure-t-il en remontant ses mains sur sa tête.

Tartaglia: Arrête d'avoir peur de ce que tu es vraiment... Et je serai toujours là à tes côtés...

Il commença à baisser la couverture de dessus sa tête.

Ses oreilles pelucheuses se dévoilent alors ainsi que finalement sa queue, tremblant toujours restant de dos...

Thoma semblait surprit...Mais pas tant que ça.

En voyant les oreilles et la queue, doucement, il ne fait quelque pas vers le duo, puis arriver non loin, il pose doucement sa main entre les deux grandes oreilles du loup, lui caressant la tête, et la surprise de ce dernier.

Un fin sourire se forme.

Thoma : ...Un loup ? Ça explique ton côté si protecteur...Et superbe en plus. Pour une fois, que je te vois entièrement.

Zhongli complétement troublé, se tourne lentement vers le blond, montrant pour la première fois son visage sous la lumière devant Thoma, qui resta sans voix quelques instants, mais eut le regard plus doux.

Thoma : ... Alors Zhongli, ce n'est pas plus agréable de pouvoir se montrer sans avoir peur ?

Zhongli: Mais, je suis un pur hybride je-

Thoma : Non. Tu es Morax, et Zhongli la personne qui nous a sauvé, aider, nourris, construit tout ce qui fait la résistance et qui rend honneur à notre maîtresse.

De petites larmes se forment sur le visage du brun, qui balbutie.

Zhongli: Les autres ne le prendront pas comme ça...

Thoma : Je te certifie que oui, et puis... Je suis sûr que Gorou va te bondir dessus en l'apprenant voulant te papouiller les oreilles.

Devenant assez rouge, il se réfugie contre Tartaglia.

Zhongli: Que Tarta...

Le rouquin se mit à sourire puis à rire devant la réaction de son copain. Il n'avait plus à cacher qui il était...

Un fardeau de moins sur ses épaules déjà bien chargé...

Thoma sourit puis acquiesce.

Thoma : Ok je n'ai pas le droit de toucher à tes oreilles...Tarta, fait le pour moi alors !

Réclame le blond d'un air sérieux, mais taquin.

Le brun regarde le roux, comme pour dire "... Vraiment ?"

Tartaglia se mit à sourire malicieusement puis passa tendrement ses mains sur les oreilles de son homme pour de tendre caresses.

À son sourire, il comprit qu'il était fichu.

Alors à sa caresse, il se met à ronronner sans contrôle, agitant sa queue de gauche à droite, frottant sa tête contre le roux, devenant très câlin.

Thoma ria, mais été gaga de la scène.

Thoma : Adorable~ ET MAIS DU COUP -

Il eut les gros yeux, et comprit alors.

Thoma : En ce moment, Gorou s'oblige à rester à la maison le plus possible et prend des médicaments... Spéciaux...Pour son état, est-ce que toi aussi, tu serais en-

Avant qu'il ne finisse sa phrase, le loup tourne son visage et en un éclairs bondis sur Thoma le m'étant à terre.

Zhongli: En mode jeu ? Oui, à tel point que je ne dois pas bouger d'ici tu as tout à fait raison !

S'exclame ce dernier.

Tartaglia: En mode jeu ?

Dit-il en croisant les bras, souriant.

Tartaglia: Je crois qu'on ne parle pas du même jeu

Bien qu'en voyant son loup sur le blond, le rouquin eut une petite grimace de jalousie.

Sa queue toujours agité, se décale de sur le blond un peu sonner dû au poids allant plaquer au sol, puis le brun va vers le roux, plaçant sa tête sous sa main, puis il prend sa main, là m'étant sur sa tête, sans rien dire...Le regardant, agitant ses oreilles.

Surpris, mais attendri, il lui caressa tendrement les oreilles.

Tartaglia: Je vois pourquoi ce côté "joueur" ~

Dit-il d'un ton particulier pour que Zhongli comprenne de quoi il parle tandis qu'un de ses doigts jouait avec ses cheveux, les entourant autour.

Très rouge, il détourne le regard, mais ronronne davantage venant contre le roux, les pupilles luisants.

Zhongli: ...Ne prête pas attention à "ça"... Ça va passer comme je l'ai dit.

Mais il sentit alors une odeur qui le fait grimacer.

Il tourne la tête vers le sac de sur la table.

Tartaglia: Ouais et bien... Tu as un truc à prendre alors si je comprends bien...

Il se rapprochait de la table et prit un médicament.

Voyant bel et bien le médicament, il se défait de contre Tartaglia, se reculant vivement. Gonflant ses joues.

Zhongli: Je ne prendrais pas !

Un air plus enfantin se fait plus visible alors, tandis que Thoma reprend ses esprits et assiste à la scène en silence...

Tartaglia: Tu vas le prendre !

S'exclama le rouquin en se rapprochant de lui avec un sourire malicieux.

Ses oreilles se rabattant en arrière, il se retrouve dos au mur, assis au sol, le regardant couinant aillant peur soudainement.

Tartaglia: Prends le, ça ne va pas te faire de mal...

Il s'assoit en face de lui voulant être rassurant.

Zhongli: Pas bon. Et je n'ai rien manger ni bus, tu veux vraiment me faire avaler ça comme ça...Alors que je viens de me réveiller...?

Faisant des yeux d'enfant battus, il le suppliait de pas lui faire avaler comme ça.

Soupirant, il se relève et aide le loup à se relever.

Tartaglia: Fait pas cette tête, je ne pourrais pas y résister. Tu vas aller manger, boire et après, tu m'avales ça ! Sinon plus de bisous ni de caresses !

Il savait très bien que le loup n'allait pas résister longtemps...

Zhongli: NON ! Pas ça !

À ces mots, il bondit sur Tartaglia l'enlaçant d'un coup, venant lui voler un baiser au passage...Il n'avait pas eu son bisou du bonjour !

Souriant contre ses lèvres, il répond à son baiser puis laisse ses lèvres riant.

Tartaglia: Tu ne pourrais pas t'en passer longtemps ? Alors tu vas manger et le prendre

Zhongli : D'accord ! Mais plus jamais tu me dis ça...!

Couinant, il va vers la cuisine se faire à manger...Mais sens alors l'odeur des bentos non loin...

Thoma : Je vais, vous laissez tous les deux...Je compte sur toi. Je reviendrais plus tard pour vous emmener là où on a besoin d'aide. À tout à l'heure.

Tout sourire, et discrètement, il part alors.

Tartaglia: Oh désolé Thoma ! Oui a plus tard, nos salutations a Gorou !

Le rouquin se rapprocha des bentos et en donnant au loup.

Tartaglia: Tiens.

Zhongli les pupilles luisant, se jette dessus visiblement affamer.

Zhongli : Merci!!!

Il entame alors la boite de nourriture avec un grand sourire.

De la viande.

Avec nouilles.

Salade.

Le bonheur.

Tartaglia se mit à rire, amusé de le voir dévorer sa nourriture.

Zhongli regarde son roux, puis prend les baguettes, pique dans le bento du roux.

Zhongli : Aaaah ...?

Il voulait juste essayer avec Tartaglia, tout sourire, un peu rouge, mais vue qu'il était seul, il voulait en profiter.

Le rouquin le regarde rougissant.

Tartaglia : Tu veux vraiment me faire manger... ?

Sourit-il un peu gêner puis ouvrit la bouche.

Tout content, il le fait alors manger le bento entièrement, peu à peu, sa queue montrant très bien sa joie, tout comme ses oreilles qui était très animée.

Zhongli : Tout mignon voici ta dernière boucher~

Tartaglia mangeait malgré les joues rouges et se lécha les lèvres ouvrant la bouche pour sa dernière bouchée.

Lui m'étant la dernière bouchée de nouille, veillant à ce qu'il ne se salisse pas, il retire les baguettes doucement, l'embrassant au front.

Zhongli : Tu es beaucoup trop adorable tout rouge comme ça...

Ronronnant doucement il l'enlace.

Tartaglia: Je ne suis pas rouge...!

Sauf que ses joues prirent encore plus de couleur en niant, détournant le regard en entourant la nuque du brun de ses bras.

Zhongli : Mais oui, mon rouge-gorge préféré

Il vient doucement embrasser ses lèvres.

Tartaglia grogna dans le baiser, mais y répond avec amour.

L'odeur du roux l'envahissant de plus en plus, commençant de nouveau à le faire se sentir dans un nuage, il rompt doucement.

Zhongli : ...Câlin.

Réclame alors ce dernier.

Le rouquin lui sourit et le serre contre lui pour un câlin, enfouissant son nez dans son cou.

Ronronnant davantage, fermant doucement ses yeux, il l'entoure à la taille de ses bras.

Zhongli : Je t'aime mon Tarta...

Tartaglia sourit en le serrant à son cou.

Tartaglia: Je t'aime aussi mon Zhongli...

Son état se calma peu à peu avec le câlin, puis doucement murmure.

Zhongli : ... Chéri, tu veux bien me donner le médicament...? J'ai, pas vraiment le choix, j'ai l'impression...

Tartaglia: C'est pour ton bien... Tu le sais... ?

Il attrapa un médicament qui n'était pas loin et se donna au brun.

En sentant l'odeur, Zhongli grogna, mais prend le médicament, l'aval, en grimaçant, mais reste accrocher au roux.

Sa prise ne se calma pas, puis dit d'une voix plus... Endormis.

Zhongli : Sa va... M'engourdir, j'ai l'impression...

Sa respiration commencée à changer, mais doucement se détache du roux, n'aillant plus de force du tout.

Le rouquin le rattrapa le voyant tangué un peu.

Tartaglia: Je vois ça...

Étant comme droguer, il ne pouvait que regarder le roux sans force, respirant au mieux sa queue et ses oreilles a plats, utilisant ces maigres forces pour venir s'émettre contre le torse du roux.

Zhongli : Désolé... Puissant ce médicament...

Tartaglia: Ne t'en fais pas...

Il le maintient facilement contre lui et l'aide à aller jusqu'au lit pour l'asseoir.

Pour finalement s'allonger, se m'étant sous la couverture en rampant, piteusement, les oreilles toujours rabattues, regardant le roux.

Zhongli : ...Tu pourrais...Voir Thoma et Gorou en attendant que je retrouve mon état normal...?

Tartaglia hocha la tête.

Tartaglia: Je reviens le plus vite possible...

Il se penche et posa amoureusement ses lèvres sur les siennes.

Le brun y répond doucement, souriant faiblement, ses pupilles luisants...Mais il regarde son roux.

Être loin de lui, lui et insupportable.

Et son état ne faisait qu'amplifier cette sensation, mais il devait se contenir.

Zhongli : D'accord...

Le rouquin lui caressa la joue avant de s'éloigner. C'était dur, mais il devait bien, puis, il était en sécurité ici...

C'était sa motivation et c'était aussi de quoi se rassurer pour pouvoir le laisser tout seul.

Il sortit de la maison et se dirigea vers celle de Thoma et Gorou.

Zhongli se mit en boule, chouinant un long moment sous la couverture silencieusement...

Thoma et Gorou étaient dehors à faire des plans de construction, puis rapidement, Gorou détecta Tartaglia se tournant vers lui.

Gorou: Tarta !

Il lui bondit dessus tout sourire.

Tartaglia leur fit un signe de main avec le sourire.

Tartaglia: Salut, Zhongli m'a dit de venir vous voir le temps qu'il reprenne des forces...

Thoma : Oh, alors il a pris le médicament... Ça a dû faire effet peu après que tu sois sorti.

Gorou: C'EST VRAI QUE C'EST UN LOUP ??? J'ADORE SON AUTRE PRÉNOM !!!

S'exclame Gorou, alors que Thoma soupire exaspéré.

Thoma : Heureusement que personne n'est autour...

Tartaglia: Je vois que la nouvelle a vite arrivé à tes oreilles !

Ria le rouquin en passant sa main sur la tête du jeune.

Gorou: Oui ! Il est méga fort ! Et en plus, il a fait tout ça en se cachant...

Ses oreilles se baissent.

Gorou: Il va m'entendre quand je le verrais ! Me cacher que c'était un loup !

Grognant un peu, il se met rapidement à ronronner quand Thoma pose sa main à sa tête à son tour.

Thoma : Calme-toi...C'est normal.

Le blond regarde le roux.

Thoma : Tu viens nous aider un peu ? Après, tu iras voir ton loup, et on vous laissera tranquille.

Il rigole un peu, tandis que Gorou ronronne toujours à ces caresses.

Tartaglia: Essaie de le comprendre Gorou... Il avait peur qu'on ne l'accepte pas tel qu'il est, d'un côté, je peux comprendre... Mais juste, ne sois pas trop dur avec lui...

Il sourit au petit hybride et regarde Thoma en rougissant légèrement.

Tartaglia: Oui, qu'est-ce que vous faites ?

Gorou: ...C'est vrai. Puis avec ce que certains disaient sur les hybrides naturels...

Ailant les oreilles rabattues, Thoma enlace alors son frère contre lui.

Thoma : On fait des plans de construction pour des bâtiments utiles comme des forges, cuisine, refuge, usine de fabrique...Mais il nous faut beaucoup de bois, ça te dit d'aller en chercher ?

Tartaglia: Pas de soucis.

Sourit le rouquin.

Thoma : On te laisse aller en forêt pour ça alors, mais soit discret ! Nous, on s'occupe du reste, il nous faudrait 5 arbres pour commencer. Pour la cuisine en priorité.

Explique le blond, tandis que Gorou demande au roux.

Gorou: Je peux aller voir Zhongli...?

Le brun n'était pas vraiment en état, mais ça le petit hybride n'en sais rien du tout. Tout comme Thoma qui n'a aucune idée de l'état véritable du brun.

Tartaglia: Laisse-le se reposer, quand je suis parti, il n'était vraiment pas en état...

Explique le rouquin en lui caressant une oreille avant de s'éloigner en forêt.

Gorou n'eut pas le temps de comprendre...Mais Thoma lui explique qu'il avait le même souci que lui sauf que c'était amplifier visiblement avec la présence du roux. Surtout que le loup n'était pas habitué à prendre de médicament...Donc il ignore si ça va réellement marcher.

Gorou acquiesce alors comprenant, puis ils continuent les plans.

Des soldats armés étaient en forêt, non loin de l'arbre où été Zhongli, à la recherche du prince, une troupe de six soldats sur un cheval.

Soldat : C'est ici que le prince aurait été vu pour la dernière fois...Notre cible en premier et le loup, et ensuite ramener de force le prince. Et lui faire avaler une pilule.

Soldat : On a ramené une boite avec 10 pilules cela devrait suffire, je pense.

Tartaglia regarda partout, essayant de se faire le plus discret possible avant de s'attaquer à un arbre pour récupérer du bois. Au bout d'un moment, il entendit des bruits de sabots.

Dans la précipitation, il se cacha derrière un arbre, la respiration rapide.

Une patrouille venait de passer derrière lui à cheval.

Les soldats non loin avait provoqué beaucoup de bruit...

Zhongli dans l'arbre l'entendit et malgré son état, tente de bouger alors voulant défendre ce lieu...

Les cavaliers regardent autour.

Soldat : Ils ne doivent pas être loin.

Soldats : Notre roi offre tellement pour la tête du loup...Et il faut qu'on retrouve la couronne !

Soldats : Oui...Avec un peu de chance, on trouvera d'autres hybrides.

Soldats : On les a tous tuées, tu as oublié ?

Le rouquin attrapa son bois et se dirigea discrètement vers le camp de Thoma, livide.

Un des soldats se tourne.

Soldat : Ta entendus...?

Un grognement bestial se fait entendre... Menaçant.

Zhongli était arrivé face à eux...De vue d'extérieur, il semblait bien, mais il était au plus mal. Lance en main, les pupilles pourpres, il était face à la troupe entière.

Zhongli : Partait. C'est mon premier et dernier avertissement.

Soldat : Tu es cet hybride ! Parfait...Une énorme somme est mise pour ta mort !

Soldat : TUONS-LE !

Soupirant Zhongli en les voyant bondir sur lui, leur font percuter un rocher avec sa lance sans difficulté...Enfin presque, son corps le fait couiner piteusement, et il restait 3 soldats.

Soldat : Oh~ ? Tu es dans ta période de faiblesse ? Parfait !

Du côté de Thoma et Gorou, tous deux apprenne rapidement les invités non loin d'eux, via l'ouï de Gorou, et en entendant des bruits de lance Gorou accoure suivis de Thoma, ce dernier dressant une barrière autour de leur base pour tous les protéger au cas où...

Après être arrivé la base, il entendit un combat et des hurlements. Mais en voyant la direction d'où cela venait, une seule chose lui arrivait en tête, la peur au ventre.

Zhongli...

Il accourra rapidement vers l'endroit où il vit les soldats de son père et son homme à genoux, ne tenant plus debout. Furieux, il fit apparaître deux épées hydro dans ses mains et s'interposa entre les soldats et son loup, montrant les dents.

Soldat : Prince Ajax ! Venez avec nous sans faire d'histoires, et on partira sans faire de dégâts.

Soldat : Regarder !

Les trois soldats regardent alors...La barrière de Thoma était en place, ce qui fait sourire le brun se relevant lentement s'aidant de la lance.

Zhongli : Tartaglia, va te mettre à l'abri, c'est toi qu'ils veulent.

Soldat : Bouge de là le loup !

Un des soldats tente de frapper Zhongli, mais il pare son coup avec sa lance malgré que difficilement, en le repoussant, il forme une barrière autour de Tartaglia, mais ne parvient pas à faire de même pour lui.

Tartaglia: Je t'interdis de faire cavalier seul ! Je suis capable de me battre aussi !

Il lança un regard noir au soldat de son regard bleu.

Tartaglia: Lâchez-moi ! Je ne reviendrais pas !

Soldat : Le roi nous avait prévenus...C'est ce loup qui vous a retourné le cerveau.

Soldat : Tuons-le. Comme ça, on vous ramènera dans votre état normal.

Soldat : On vous a ramené des pilules. On en a plein en réserve.

Zhongli lance, sa lance vers leurs chevaux qui se mette sur deux pattes, faisant tomber les cavaliers, et fuis rapidement...Lâchant leurs cargaisons.

Les soldats agacés, l'un prend une seringue d'une des poches et l'autre une sorte de fusil.

Voyant le danger, le loup s'élance vers le fusil, mais un tir fut tirer...

Une fléchette somnifère.

Zhongli eut à peine le temps d'assommer ce soldat qu'il s'écroule...

Mais la barrière autour du roux resta.

Tartaglia: Zhongli !!

Cria le rouquin en se rapprochant du loup.

Le loup ne répondit pas, le somnifère faisant effet, il était endormi de force.

Les deux autres soldats se rapprochent.

Soldat : Soyez raisonnable et suivez nous, prince Ajax.

Soldat : Ce loup a fait assez de dégâts. Et une prime et mise sur lui, rien ne nous empêche de le tuer.

Tartaglia: Je ne vous suivrez pas ! Et je ne retournerai jamais dans cet enfer !

Une lance apparaît dans sa main alors qu'il prit le loup contre lui, empêchant les soldats de se rapprocher, mais il sentit la barrière faiblir peu à peu.

Soldat : Vous ne nous laissez pas le choix.

Sortant leurs armes, l'un avait une épée et l'autre un espadon.

La lance du loup vient vers le roux et le brun comme un aimant...

Tartaglia serra les dents.

Il ne voulait pas y retourner...

Gardant son homme contre lui, il recula en les voyant se rapprocher la lance face à eux.

La barrière autour du roux disparut.

La lance du brun tombe au sol comme étant sans vie.

Tandis que l'un des deux tournes la tête. Thoma et Gorou foncent sur celui avec l'épée pour l'embarquer au loin.

Mais celui à l'espadon agacer finit par lâcher.

Soldat : Si c'est comme ça...

Il regarde son bras puis s'aidant de son espadon se fait une entaille au bras.

De la fumée noire s'en échappe enveloppant le soldat devenant peu à peu...Une sorte de samouraï avec un casque, une armure, et un espadon...Devenue katana.

Le rouquin ouvrit grand les yeux sur cette nouvelle forme.

Son père n'avait comme même pas fait...

Tartaglia: Non...

Murmure-t-il n'en croyant pas ses yeux, pétrifiés par ce qu'il voyait.

Le roi adoré les hybride.

Uniquement pour leurs ADN.

Et adorer faire des expériences. Un peu comme celle que Gorou a subie, mais la...Il a tenté d'injecter de l'ADN retrouvé de samouraï sur deux trois soldats...Et le résultat été sous les yeux du roux.

Sans attendre le samouraï pointe, son katana vers le duo, s'élance vers les deux au sol sans attendre.

Tartaglia se ressaisit et devis le katana de cette abomination avec ses épées bien décider de se battre.

L'ennemi rigole, et invoque des sortes d'esprit autour de lui sous forme de flamme bleue allant vers le loup, qui commencer à revenir à lui malgré qu'avec difficulté.

Le rouquin fut entouré bien qu'il gardait son loup contre lui. Grognant, il ne savait pas vraiment comment s'occuper de ce nouvel adversaire...

Les flammes viennent une à une se poser vers le loup, le traversant littéralement, le rendant glacial, mais pas que le faisant visiblement souffrir...Mais seulement lui. Le prince visiblement épargné.

Le loup ouvre les yeux et tente de faire revenir sa lance...Mais rien.

Zhongli : Je dois me battre...!

Samouraï : C'est inutile. Prince Ajax. Je vous le redemande. Prenez cette pilule, venez avec moi. Et je ne ferais rien à ce monstre.

Tartaglia: Arrêtez ! Vous pouvez toujours crever pour que je vous suive ! Et gardez vos conneries pour vous ! J'en avalerais plus !

Grognant et inquiet pour son homme, il commençait à perdre son sang-froid.

Une des flammes traverse alors le roux sans rien lui faire, mais quand ça traversa le brun, ce dernier grimace de douleur, serrant les dents, le samouraï katana en main cherche à croiser le fer avec le prince, voyant la lance hydro depuis tout à l'heure.

Samouraï : Cessez vos chantages !

Le rouquin serra les dents en le voyant grimacer, le relâcha un peu et attrapa sa lance hydro, la pointant vers le samouraï.

Tartaglia: Je me battrais pour ma liberté maintenant !

Samouraï : On croirait entendre ce traître de Diluc...

Murmure ce dernier puis croise le fer avec la lance forçant dessus.

Samouraï : Alors mourrez pour vos principes!

L'ennemi finit par toucher le roux à l'épaule, puis cherche alors à toucher directement le cœur du loup sans défense, qui ouvre les yeux péniblement.

Le premier réflexe du loup et de redonner une barrière au roux souriant vers lui.

Tartaglia grimaça de douleur face à son épaule en sang, surtout son épaule qui tenait sa lance.

Diluc... Son cousin qui s'était enfui pour vivre une vie simple avec une jeune femme de sang noble, mais qui a renié sa famille.

Ça lui faisait bizarre d'entendre à nouveau ce nom...

Il vit alors la barrière sur lui à nouveau et dévia son regard vers le brun, surpris.

Qui sourit péniblement.

Zhongli: Tu n'es pas seul...

Se relevant armer de sa lance, sa fourrure prenne plus d'ampleur sur lui, tandis qu'il va vers le samouraï le blessant à l'épaule à son tour, ce dernier tente de riposter, mais le loup bloque l'attaque et se recule rapidement, mais le samouraï n'avait pas fini et utilise de nouveau le fusil au sol vers le loup qui pare le tir avec sa lance.

Zhongli: Achève-le!

Hurla ce dernier en regardant Tartaglia.

Sans hésiter, le rouquin s'élança à son tour sur le Samouraï avec sa lance, il lui sauta dessus et enfonça sa lance de toutes ses forces malgré la douleur dans le cœur de son adversaire.

Le samouraï hurle alors de douleur, mais avant de s'effondrer envois le loup contre un arbre ce qui l'assomme.

Mais avant qu'ils ne crient victoire...

Roi : ...Je me doutais bien que quelque chose se passe s'ils ne répondent pas.

Le roi était sur un cheval majestueux, se rapprochant dangereusement du loup, armé d'une épée.

Le prince se pétrifia devant son père, il savait que son loup ne pouvait rien craindre... Mais c'était plus fort que lui...

Il ne supportait pas qu'on lui fasse du mal...

Il réussit à bouger au bout d'un moment, se jetant au côté du loup.

Le loup inconscient ignoré ce qui se passe, mais en sentant son roux non loin, se colle à lui, tremblant.

Roi : Vous êtes inutile autant l'un que l'autre, mais ça m'ennuient d'avoir à tuer Ajax.

Il descend du cheval, face au loup et à l'ancien prince, et sourit.

Roi : Tu sembles épuisé...Et la chose et inconsciente. Parfait, ils m'auront au moins facilité la tâche.

Le rouquin était essoufflé et son épaule le lançait trop, il ne pouvait plus se battre à l'en faire grogner.

Tartaglia: Je vous déteste...

Roi : Tu sais sa aura été simple de te retrouver. Tu as cette odeur si caractéristique...Tout les loup, tu les attires. Il m'aura suffi de mettre de l'ADN de loup dans ces soldats. Surtout que cet endroit, je le connais...Ta mère y avait été. Et y est morte. Mais j'avais détruit cet endroit et tous les rebelles, j'ignorais qu'il y avait des survivant. Je vais régler ça...

Les oreilles du loup s'animent et ouvrent les yeux. À ce moment-là, le roi s'apprête à donner un coup d'épée, mais cette dernière luis d'une lueur sinistre. Le loup se relève et fait barrage prenant le coup surpuissant, protégeant la base et toutes les vies derrière...Au prix d'un énorme trou sur son torse, le faisant tomber, dans un silence glauque.

Le roi ria.

Roi : Il était encore en vie ?! Il est immortel, c'est vrai...Je dois lui extraire de l'ADN !

Le roi ignore alors le prince prenant une seringue de sa poche s'approchant du loup.

Devant ce spectacle, le prince était figé sentant une drôle de sensation en lui, une émotion qui brisa la limite de sa raison. Tremblant, une matière noire se mit à le recouvrir tandis qu'en un éclair, il se retrouva devant le loup, envoyant valser le roi au loin.

Son physique avait changé, il était plus imposant et effrayant, une apparence plus démoniaque.

Le corps du loup commencé déjà à se régénérer, tandis que le roi envoyé contre un arbre se rattrape de justesse, et fait face au "prince"

Roi : Qu'est-ce...Que tu es au juste ?

Le rouquin se regarda tremblant, surpris de ce qu'il était devenu...

Tartaglia: Une de vos créations...

Ses pilules... Elles étaient responsables de cette forme démoniaque.

Roi : Alors finalement, tu n'es pas tant un échec que ça...

Il prend un sachet rempli de ces pilules.

Roi : Je vais tant redonner.

Tartaglia : Vous ne m'obligerez pas en prendre... Je vais vous arrêter avant !

Grogna le démon, faisant apparaître une lance violette dans sa main.

Toujours épée en main le roi grimace.

Il avait utilisé toute l'énergie cumulé tout à l'heure...

Roi : Satané loup...! S'il ne s'était pas interposé...!

Regardant le démon ainsi que le loup.

Roi : Vous n'êtes que des moins-que-rien, vous devriez dégager d'ici !

Visiblement agacé, et malgré qu'étant sans force comparé au démon, le roi tente de donner un coup d'épée au "prince".

Roi : MEURS ! MEURS TOI AUSSI ! TOUS CEUX D'ICI MOURRONT !

Sauf que Tartaglia avait oublié sa blessure à l'épaule, déviant au minimum les coups d'épée pour éviter de se faire toucher, mais le dernier coup, lui a été fatale.

Un cri se fit entendre alors que l'épée du roi lui traversa le torse, dans une longue coupure.

Avec le peu de force qu'il lui restait, il envoya valser l'épée du roi et mit sa lance sous son cou.

Tartaglia: Dégagez ou mourrez...

Sa haine pour son père, son géniteur lui faisait presque oublier la douleur et le sang qui s'échouait sur le sol.

Le roi blêmit, mais il fait l'erreur de sa vie, et tente alors de prendre la lance de Zhongli, mais la lance s'anime au toucher du roi.

Seul Zhongli peut toucher cette lance.

Les autres... Se font tuer.

La lance s'anime et transperce le roi en plein cœur.

Voyant enfin l'objet de ses malheurs sans vie, sa haine et sa rancœur s'évanouit peu à peu bien que des images de sa famille uni et heureuse lui revient en tête...

Une petite larme apparut avant de rejoindre son sang. Son corps reprit son apparence normale, mais il avait perdu beaucoup trop de sang...

Le rouquin se laissa tomber au sol, perdant conscience.

Au loin, Thoma et Gorou finissent par enfin arriver et en voyant le spectacle, s'alarme et embarque le loup et le prince chez eux, pour rapidement les soigner...Malgré que sous les yeux de l'hybride, modifier Zhongli se régénère...

Thoma et Gorou les allongent dans leurs lits, tous deux à côté, puis tous deux soigne rapidement le roux, désinfectant, recousant sa plaie...

Avec tout le sang perdu, le rouquin était encore plus pâle qu'il ne l'était et n'était pas prêt de se réveiller.

Rapidement, Thoma demande à Gorou comment été Zhongli.

Voyant qu'il était comme... Indemne, sans rien, et voyant le cruel manque de sang...

Thoma : ...On ne peut pas lui donner de mon sang, je ne suis pas compatible. Et toi non plus Gorou...Surtout avec ton ADN modifier.

Gorou: ...Et Zhongli ?

Ils regardent tout deux le brun.

Ils n'avaient pas le choix. Alors rapidement, ils prennent du matériel de transfusion, et relis le bras droit de Tartaglia au bras gauche de Zhongli...

Du sang de Zhongli été transfusé au corps de Tartaglia.

Thoma : ...Ils comprendront. Il faudra leur expliquer.

Gorou: Je vais aller voir avec une troupe pour brûler les corps...

Thoma : Récupère leurs habits. Ce sera toujours utile.

Gorou: Et la lance de Zhongli ?

Thoma : Elle reviendra ici d'elle-même quand il se réveillera. Ni touche surtout pas.

Gorou: Ok !

Partant alors vers la forêt, il laissa alors Thoma seul avec les deux inconscient.

Tartaglia reprit peu à peu des couleurs, bien qu'il restait pâle, sa coupure sur son torse se refermait aussi malgré assez lentement jusqu'à former une nouvelle cicatrice sur son corps.

Thoma semblait rassurer de voir que le sang de Zhongli semblait le soigner, mais ignorer si c'était vraiment le meilleur des choix...

Le brun grimacé, visiblement de douleurs, et trembler...

En voyant ça, Thoma pose une couverture sur le loup ainsi que sur le roux, ce qui calme un peu les tremblements.

Thoma : J'ignore ce qui c'est passez...Mais...Vous nous avez sauvés...

Dans son sommeil, le rouquin eut le réflexe de tendre le bras vers le brun pour lui attraper la main et la serrer dans la sienne, la respiration lente. Puis tout d'un coup, il eut une grimace de douleur.

Thoma se rapproche voulant comprendre le pourquoi ce changement, redoutant le pire, tandis que la queue du loup bouge mollement allant entourer le bras du roux, le corps du loup étant entièrement remis à neuf.

Tout d'un coup, deux grandes oreilles rousses de renard apparurent sur la tête du rouquin se rabattant sous la douleur et l'inconfort. Son corps se contracta fortement alors qu'il se tourna vers le côté en gémissant, une queue épaisse et rousse de renard apparut dans le creux de ses reins.

Thoma cligne des yeux, croyant rêver...

Thoma : ...Merde.

Dit-il simplement, mais les trouvant douces d'apparence, il voulut y toucher, mais à peine, il tend sa main que la queue du loup s'anime pour la contrer.

Zhongli était réveillé, grognant de douleur à son bras.

Il regarde son bras, puis voit alors Tartaglia.

Il devient blême.

Zhongli : Oh non...Non, non, non, non ! Enlève ça !!!

S'exclame le brun vers le blond.

Thoma : Il n'a pas totalement récupéré, je ne peux pas lui donner de mon sang ! Si on fait ça, il ne pourra pas récupérer assez ! Il a perdu trop de sang !

Zhongli : Il ne doit pas être comme moi ! Ne fais pas ça !

Thoma : C'est trop tard pour ça... Mais on l'a sauvé...C'est le plus important non ?

Le sang du brun donna au rouquin, un visage plus animal bien qu'assez doux, ses ongles poussèrent légèrement pour faire apparaître de petite griffe tandis que ses canines poussèrent les faisans montrer lorsqu'il gémit légèrement d'inconfort, les oreilles plaquées en arrière.

Mais voyant son roux comme ça, il alla auprès de lui, le prenant contre lui, les oreilles se rabattant.

Zhongli : ...Tu as raison. Je lui expliquerais...

Le cajolant au mieux, et l'embrassant au front, il lui caresse ses oreilles, ainsi que son visage, voulant lui montrer qu'il était là...

Tartaglia renifla un coup avant de ronronner sentant une odeur très familière et rassurante près de lui, s'y collant davantage s'apaisant au passage.

Continuant de le caresser Zhongli un peu rouge regarde Thoma.

Zhongli : Va chercher ces médicaments, il va en avoir besoin.

Thoma : On n'en a pas.

Zhongli : Pardon ? Il ne va pas subir ça alors qu'il va avoir déjà mille choses à gérer ! Vas en trouver !

Thoma : Je vais essayer. Garde le a l'œil.

Puis sur ces mots, Thoma s'éloigne les laissant seuls.

Le rouquin ronronna, tandis qu'il ouvrit lentement les yeux, bien que voilés de fatigue et d'une étrange émotion. Ses pupilles océan était maintenant en amande, renforçant encore plus son côté animal.

Se sentant comme droguer à une certaine odeur, il sourit en voyant son loup près de lui reniflant l'air.

Tartaglia: Zhongli... Tu vas bien... Je suis rassuré...

Zhongli comprenant que le roux commencé à se sentir en chaleur comme lui, il grimace un peu contenant son odorat.

Zhongli: Je vais bien... On a été sauvé par Thoma et Gorou...Tu as dû avoir une transfusion de sang d'urgence...De mon sang... Ce qui fait que maintenant, tu es aussi un hybride.

Venant l'embrasser au front, il lui caresse ses oreilles de nouveau, lui caressant après son visage...Doux, et affreusement adorable.

Ronronnant davantage, il ne réalisa pas tout de suite dans quel état, il était, Tartaglia eut les oreilles en arrière gémissant sous ses caresses. Son corps avait soudainement chaud et commença à se frotter au loup.

Tartaglia: Chéri...

Les joues rouges, il lança un regard brûlant et sensuel au brun.

Zhongli: Tarta... Essaye de te contenir...Tu es un renard...Mais c'est la pire période, tu vas avoir le même problème que moi, tu vas avoir envie de calmer ton corps qui doit être bouillant...

Le loup voulait lui dire aussi qu'il a dû hériter de son immortalité, mais, vue l'état de ce dernier, il se dit que cela devait être inutile...

Doucement, il passe sa main sous son haut, allant vers sa cicatrice grimaçant, culpabilisant n'aillant pas pus l'empêcher de se blesser, ses oreilles baisser, le regard fuyant.

Cette caresse lui fit vite perdre la tête, le faisant gémir et frémir.

Tartaglia: Bouillant oui beaucoup trop

Le rouquin sourit sensuellement en grimpant sur son loup, sa queue s'agitant de bas et haut et ses oreilles en arrière.

Ce que lui disait le brun lui passait complètement au-dessus, l'esprit totalement ailleurs, il ne réfléchissait plus sur l'instant, ne suivant que son instinct sur le moment.

Ce simple contact fait gémir à son tour le brun, tombant en arrière laissant le roux sur lui.

Sa bosse touchée celle du roux.

Zhongli: Je vais te calmer...

Son odorat revenant, avec l'odeur alléchante du roux, il vient doucement caresser sa queue, ainsi que ses oreilles, venant l'embrasser chastement.

Le rouquin gémit contre ses lèvres sentant les mains du brun sur sa queue et ses oreilles assez sensible du coup. Il frotta son membre déjà bien dur dressé dans son pantalon tandis qu'il se pencha sur son amant pour accentuer le baiser se cambrant. Ses mains caressaient le torse du brun dans une douce caresse sensuelle.

Zhongli: Je vais calmer ton corps mon beau renard

En disant ça, ses mains viennent récupérer ses mains qui étaient sur son torse, frémissant, il vient mordre le cou du roux, tandis que sa queue vient rejoindre celle du roux, la caressant, puis son corps bougea légèrement au niveau du bassin vers le roux, voulant voir sa sensibilité.

Tartaglia lâcha un couinement assez fort sous sa morsure et gémissait sans retenue face à ses mouvements se cambrant en arrière. Il plongea ensuite son regard dans le sien, quémandeur.

Zhongli: A ce point...?

Souriant, il défait avec ces crocs, le bas du roux, puis le fait glisser pour lui retirer tout comme son haut qu'il enleva d'un mouvement de main.

Le loup retira ses propres habits, allant sur le roux le m'étant sur le lit, sous lui.

Se léchant les lèvres, il lui susurre.

Zhongli: Laisse ton loup s'occuper de toi mais...Tu ne dois juste pas t'endormir après sa

Après sa phrase il insère deux doigts dans un premier temps en lui, pour le dilater au mieux, et le préparer un minimum.

Le renard mit à la tête en arrière, les oreilles plaquer dans le même sens, gémissant. Son corps était bouillant et incontrôlable sur certains gestes.

Sa queue, étant un peu bloquée sur le matelas, se mit tout de même à bouger d'excitation.

Continuant de le préparer, il se place davantage sur le renard, venant l'embrasser avec amour et... Chaleur?

Cherchant la langue de son amant, il fait un geste de la main dressant une barrière autour d'eux pour que personne n'entre pour les déranger.

Tartaglia alla à la rencontre de la langue de son amant en ronronnant et gémissant, son corps se contracta autour des doigts du brun lâchant un gémissement plus profond et chaud.

Zhongli: Cri pour moi mon beau

Perdant patience, il retire ses doigts, le trouvant largement assez préparer, il se met entre ses jambes, plaçant son membre devant son entré, avant de rentrer en lui.

Le renard eut la langue pendante n'attendant que ça, l'avoir en lui.

Un cri de plaisir lui déchira les cordes vocales, se sentant enfin complet.

Le loup n'attendit pas pour entamer de long, et fort mouvement de vas et viens en lui, grognant.

Zhongli: Tu es tellement serrer! C'est trop chaud!

Le brun vient mordre une des grandes oreilles du renard, prenant ses hanches fermement, pour accentuer ces sensations autant à lui qu'au roux.

Lâchant un hurlement de plaisir, il attrapa les oreilles du loup qu'il tira sous son plaisir, criant à chaque coup que lui donnait son amant.

Son esprit vacillé entre le plaisir et la folie, la langue pendante et les yeux en forme de cœur, son seul repère était sous ses mains.

Criant à sa prise soudaine, il donna un coup fort a sa prostate sous cet effet.

Zhongli: Tarta...~!

Reprenant sa langue dans un baiser sulfureux, il continua ces coups à son point sensible, voulant le faire devenir fou, pour le calmer...Ne serait-ce que temporairement.

Ne sachant plus où donner de la tête, il étouffa un autre hurlement ainsi que ses cris dans sa gorge répondant au baiser avec la même fougue. Son membre palpitait sans même avoir été travaillé et se sentait dangereusement venir en le sentant viser son point sensible, se contractant férocement.

Le loup continua commençant lui aussi à dériver, mais il faisait au mieux pour rester "conscient", il devait calmer son roux.

Ne pas être dans le même état que lui...!

Zhongli: Si tu continues, je vais être dans le même état...

Se contractant davantage, il emprisonna son amant avec ses jambes à sa taille, criant le nom du brun.

Tartaglia: Je vais... Venir... !

Il ne fallut pas longtemps avant que le renard ne se relâchât sur son ventre, en criant son plaisir tirant sur les oreilles du loup.

Qui viens juste après, grognant à son tour...

Après plusieurs secondes, il se retire du roux, venant lécher son membre le nettoyant, mais aussi son ventre, le regardant les pupilles luisants.

En sentant sa langue, son ventre se contracta dans un gémissement et un couinement en la sentant sur son membre.

Sa chaleur était descendue et maintenant, il se sentait revenir doucement à la réalité reprenant son souffle au passage.

Dans un geste tendre, et remplit d'amour, il l'embrasse de nouveau tendrement.

Zhongli: Tu es parmi nous...?

Tartaglia rouvrit les yeux, les ayant fermés, et lui sourit montrant ses longues canines.

Tartaglia: Oui...

Zhongli sourit rassurer.

Zhongli: Tant mieux...Bon retour mon beau...

Aillant frissonné de nouveau, il lui caresse le visage.

Zhongli: Je te résume... Aillant perdus trop de sang, Thoma et Gorou nous on transfuser résultat, tu as de mon sang dans ton corps, ce qui fait que tu as muté pour devenir un adorable et magnifique renard, mais...Que tu es désormais immortel comme moi, et qu'actuellement, tu es en période de chaleur.

Tartaglia ouvrit grand les yeux, papillonnant des paupières, il se redressa subitement en passant ses mains sur sa tête comme s'il revenait de se réveiller.

Tartaglia: Comment est-ce possible ?

Zhongli: Ta eu de mon sang, pour ta survie... Vois le bon côté des choses : Comme ça, tu es encore plus mignon, beau, et attrayant pour moi. Même si tu l'étais déjà trop...

Avoue ce dernier un peu rouge, faisant blocus sur son odorat au mieux.

Zhongli: Mais il va falloir... Vérifier pour ton immortalité.

D'un geste simple, il fait venir à grande vitesse sa lance jusqu'à sa main.

Zhongli: Puis-je ?

Il prend doucement la main du roux, le regardant tendrement.

Le rouquin avait souri suite à ses mots doux, les oreilles en arrière, mais qu'il redressa en voyant la lance.

Tartaglia: Euh...

Le renard le regarde un peu blanc.

Tartaglia: Tu es vraiment sur... ?

Zhongli: Ne tant fais pas, je ne vais pas te transpercer avec...

Il prend délicatement sa main, puis avec la pointe de sa lance, il fait une minuscule entaille...Qui se referme aussitôt.

Zhongli resta silencieux...Le regard sombre, les oreilles abaissés, et sa queue soudain molle.

Il regarde vers son roux, pour savoir sa réaction.

Tartaglia cligna des paupières, en regardant sa main puis sourit en pensant à une chose qui lui avait fait peur.

L'immortalité...

En sachant qu'il était enfin comme celui qu'il aimait, il sauta dans les bras du loup en riant.

Clignant des yeux, le brun tombe au sol, le renard sur lui.

Zhongli : Tarta...? Tu...Es heureux ? Je veux dire, tu n'as pas peur ?

Le rouquin avait les larmes aux yeux, la queue bougeant de bas et haut.

Tartaglia: Tu rigoles ? Je suis hyper heureux ! Et puis pourquoi j'aurais peur ? Je vais pouvoir rester à tes côtés pour l'éternité si tu veux toujours de moi...

Il baissa les oreilles malgré son petit sourire.

Zhongli sourit tendrement venant l'embrasser, le plaquant au lit avec sa force qui était revenue, lui tenant les poignets, rendant le baiser plus passionnel, pour cette nouvelle, agitant sa queue rapidement de gauche à droite.

Le renard couina contre ses lèvres répondant avec amour a son baiser qui lui réchauffa l'âme, les oreilles en arrière. Il frissonna à sa prise, mais joua le jeu en ronronnant.

Rompant doucement, il recule son visage, le regard tendre, murmurant...

Zhongli: Je te veux a jamais avec moi...Pour toujours, que pour moi.

Léchant les lèvres du roux, puis mordille doucement une des oreilles de ce dernier, il sourit, rassurer.

Tartaglia sourit, frémissant et ronronnant, se mordant la lèvre. Il couine légèrement sous sa morsure.

Tartaglia: C'est une promesse...

Zhongli se met à ronronner, entourant la queue du roux avec la sienne, pour l'embrasser, une fois, deux fois, trois fois, plusieurs fois d'affilé, avec tout l'amour qu'il pouvait.

Répondant à chaque, d'humeur joueur et envieux, le renard senti de nouveau son corps se réchauffait. Ça le frustrait quand même un peu de ne pas pouvoir le toucher alors le sentant un peu occuper à l'embrasser, il pensait se défaire discrètement de sa prise.

Continuant ces cajoleries, peu à peu, il baisse sa garde, affaiblissant sa prise sur ses poignets, mais aussi son odorat qui vient le titiller avec l'odeur du renard.

Finissant un de ces baisers, venant nicher son visage à son cou, il lui murmure.

Zhongli : Je t'aime, je t'aime, je t'aime. Je veux rester avec toi, a jamais...

Tartaglia se sentit fondre sous ses mots, le laissant finalement à sa merci, le regard brûlant de désir.

Tartaglia: Je t'aime tellement aussi... Je resterais avec toi... Pour toujours...

Gémis le renard en le sentant dans son cou.

Venant le mordre de nouveau au cou, gourmand, il place ses mains sur ces hanches venant vers sa queue la caresser.

Il savait qu'il commençait à dériver.

À se perdre avec la chaleur de son renard.

Mais il ne contrôlait pas vraiment ces instincts qui revenaient dangereusement en le sentant...Le reniflant.

Zhongli: Désolé...Je vais m'arrêter...

Couinant un peu, et avec sa raison qui était revenue par miracle, il se recule un peu.

Tartaglia frémit et gémissait à chaque caresse qui commençait à lui faire perdre la tête.

Et cette odeur... Mon dieu, cette odeur...

Qui était addictive et forte...

Jusqu'à maintenant, il ne l'avait jamais senti, mais là... Il pouvait comprendre Zhongli en ce moment même...

L'odorat était horrible comme tentateur...

Tartaglia: Tu n'as peut-être pas tort... Ton odeur est si forte et si... Délicieuse... Que mon corps réagis tout seul... Je n'arrive à rien contrôler...

Ronronna le rouquin, plus il parlait, plus ses yeux se voiler de désir et plus il se rapprochait du brun.

Zhongli: Tarta...~

Le corps du roux réagit, mais celui du loup aussi.

Ses pupilles brillé, et il voulait le sentir...

C'était une drogue...

Zhongli: C'est le pire moment de t'avoir fait muter en renard...Mais le meilleur pour moi, car tu comprends maintenant ce que je te cachais et contenais au mieux...

Il vient alors poser sa main à sa joue la caressant.

Zhongli: Cette envie... Cette chaleur...Ce désir... Cette attirance non contrôlée...

Le renard tourna la tête pour attraper le pouce du brun entre ses lèvres, y jouant avec sa langue.

Effectivement... Il comprenait bien parfaitement.

Tartaglia: Mais... Qu'avec toi... Personne d'autre...

Il s'était imprégné de l'odeur du brun, son corps ne réagit qu'à son odeur...

Tartaglia: Ce moment... Rien qu'à nous...

La barrière était toujours présente...

Ils n'étaient qu'eux deux.

Le brun avait aucune raison de se retenir, mais actuellement il ne voulait pas que cela soit lui, mais son renard qui décide. C'est surtout lui qui en a besoin.

Zhongli: Seulement une odeur peut nous mettre dans un tel état...Toi c'est moi et vice-versa...Les hybrides sans amant, cherchent cette fameuse odeur...Et en attendant, son obligé de calmer leurs chaleurs avec le fameux médicament sinon il saute sur n'importe qui tellement les chaleurs peuvent devenir invivable... C'est pour ça qu'il faut se "soulager"

Durant son monologue, le rouquin en avait profité pour lui grimper dessus, assis sur ses cuisses et ses bras autour de son cou, avec un sourire aguicheur.

Tartaglia: Soulage moi encore mon loup

Son membre était déjà bien excité comme celui du brun malgré lui. D'une de ses mains, Tartaglia attrapa leur deux membre et les frotta ensemble en gémissant.

Grognant de chaleur, ses pupilles devenant dorées, ses oreilles se dressent venant prendre le roux par la taille le m'étant sur le dos, au sol, l'embrassant de nouveau, durant leurs baisers sa main rejoint celle de son renard, qui jouer avec leurs deux membres tandis que lui...Jouer avec le gland du renard, prenant sa langue en otage durant leur baiser.

Tartaglia étouffa ses gémissements dans ses baisers devenant accro de plus en plus au brun. Il continuait ses frottements avec leur deux membre insistant quelques fois sur celui de son amant. Le renard en profita pour passer sa deuxième main sur les oreilles du loup, les tirant parfois à cause du plaisir.

Bougeant son bassin vers lui, venant mordre son oreille puis son cou, il lui susurre d'une voix suave...

Zhongli : Laisse-moi m'occuper du reste et profite simplement.

Doucement il retire la main du roux de sa prise, venant à la place entre ses jambes prendre en bouche le membre du roux, tendu, et commence de lent va et vient en hauteur, jouant aussi avec sa langue.

Doucement, il retire la main du roux de sa prise, venant à la place entre ses jambes prendre en bouche le membre du roux, tendu, et commence de lent va et vient en hauteur, jouant aussi avec sa langue. Il lâcha un long gémissement, le bout de sa queue se mit à bouger frénétiquement.

Continuant ces vas et viens, sa queue viens saisir celle du roux, pour l'entourer de la sienne, et ses mains vienne malaxer les boules de son roux.

Tartaglia échappa un couinement et un cri assez rauque, son ventre se contractant au même moment. Les oreilles en arrière, il plaça sa main sur la tête du brun, désirant qu'il aille plus vite.

Ce qu'il fait, allant même plus profondément, la suçant comme une sucette, surtout au gland.

Il voulait le faire venir...

Lui-même commencer à être impatient, son membre été dur, voulant allez en lui...Mais il se retient.

Tout d'un coup, dans un cri rauque, il appuya sur la tête du loup pour aller jusqu'au fond de sa gorge pour se déverser. Il fut pris ensuite de spasme de plaisir, le souffle court.

Avalant tout avec plaisir, sans rien laisser tomber, il retire le membre, le nettoyant, de sa bouche.

Zhongli : Délicieux

Le soulevant et le plaçant sur lui proche de son membre, il sourit.

Zhongli : Et si tu choisis, ton rythme?

Tartaglia avait encore le souffle court, les oreilles en arrière et les yeux en cœur, mais hocha la tête, complètement ivre de plaisir tremblant.

Prenant les hanches du roux, il le guide doucement jusqu'à le faire empaler son membre, le faisant gémir.

Zhongli : Fais ce que tu veux mon roux

Il bouge son bassin vers le roux, voulant allez au plus au fond de lui, attendant ces directives pour ce qu'il voulait, ses pupilles brunes, formant des cœurs en or.

En le sentant enfin en lui, mais sensible suite à sa précédente jouissance, il gémit fortement serrant les dents pour s'empêcher de jouir aussi rapidement. Il posa ses mains sur les épaules du brun, sa queue bougea de bas en haut, puis remonta son bassin faisant de lent vas et viens profond en lui gémissant à chaque glissement.

Le brun faisait des sonorités de plaisir intense.

Zhongli : Continue

Le loup suivait le rythme imposé par son renard soulevant son bassin, tandis que ses mains vienne caresser ces oreilles et sa queue, tout en le mordant par endroit, ou jouant avec ces tétons avec sa langue.

Tartaglia gémissait davantage sous ses morsures et ses caresses, il échappa un cri en se lâchant un peu trop sec sur le membre du brun, les oreilles en arrière.

Le loup gémit de plus en plus, bougeant en rythme.

Zhongli : Je vais vite venir comme sa

Ses mains viennent saisir les hanches du renard, donnant de plus grand coup en lui, jouant avec ses tétons, insérant un doigt en plus de son membre en lui.

Le renard s'accrocha au cou du loup, la bave aux lèvres, criant le nom de son loup se contractant soudainement. Il se cambra en arrière, criant sa jouissance, se relâchant sur le ventre du brun.

Zhongli vient en Tartaglia en même temps que lui. Respirant chaudement, se retirant doucement du roux, venant lécher ma verge du renard, et passez ses doigts sur son ventre récupérer et lécher le liquide.

Zhongli essayé de se calmer, mais...Il devait calmer son roux, pas lui...!

Tartaglia colla son torse au sien, le souffle rapide essayant de se calmer, chose qu'il réussit assez bien étant assez "rassasié". Il enfouit son visage dans le cou du loup fermant les yeux pour se calmer.

Câlinant son renard contre lui, il le recouvre d'une couverture, voulant le détendre au mieux.

Zhongli : Inspire doucement par la bouche...Surtout pas, par le nez sinon tu vas sentir de nouveau mon odeur...

Il lui embrasse la main tendrement.

Zhongli : Quand tu te sentiras de tenir debout, je t'aiderais à prendre un bain...D'accord ?

Le rouquin hocha la tête, respirant par la bouche comme lui conseiller le brun vibrant et ronronnant contre lui.

Le massant doucement, lentement, il lui murmure lentement.

Zhongli : Tu ne bougeras pas de la maison tant que tu n'auras pas eu le médicament...Sa calme tes chaleurs temporairement. Je m'occuperais de toi, et tu ne verras que moi. Je t'aiderais aussi avec ta... Nouvelle apparence.

Il lui caresse la tête.

Zhongli : Sa te va mon renardo ?

La queue du renard se mit à bouger en ronronnant.

Tartaglia : Oui... ca me va

Zhongli rassuré, l'embrasse au front, puis le porte doucement, inspirant par la bouche doucement.

Zhongli: Déjà...Un bain est obligatoire. Ensuite, tu mangeras de la viande obligatoirement aussi, et enfin, on te cherchera des habits...

Tartaglia: Pourquoi ? On en a déjà des vêtements...

Dit-il assez faiblement se laissant porter.

Zhongli: Pas adapter à ton apparence mon renard

Ria ce dernier, l'emmenant à la salle de bain, dans la baignoire faisant couler de l'eau assez fraîche...

Zhongli: Surtout que les autres résistants ne savent déjà pas pour moi, alors s'ils apprennent pour toi...Sa risque de faire beaucoup.

Tartaglia frissonna à l'eau froide, ses poils se hérissaient.

Tartaglia: Eh bien autant faire notre retour ensemble mon loup !

Sourit le rouquin.

Tartaglia: Ben, tu sais, a par le pantalon, le reste va bien aller !

Dit-il en haussant les épaules.

Zhongli: Et ça ?

Il frôle les oreilles du renard.

Zhongli: Navré pour l'eau froide, mais ça te calmera un peu sinon...Tu seras à nouveau à cran, et ça ne m'aidera pas...

Il était assez rouge, mais reste concentré à sa tâche, prenant un gant, du savon, et commence à laver son renard, doucement surtout au niveau de la queue et des oreilles.

Le renard se secoua en le sentant insister sur ses attributs animaux frémissant.

Tartaglia: Ça va mes oreilles, elles ne vont pas me gêner... Pourquoi t'insiste sur mes oreilles et ma queue ? C'est propre !

Ronronna le rouquin en voulant essayer de sortir.

Zhongli: Mon beau renardo...Patiente s'il te plaît, et si j'insiste autant, c'est pour les calmer ! Ils s'agitent depuis tout à l'heure !

Dit-il un peu amusé, il retourne sur sa queue pour ensuite la rincer, elle, et ses oreilles très délicatement.

Zhongli: Tu sembles comme moi, très sensibles sur tes attributs...

Pour tester, il caresse ses oreilles, souriant un peu.

Tartaglia ronronna et appuya sa tête contre la main du brun pour plus de caresses, sa queue s'agitant encore plus.

Zhongli sourit que plus, attendrit, continua encore un peu, puis ce stop peu à peu.

Zhongli: Calme-toi mon renard...Lève-toi lentement, pour que je puisse te rincer entièrement et te porter de nouveau. Il va falloir que tu marches pour que tu t'habitues au poids de ta queue...

Tartaglia essaya de calmer ses ronronnements puis regarda le brun, perplexe.

Tartaglia: Comment ça ? Ma queue ne peut pas être si lourde que ça pour impacter mon équilibre.

Sourit le rouquin, naïf. Puis, il se leva, mais un peu vite, perdant légèrement l'équilibre s'accrochant au loup face à lui.

Zhongli : Je t'avais prévenu...

Il l'aide à se tenir droit, puis un peu rouge prend sa main là m'étant à plat dans sa main puis pose sa queue de loup dessus.

Zhongli : Ce n'est pas lourd, mais sa reste imposant. Alors imagine ta queue maintenant. Elle fait le poids de la mienne à peu près, je dirais donc vas-y doucement.

Voyant ce qu'il voulait dire, le rouquin baissa un peu les oreilles.

Tartaglia: D'accord...

Voyant sa réaction, et voulant le rassurer, il lui prend le menton et l'embrasse doucement, venant caresser ses oreilles.

Zhongli : Sa ira, j'en suis sûr, il faut juste que tu y ailles petit à petit...Et je vais t'y aider d'accord ?

Tartaglia sourit à son baiser et hocha la tête, il passa ensuite ses bras autour du cou du loup pour s'aider à rester debout.

Tartaglia: Je m'en tiens alors à vous, maître

Ce simple mot manqua de peu à le faire vriller...

Contrôlant au mieux sa respiration, il l'essuie, puis se dirige vers la cuisine.

Zhongli : Je te prépare à manger attend sagement.