Chapitre 5: Fuite
Tartaglia: Entrez , poser les Bouteilles et dégager.
Grogna le rouquin essayant de contenir sa politesse du mieux qu'il pouvait.
Serviteur : Bien.
Ils entrèrent et déposent rapidement trois bouteilles.
Toute du saké, mais de différents endroits, puis repartent aussitôt.
Le rouquin soupira en se laissant couler sur sa chaise.
Tartaglia: Vivement qu'on se casse de la... Je n'en peux plus de cette ambiance électrique...
Il attrapa une bouteille et prit une grande gorgé.
En le voyant faire, le brun l'imita, mais grimaçant juste après.
Zhongli : ...Laisse-moi faire.
Puis il prend une seconde gorgé.
Tartaglia le regarde.
Tartaglia: Faire quoi ?
Zhongli: Pour nous enfuir d'ici. Je vais tout organiser, je te l'ai dit.
Un grand sourire se forme tandis qu'il commence à être dans un nuage.
Zhongli: C'est quoi cette boisson...?
Tartaglia: Ah oui ... C'est vrai...
Il lui lança un regard tout en s'enfilant deux gorgées.
Tartaglia: Tu viens de t'attaquer au saké le plus fort du pays...
Dit-il, les joues légèrement rougit à cause de l'alcool.
Zhongli: Je vais m'allonger...Je vais aller dans la chambre.
Titubant un peu, il va vers la porte se tenant à la porte.
Tartaglia: Tu arrives à peine à marcher... Attends...
Tenant assez bien, il se rapprocha du loup.
Tartaglia: Je prends le reste des bouteilles pour les mettre dans ma chambre...
Il embarqua les bouteilles et prit le bras de Zhongli sur ses épaules.
Le brun était très rouge au visage, dû à l'alcool, et se sentait dangereusement s'endormir.
Zhongli : Allons y tant que je suis conscient, je me sens m'endormir...
Il reprend sa marche en aillant le prince qu'il aide, marchant lentement, voyant flou.
Zhongli : ...Le saké le plus fort...Ma chance a vite tourné...
Tartaglia: Tu es juste tomber sur la mauvaise bouteille...
Lui sourit le rouquin compatissant l'aidant jusqu'à sa chambre. Ils avaient dû la chance de ne croiser personne, le prince ferma la porte de sa chambre, après qu'ils soient entrés, pour être sûrs de ne pas être surpris.
Tartaglia: Voilà...
Il posa les bouteilles et allongea le brun sur son lit.
En s'allongeant le brun, saisis la manche du roux, avec une main le regard confus.
Zhongli : ...Tu restes...? Tu ne me laisses pas seul...?
Tartaglia: Je ne vais pas te laisser, ne t'inquiète pas...
Il lui fit un sourire rassurant en lui caressant la joue.
Zhongli avait un air de supplications, gardant tout de même la manche du roux, la plaçant contre son torse comme un doudou.
Zhongli : ...Je peux ?
Tartaglia sourit, s'allongeant à ses côtés.
Tartaglia: Va si...
Le loup bouge un peu, venant contre le torse du roux de dos, gardant la manche avec la main du roux contre lui.
Zhongli : ...Pose...Questions...Je peux y répondre, sur tout ce qui te préoccupe.
Dit finalement le brun, à peu près bien.
Tartaglia: Il y en a bien une... Sur ton immortalité... Comment...?
Malgré que l'alcool monta peu à peu dans son corps, il était très bien conscient.
Zhongli : ... Regarde.
En général il s'oblige à le cacher, mais à ce moment-là, il dévoile de nouveau ses bras marron avec des traits dorés...
Zhongli : "Il y a des milliers d'années, ou humains et hybrides s'entendait bien, le roi des hybrides eu un fils... Mi-loup, mi-humain. À son apparition nombreuse, on voulut le kidnapper pour en tirer bon prix. Mais un jour, le jeune hybride décida de fuir, mais tomba sur un autre hybride, qui lui arracha son cœur, cet être dévora le cœur pour s'en approprier le sang royal... Un être sans nom, sans apparence pertinente apparus devant le corps sans vie du loup et lui confère alors un corps immortel... Depuis, on raconte que ce loup ère et reste auprès des siens, observant en silence les siècles passés."
Tartaglia regarda son amant, stupéfait par ce qu'il entendait. Il écoutait attentivement tandis que sa main remonta sur l'emplacement du corps du loup.
Tartaglia: Ton cœur...
Zhongli : ..."Mais il fallut des siècles après pour qu'un second être identique à ce loup rencontre ce dernier. Mais n'aillant plus d'envie de vivre, il lui offrit son cœur lui souhaitant une vie heureuse. Après une opération seul, douloureuse, le loup se met le cœur, mais désormais son corps été immortel se régénérant à l'infini, lui privant de la mort"
Le visage du brun fut plus triste, se collant au roux.
Zhongli : ...Je t'aime.
Tartaglia le serra davantage contre glissant son visage dans son cou.
Tartaglia: Je t'aime aussi...
Ce sentant doucement sombrer dans le sommeil, il ronronne, murmurant.
Zhongli : On... Partira d'ici... Quitte à ce que je doive me battre.
Tartaglia se mit à sourire, les paupières commençant à tomber aussi.
Tartaglia: J'ai confiance en toi... Mais je me battrais aussi... S'il le faut...
Murmura le prince en s'endormant à son tour.
Zhongli s'endort à son tour contre son amant...
Le rouquin resta son nez dans le cou du brun, respirant son odeur le berçant.
Quelques heures s'écoulent...
Toujours dans la nuit, le brun commençait à avoir froid, couinant un peu, et se sentant mal...Froid et chaud en même temps, et respirant difficilement.
Tartaglia dormait assez bien, ne remarquant pas encore l'état de son brun dans ses bras.
Il fallut quelques heures de plus, pour que finalement le brun respiré difficilement, tenant fermement la manche du roux, grimaçant, avec de la fièvre, et sa queue molle, avec ses oreilles rabattu en arrière.
Ce n'est qu'à ce moment, sentant une grosse chaleur contre lui qui le réveilla. Le visage voilé de fatigue, les yeux mis clos, il releva la tête en regardant Zhongli. Il s'inquiéta de son état soudain et posa sa main sur son front et ses joues...
Il était brûlant...
Tartaglia: Zhongli...?
Respirant chaudement, et rouvrant ses yeux, il regarde le roux, larmes aux yeux.
Il n'était jamais tombé malade...
Alors il ne comprenait rien.
Zhongli : Me sens mal ...
Articule ce dernier, frissonnant de froid...Et de chaud en même temps.
Tartaglia: Tu es tombé malade... L'alcool n'a pas dû aider...
Il lâcha le brun pour se lever et part dans la salle de bain.
En le voyant soudainement s'éloigner, aillant un air nettement plus enfantin, mais resta allonger sur le ventre, sa queue venant le couvrir.
Le rouquin attrapa une bassine d'eau, des torchons et un verre ainsi qu'un médicament. Il revient auprès du brun puis s'assoit sur le bord du lit.
Tartaglia: Je vais prendre soin de toi...
Les yeux luisant, son corps engourdi, et sa queue sans vie, il rampe jusqu'à poser sa tête sur les cuisses du roux, le regardant.
Zhongli : On doit s'entraîner. Pour le tournoi... Ça ira...!
Il essaye de se redresser d'un coup, mais son équilibre le lâche le faisan retombé sur le roux la tête sur son torse. Relevant le visage, il se met à chouiner.
Zhongli : Pourquoi je suis faible...?
Tartaglia lui caresse la joue.
Tartaglia: Ne bouge pas trop... Ton corps a besoin de se reposer... Prends ça, ça calmera ta fièvre...
Il lui sourit doucement et lui tend un verre d'eau et un médicament.
Tartaglia : Ne pense pas à l'entraînement pour le moment, tu dois te reposer d'abord.
Avec sa queue, il se saisit du verre l'emmenant à lui, le buvant en grimaçant, couinant un peu, frottant sa tête au torse du roux.
Zhongli : Câlin...Et j'ai chaud et froid en même temps...
Tartaglia: Ça va passer...
Il passa ses bras autour du loup le serrant contre lui pour un câlin. Il passa aussi sa main sur ses oreilles pour le détendre.
Ses oreilles bougent alors, montrant leur joie aux gestes affectueux, restant contre le roux, mais pas vraiment en forme.
Zhongli : Mais...Et pour les serviteurs qui doivent te voir prendre la pilule...? Et le roi ?
Tartaglia réfléchi, s'il leur ouvrait avec les yeux violets, ils verront qu'il aurait pris sa pilule.
Ouais, ça va marcher le temps que son brun se rétablisse.
Tartaglia: Ne t'en fais pas pour ça, je vais me débrouiller.
Zhongli eut quelque tremblement.
Zhongli : Je ne veux pas que tu prennes de risque...!
Tartaglia: Je ne vais pas en prendre... Ai confiance en moi...
Il lui sourit pour le rassurer, attrapa un chiffon qu'il plongea dans l'eau avant de l'essorer et de ne poser pas sur le front du loup.
Qui soupire doucement sentant du frai, mais regardant le roux inquiet...Puis finalement ...
Zhongli : D'accord... Promets-le ! C'est un contrat !
Tartaglia: Je te le promets... Toi, tu aimes les contrats...
Sourit le rouquin.
Zhongli: Et bien...Avec ma revente, mes enchères, j'ai appris à utiliser les contrats à bon escient.
Dit-il assez fier, avec un sourire.
Tartaglia rit.
Tartaglia: Et fier en plus de ça.
Le loup profite que le roux soit toujours là pour revenir sur lui, s'allongent sur le roux la tête sur son torse, au niveau du cœur du roux, le détendant instantanément.
Zhongli : ...Toute douce...
Murmure ce dernier entre deux ronrons.
Tartaglia lui caresse ses oreilles pour le détendre souriant. Son cœur battait dans un rythme apaisé tandis qu'il ferma les yeux pour se reposer un peu à son tour.
Le brun le rejoint rapidement, ronronnant durant toute sa mini sieste...Malgré qu'il semblait dormir, pas très bien vue son état...
Le rouquin bougea légèrement en entendant des toques à sa porte.
Tartaglia: Hummm... Qu'est-ce que c'est...?
Roi : Ajax. On doit parler.
La voix du roi était facilement reconnaissable, et la simple entente de cette voix, fait ouvrir les yeux du loup, les oreillers dresser, montrant ses canines ?
Tartaglia se mit à un peu paniquer, se redressant subitement en gardant le loup sur lui.
Tartaglia: Je ne suis pas tout seul.
Grogna le prince en essayant d'être convaincant.
Roi : Peu importe. Ça n'a jamais dérangé nos conversations.
Il entra alors sans plus tarder, Zhongli opta pour faire l'endormit rapidement restant tout de même contre le prince.
Roi : Je vois que tu t'amuses bien avec ton nouveau jouet... Masculin.
Tartaglia se mordit la joue pour ne pas faire de réflexion, il releva la tête en prenant ses yeux violets et regarde son père.
Tartaglia: Que voulez-vous... Père...?
Roi : On doit parler de tes absences d'aujourd'hui, mais aussi du tournoi et surtout de la descendance. Il faut que tu fasses un héritier ! Dans les plus brefs délais, car jusqu'à que tu seras dépendant de ces pilules pour être comme ça, tu n'es pas digne d'être roi.
Explique l'homme a la couronne, d'un ton froid, et sévère.
Tartaglia: Vous n'avez qu'à demander à une de vos concubines alors de vous faire un autre gosse qui vous sera digne d'être roi... Si je ne le suis pas...
Grogna le prince en serrant les poings.
Tartaglia: Et qui vous dit que je suis encore dépendant de vos saloperies de pilule ?
Lâcha-t-il en essayant de contenir son énervement.
Roi : Parle-moi sur un autre ton. Ça ferait des années que tu serais morts, mais tu peux m'être utile en faisant cet héritier. Alors je ne te laisse pas le choix. Tu seras avec une femme avec ton sang royal et personne d'autre.
Sa voix se faisait menaçante.
Roi : Dorénavant, tu n'auras que des serviteurs féminins, dignes d'un futur roi, pas de...De sang mêler comme ce vulgaire loup.
Tartaglia: Très bien ! Donnez-moi des femmes, mais laissez-moi mon serviteur. Il est à moi, vous n'avez pas de droit sur lui. Je vous ferez cet héritier...
Grogna le rouquin en baissant la tête.
Roi : Tu n'es pas roi, ni un être supérieur. Tu n'as aucun ordre à me donner.
Saisissant par la queue, le loup, ce dernier rouvre les yeux en grand, hurlant de douleur, mais grognant, il donne un coup de griffe au roi, le poussant.
Zhongli: Ok rectification, il faut qu'on parte maintenant !
Dit le loup au roux, malgré que pas vraiment, en forme, il se saisit de la lettre qu'il avait laissée il y a quelque temps, la lit, et assomme le roi le voyant revenir, pour le dépouiller de sa longue cape, ainsi que de la couronne.
Zhongli: ...Ce n'était pas prévu pour maintenant...
Tartaglia avait sursauté, reprenant ses yeux bleu sous la surprise, mais se releva en vitesse pour aller près du loup.
Tartaglia: Non mais je ne veux pas qu'il te fasse du mal ! Alors partons !
Zhongli ria, mais aillant que peut récupérer son équilibre chuta.
Zhongli: Bon...On va faire un truc.
Il lui tend la cape.
Zhongli: Tu vas mettre ça, prétextant que ton père ta permis de la porter et moi, je me cacherais sous la cape derrière toi, pour me tenir à toi et pas trop te ralentir. On doit partir...Les servantes vont arriver dans quinze minutes...
Tartaglia: Bien.
Il prend la cape, la met et regarde son père au sol.
Cet homme lui a fait vivre un enfer et il pouvait enfin en sortir.
Il serra les dents et s'avança jusqu'à la porte.
Tartaglia : Allons y.
Zhongli se met sous la cape, se collant le plus à Tartaglia.
Zhongli: Si je ne me colle pas, on verra une bosse alors tiens le coup...
Dit ce dernier un peu gêner, mais souriant.
Zhongli: On va y arriver, il ne faut juste pas que les servantes arrivent trop tôt. Avec la couronne, on a un gagne-pain énorme, il suffit qu'on arrive dans la forêt.
Tartaglia: Ok...
Rougit le rouquin en sentant ses mains sur son ventre.
Tartaglia: Et n'en profite pas...
Le rouquin commença sa marche en essayant d'être synchro avec le loup se dirigeant vers la sortie. Pour l'instant, ils ne croisaient que des serviteurs qui posaient la question.
Serviteur : Prince ? Pourquoi...
Tartaglia : Vous n'avez rien à demander, le roi fait ce qu'il veut de sa cape !
Puis s'éloigna vite atteignant bientôt la porte.
Mais un chevalier de garde si trouve, et en voyant le prince, lève et pose sa lance dans un gros fracas.
Garde : Bonsoir Sir ! Navré, mais sous ordre du roi personne ne doit sortir ni entrer.
Tartaglia essaya de trouver une excuse et trouva assez vite.
Tartaglia: Le roi m'a demandé d'aller rejoindre la princesse Signora pour nos fiançailles. Sa cape prouve qu'il m'a donné son accord !
Dit le rouquin en essayant d'être le plus convainquant possible.
Garde : En pleine nuit ?
Ria le garde.
Garde : Allons, allons, vous jouerez le prince charmant demain.
Il regarde néanmoins la cape se rapprochant.
Gardes : Elle me semble bien épaisse d'ailleurs...
Tartaglia: {Merde...}
En le voyant se rapprocher trop, il attrape le garde et s'assomme avec un coup dans la nuque.
Tartaglia: Tant pis pour la discrétion... Nous devons courir !
Sachant le brun encore faible, il passa ses mains sous ses cuisses pour le prendre sur son dos et se mit à courir pour sortir de l'enceinte du château.
Zhongli s'accroche au roux, tenant fermement leurs moyens de vivre la couronne.
Zhongli : Tarta...Les gardes...!
Les gardes alertées par le corps inconscient du garde sont alors partis à leurs poursuites.
La forêt se trouvait droit devant.
Zhongli : Fonce dans cet arbre, là devant, fais moins confiance !
Dit-il en montrant un arbre.
Le prince se mordit la lèvre et se dirigea vers cet arbre.
Entrant en collision avec l'arbre le brun tend le bras, ce qui les fait traverser l'arbre... Arrivant dans une sorte de maison.
Le brun chuta du dos du roux une fois dedans, toujours malade.
Zhongli : Ils ne nous trouveront jamais ici, et encore moins réussir à entrer...
La couronne en main, il regarde le prince.
Zhongli : ...J'avais d'autres plans, pour rendre ces endroits plus acceptables pour un prince comme toi, ou avoir des vivres pour deux...Mais je n'aurais pas eu le temps.
Trébuchant en arrivant dans l'arbre, il se retrouva sur le ventre, essoufflé suite à sa course.
Tartaglia: Ne t'en fais pas... Rien que d'être sorti de ce château des enfers me va déjà bien...
Il reprit son souffle toujours au sol, se sentant enfin respirer et moins dans une ambiance angoissante et fermer.
Le loup rampe jusqu'à lui, venant se mettre en boule contre lui.
Zhongli: Dois m'allonger...On ira faire des provisions demain...Faudra que je vienne avec toi.
Tartaglia le prend contre lui en souriant.
Tartaglia: Ça va aller maintenant...
Ronronnant, il vient lécher la joue du roux.
Zhongli: Toi aussi...Tu n'es plus enfermé là-bas.
Prenant la cape avec sa queue, il se recouvre avec, tout en couvrant aussi le roux.
Tartaglia sourit et se blottit contre lui.
Tartaglia: Oui...
Encore un peu malade, il se tient fermement au roux, de face ses oreilles se rabat.
Il fallut quelques secondes, afin qu'il se rendorme...
Le rouquin passa sa main dans sa tignasse, la caressant tout en gardant son regard bleuté sur lui.
Il était en sécurité...
Ils étaient ensemble ET en sécurité...
Un doux sourire apparut sur ses lèvres.
À sa caresse, le brun semble se détendre, dormant d'un sommeil réparateur, en cette nuit très mouvementé...
Le prince eut les paupières lourdes, se laissant s'endormir paisiblement contre le loup.
Le reste de la nuit passa sans encombre, les deux amants restes endormit l'un contre l'autre...
Le soleil finit par se lever, tapant au travers l'arbre, la tête du loup qui, gêné par la chaleur, vient fourrer son visage davantage contre le prince.
Tartaglia bougea en sentant une masse chaude se faufiler dans son cou, frémissant.
Tartaglia: Humm....
Il eut ensuite les rayons du soleil qui le gênait à son tour, marmonnant, il enfouit ensuite son visage entre les oreilles du loup.
Qui fait couiner le loup de surprise, mais pas de mécontentement.
Il ouvre les yeux, allant embrasser le prince sur les lèvres, refermant ses yeux à la douceur.
Le prince répondit à son baiser le sortant en même temps du sommeil, bien qu'il garda les yeux fermés.
Zhongli : Tarta...? Réveille-toi...
Venant lui faire un câlin, le brun l'embrasse au front, au nez, aux joues, puis aux lèvres.
Tartaglia: Humm...
Il y répondit en souriant.
Tartaglia: Je suis réveillé...
Tout sourire, le loup se recule le libérant de son poids.
Zhongli : Bien dormis...? Malgré le peu de confort...
Tartaglia sourit, les yeux encore un peu endormis.
Tartaglia: J'ai bien dormi... Sans cette ambiance oppressante du château... Et toi ? Comment tu te sens ?
Il déplaça sa main sur le front et les joues du brun pour contrôler sa température.
Il était un peu chaud, mais beaucoup moins qu'auparavant.
Zhongli : Mieux...Malgré qu'un peu engourdis encore...Mais il va falloir que je fasse avec.
Il se relève péniblement, reprenant la couronne, s'aidant de ces griffes, il y retirait les 7 pierres qui ornaient l'objet.
Zhongli : ...Il faut qu'on revende ça. Avec toi, ça devrait être facile. Peu de gens de classe en dessous de la royauté te connaissent. Et vue que les hybrides sont mal vue, tu devras tant charger...
Tartaglia: Il faudrait juste que tu me prêtes des vêtements moins... Voyant...
Dit-il en se regardant de la tête au pied, tirant sur ses vêtements de riche. Il se releva à son tour.
Tartaglia: Tu vas me laisser y aller tout seul...?
Paniqua légèrement le rouquin.
Zhongli : Je n'ai pas dit ça. Mais, moi, je vais devoir le cacher en restant avec toi. Je ne vais pas laisser la petite sourie que tu es dans la jungle ou tu es maintenant.
Dit-il en riant, allant vers sa réserve prenant une assiette pleine de viande et tend une assiette tout pareil avec un bonus de salade.
Tartaglia: Parce que si je suis la souris moi, ça fait de toi, le chat ?
Sourit-il d'un ton aguicheur alors qu'il prit l'assiette en le remerciant.
Zhongli : Alors...Dans cette jungle, je suis un lion
Il le laisse manger, dévorant sa propre assiette.
Zhongli : Cette cape vaut cher...Et tes habits aussi. Mais avant ça faut que je te file des habits dès que j'ai finis de manger.
Tartaglia dévora la sienne avec appétit.
Tartaglia: Oui, je ne voudrais pas me trimballer à poil dans la forêt tout le monde me verrait...
Avec un petit sourire malicieux et un regard en coin, il espérait le faire réagir.
Il ne fallut qu'une seconde après sa phrase pour que le loup soit derrière le roux le tenant à la taille, lui léchant le cou.
Zhongli : Tu m'appartiens. Je ne partage pas...Il n'y a que moi qui ai le droit de t'admirer, te toucher et te marquer
Puis pour confirmer ces dires, il vient le mordre au cou, sans trop forcer.
À sa première léchouille, le prince frémit et retient un gémissement. Mais à sa morsure, il ne put s'empêcher de gémir en penchant la tête sur le côté pour lui laisser le champ libre.
Tartaglia: Ça pour me marquer... Tu sais faire... Et tes touchers me rendent dingue...
Voyant sa réaction, sa queue viens s'agiter de gauche à droite, et réitère son geste, en lui susurrant a l'oreille, en étant toujours derrière lui.
Zhongli : Tu aimes à ce point?
Tartaglia frémit, les joues rouges, gémissant encore une fois.
Tartaglia : Dois-je te rappeler... Que je suis sensible... Au cou...
Zhongli : Hum... Je savais plus... Ou pas ?
Il continue le poussant petit à petit contre un mur.
Le rouquin fut collé le torse au mur, gémissant et se mordant la lèvre.
Tartaglia: Tu le savais très bien, je suis sur
Il serra les poings et colla ses fesses au bassin du brun.
Zhongli: Tu ne sembles pas contre mais tu sais que je ne vais pas pouvoir continuer...Sinon je vais empirer mon état.
Dit-il en l'embrassant au cou, tout en rajoutant.
Zhongli: L'alcool ce n'est pas fait pour moi visiblement... Ça me rend trop fragile...Alors sois patient mon beau.
Tartaglia gémissant et grognant, il se retourne pour lui faire face et plaqua ses lèvres contre les siennes.
Tartaglia: Laisse-moi alors sortir l'alcool de ton corps
Murmure le prince contre ses lèvres avant de dévorer ses lèvres à nouveau en passant sa jambe sur sa hanche.
Zhongli: Et comment tu comptes faire mon prince ?
Sa queue vient rejoindre la jambe du roux, la caressant doucement.
Tartaglia: Je ne sais pas en te vidant d'une certaine façon
Dit-il en passant sa main sur son entre-jambe avec un sourire.
Zhongli couine doucement, ses oreilles se rabattant en arrière.
Zhongli: Montre-moi donc
Le prince sourit davantage en échangeant leur place, collant le dos du brun au mur tandis qu'il se mit à descendre jusqu'à se retrouver face à son entre-jambe qu'il caressa.
Zhongli: Mon roux...Tu es beaucoup trop gourmand...
Un fin sourire se forme, lui caressant la tête, ses oreilles se redressant.
Tartaglia: Gourmand de toi
Il baissa le bas du loup, faisant sortir le membre du loup tel un ressort se léchant les lèvres.
Tartaglia: Tu bandes déjà en plus de ça
Zhongli : Vu la magnifique vue que j'ai, et ta langue que j'ai qu'une envie c'est de jouer avec je peux que l'être ~
Sa voix montrée, son désir, ses pupilles devenant dorées.
Zhongli : Tu veux goûter à ta sucette ?
Tartaglia hocha de la tête en prenant son membre dans sa bouche pour s'occuper avec sa langue.
Des cœurs se forment dans les yeux du brun.
Cette langue délicieuse, et si... Experte.
Passant ses deux mains sur la tête du roux, grognant d'impatience et de plaisir.
Zhongli : Délicieux
Le prince commença des vas et viens s'aidant de sa langue pour le lécher. Il garda ses mains au sol se tenant, tout en continuant.
Zhongli gémis de plus belle, lui tirant la tête vers lui.
Zhongli : Bordel je me sens déjà venir...
Tartaglia ralenti ses mouvements jusqu'à lécher son gland avec insistance pour le rendre encore plus accro à ce qu'il lui faisait.
Zhongli : Tarta...!
Le brun bougea son bassin vers le roux, impatient, devenant très sensible, sa queue s'agite derrière lui.
Le rouquin sourit et fit une gorge profonde le sentant palpiter dans sa gorge.
À sa gorge profonde, le brun se contracta, hurlant de plaisir finissant par venir sans aucun contrôle.
Zhongli: Trop...Bon tu es divin...
Tremblant un peu, il regarde son amant, d'un regard transit d'envie.
Tartaglia avala sa semence puis retira le membre du brun de sa bouche et le léchant pour le nettoyer.
Se mordant la lèvre à son coup de langue, plaçant une main devant sa bouche, étant très rouge, il maintient son regard sur son roux.
Zhongli: Je veux plus maintenant...C'est malin...
Tartaglia avait commencé à avoir des cœurs dans les yeux, se sentant bouillir de l'intérieur, les joues rouges. Il se releva et commença à défaire son haut dans un mouvement lent et sensuel.
Tartaglia : Qu'est-ce que tu veux de plus... ?
Au spectacle devant lui, il se saisit du chemisier du roux avec ces crocs le lui retirant d'un vif mouvement.
Zhongli : Toi, entièrement, te sentir
Il le regarde désireux, son membre palpitant, ses mains prenant les hanches du roux.
Tartaglia lâcha un petit cri de surprise, mais lui sourit malicieusement en passant ses bras autour de son cou.
Tartaglia : Fait moi tien alors
Le loup sourit puis vient embrasser son roux avec ardeur et gourmandise, venant doucement échanger leur place.
Zhongli : Alors prépare toi mon roux
Le plaçant contre la vitre de face, il lui susurre.
Zhongli : Tu avais aimé me prendre contre la vitre non...? J'avais beaucoup aimé, et si on le refaisait, mais les rôles inversés ?
Le prince frémit et gémit en sentant le verre froid sur ses tétons et son torse.
Tartaglia: Fait moi découvrir ce que tu as ressenti...
Rien que l'idée le rendait dingue de plaisir, ses yeux bleus voilés de plaisir.
Venant prendre de nouveau ses hanches, il le recule juste assez pour passer sa main à son membre, plaçant son membre contre ses fesses bougeant son bassin au rythme de léger vas et viens de haut en bas sur le membre du roux...
Zhongli : Profite alors de ton traitement.
Tartaglia gémit, frémissant entre ses doigts. Il se sentait humide rien qu'à le savoir se frotter à lui.
Zhongli : Autant toi, tu aimes prendre ton temps, mais moi, tu me rends impatient
Venant jouer avec son membre avec ses deux mains, l'une sur la verge et la seconde avec les boules, continuant ces légers coups de bassin entre ses deux fesses, il susurre.
Zhongli : Je veux tenter deux choses...La première...
Il introduit un premier doigt en son roux, tout en jouant avec la verge et continuant ces coups de bassins.
Zhongli : Si humide tu demandes que ça, tu es comme moi~
Le prince serra les poings en gémissant fortement contre la vitre, faisant de la buée dessus. Son corps se contracta soudainement en le sentant entrer en lui dans un petit couinement.
Tartaglia: et... La deuxième ...?
Son ventre était brûlant, il sentit se liquide chaud vite monter tant les doigts du brun le rendait fou et incontrôlable sur les agissements de son corps.
Zhongli : Savoure déjà mon beau roux, la suite viendra plus tard...~
Il entama de petit, mais précis coup en lui avec son doigt...Puis un second arrive touchant la prostate de son roux, tandis qu'il joua avec le gland avec son autre main.
Puis voulant réentendre ces gémissements, il le mord de nouveau au cou.
La langue pendante, il lâcha un cri de plaisir prit soudainement de spasmes assez fort. Il se sentait vrillé sous ses doigts, la chaleur dans son ventre allait bientôt exploser.
Tartaglia: Chéri... Je vais ... !
Les larmes aux yeux, il se sentait venir dangereusement le faisant couinement assez fortement.
Zhongli : Vas-y mon beau ~
Il accélérait ces gestes, voulant le faire venir une première fois, souriant, même si lui aussi, il aimait que trop l'état de son roux.
.
Le rouquin se contracta subitement en lâchant un cri de plaisir. Il n'en pouvait plus...
Il se lâcha dans la main du brun pris de puissant spasme de plaisir.
À son cri, l'esprit du loup vrilla, finissant par céder.
Sans attendre, il retire ses doigts, retourne son amant, venant lécher la verge du roux, la nettoyant, tout en se léchant la main, une fois fais, il le saisit par les fesses le soulevant, et l'empalant avec son membre qui en entrant en lui alla en profondeur, faisant gémir le brun.
Zhongli : Trop bon comme je l'imaginer en mieux
Sa respiration se fait saccader, mais ne perdait pas une miette de l'expression du roux.
Espérant reprendre son souffle, il lâcha un couinement en sentant sa langue sur son membre sensible. Mais son souffle se coupa en le sentant entrer en lui d'un coup, lâchant un hurlement de plaisir, la bave aux lèvres, les joues rouges et les yeux en cœur.
S'aidant de la vitre non loin, il avance son visage pour embrasser son roux, donnant un autre puissant coup en lui, suivit de plusieurs autres.
Zhongli: Tu aimes j'espère ?
Tartaglia étouffa un hurlement contre ses lèvres, avant de couinement fortement, criant de plus en plus fort à chaque coup.
Tartaglia: O-oui !
Zhongli: Parfait !
Le loup, aller vite venir, il en avait conscience alors il alla au plus vite qu'il pouvait grognant de possessivité, et de plaisir, allant embrasser le cou du roux, tenant fermement ce dernier.
Le rouquin ne savait plus où donner de la tête. Ne touchant plus le sol, seul le brun était son point de repère dans la réalité et encore...
Tellement aveuglé par le plaisir, il passa ses bras autour du cou du brun, la tête en arrière à hurler son plaisir ainsi que le nom de son amant, allant jusqu'à lui griffer le dos.
À la griffure, un grognement plus bestial se fait entendre, mais parvient à dire.
Zhongli: C'est trop-!
Finissant par venir, le brun donna un dernier grand coup en lui, allant jusqu'au plus profond du roux, venant le mordre une dernière fois au cou, tandis qu'il se déverse en lui.
Dans un hurlement incontrôlable, il rejoint le loup dans la jouissance, prit de spasme puissant.
Tremblant encore, il fait doucement descendre le roux, allant le poser sur le lit.
Zhongli: Tu es beaucoup trop bon pour mon esprit...
Il l'embrasse avec douceur sur ses lèvres.
Tartaglia essayant de reprendre ses esprits, il sourit contre ses lèvres tout en y répondant avec amour.
Tartaglia: A ce point ?
Zhongli: Oui
Ronronnant tendrement, le portant jusqu'au lit, il l'allonge avant de s'éloigner quelques secondes, récupérant...Du pain, le dévorant.
Zhongli: Il faut vraiment qu'on aille faire des affaires en ville...
Tartaglia le regardait en souriant.
Tartaglia: Oui... Il va falloir...
En allant dévorer le morceau de pain, il lance à Tartaglia, une tenue assez ouverte au niveau du ventre, avec comme couleur dominante le bleu azur et le gris, avec un pantalon assez large.
Zhongli: Essaye ça pour voir ?
Tartaglia se lève bien que le corps tout courbaturé et prit les vêtements pour s'habiller.
Une fois habillé, il posa devant le brun avec un sourire.
Tartaglia: Alors ?
Se léchant les lèvres, il répond en s'approchant de lui venant le prendre dans ses bras pour l'enlacer.
Zhongli: Tu es très beau...Mais personne ne touche
Tartaglia se mit à rire.
Tartaglia: Ne serais-tu pas un peu possessif ? Par hasard ?
En guise de réponse, la queue du loup entoure sa taille, posant son visage proche du cou de son prince.
Zhongli l'embrasse avec tendresse de nouveau à son cou, avec un ronron.
Le rouquin frémit et lâcha un léger gémissement. Il sourit en passant sa main dans sa tignasse brune.
Ce qui détend le loup, qui murmure...
Zhongli : Voici le plan mon beau : Je te suivrais à côté de toi, déguiser, et toi, tu auras un sac contenant les pierres, la couronne, et surtout la cape. Je te guiderais auprès d'un revendeur de renom, qui est mon habitué. Le but en avoir pour un million de moras.
Tartaglia: Je vois... Je ferais donc ça malgré que j'entre dans un endroit totalement inconnu...
Le rouquin était quelque peu inquiet face à ça, n'ayant pas l'habitude de sortir en dehors du château.
Zhongli l'embrasse de nouveau, le câlinant.
Zhongli : Tout ira bien. Je serais là, rien ne t'arrivera.
Il lui caresse le visage, le regard plus doux, beaucoup moins tendu qu'auparavant.
Zhongli : Je vais me changer...Je reviens.
Le loup va à une pièce à côté, lentement.
Tartaglia le regarde puis souffle en ferme les yeux.
Tartaglia: Faut juste que je m'habitue à cette nouvelle vie...
Murmure le rouquin.
Revenant habiller, de manière à cacher ses oreilles, sa queue, et une bonne partie de son visage, il se place devant le roux.
Zhongli : Ce sera la seule fois chéri. C'est ta première. Et dernière fois. Promis.
Il l'embrasse tendrement.
Zhongli : Je vais tout faire pour que ce soit la dernière...
Ému, l'ex prince lui sourit tendrement, les larmes aux yeux.
Ça faisait des années qu'ils n'avaient pas eu autant d'amour d'un coup, mais... Ça lui gonflait le cœur...
Tendrement, le loup vient contre lui, pour l'enlacer, de petite caresses se faisait sentir au dos.
Zhongli : Détends toi... Tu m'as... Aider au château. Ici, c'est moi. Il n'y a que ça que tu auras à faire. Le reste, je gère. Je t'aime mon roux.
Tartaglia trembla contre lui.
Tartaglia: Je t'aime aussi ... Mon loup...
Il souriait derrière sa larme.
En lui retirant sa larme, il continue de caresser son visage, allant à sa chevelure, voulant le calmer.
Zhongli : Fais-moi confiance, d'accord ?
Le rouquin hocha la tête vivement en souriant.
Tartaglia : D'accord !
Rassurer en le voyant comme ça, avec sa nouvelle tenue très large, cachant sa queue, ses oreilles, et une bonne partie de son visage, il tend la main vers le roux.
Zhongli: Allons y. Laisse-toi guider.
Tartaglia prend sa main en souriant.
Tartaglia: J'ai confiance en toi !
Gardant la précieuse main dans la sienne, il le tire à l'extérieur de leur cachette arrivant dans la forêt puis le loup passe devant guidant son roux vers un petit village...
Il n'y avait que des humains.
Mais... Les bas-fonds.
Les personnes pauvres, sans réel toit, mais beaucoup de marchés y circulait...Plus loin.
Et c'est là que se dirige le loup.
Le prince lança des regards partout, se sentant oppressé par cette ambiance de pauvreté...
Il n'en avait jamais su, son père ne lui en avait jamais parlé et il ne s'étonne même pas que son père ne s'occupait pas de son peuple...
Après tout, à part le sexe et avoir un héritier, il ne s'intéressait pas à grand-chose, même pas à son propre fils, alors son peuple...
Il se mordit la lèvre en sachant qu'il aurait pu changer les choses, mais ça aurait été impossible sans son loup...
Le destin est tragique bien que le sien est violemment tourné grâce à la rude personnalité de son amant.
Zhongli : Mon roux...On changera tout.
Se contenant de dire quoi que ce soit sur le roi, ou même Ajax mauvais, et continue d'avancer.
Jusqu'à arriver dans une grotte proche de la mer.
???: Oh. Morax, tu es de retour ?
Un jeune homme blond, avec une tresse similaire à celle de Zhongli se rapproche.
???: Et avec un invité ! Je me présente, je suis Thoma. Je gère les affaires de la résistance, bienvenue !
Zhongli sourit vers Tartaglia, voulant le rassurer.
Le rouquin se raidit en entendant le nom "La résistance". Il avait déjà son père en parler en mauvais... Et se retrouver devant un membre de cette fameuse résistance le rendant nerveux.
Thoma : Rassure-toi, peu importe ton histoire tu seras le bienvenue ici. Nous voulons aider le plus de civile ici, malgré nos difficultés en ce moment pour avoir assez pour tout le monde...
Avoue ce dernier assez gêner.
Zhongli : Ce problème, et résolu.
Le brun fait signe à Tartaglia de montrer alors le sac.
Encore un peu tendu même après les mots du blondinet, il tendit le sac la main légèrement tremblante.
Thoma le remarque regardant le roux.
Thoma : Hey, tu vas bien ? Tu te sens mal...?
Inquiet, le blond se rapproche, mais Zhongli se met entre.
Zhongli : Je m'en occupe. Prends le sac et attends deux minutes.
Thoma : Ok, je vous attends.
Le brun prend la main du roux, le tirant un peu plus loin.
S'éloignant, le rouquin lâcha un peu la pression en se cachant dans le torse du loup.
Voyant l'état du roux, il lui murmure.
Zhongli : ...J'ignorais quand te le dire, mais...Ton père n'aide pas vraiment son peuple. Là, tu vois pour les humains... Imagine pour les hybrides auparavant quand ils était encore tous là...
Sa voix se tut.
Zhongli : Mais...On va changer ça. Je te le promets, il faut que tu tiennes, mais dit toi que Thoma et digne de confiance, et que même s'il sait qui tu es, jamais il ne tant voudra, il suffira simplement que tu lui dises tes émotions et ton expérience en tant que..."fils" de ce roi.
Tartaglia: Je ne suis jamais sorti du château... Jamais ... Et mon père ne m'avait jamais parlé du peuple... J'étais dans l'ignorance totale jusqu'à aujourd'hui... Et... Ça fait si mal de savoir que le travail de ma mère a été si bafoué et piétiné.
Il releva la tête vers le brun.
Tartaglia: J'ai peur... Tellement peur d'être haï pour une chose que j'ignorais... Mais aussi complice d'un côté... En tant que prince agressif et agresseur sexuel...
À ces derniers mots, le brun grimace, plaque le roux contre un mur son regard devenant rouge.
Zhongli : Tu n'es plus lui. Tu es Tartaglia avant tout. Tu t'ai confronté. Ne dis plus jamais ça. Tu n'as touché aucun civile malgré ta personnalité Ajax. Mis à part tes serviteurs. Mais tous ont été sauvés. Tu n'es pas responsable et ici, tout a le monde sait très bien faire la part des choses. Tu n'es pas complice. Tu es une victime de son joug. Comme tous ici.
Dit-il d'un ton froid.
Zhongli : Ne dis plus jamais ça...
Sa voix se calme, venant enlacer le roux.
Zhongli : ...Tu es mon prince charmant, et ta mère... À former cette résistance donc non, son travail n'as pas été vain.
L'attitude du brun avait figé le prince qui n'avait pas osé bouger durant tout son monologue. Son regard l'avait raidi, mais il se radoucit en le sentant le prendre contre lui.
Tartaglia: Je... Désolé... Tu as raison...
Zhongli : Excuse-moi...Je me suis emporté. Maintenant, détends-toi, ici, personne ne te veux du mal. Surtout avec ce qu'on a ramené.
Vérifiant autour d'eux, par sécurité, après quelques secondes utilisant sa capuche, il vient embrasser le roux tendrement.
Tartaglia se détend directement en sentant les lèvres de son amant. Il remonta sa main sur sa joue dans une douce caresse.
Un ronron digne d'un chaton se fait entendre, mais le loup se recule rompant se tendre moment.
Zhongli : ... On doit retourner auprès de Thoma... Allez courage mon roux.
Tartaglia hocha la tête en lâchant un souffle pour se donner du courage.
Tartaglia: Je te suis...
Prenant la main du roux dans la sienne, il retourne vers Thoma, qui semble choquer.
Thoma : Morax...Ce poids... Et ce bruit...Ta ramener quoi ?!
Il regarde le sac, tandis que Zhongli sourit.
Zhongli : C'est grâce à mon protégé que voici. Je ne te l'ai pas présenté, mais il s'appelle Tartaglia.
Thoma : Enchanté !
Zhongli : Et aussi... Ouvre.
Thoma acquiesce ouvre, et mit rapidement une main devant sa bouche.
Thoma : Est-ce vraiment...?! Celle du roi...?
Zhongli sourit vers Tartaglia, le laissant parler.
Tartaglia: C'est vraiment celle du roi...
Dit-il un peu hésitant.
Thoma saisit la couronne, les pierres et surtout la cape tout en ne les sortant pas du sac regardant autour.
Thoma : Mais comment...?! Enfin, je suis surpris mais venant d'un ami de Morax... Mais avec ça, on peut faire des maisons, des médicaments, des armes a tout le monde...!
S'exclame le blond regardant le roux, les larmes aux yeux.
Le rouquin était surpris de le voir si heureux d'avoir reçu autant, lui redonnant presque confiance et foi en ce reste d'humanité.
Zhongli: Je te donne tout, en échange de nourriture, habits comme bon nous semble.
Thoma : Bien sûr ! Te connaissant si tu demandes ça, c'est que tu n'as vraiment plus rien...Que t'ai t'il arriver ? Cela fait des jours que je m'inquiétais ! Et là, tu reviens avec ce beau roux-
Un couteau sort venant proche du cou de Thoma.
Zhongli : Il est mien.
Thoma : Ok, ok, excuse-moi...Mais répond !
Zhongli: Sa ne regarde que moi.
Thoma soupire.
Thoma : Je vois...Mais tu as beaucoup inquiété Gorou...Essaye d'aller le voir ça le rassurerez. Et en attendant...
Il se rapproche de Tartaglia, et s'incline.
Thoma : Tu vas sauver des vies avec ça, alors...Merci infiniment.
Tartaglia se sentit gêné et agita ses mains.
Tartaglia: Ce... Ce n'est rien ! C'est une contribution bien méritée...
Puis envoya un regard au brun en souriant, il le savait possessif, mais à ce point...
Thoma : Je vais chercher des acheteurs rapidement. On aura besoin de main pour donner tout a tout le monde...
Zhongli : On t'aidera.
Thoma : Merci beaucoup ! Allez-vous reposez, vous avez des cernes...
Zhongli : Moi c'est normal...Mais je prendrais soin de mon protégé.
Thoma : Je n'en doute pas ! À plus tard !
En les saluant de la main, et en prenant le sac Thoma s'éloigne rapidement.
Zhongli : Allons voir Gorou...Il nous donnera tout ce dont on a besoin...
Ses pupilles avaient légèrement viré au rouge quand il a vu Thoma s'approcher de son roux, et tenta de les calmer...
Le rouquin le vit rapidement et se colla à lui en prenant sa main dans la sienne.
Tartaglia: Calme-toi déjà...
Lui sourit-il tendrement.
À son contact, il se raidit, commençant à se sentir faiblir.
Zhongli : Désolé ...
Tartaglia l'embrassa sur la joue pour le détendre un tantinet.
Tartaglia: Allons voir ce fameux Gorou.
Zhongli acquiesce doucement, mais va contre Tartaglia, les oreilles rabattues.
Zhongli : ...Un peu comme ça s'il te plaît...
Tartaglia sourit en le prenant contre lui pour un câlin.
Tartaglia: D'accord
Se blottissant contre lui, tout sourire, ses oreilles se redresse un peu, mais pas trop pour pas qu'elle se voit.
Zhongli : ...En vrai, je me cache autant, car j'ignore ce qu'il penserait de moi... Alors que je ne suis pas comme vous, les humains. Tu es le seul qui me traite bien depuis des années et cette histoire des hybrides en esclave n'a rien arrangé... Alors j'aide toujours autant que je peux ici, mais j'ai toujours peur qu'ils découvrent la vérité.
Couinant faiblement, il rajoute.
Zhongli : Mais toi...Il t'accepteront sans problème. Soit rassuré.
Tartaglia posa sa main sur la joue du brun en souriant.
Tartaglia: Tu veux vraiment savoir pourquoi je tiens tant à toi ? Un hybride ? Parce que petit, ma mère avait une protéger nommer Diona, une petite fille moitié chat... Elle avait mon âge et je la considérer comme une sœur... Mais mon père durant sa conquête sur votre espèce, a empoisonné cette petite fille...
Il s'arrête un moment, serrant la mâchoire.
Tartaglia: Ma mère et moi étions dévastés et on s'était juré de vous aider... Je crois que c'est à ce moment-là que ma mère a décidé de créer la résistance...
Il lui refit un tendre sourire.
Tartaglia: S'ils peuvent m'accepter, ou n'importe quelle personne... Ils peuvent t'accepter...
Écoutant son roux, ses oreilles dressées, doucement, il se calme totalement.
Zhongli : Je...Je préfère attendre un peu encore...
Un sourire se forme, se voulant rassurant.
Tartaglia: D'accord...
Il passa ses bras autour de la taille du brun et posa ses lèvres sur les siennes pour un tendre baiser.
Le brun était à deux doigts d'aller le prendre à la taille avec sa queue, mais se raidit sachant que Thoma n'est pas loin.
Couinant un peu, il lui rend son baiser.
Zhongli: Allons voir Gorou...
Tartaglia hocha la tête et se décala légèrement pour rester près de lui quand même.
Le loup saisit sa main fermement, puis ils se dirigent tout deux vers une petite maison, à peu près passable, Thoma en sort et s'éloigne sans capter Zhongli et Tartaglia, puis un jeune homme en sort...
Avec des oreilles, et une queue.
Gorou: Zhongli ? Tu as été rapide ! Enfin...Je me suis inquiété ! Tu es allé voir en premier Thoma, je vais mal le prendre !
Zhongli un peu crisper encore, répond simplement.
Zhongli : Il était ma priorité. Navré. Comment va tu Gorou ?
Gorou: Bien ! Est-ce lui le fameux protéger que tu as ramené ?
Il s'approche un peu de Tartaglia, mais pas autant que Thoma donc Zhongli ne réagit pas.
Tartaglia: Salut... Je m'appelle Tartaglia...
Bien qu'un peu nerveux, il était légèrement surpris de voir un autre hybride tout en lançant un regard au brun à ses côtés.
Gorou: Enchanté ! Et bienvenue parmi nous !
Zhongli évité le regard du roux.
Bien qu'il savait qu'il allait le questionner, mais...Gorou était le seul à être hybride et pour de bonnes raisons...
Gorou: Vous venez pour vos rations et les habits, c'est ça ?
Zhongli : Et aussi pour te donner ça.
Il tend les habits de Tartaglia assez noble, les yeux de Gorou s'illumine.
Gorou: Des habits nobles ! Parfait je vais pouvoir m'en servir de tissu et d'exemple pour certains habits !
Il les prend sans hésiter, puis en regardant Zhongli, il semble soudain inquiet.
Gorou: Tu es et bien silencieux Morax... Que t'arrive-t-il ?
Zhongli : Rien, rien...
Gorou: Si tu le dis... Bon, je range ça et vous ramène ce qui vous faut !
Tout sourire, il va dans sa maison rapidement.
Tartaglia: Tu as des choses à me dire...
Dit-il assez bas pour que seulement le loup l'entende.
Zhongli : Tant que tu ne sauras rien sur Gorou, je n'aurais rien à dire.
Dit-il simplement.
Gorou revient avec deux grands sacs, un remplit de bento et l'autre d'habits chaud, ou léger avec des chaussures.
Gorou: Eh bien, Thoma vous a gâté avec ce que vous avez ramené !
Zhongli : On peut dire ça...
Gorou: Morax tu dois m'entraîner ! Et rattraper tout ce temps perdu !
Zhongli : Pas aujourd'hui...
Gorou: Alors Tartaglia ! Il a l'air fort... Ça se sent.
Il regarde le roux tout sourire.
Tartaglia baissa le regards, puis soupire.
Tartaglia: Tu utilises quoi comme arme ?
Gorou: Un arc.
À ces mots, il montre alors son arc assez robuste visiblement...
Zhongli : Je l'ai entraîné et confectionner son arc. Et j'ai fait pareil un peu pour Tartaglia...
Gorou: J'EN ÉTAIT SÛR ! ÇA SE SENTAIT !
S'exclame ce dernier, bondissant vers Tartaglia.
Gorou: Je veux jouer, et m'entraîner avec toi!!!!
Zhongli se contient de réagir.
Tartaglia regarde le plus petit les yeux grand ouvert.
Tartaglia: Sauf que je ne l'ai plus mon arc... Et ... Je ne me suis pas assez entraîné avec...
Dit il gêner en se frottant l'arrière de la tête.
Zhongli : Je peux tant refaire un si ce n'est que ça, et les entraînements sont fait pour bien maîtriser son arme.
Explique le brun calmement.
Gorou: Allez! Je veux m'entraîner moi ! Viens Tartaglia !
Zhongli sourit vers Tartaglia.
Il avait déjà un fan visiblement.
Le rouquin se mit à rire en jetant un regard au brun.
Tartaglia: J'imagine que je n'ai pas vraiment le choix...
Zhongli : Non pas vraiment.
Dit-il tout sourire, tandis que Gorou bondis en arrière prenant son arc.
Zhongli : Ok... Attends.
Il forme un arc à partir d'une pierre des alentours et tendant l'arme à Tartaglia.
Zhongli : Bonne chance.
L'ancien prince soupire une nouvelle fois, prenant l'arc en main.
Tartaglia: D'accord... Essayons...
Gorou: Je vais y aller doucement promis.
S'exclame le petit, tout sourire.
Tartaglia lui sourit et se mit en place.
Gorou: C'est partit alors !
Bandant son arc, il forme une flèche marron...Géo.
Zhongli : Je vous soignerez au besoin donc allez y a fond.
Tartaglia banda son arme et une flèche bleue en sortit. Il lâcha rapidement, visant le plus jeune.
Le petit sourit, esquivant de peu la flèche, Zhongli sourit encore plus.
Gorou: Rapide ! J'aime !
Zhongli grogna à son dernier mot, sa queue s'agitant rapidement.
Se concentrant, il entama une série de flèches chargées vers le jeune hybride.
Qu'il frôlait, les uns après les autres.
Gorou: A mon tour !
Il décoche une flèche. Puis deux. Suivit de cinq d'affilée, faisant des effets par moment.
À son tour, le rouquin esquiva les flèches avec agilité et vitesse.
Tartaglia: Tu es rapide aussi !
Gorou: Détends toi, et laisse toi allez tu es trop raide ! Ton élément...C'est hydro non ? Laisse-toi porter par les vagues !
Zhongli acquiesce vers Tartaglia.
Tartaglia: L'hydro...?
Ce terme lui était totalement inconnu, mais il sentait au fond de lui, un pouvoir qui ne voulait que sortir.
Était-ce ça ?
Pour en avoir le cœur net, le rouquin se concentra et commença à se déplacer et à esquiver les projectiles de manière plus souple tout en accélérant sa vitesse, jusqu'à sauter dans les airs pour esquiver la dernière.
Tartaglia: Wouo...
Murmure le prince. C'était nouveau... Mais il adorait ça...
Souriant grandement, Zhongli regarde son amant.
Zhongli : nous avons tous une affinité avec certains éléments. Hydro, l'eau. Geo la terre. Electro, l'électricité. Pyro, le feu. Cryo la glace. Et Anémo, le vent. Moi et Gorou nous somme Geo, et toi hydro.
Souriant à Gorou lui faisant signe de se stopper, il rajoute.
Zhongli : Ton but Tartaglia et à présent à réussir à manipuler ton élément.
Tartaglia: Comment je suis censé faire ça ?!
S'exclama le rouquin en regardant le brun, assez perdu.
Zhongli : Gorou on stop. Et va un peu plus loin, je dois expliquer à Tartaglia.
Gorou: Bien !
Il se stop et bondis en s'éloignant, Zhongli s'approche du roux.
Zhongli : Déjà, tu dois avoir plus de fluidité dans tes mouvements...Ensuite t'imaginer dans une piscine ou dans une douche, dans un endroit avec de l'eau...
Tartaglia: on va essayer...
Le rouquin ferma les yeux pour mieux se concentrer sur son imagination et ses ressentis.
Tartaglia: Une piscine, de l'eau...
Plus il se concentrait plus de petites gouttes apparurent en suspension dans l'air l'entourant.
Zhongli sourit.
Zhongli : Continue ! Tu es en bonne voie !
Fronçant les sourcils, il se voyait enfin entourer d'eau, la même sensation de flotter dans ses eaux bleues et transparentes. Puis, peu à peu, un mammifère apparut devant lui...
Dans le monde réel, Tartaglia fit une petite mimique et une énorme baleine bleue faite d'eau apparut, sortant du sol.
Se reculant ne voulant pas se faire toucher le loup sourit.
Zhongli : Splendide...Tu as réussi !
Tartaglia: Hein ?
À ce moment-là, la baleine se laissa tomber au sol éclaboussant les deux hommes qui furent trempés.
Entièrement tremper, mais sous le coup, finit au sol.
Zhongli: Tu avais formé une baleine d'hydro, immense ! Navré je t'ai déconcentré.
Couinant un peu à être autant trempé malgré lui, il se retrouve embêter...
Il devait se changer.
Et donc avoir un potentiel de personne qui voit ces attributs.
Zhongli: Ils faut qu'on se change...Tu es trempé aussi.
Tartaglia: Désolé... J'étais... Parti...
Le rouquin avait un grand sourire sur les lèvres, fier de ce qu'il avait fait, mais aussi ébahis par ce qu'il avait vu...
Il secoua la tête pour essayer d'essorer ses cheveux qui goutter en riant.
Zhongli: Ne t'excuse pas, tu as bien progressé ! Je suis fier de toi !
Un grand sourire formé, il essaya de faire de même, mais...
Il avait une queue.
Et des oreilles.
Et des habits qui désormais le coller.
Zhongli: ...Rentrons quelques minutes.
Ce cachant derrière le roux, derrière une pierre au cas où...
Zhongli: On revient plus tard Gorou ! On doit aller à la maison !
Gorou: Ok !
Il l'avait dit tant que l'hybride était assez loin, tandis que le loup se tient fermement au roux.
Le rouquin avait récupéré leurs affaires et fit en sorte que les attributs du loup restent cacher jusqu'à qu'ils arrivent chez eux.
En arrivant, le loup va directement dans sa douche, assez silencieux au début.
Zhongli : ...Tu as des questions non ?
Tartaglia commença à retirer son haut qu'il lui collait à la peau.
Tartaglia: Un peu oui... En voyant Gorou, déjà, ça m'a surpris !
Zhongli le regarde un peu, mais sortit une des tenues d'un des sacs le tendant à Tartaglia.
Zhongli : ...Il est le frère de Thoma. Mais il a été fruit d'expérience. De base, il était qu'humain. C'est pour ça qu'il est accepté. D'autant que Thoma ne cesse de le protéger comme un grand frère...
Le rouquin le regarde la bouche entrouverte, choquée par ce qu'il venait d'entendre.
Tartaglia: Oh...
Il prit la tenue et la posa sur le lit pour se déshabiller entièrement.
Tartaglia: Je vois...
Zhongli se rapproche de Tartaglia, l'enlaçant doucement, venant l'embrasser au cou, après sa douche qui la réchauffer, et détendu après ces... Tension.
Il n'était vêtu que d'une serviette.
Zhongli : Et toi ? Tu es quoi pour moi ?
N'ayant été que torse-nu, il frémit au contact de son torse mouillé dans son dos et lâche un doux son en le sentant dans son cou.
Tartaglia: Comment me considères-tu ? Ton homme ? Ton amant ? Ou... Comme un futur... ?
Zhongli l'embrasse à nouveau.
Zhongli : Hey... On ne répond pas une question par une autre question tu triche là...
Il se colle davantage à lui, passant ses bras à sa taille.
Tartaglia se mit à rire en gémissant faiblement, passant sa main derrière la tête du brun puis pencha la tête sur le côté.
Tartaglia: Réponds moi
Le loup lèche alors le cou, ses mains venant doucement se diriger vers le membre du roux.
Zhongli : Tu es ma drogue, mon tout, mon cœur, ma moitié, ma vie, mon amant...
Lui répond-il finalement, d'une voix suave.
Le rouquin lâcha un gémissement plus fort, se sentant bouillir rapidement.
Tartaglia: Mon dieu... Tu m'excites tellement...
Ça le touchait plus que prévu ses mots.
Zhongli : Tu es ma gourmandise préférée, ma sucette favorite, et... Ma tentation interdite.
En finissant sa phrase, il le mord au cou, frottant son bassin contre le sien.
Zhongli : Tarta... Veux-tu...?
Tartaglia sourit lâchant un couinement fort assez fort. Il se mord la lèvre cambrant les fesses vers lui.
Tartaglia: Oui... ?
Le brun, tourne de face le roux, venant l'embrasser, et glisse sa main à son entre-jambe lui caresser son membre.
Zhongli : Je veux... Continuer mon roux...
Une chaleur, c'était vite former dans le loup, et il était dans le même état que son roux, mais...En pire.
Le rouquin soupira dans le baiser en sentant ses lèvres sur les siennes.
Tartaglia : Continue alors... Ce n'est pas moi... Qui va t'arrêter...
Son corps avait chaud de plus en plus, sentant une boule de chaleur se former dans son ventre.
Zhongli : Chéri...
Réitérant son geste, il donne un coup de bassin vers le roux.
Zhongli : Je te veux... Encore, et encore, tu es vraiment comme une drogue...
Sa main saisit le membre du roux, venant le branler lentement...
Tartaglia se cambra un peu en avant gémissant faiblement, les joues devenant rouges.
Tartaglia: On s'arrête... Plus...
Zhongli : Dis-moi, ce que tu ressent dans les moindre détails
Plaçant sa seconde main rejoignant la première, il accentue ces allers venus, contenant cette boule de chaleur qu'il sentait se former en lui.
Zhongli : Dis-moi tout
Les yeux fermés, le rouquin se sentait partir submerger par le plaisir.
Tartaglia: Je me sens... Bouillant... Amoureux... Sur une autre planète... En paix... Touchant le paradis...
Zhongli : "Bouillant" ?
Le loup souri.
Tous ces autres mots, montrer qu'il était bien avec lui, et qu'il était surtout libéré du poids de sa vie d'avant...
Zhongli : Bouillant...Ici ?
Il donne un coup de bassin de nouveau, tout en posant une de ces mains plus haut, a son ventre, tandis que la seconde main continua ces gestes.
Le loup se sentait déjà partir.
Ce n'était pas normal, il sentait cette boule de chaleur prendre trop d'ampleur en peu de temps.
Lâchant un gémissement, il frémit à son toucher le faisant soupirer. Il bougea ses hanches au rythme de ses mouvements se sentant cette boule grossir de plus en plus.
Tartaglia: O-oui...
Sentant que trop, l'odeur du roux, le brun eu les pupilles qui se changent formant de petits cœurs, sa queue s'agitent ses oreilles faisant de même.
Zhongli : Le lit. Maintenant.
À peine, il avait dit ça qu'il porte le roux contre lui, le posant sur le matelas, allongeant le brun en premier.
Zhongli: Ton odeur...Me rend fou... Quémandeur...
Tartaglia: Mon odeur... ?
Soupira le rouquin en reprenant son souffle et essayant de reprendre ses esprits.
Zhongli gémis doucement, sa chaleur augmenter graduellement.
Se plaçant sur lui, il l'embrasse de manière possessive, tout en retirant sa serviette de sa taille montrant son membre déjà tendu.
Gémissant contre ses lèvres, Tartaglia passant ses bras autour du cou du brun en allant tirer légèrement sur ses oreilles. Il ouvrit un œil, quand il vit son excitation, il se sentit bouillir encore plus de l'intérieur.
Quand il tira sur ses oreilles, un gémissement de chaleur intense se fait entendre, sans contrôle, se cambrant à son tour vers le roux.
Reprenant ses lèvres en otage, entre deux baisers sulfureux, il lui susurre.
Zhongli : J'espère que...Tu n'es pas contre que je viens sans préparation...
À son tour, entre deux baisers, il lui murmure.
Tartaglia: Vu comment tu me mets... Je n'ai pas besoin de préparation...
Il retira le reste de son pantalon passant ensuite sa jambe sur la hanche du brun, prêt à l'accueillir.
Le loup se laissa tirer, allant vers le roux...Puis entre en lui en un coup sec, et profond en lui.
Il contient un son de plaisir intense.
Zhongli : Trop...Parfait...~
À peine entré qu'il sentait une compression immense sur son membre, il n'attend pas longtemps avant de commencer ces allers venus...Qui était par à-coups.
Zhongli : Tarta je veux...Plus, encore plus...
Son esprit été partit en vacances laissant place à son instinct pur, venant le mordre au cou, épaule, partout où il pouvait.
À son entrée, le rouquin avait hurlé son plaisir en laissant sa langue pendre, les yeux en cœur. À chaque coup, il couinait et criait de plaisir, se sentant partir aussi la tête en arrière.
Son corps se contractait déjà, prit par un immense plaisir rapidement. Ayant une pensée plutôt osée, il en profita pour l'essayer...
Son désir de faire à son amant prit la forme d'un tentacule hydro qui apparut dans le dos du brun. Tartaglia cria de nouvelles fois sous ses morsures tandis qu'il perdit légèrement le contrôle de sa créature qui pénètre rapidement le loup.
Zhongli hurla à son tour de nouveau le nom du roux, le tentacule en lui allait rapidement le faire venir, mais sa chaleur semblait pas du tout se calmer, c'était l'exact contraire.
Zhongli : Continue prend, moi en profondeur
Ses yeux doré, il vient vers le roux l'embrasser à de nouveau saisissant sa langue, jouant avec, donnant un coup profondément en lui, se cambrant vers le roux.
Sa queue venant caresser le membre de son amant.
Dans un cri, il balança la tête en arrière. Il ne le contrôlait plus...
Le tentacule buta à plusieurs reprises sur la prostate du loup dans des vas et viens rapides et profond.
Tandis que le rouquin cria de plaisir et couiner sous ses caresses.
Zhongli continua de hurler de plaisir, malgré qu'il était plus vraiment apte à réfléchir.
Il le frappait en profondeur.
Rapidement.
Et de manière a touché sa prostate, tout en prenant soin du membre qu'il avait en main, jouant et titillant son gland.
Zhongli : Chéri, tu es trop bon je suis complètement droguer à toi
Venant lécher ses tétons, avant de les mordre un peu, mais sans faire de mal.
Tartaglia enlaça la taille du brun avec ses mains pour le garder encore plus profond en lui, hurlant le prénom de son amant, la tête en arrière, un filet de bave qui lui coulait de la bouche avec des larmes aux yeux. Sa boule de chaleur prenait de plus en plus d'ampleur dans son ventre, son membre palpitait signe qu'il n'était pas loin de jouir.
N'ayant plus aucun contrôle sur sa créature, elle faisait ce que bon lui semble, allant de plus en plus profond, matraquant le point sensible du loup sans retenu, rapidement.
Le loup se sentait dangereusement venir, c'était trop intense pour lui...!
Mais il continua allant au même rythme en Tartaglia que ce que lui faisais la créature d'eau, gémissant le nom de son roux, allant par moment lui lécher le cou, le mordre, pour aller lui voler un baiser, goûter à sa langue...
Zhongli: Je vais venir...
Le sentant grossir en lui, il lâcha un hurlement de plaisir, la boule de chaleur explosa finalement assez vite, jouissant sur son ventre. Il fut parcouru de spasmes suite à ça, la langue pendante et les yeux voilés de plaisir intense.
Zhongli saisit sa langue pour un baiser plus ardent encore que les précédents, puis donnant un dernier coup à la prostate du roux, le loup finit par venir en lui, frissonnant a son cri d'avant qu'il l'embrasse, hypnotiser par ces gestes, son corps...Tout de lui.
Il tente de se calmer, voulant laisser le temps à son tendre amant de se remettre, rompant leurs baisers, le laissant respirer.
Tartaglia essaya de reprendre son souffle après ce long baiser qu'il lui avait donné des frissons. La tête sur le côté, il avait une respiration assez rapide et chaude, voulant extirper toute cette chaleur de son corps.
Se retirant doucement du roux, il l'embrassent au cou de nouveau, s'enlèvent d'en lui...
Puis lui caresse doucement le visage.
Zhongli : Mon beau... Ça ira...?
Le roux semblait...Pas comme d'habitude, alors il lui demanda...Voulant l'aider.
Faisant disparaître le tentacule, il put enfin respirer convenablement. Il se mit à sourire tendrement, tout content.
Tartaglia: Impeccable...
Zhongli eut un petit couinement en ne sentant plus la présence en lui, frissonnant de nouveau, posant doucement le roux au sol, tandis que lui se cambre vers le sol, sa queue replier sur le loup.
Zhongli : Tant... Mieux. Désolé, je... Je ne sais pas ce qui m'a pris.
Tartaglia: Désolé aussi... Je ne savais que je pouvais faire ça...
Dit-il en se redressant, en position assise.
Un peu rouge, le loup répond rapidement.
Zhongli : Tu n'as rien fait de mal, tu...C'est ma faute, c'est tout.
Ses oreilles rabattues, il baisse le regard.
Tartaglia: Pourquoi c'est ta faute ?
Il le regarda sans comprendre, tandis qu'il se redressa pour se rapprocher de lui.
Zhongli baisse le visage.
Zhongli : C'est moi qui ai commencé et qui n'ai pas su se contrôler...
Tartaglia: Depuis quand tu t'excuses pour ce genre de choses... ?
Dit-il en lui relevant la tête, un tendre sourire sur les lèvres.
Tartaglia: Ce n'est pas comme si tu m'avais forcé... !
Le brun avait le regard fuyant, puis il murmure.
Zhongli : ...Tartaglia, désolé...Je vais essayer de me calmer...
Malgré qu'il fuit son regard, il se réfugie contre lui.
Tartaglia ne comprenait pas trop ce qu'il arrivait à son amant, mais il finit par le serrer contre lui, bien qu'il avait des questions plein la tête.
Couinant un peu, il resta contre lui, jusqu'à qu'on toque à la porte.
Thoma : Hey Morax ! Il faudrait que tu viennes, j'aimerais te parler de quelque chose d'important.
Le rouquin sursauta, puis baissa le regard vers le brun.
Mais ce dernier n'était...Pas normal, les oreilles rabattues, et visiblement pas près de lâcher le roux, tremblant un peu.
Thoma : Morax...? Tu vas bien ?
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