Epilogue 1 : Izuocha
(Dans la chambre de Todoroki, Bakugo, Kirishima et Midoriya)
Todoroki : On va y aller, Midoriya. Tu t'en sortiras tout seul ?
Midoriya : *sous sa couette, chuchote des trucs*
Bakugo : Si on reste ici encore 1 minute de plus, je lui brise son autre bras.
Kirishima : Bakugo, faut pas être comme ça, enfin ! Il est comme ça depuis qu'il est revenu de... Euh... Il était où ?
Todoroki : La chambre d'Uraraka, je crois.
Kirishima : Oh, pas étonnant qu'il soit comme ça alors. Même moi j'ai vu qu'ils s'aiment bien. J'ai hâte de voir la réaction d'Iida, c'est lui leur ami le plus proche.
Todoroki : C'est vrai. Mais tu es sûr que ça ira, tes blessures ? Encore hier t'étais alité.
Kirishima : C'est que du superficiel, t'inquiètes ! Rien de bien grave ! Mon alter m'a sauvé du plus gros. Et Midoriya a vécu bien pire, par le passé ! Je serai pas un vrai bonhomme si je ne pouvais pas supporter ce genre de choses !
Todoroki : Je ne suis pas sûr que ce soit la meilleure mentalité à avoir. Mais je te soutiens dans ta quête !
Bakugo : Moins de bla bla, plus de marche !
Todoroki : On arrive ! Bon, à plus Midoriya ! *Referme la porte en partant*
Midoriya : *sous sa couverture* iygoufiygiyfugyghlghigjgiyhyigiuhoytyeknsjsksjdhjsbdhdbwisbdhjdgdkdnwvksbshsnbdjsjsbsbbs-
(Du côté d'Uraraka)
Uraraka : *Aussi sous sa couverture, rit dans le vide*
(Du côté de Midoriya)
Midoriya : *au fond du trou*
(Du côté d'Uraraka)
Uraraka : *sourit* Ah... Lui faire la tête était plus dur que ce que je pensais. Au moins, il fera attention, maintenant. Il doit avoir tellement de cicatrices aux bras et... Partout. C'est terminé maintenant... Enfin presque. Au moins il finira moins à l'hôpital... *Tourne la tête vers la chaise où était Midoriya plus tôt, rougit et se couvre le visage* ARGGHFLXCGH ! Qu'est ce que je suis censée faire la prochaine fois que je le verrai ? Comment agir normalement après... Ça ? J'en ai aucune idée, c'est la première... Enfin, deuxième fois, pour être exacte. Mais la dernière fois c'était un accident, là c'est pour de vrai ! On l'a tous les deux voulu et... *A un flashback de la scène, prend son coussin et le serre très fort dans ses bras pour évacuer la gêne, tourne la tête et voit son téléphone, réfléchit deux secondes* Je pourrais peut-être demander conseil à Tsuyu.
(Du côté de Midoriya)
Midoriya : *toujours en train de marmonner des lettres au pif sous sa couette*
??? : *toque à la porte* Midoriya, j'entre.
???#2 : Deku ! On va voir Deku, hein ?
??? : C'est ça.
Midoriya : *se tient droit* Entrez, Mr Aizawa !
Eri : Deku ! Tiens, je t'ai fait un dessin !
Midoriya : *sourit* Merci beaucoup, Eri ! C'est adora... Qu'est ce que c'est censé représenter ?
Eri : C'est Mina qui m'a dit de dessiner ça ! Elle m'a dit que ça te ferait plaisir !
Midoriya : *fixe le dessin représentant lui et Uraraka se tenant la main, essaie de contenir sa nervosité* C'est... C'est magnifique ! Merci beaucoup, Eri !
Eri : *toute contente* Vous avez vu, Mr Aizawa ? Il a aimé mon dessin !
Mr Aizawa : *caresse la tête d'Eri* Bravo, c'est très bien. Bon, je vois que t'as encore réussi à te foutre dans une situation délicate, Midoriya ?
Midoriya : E... Effectivement, monsieur Aizawa.
Mr Aizawa : *soupire* Au moins, cette fois ci t'es qu'à moitié fautif. Tes camarades m'ont dit que tu as achevé votre adversaire. Je m'en fiche des circonstances, mais calmos sur les utilisations d'alter à puissance possiblement léthale, ok ?
Midoriya : Oui, monsieur !
Mr Aizawa : Bon. Sinon, je suis là pour t'annoncer une bonne nouvelle. On a trouvé le moyen de retirer ce sceau de vos poignets pour vous rendre votre capacité à penser.
Midoriya : Hein ? Comment l'avez vous trouvée ? C'est le résultat d'expériences scientifiques majeures ? Vous pourriez m'expliquer ? Ah, et au juste ! Est ce qu'All might va bien ? Je n'ai pas reçu de nouvelles de lui depuis-
Mr Aizawa : Ferme la et écoute moi !
Midoriya : J'essaierai, monsieur ! Mais considérez que ça risque d'être difficile pour moi étant donné que-
Mr Aizawa : *Active son alter sur Midoriya* Voilà. Ça devrait s'être arrangé, maintenant.
Midoriya : (Il a juste activé son al-) Ouah, je peux penser à nouveau !
Mr Aizawa : Oui. On a découvert ça il y a peu, hier. En activant mon alter sur Ashido, Hakagure et Ojiro, ils se sont rendus compte qu'ils avaient retrouvé leurs pensées. Alors je fais la tournée des maisons pour aider tes camarades.
Midoriya : Oh... C'est un raisonnement logique étant donné que-
Mr Aizawa : *excédé* Tu peux penser, fais le.
Midoriya : Pardon.
Mr Aizawa : Sur ce, on va voir Uraraka. À la prochaine ! Les cours reprennent en janvier, mais vous serez priés de retourner à l'internat dès que vous irez mieux. Vous aurez une permission de trois jours pour les fêtes. Ça sera tout.
Eri : À la semaine prochaine, Deku ! Viens me voir ! Neijire va me faire des coiffures mignonnes !
Midoriya : Oui !
Aizawa/Eri : *se barrent*
Midoriya : *relâche la pression, se rallonge* (Ça fait du bien de pouvoir penser à nouveau. Le personnel de l'hôpital arrêtera d'avoir peur de moi, au moins.) ... (Argh, je suis crevé. Il s'est passé beaucoup de choses, dernièrement.) ... (Je me demande ce que fait Uraraka. Je me suis barré de sa chambre en courant, hier. Juste après...) *Rougit* (BDBZHSJ ! MAIS QU'EST CE QUI M'A PRIS ? RIEN N'ALLAIT ! C'EST QUOI CETTE... ARGZHHHKSNSJ !) *se relève, respire profondément* (Non, attends. Il faut relativiser. Est ce que c'était si terrible que ça ? C'est vrai que se livrer sur ses pires cauchemars et pleurer avant d'embrasser quelqu'un que tu as énormément déçu est tout à fait normal !) ... *Veut frapper un truc pour se défouler, a mal au bras et s'arrête* (C'est beau le déni, Izuku.) *soupire* (Les cours reprennent dans environ un mois. Il me reste une semaine ici et donc deux semaines avant celles de Noël. Ça me fait 3 semaines non stop avec Uraraka...) *se rallonge brusquement et se roule dans son lit pour évacuer la gêne*
Une infirmière : *voit tout de l'extérieur depuis 5 minutes*
Un chirurgien : Il se passe quoi, avec le gamin ?
Une infirmière : Tu crois que c'est Haruno qui a possédé quelqu'un avec son alter ? Il agit vraiment... Bizarrement.
Un chirurgien : Bah non, elle l'utilise jamais ! Et elle est en vacances aux Maldives, ça peut pas être elle. Il est juste bizarre.
Une infirmière : Effectivement. Mais c'est normal qu'il commence à mordre sa couverture en chuchotant bizarrement ?
Un chirurgien : ... C'est peut être l'adolescence ?
Une infirmière : Ça commence à devenir gênant, quand même. Il a oublié que les chambres pour patients graves avaient des vitres, ici. Tout le monde le regarde depuis 20 bonnes minutes. Tu crois qu'on devrait le changer de chambre ? Il m'a l'air d'aller bien.
Un chirurgien : Alors toi, tu l'as pas opéré ! J'ai jamais vu des os aussi déglingués de ma vie. Il a besoin de soins intensifs, mais il semble avoir une résistance à la douleur excessive. Peut être que c'est son alter ?
Une infirmière : *voit Midoriya faire des trucs bizarres dans sa chambre* Ouais... Si tu le dis. Il a quand même été assez en forme pour rendre visite à sa petite amie hier.
Un chirurgien : Ah, c'est vrai ! On en a parlé à la pause café. Ils ont été casés ensemble pour les créneaux de rééducation. Ça va créer un bon sujet de ragots, avec les autres.
Une infirmière : En parlant de ça, on ferait mieux d'éviter de parler de ça près de la chambre de la petite. Je ne veux pas créer de problème dans leur couple.
Un chirurgien : Bonne idée ! D'ailleurs, je me demande ce qu'elle fait. J'ai vu des gens partir en direction de sa chambre.
(Du côté d'Uraraka)
Mr Aizawa : *toque à la porte*
Uraraka : *planque son téléphone sous sa couette* Oui ? Entrez !
Mr Aizawa : *ouvre la porte*
Eri : Uraraka !
Uraraka : *caresse les cheveux d'Eri* Bonjour Eri ! Tu vas bien ?
Eri : Oui ! Mon alter a progressé ! J'ai toujours du mal à le maîtriser, mais je sens que j'y arrive mieux ! Oh, et je t'ai même fait un dessin ! Vu que tu t'es fait mal. Si tu veux, je peux rester avec toi le temps que tu ailles mieux...
Mr Aizawa : Désolé, Eri. Mais on ne va pas pouvoir rester longtemps. J'ai quelque chose à faire à UA, on doit rentrer dans 20 minutes.
Uraraka : Ooh, Eri ! Tu es adorable ! *Regarde le dessin, qui finit au plafond en deux secondes, devient rouge tomate* AH !
Eri : *regarde tristement son dessin s'envoler* Oh...
Uraraka : Argh... Désolée ! C'est juste que... Je ne m'attendais pas à ça.
Eri : Pourquoi tu es rouge ? Tu veux pleurer, c'est ça ? Ne pleure pas s'il te plaît ! Je ferai un meilleur dessin la prochaine fois.
Uraraka : Tu es si mignonne ! Merci beaucoup, Eri ! Mais ton dessin était magnifique ! Je... Je l'ai tellement aimé qu'il s'est envo- 🎶DANS LA VALLÉE~ OH OH ! DE DANA ! DA LI LA LA🎶
Eri : *confuse* Dan... Dana ? Pourquoi tu dis ça ?
Uraraka : P... Pour ri- 🎶 J'DÉDICACE CE MORCEAU AU BEAU GOSSE QUE JE SUIS🎶
Mr Aizawa : *couvre les oreilles d'Eri*
Uraraka : P... Pardon, monsieur. Je ne choisis pas les chansons que je chante.
Mr Aizawa : Je sais. C'est d'ailleurs pour ça que je suis là. *Active son alter sur Uraraka* Voilà. Ton problème est réglé.
Uraraka : *Regarde son poignet* Il est vierge ! Mon poignet... Attendez, donc je peux à nouveau penser ? Et mentir sans chanter des chansons hasardeuses ?
Mr Aizawa : C'est ça.
Uraraka : Je m'appelle Naruto ! J'habite en Alaska ! C'est pas moi qui ai fouillé dans la valise de Jiro pour trouver plus de nourriture à minuit quand on était en Espagne ! Ouah, dingue ! Ça marche ! (Eri est trop chou ! J'aime manger des insectes ! J'imagine Deku mettre du gel pour rigoler quand je m'ennuie !) Ça marche aussi ! Merci infiniment monsieur Aizawa !
Eri : C'est qui Naruto ? On m'a menti ? C'est quoi, l'Ala... Ska ?
Mr Aizawa : Uraraka, je te prierai de garder tes expériences pour après notre départ.
Uraraka : Ah oui ! Pardon, monsieur !
Mr Aizawa : Bon. Pour toutes les infos complémentaires sur le retour au dortoir, demande à Midoriya. Bon rétablissement. *Prend Eri par la main et s'en va*
Uraraka : Hein ? Demander à... Attendez, mons-
Mr Aizawa : *déjà parti*
Uraraka : *soupire, s'adosse à son cousin, joint ses doigts* Annulation ! *Lève le bras et chope le dessin, l'examine plus attentivement, sourit* Elle a dessiné les cheveux de Deku en brocoli. C'est mignon... (Comment je fais pour lui parler, moi ? Je dois me taire ? Rester calme ? Partir en courant ? Lui faire un câl- non, j'oserais pas. Je sais pas quoi faire...)
Téléphone d'Uraraka : *vibre*
Uraraka : *sursaute* (C'est quoi ce-) *récupère son téléphone, voit un nouveau message* (Tsuyu m'a répondu !) ... (''Reste naturelle et tout ira bien.'') Pourquoi j'y ai pas pensé ? Je vais faire ça. La prochaine fois qu'on se verra, je ne l'éviterai pa-
(Le lendemain, toujours dans sa chambre)
Uraraka : *déprimée* (Grâce aux soins, j'ai moins mal. Personne ici n'est aussi puissant que Recovery girl, alors je ne sors que demain soir. *Soupire* J'ai croisé Deku une fois aujourd'hui et je l'ai évité malgré moi. Il a essayé de me parler et je lui ai dit que je devais mettre de l'essence dans mon vélo avant de partir en fauteuil roulant ! Pourquoi je me ridiculise dès que je lui par-)
Téléphone d'Uraraka : *vibre*
Uraraka : (Tiens ? Qui ça peut être à cette heure ?) *prend son téléphone, regarde le nom de l'auteur du message et panique*
(Discussion SMS)
Deku :
Salut Uraraka, j'espère que tu te portes bien. Je voulais tout simplement te dire que *insérer les infos données par Aizawa*. Ainsi, dès ta sortie, rends toi directement au dortoir de UA via le bus se trouvant à 20 minutes d'ici. Je m'excuse de te contacter aussi tard. Cordialement.
Uraraka :
Merci Deku. Je me permets de te demander, quand sortira tu ?
Deku :
*A répondu 10 minutes plus tard*
Demain soir.
Uraraka :
Quelle coïncidence, moi aussi.
Deku :
*A répondu 20 minutes plus tard*
Et si on rentrait ensemble, alors ?
Uraraka :
*A répondu 15 minutes plus tard*
Pourquoi pas
Deku :
*A répondu 5 minutes plus tard*
D'accord. Bonne nuit Uraraka ! ❤️
Uraraka :
*A répondu 35 minutes plus tard*
Merci ! Toi aussi !
(Retour à la vie réelle)
Uraraka : *rouge tomate* (IYFIHUTDFY ?!)
(Du côté de Midoriya)
Midoriya : *aussi rouge tomate, fixe son téléphone* (J... J'ai pas fait exprès de lui envoyer ça ! Mon téléphone m'a glissé des mains et a choisi cet émoji avant de délivrer le message ! Je lui dis ou pas ? Mais je lui ai déjà dit ''Bonne nuit'' ! Ça serait gênant, non ? Mais je dois lui expliquer ! Mais elle ne verra sûrement pas le message... Je sais pas quoi faire ! Je laisse ça comme ça ? Ça servirait à rien de supprimer si elle l'a déjà lu ! J'imagine que c'est trop tard. Je m'excuserai demain ! Attends... Peut être qu'elle ne veut pas que je m'excuse. Elle pourrait penser que je ne l'aime pas, alors que s...) *se retourne, pose son téléphone et met sa tête dans son coussin* (GAKJZHSJ !) *respire profondément* (Je dois me calmer et traiter cette histoire correctement. Après tout ce qu'on a vécu, je peux bien la considérer comme ma petite amie, non ?) *s'enfonce plus dans son coussin* (Je dois pas penser comme ça ! Je dois lui demander d'abord ! Je lui parlerai demain ! Je vais faire de mon mieux pour avoir l'air confiant. Je ne dois pas lui montrer ma gène !)
(Le lendemain soir)
Uraraka : *attend près de la sortie de l'hôpital, a une béquille, sifflote* (Où est Deku ? Il s'est pas trompé ? Il y a plusieurs sorties après tout. Il aurait pu se perdre... Ou peut être qu'il est parti avant moi. Je lui envoie un message ? Je pars ? J'appelle Tsuyu ? Je-)
Midoriya : *galère avec son sac à dos dans la bouche et la poignée de porte à cause de ses bras blessés*
Uraraka : *croise le regard de Midoriya*
Midoriya : *se sent ridicule, demande de l'aide à Uraraka par le regard*
Uraraka : *avance à cloche pied, ouvre la porte* (Je dois lui dire bonjour normalement ! C'est facile.) Tu devrais retourner à l'intérieur, ou on risque de t'arrêter pour excès de beauté sur la voie publique.
Midoriya : ... ?
Uraraka : ... *Ultra genée* (Qu'est ce que j'ai fait ?)
Midoriya : (J'ai pas compris ce qu'elle vient de dire. Je pense qu'elle voulait me saluer. Tu dois lui répondre ! Allez Izuku, tu as répété ça, tout ira bien ! ''Bonjour Uraraka, est ce que tes jambes vont mieux depuis hier ?" Ok !) Bonjour hier ! Est ce que mieux jambes vont depuis tes Uraraka ?
Uraraka : *a tout déchifré* Oui, je dois juste utiliser de béquilles mais ça va.
Midoriya : *touché car elle a compris* D'accord ! Et si on y allait ?
Uraraka : *hoche la tête*
Uraraka/Midoriya : *avancent comme de pingouins égarés sur un autoroute*
Midoriya : Donc... Euh... Ça va ?
Uraraka : Oui et toi ?
Midoriya : Ça va.
Uraraka : ...
Midoriya : ...
Uraraka/Midoriya : Tu sais, à propos de-
Uraraka : Oh non, pas encore !
Midoriya : Vas y ! Je t'écoute.
Uraraka : Ok. Je suis désolée de t'avoir giflée aussi fort l'autre jour.
Midoriya : Et moi je suis désolé de t'avoir demandé de m'embrasser juste après ça. C'était pas le bon moment.
Uraraka : ... Honnêtement, je peux pas nier.
Midoriya : *un peu heurté* O... Ouais.
Uraraka : Désolée, mais on était tous les deux blessés... Enfin, plus que maintenant, pas dans le meilleur état d'esprit, ni le meilleur cadre...
Midoriya : *veut pleurer au fond de lui* Je suis désolé d'exister.
Uraraka : Non ! Dis pas ça ! C'était pas mal !
Midoriya : Mais c'est vrai. Je sais pas ce qui m'a pris. Tu étais à moitié paralysée... J'étais terrifié en te voyant dans cet état... *Regarde discrètement les jambes d'Uraraka* Et je mentirais si je disais que c'est pas encore le cas. Je me sens juste vraiment pas b-
Uraraka : Arrêtons de parler de mes jambes, d'accord ? C'est terminé, je ne veux pas tourner en rond sur ça pendant des jours.
Midoriya : D... D'accord. Comme tu veux. *Serre un peu les poings*
Uraraka : Deku, je... Argh. Je t'en veux pas... Enfin, plus, alors arrête d'avoir la même attitude qu'un coupable de crime.
Midoriya : Je ne vois pas de quoi tu veux parler.
Uraraka : Tu ne me parle pas, tu ne me regarde pas, tu me donnes des réponses courtes ou tu t'excuses... Je ne sais pas ce que je dois penser en te voyant comme ça. Je veux bien qu'on ait vécu pas mal de trucs récemment, mais justement. On peut pas en parler ? C'était pas simple pour moi non plus de traverser ça.
Midoriya : *fixe le sol*
Uraraka : C'est juste... Je pense que nos dernières discussions sérieuses ont pas... Toutes bien fini. Mais on devrait quand même en avoir une autre. C'est pas parce que tout est à peu près terminé que je ne suis plus triste ou en colère. Après tout, ces coups de poignard laisseront sûrement des traces indélébiles sur mes jambes. Je ne pourrai jamais les oublier, même si je le voulais. Au moins, on a quelque chose de nouveau en commun maintenant. *Regarde les mains de Midoriya*
Midoriya : Uraraka... À ce sujet, j'ai pas mal réfléchi. Je ferai tout mon possible pour ne plus jamais vous inquiéter. Que ce soit toi, ma mère, all might... Tout le monde. Cependant... Je ne peux pas te promettre qu'il n'y en aura plus de nouvelles. Et je ne peux pas te garantir de protection pour ce qui suivra.
Uraraka : Comment ça ? Je ne suis pas sûre de comprendre.
Midoriya : Récemment, j'ai compris quelque chose. L'importance de ce camp. Sa vraie utilité.
Uraraka : Il en avait une ?
Midoriya : ...
Uraraka : ...
Midoriya : *ouvre la bouche*
(Pendant ce temps, en salle des profs)
Midnight : Notre plan a capoté. On a raté notre objectif. *Tape du poing sur la table* Merde !
Numéro 13 : Calmes toi, Midnight. C'est pas grave, on a quand même pu faire une partie des exercices.
Mr Aizawa : Vas dire ça à Ectoplasm, qui déprime depuis qu'il a appris que c'était mort pour Paris.
Ectoplasm : *chiale* Je voulais faire un karaoké avec eux moi... On se serait tellement amusés...
Present mic : Eh ! On dirait que t'as oublié la vraie utilité de ce camp !
Mr Aizawa : Alors toi ferme la ! T'es pas mieux que lui !
Present mic : *recouvert de souvenirs espagnols* Je vois pas de quoi tu parles...
Mr Aizawa : Les seuls à avoir fait notre boulot correctement sont Midnight et moi. T'as présidé des combats mal équilibrés, un élève a fini bourré, 2 blessés dans un ascenseur et je veux pas parler de celui qui a été téléporté à l'autre bout du monde !
Present mic: *chuchote* Un des deux blessés dans l'ascenseur est celui qui s'est fait téléporter. Alors ça compte un peu moins.
Mr Aizawa : *furieux* On s'en fout ! Et toi ! *Regarde All might, se calme* Je veux bien que t'aies pris ta retraite. Mais ça ne t'exempte pas de tes responsabilités de professeur !
All might: *se sent super mal* Je sais. Ce que j'ai fait est impardonnable. Je n'ai pas pu les défendre, j'ai été inutile.
Mr Aizawa : Au moins tu le sais.
Snipe : Oh ! Calmez vous ! All might n'aurait rien pu faire ! Il aurait fallu au moins 3 héros aux alters puissants pour vaincre ces soldats d'armée surentrainés ! On a pu les sauver, c'est déjà bien. Ils seront tous hors de l'hôpital aujourd'hui et de retour au dortoir. La seule chose dont on doit se soucier maintenant est de l'avenir de ces enfants.
P. Nezu : Vous avez raison, Snipe. Rappellez vous les véritables raisons de cet entraînement.
(De retour du côté de Midoriya et Uraraka)
Midoriya : Un combat très important se profile, et ils essaient d'anticiper toutes les situations possibles.
Uraraka : Hm ? On nous forme à ça tous les jours, non ? C'est ce qu'on apprend en-
Midoriya : Je voulais dire qu'ils anticipent même notre défaite.
Uraraka : Hein ? Mais pourquoi ?
Midoriya : Je... Je peux pas tout te dire, mais... Un adversaire vraiment dangereux va bientôt surgir. Alors en cas de défaite, on nous a formé à plusieurs situations communes en cas de crise. Fuite, sauvetage et garde d'enfants, communication avec des héros étrangers qui viendront sans doute en renfort en cas de crise, et pour finir, une dépollution de plage... Comme un entraînement déguisé à nous occuper de cadavres pour nous rappeler l'immense importance de la mort dans ce métier. Et les autres épreuves me font penser à ça aussi. (Sans oublier ce qu'All might m'a dit il y a quelques temps par rapport à All for one.) Cette succession d'exercices, c'était sûrement pour ça.
Uraraka : *bouleversée* Mais pourquoi spécifiquement la défaite ? Pourquoi pas un entraînement très intensif ?
Midoriya : Je n'en sais pas vraiment plus que toi. Mais... De ce que je sais, même All might n'a pas pu le battre.
Uraraka : *déglutit* Ils ont même anticipé ce genre de choses... C'est presque effrayant.
Midoriya : Je comprends. *Se souvient de ce qu'il a ressenti en voyant All for one pour la première fois* Il y a de quoi avoir peur.
Uraraka : *a l'air plus sérieuse* Je n'en doute pas. Quelqu'un que même All might n'a pas pu vaincre doit être... Vraiment intimidant.
Midoriya : C'est... C'est le moins qu'on puisse dire. (Il a obtenu une longévité accrue, qui plus est. Qui sait ce dont il est capable. Je dois impérativement maîtriser le One for All avant que la bataille finale arrive. La ligue des villains gagne en puissance. Au vu du danger qui se profile, je dois m'entraîner encore plus. Je ne veux pas leur infliger les conséquences des combats liés à mon alter. Ce combat est le mien et je devrai le mener se-)
Uraraka : On a plus qu'à s'entraîner encore plus dur, j'imagine. Notre devoir sera de sauver les civils. Pour préserver le sourire des gens, me blesser est un sacrifice que je suis prête à faire. Et si ça peut t'éviter de le prendre à nouveau, je le ferai. Tu l'as déjà subi trop de fois. Je ne sais pas si je suis capable, mais battons nous vraiment tous ensemble. On ne dois laisser tomber personne, qu'importe les circonstances. Enfin, j'imagine que personne ne s'en sortira indemne. Mais essayons juste de nous en sortir au mieux. Enfin, en attendant, remettons nous déjà de nos blessures actuelles, ça sera déjà pas mal.
Midoriya : ...
Uraraka : *regarde Midoriya* Tu vas bien, Deku ?
Midoriya : *ému* Oui. (J'avais oublié. Elle est vraiment courageuse.) *A un regard un peu plus sérieux* (J'espère que tout se terminera bien. C'est derrière mon alter qu'ils en ont après. One for all contre All for one. Je ne sais pas comment je devrais faire.)
Uraraka : (Je reconnais ce regard.) Deku. Je ne le répèterai jamais assez. On va tous se battre. Qu'importe la puissance de notre ennemi. Si on avait peur de la douleur, on serait pas en filière héroïque ! On est préparés à ça.
Midoriya : Je veux juste... Vous évitez ça.
Uraraka : *hausse la voix* Tu crois que moi je veux t'envoyer au charbon ? Je t'ai vu des dizaines de fois te tordre de douleur à cause de ton inconscience juste car t'allais être guéri plus tard ! Alors arrête d'être aussi borné et laisse nous au moins t'éviter la mort !
Midoriya : Mais je... *Sourit* Merci de te soucier de moi, Uraraka. Mais ne t'en fais-
Uraraka : Si tu me dis ''ne t'en fais pas'' je rentre seule au dortoir.
Midoriya : Mais... Je ne comprends juste pas-
Uraraka : Comment tu peux pas comprendre ? C'est facile !
Midoriya : (All might m'a dit que c'était mon combat. Et il a raison. Je dois me battre seul, c'est pour ça que j'ai ce pouvoir.) *regarde sa main* (Je dois devenir le nouveau symbole de la paix. Il a sacrifié sa carrière, son secret et énormément de temps pour moi. Je ne pourrai lui rendre cette dette que comme ç-)
Uraraka : *prend une grande inspiration, lâche ses béquilles et prend la main de Midoriya avant de la mettre sur sa joue*
Midoriya : (💥) Aghgfg ?
Uraraka : C'est pour ça que je m'inquiète pour toi. Tu n'as pas à souffrir seul. Tu sembles avoir tes raisons, et je ne peux rien faire contre ça. Mais j'aimerais que tu me fasses confiance, et que tu puisses t'appuyer au moins sur moi. Qu'importe le fardeau que tu portes, j'aimerais pouvoir t'aider. Tu en sais sûrement plus que moi sur ce qui va suivre, et peut être que c'est un secret que tu ne pourras jamais me dire.
Midoriya : ... *Regarde ailleurs* (Elle a raison. Peu de gens le savent et c'est mieux comme ça. Je ne peux pas lui parler de tout ça. Je sais que j'en parlerai un jour à elle et aux autres mais c'est pas le bon moment.)
Uraraka : *sourit* Ne t'en fais pas. Ton secret m'importe peu. Je veux juste me battre avec toi. Et te prévenir que si tu veux être seul, on ne te laisserai pas l'être. Et surtout moi. Si tu pars, on te poursuivra. À l'autre bout du monde. Et si tu choisis le ciel pour t'enfuir, je viendrai te chercher. Qu'importe ce que tu penses, on fera front ensemble. Tu as toujours essayé de voir le meilleur chez les gens, pour finir par leur tendre la main. Et tu ne peux pas imaginer à quel point je t'admire pour ça. Alors pour une fois, on va te tendre la main et partager la... Euh... Hum... Ce qui te pèse.
Midoriya : *serre Uraraka dans ses bras, sourit* Merci.
Uraraka : Deku ! Tes bras ! *Veut reculer, mais a mal aux jambes et tombe*
Midoriya : *veut la rattraper, a mal aux bras et est entraîné dans sa chute*
Uraraka : Aïe...
Midoriya : *veut vérifier l'état d'Uraraka, mais a mal au bras et n'arrive pas à se relever* Désolé Uraraka. J'arrive pas à bouger.
Uraraka : C'est pas grave. Mes bras vont bien. *Utilise son alter et place Midoriya à côté d'elle en le tenant par les côtes comme un enfant* Annulation !
Midoriya : *maintenant assis sur le sol* Le terrain est accidenté. UA est limite sur une petite montagne, avec une forêt. Au moins on est presque arrivés.
Uraraka : On sera bientôt rentrés à la maison.
Midoriya : Ouais. *Sourit* Je me rappelle de la première fois que j'ai grimpé cette montagne. C'était incroyable.
Uraraka : Sérieux ? J'étais si crevée que j'ai pas eu le temps de profiter du paysage. Mon endurance était horrible.
Midoriya : (Mon entrainement de 10 mois a bien aidé, visiblement...) M... Moi aussi j'étais fatigué. Je m'étais pas beaucoup entraîné avant.
Uraraka : Sérieux ? Vu ton enthousiasme j'aurais juré que tu te serais entraîné des années pour entrer à UA ! Après maintenant que je repense à ton score, c'est assez logique. N'empêche, ton coup de poing m'avait vraiment sauvé la vie.
Midoriya : *rosit* Haha... Mon corps a bougé tout seul.
Uraraka : Pas la peine de faire le modeste. Tu as vraiment agi en héros.
Midoriya : Toi aussi ! Avec ta gifle.
Uraraka : *mal à l'aise* Haha... (J'ai vomi juste après...)
Midoriya : J'ai vraiment cru mourir, ce jour là. J'aurai pu utiliser mon dernier bras disponible, mais j'aurai moins bien fini. Merci.
Uraraka : C'est normal.
Midoriya : ... On a vraiment vécu beaucoup de choses, hein ?
Uraraka : Ouais.
Midoriya : Dire que l'année est bientôt finie.
Uraraka : Ça me rend presque nostalgique. UA est un lycée incroyable. C'est tellement différent du collège.
Midoriya : Oui. *Regarde ses mains, lève la tête pour regarder le bâtiment de son établissement scolaire et se tourne finalement vers Uraraka en souriant* J'ai vraiment beaucoup de chance.
Uraraka : *lui rend son sourire* On a beaucoup de chance.
Midoriya : Tout à fait.
Uraraka : *veut prendre la main de Midoriya, mais regarde à sa gauche et voit qu'elle et Deku sont au bord d'une mini falaise bien raide*
Midoriya : *flippé* Je te propose de remonter avant de faire quoique ce soit.
Uraraka : *flippée aussi* Complètement d'accord.
Midoriya : *se lève, veut tendre la main à Uraraka mais se rappelle qu'il peut pas, veut prendre les béquilles à la place mais peut pas non plus, sait pas quoi faire*
Uraraka : *utilise son alter, attrape ses béquilles comme elle peut, les plante dans le sol en plein vol et annule son alter avant de retomber sur ses jambes et se replace comme elle peut sur le chemin menant à UA*
Midoriya : On peut y aller ?
Uraraka : *sourit* Oui !
(25 minutes plus tard, en haut de la montagne)
Midoriya : Ça va ? Pas trop fatiguée ?
Uraraka : Pas du tout.
Midoriya : *regarde le portail de UA* Maintenant que j'y pense, ce portail est vraiment excessivement grand.
Uraraka : Oui. Tellement qu'on le remarquerait même à 2 kilomètres.
Midoriya : *marche vers l'entrée* (Ah... Enfin. Je vais retrouver mon lycée. Après tellement de t-) *se prend la barrière méchanique infranchissable en métal de UA* Hein ?
Uraraka : C'est vrai ! On a pas nos cartes étudiants sur nous. Elles ont dû cramer quelque part en chine.
Midoriya : J'avais oublié ce système. C'était pour empêcher les journalistes d'entrer, c'est ça ?
Uraraka : Oui.
Midoriya : ... On devrait pas appeler un des profs ? Genre Hound dog ou- *sent sa poche vibrer*
Message : Vous pouvez entrer, c'est ouvert. Aizawa
Midoriya : Oh. On nous a ouvert.
Uraraka : Il doit y avoir un système de caméra de surveillance dans le dortoir des profs. Tant mieux, je me serais mal vue dormir dehors cette nuit.
Midoriya : Pareil. *Marche assurément droit devant lui*
Uraraka : Deku ? Les dortoirs sont pas par là.
Midoriya : Je sais.
Uraraka : Qu'est ce que tu fais, alors ?
Midoriya : C'est ici que tout a commencé.
Uraraka : Hm ? *Lève la tête, plisse les yeux à cause de l'obscurité de la nuit puis regarde les environs*
Midoriya : J'ai failli tomber juste ici. Tu m'as rattrapé. Je m'étais juste rappelé ça.
Uraraka : Je m'en rappelle. C'est le lieu de notre première rencontre.
Midoriya : *rosit* Oui.
Uraraka : *pose à nouveau ses béquilles au sol, retire son écharpe*
Midoriya : Qu'est ce que tu fais ? Il fait froid ! Remets ton-
Uraraka : *enroule l'écharpe derrière la tête de Midoriya et tire pour l'attirer vers elle et l'embrasser*
Midoriya : *pris au dépourvu*
Uraraka : *remet son écharpe*
Midoriya : *rouge tomate*
Uraraka : Désolée... Mais c'est juste... Cet endroit est parfait, tu trouves pas ?
Midoriya : *pose sa tête sur l'épaule d'Uraraka* Si. C'est juste... J'ai l'impression de rêver. De ne pas mériter tout ce qui m'arrive. Je suis juste... Tellement heureux.
Uraraka : *serre Midoriya dans ses bras* Heureusement, c'est pas un rêve.
Midoriya : J'en suis forte aise.
Uraraka : *rit* Pourquoi ce changement de langage ? Tu t'es pris pour un poète ?
Midoriya : *a la voix tremblante* Désolé, je panique quand je suis nerveux.
Uraraka : *dans une sorte de transe à cause de la nuit* J'espère que tu as préparé d'autres vers, alors.
Midoriya : *rougit*
Uraraka : Tu peux avancer un peu ? Mes cuisses commencent à me faire mal.
Midoriya : Tu veux pas t'asseoir ? Il y a un banc pas loin.
Uraraka : *joue avec une mèche de cheveux de Midoriya* Je-
Un robot de sécurité : ÉLÈVES HORS DE LEUR DORTOIR APRÈS LE COUVRE FEU ! RENTREZ DANS VOS DORTOIRS ILLICO OU JE CAFTE À AIZAWA !
Uraraka : *sort de sa bulle* DÉSOLÉE ! JE PENSAIS PAS CE QUE J'AI DIT ! JE VAIS M'ENTERRER DANS UN ARBRE, SALUT ! *Veut partir en courant, mais peut pas courir donc boîte difficilement*
Midoriya : *récupère les béquilles d'Uraraka en faisant un jongle, les case sous son bras gauche et la suite*
Le robot : Mes capteurs me disent que ce gars sera champion de basket.
Midoriya : *court* Attends ! Tu peux pas courir ! Prends ça. *Tend les béquilles comme il peut*
Uraraka : *se couvre le visage* Gyyifjfk...
Midoriya : Hein ?
Uraraka : *inspire* Je ne peux pas te faire face après ça...
Midoriya : *s'agenouille*
Uraraka : *encore plus rouge* (VUFJGFUXUUFHIXGFI?!?!??!!)
Midoriya : *fait de son mieux pour caser les béquilles d'Uraraka dans ses mains, se relève* Voilà. Tu peux marcher maintenant.
Uraraka : *avance près d'un arbre, lui fout un coup de boule*
Midoriya : Uraraka ?!
Uraraka : *saigne du front* Pardon. Je devais me ressaisir.
Midoriya : Tu as une manière très bizarre de procéder.
Uraraka : *s'essuie le front, sourit* Bon, on rentre ? On a encore 3 minutes de marche avant d'arriver aux dortoirs ! Il faut pas trainer si on veut arriver avant que tout le monde ne se couche.
Midoriya : *sourit* D'accord ! Allons y.
Uraraka : *regarde droit devant elle* (Qu'importe les obstacles. Je ferai tout les efforts qu'il faudra pour protéger son regard passionné pendant qu'il parle d'héroïsme, sa volonté, sa soif d'apprendre, sa gentillesse, son intelligence, sa force, ses valeurs, mais surtout...) *se tourne vers Midoriya*
Midoriya : *avance joyeusement sur le chemin menant vers son dortoir*
Uraraka : *sourit* (Ce sourire. Faites que ce lycée...)
Midoriya : *voit le dortoir au loin, avance un peu plus vite, mais se retourne pour attendre Uraraka, toujours aussi joyeusement*
Uraraka : (Puisse rester à jamais...)
Midoriya : *juste devant la porte* Rentrons à la maison, Uraraka !
Uraraka : *attendrie par son impatience enfantine* Oui ! (Son académie de héros !) *Passe la porte la première, voit ses camarades tous rassemblés autour du canapé pour les attendre* On est rentrés !
Mathilde : Ochacco ! Je pensais que t'étais morte ! On dirait que ça va mieux dis donc, t'es beaucoup moins pâle !
Uraraka : QU'EST CE QUE TU FOUS LÀ ?
...
Ok pour le retard j'ai déconné. Pardon... Mais ce chapitre était de loin le plus CHIANT que j'ai jamais dû écrire. J'avais le début et la fin mais l'inspi pour le milieu était partie en Ouzbékistan. J'espère que c'était pas trop mal, parce que je le dis maintenant, le izuocha j'en referai plus avant un certain temps. Ce ship est trop difficile à cerner. J'arrive pas à visualiser leurs réactions. Au moins, le chapitre Kamijiro aura moins de retard. Mais en attendant, je vais me reposer un peu.
Ps : si jamais il y a des premières ou plus dans mes lecteurs, vous auriez des astuces pour l'oral de français au bac ? Zoubi zoubi.... (Je vais avoir 2, au secours)
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