Chapitre 5

Le mois de Juillet se passe bien, je me sens a ma place en Espagne avec ma famille. Ma cousine je la considère comme ma meilleurs amie. Demain on est le premier Aout, Emilie, ma cousine, a forcée pour m'accompagner voir Alana, je n'est pas insister parce qu'elle fait 20 centimètre de plus que moi, c'est une girafe, et qu'elle est musclées donc pas envie de me prendre une tarte. Il est 20 heures, sont concert commence a 20h30,on se mets tout devant. Avec Emelie, on rigole, on parle. Il est 20h30, Alana rentre sur scène. Elle commence a chanter, je ne peux pas m'empêcher de la regarder, sa vois est magnifique et hypnotisante. Elle chante en Espagnole, en me regardant de temps en temps. Elle chante une nouvelle chanson en français cette fois et sans me lâcher du regard.

"écrire une chanson d'amour, une chanson de star pas une qui te rende sourde, une chanson qui te parle. J'ai la voix qui grelote, je veux que tu l'entendes quand tu sera vieille. Pour quoi te dire avec les mots ce que tu peux lire dans mes yeux? Oh quand t'es là ma misère s'enchape. Oh quand t'es là sa guérit mon âme. Je sais pas comment on dit "je t'aime". Moi je vais te charrier que t'en peuvent plus. Je te serre un verre rempli l'assiette et te demande si t'en veux plus. J'écouterais toute tes petite histoires jusque dans les moindre détail. A regarder comment tu bois, voir si tu tries les petits pois. Oh, quand t'es là... Oh, quand t'es la... Je crois que je t'aime, je crois que tu me plais mais je te le dirais jamais. Je crois que je t'aime, je crois que tu me plais mais je te le dirais jamais. Pas sur d'avoir tout compris mais si je te le dis pas c'est que c'est surement ça, pas sur d'avoir tout saisie. Je crois que je t'aime, je crois que je t'aime. Pas sur de s'aimer (non), pas sur d'en être sur. Parfois je restais sans voix si tu m'approches, Sans le savoir, j'irai me perdre dans tes yeux pour savoir ce qu'ils disent. Que t'es juste a me fixer pour me faire comprendre ce que tu désire tout doux (tout doux) Je reste Là (Je reste là) tout doux (tout doux) ) Je reste Là (Je reste là). Je m'agripperais, je regarderais ou tu marches. Je t'écouterais me confier tes secrets pour qu'ensuite je les embrasse. Tu sais je veux pas que tu me conviennes je préfère être surpris souvent. Faire une peinture de tes défauts que j'installerais contre un mur blanc. Oh, quand t'es là... Oh, quand t'es là... J'ai rein compris mais je crois que je t'aime, je crois que je t'aime. J'ai rein compris mais je crois que je t'aime, je crois que je t'aime. Je crois que je t'aime, je crois que tu me plais mais je te le dirais jamais. Je crois que je t'aime, je crois que tu me plais mais je te le dirais jamais." Chante Alana

Elle finie son concert, à la fin ma cousine me tape le bras et me dit:

"Je crois que la chanson était pour toi."

"Je sais pas, je pense je l'aime aussi, je vais aller la voir attends moi la. ET PAS TOUCHE A LA DROGUE." Répondis-je

"Oui, oui t'inquiète pas, je t'envoie un message si je rentre sans t'attendre."

Je vais voir Alana, il me laisse entrer en loge. Alana est assis sur un canapé, en m'entendant rentrer elle se retourne. Je plonge mon regards dans le sien, mes yeux descende vers ses lèvres, son regard aussi descend vers mes lèvres, je m'approche d'elle. Je mets mes mains sur ses joues et elle mais ses mains sur mes hanches, nos lèvres ne sont plus qu'à quelques millimètres, je l'embrasse elle répond à mon baiser. On se séparent par manque d'air, on a même pas besoin de se parler pour se comprendre.

Fin du flash back.

On a emménager à Madrid, c'est en Espagne que je me sens bien et à ses côtés. Aujourd'hui j'ai décider de demander a mon espagnole un truc qui me ties a cœur, pour lui faire cette demande qui pouvait peut être changer notre vie, je décide d'aller dans ce coin, ce coin d'eau ou mon cœur a aimer le sien. Arrivé la bas, Alana ne comprenait pas trop ce qu'on faisait la mais rien que revoir cette endroit, lui fit sourire. J'était stresser, mais je me laisse pas abattre. Je me mis devant elle et mis un genoux a terre. 

"Je t'aime Alana ça fait 4 ans que mon cœur bats pour toi, 4 ans que tu m'as redonné le sourire. je suis pas doué pou les grands discours. Je t'aime je veux passer ma vie a tes cotées. Veux tu m'épouser?" Déclarais-je

"Oui je le veux." me répondit-elle en sautant dans mes bras. 

On tombe dans l'eau ce qui nous fit rire, on joue comme des enfants. On rentre chez nous, je sens mon téléphone vibrer, je regarde mon écran c'est marquer "Emerik (le bg)" je réponds. 

"Allo." dis-je

"salut, ça va? Quoi de neuf?" 

"Salut, bah écoute la vie continue et je suis bien en Espagne avec elle, et toi ça va? Adrien, Maël, Mathieux et Noé vont bien?"

"Tout le va nickel, faut qu'on te dise un truc avec Adrien." 

"Vous allez vous mariez, avoir un enfant, un appartement?" 

"Trop de question mais oui on va prendre un appart ensemble." 

"Je suis contente pour vous. J'avais raison." 

"Raison pourquoi?"

"C'est grâce a qui que tu as eu son numéro, je te rafraichi la mémoire grâce a moi la meilleur."

"ça va les cheville?" 

"Un peu gonfler mais ça va." 

Emerik rigole.

"J'avais raison, je t'ai dit on n'en reparle dans 10 ans, même pas eu besoin d'attendrez 10 ans juste 4 ans." 

On rigole, on reste au téléphone aux moins une heure. 

"Tu reviens quand en France?" demande Emerik 

"Je sais pas faut que je voie avec Alana, vue que tu vas avoir un appartement tu nous logeras."

"J'ai le choix?" 

"Non." 

éclipse de deux mois 

je suis sur le canapé avec Alana, sa tête est sur mes genoux. 

"J'ai une question, t'es pas obliger de répondre." dit Alana 

" tu me fait peur." 

"Le jour de notre rencontre pourquoi tu étais dans cette états là." 

 "Euh... commençons par le commencement, j'avais 8 ans. Mes parents m'avait emmené voir en concert mon chanteur préféré, pendant qu'on s'amusait, on entendit des coups de fusil, je vis un corp tombé en sang, un deuxième, un troisième... Mon père me prend dans ses bras on essaye de fuir, alors qu'on cours vers la porte un home armée ce mets devant nous il tire dans le cœur de ma mère je la vois tombés, "Je vous aime." dit elle avant de nous quittées. Mon pere se prends une balle dans le bras il tombe cachant mon corps pour pas qu'on m'attaquent. l'homme part, je fermait mes yeux bouchait mes oreilles pour pas entendre ce qui se passe." expliquais-je alors que les larme coulait sur mes joues, Alana se relève et me prends dans ses bras. "Au bout de trente minute, je sentis mon père se relevé, j'ouvris les yeux et enlève mes main de mes oreilles. j'entends les policiers, les ambulanciers... Je vis énormément de corps inerte. Mon pere me reprends dans ses bras. Depuis se jour j'ai une peur bleue de tout ce qui est pompiers, policiers, ambulance..." 

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