Chapitre 15

désolée de revenir si tard avec ce chapitre mais j'avais perdu toute envie decontinuer. je devais avouer que le manque de participation des lecteurs m'a donné un coup au moral et j'ai continué d'autres fictions. mais jsuis de retour grâce à un récent coup de boost (elle se reconnaîtra ;)) 

oh je préviens, j'ai écris un trucs triste de fou, j'ai pleuré tout le le long de l'écriture de ce chapitre je vous ment pas xD donc bon je conseille de mettre la musique en même temps, ca rajoute du drame!! gros bisous!!

« A croire que je vais finir par avoir des rhumatismes ! » rit doucement Jackson alors que je descends de mon perchoir.

Cela va faire plus d'un mois que j'ai appris qu'il était mon père biologique et que mon temps sur terre était compté, un mois que nous nous entraînons et que la meute a mis en place des nuits de garde et a renforcé ses protections. Nous sommes tous deux accompagnés à présent de mes grands-parents, qui, sous leur apparence de jeunes adolescents ont reprit des forces conséquentes, et également en compagnie de Kyungsoo qui passe ses jours à dormir, et ses nuits à s'entraîner à mes côtés. Il avait cessé tous préjugés envers les loups en rencontrant Yoongi qui fit naître en lui une vraie tendresse envers notre espèce. Il avait également tenté de savoir pourquoi chaque jour je semblais faire un long décompte, il voulait savoir mais je n'avais pas le courage de lui dire qu'il serait surement debout à coté de ma tombe lorsqu'on la refermera. Chaque fois j'en avais les larmes aux yeux, l'image de perdre tant de choses me faisait peur malgré tout, j'avais peur de perdre mes oncles, mes parents, perdre ce qu'ils m'avaient donné.

J'étais retourné souvent voir Hyunsu et Daeho et j'avais toujours la même tendresse de leur part, toujours le même amour, et jamais je ne leur avais parlé de ma santé, de ma mort prochaine. Je m'étais contenté de leurs offrir des sourires, leur promettre que j'allais me battre à leurs côtés et ce, avant l'hiver. Parfois j'allais à l'église aussi, malgré tout je me tournais vers Dieu, cela apaisait ma tristesse et un jour, je le savais j'allais retrouver ma famille. Mais malgré tout, lorsqu'enfin je retrouvais mon lit et mes draps glacés, que la nuit m'enveloppait, je pleurais silencieusement. Je savais que Jackson m'entendait parfois mais il respectait mo intimité, il n'en parlait jamais, mais je le savais, il avait mal également.

Ce soir, il avait voulu sortir seul à mes côtés, m'apprendre à être un Jiangshi mais je savais déjà tout, et il était si simple à présent de le battre. Le but était de monter à la cime des arbres et de faire chuter l'autre. Je n'étais plus tombé depuis bien deux semaines et je n'avais pas de pitié lorsqu'il fallait gagner. A présent il s'était donc juste allongé sur le dos et par un trou dans le feuillage il observa la lune qui brillait d'un argent clair et qui venait caresser sa peau. Soudainement, il semblait grave et ses yeux d'un rouge flamboyant se tournèrent vers moi, il était triste, je le savais. Mais je ne voulais pas l'inquiéter, ni lui en parler, cela me faisait trop mal. Je pris donc mon courage à deux mains et je lui avais tourné le dos.

« Sangki, attends. »

Il se redressa et me rattrapa, une main sur mon épaule. Mon dos se bomba et mon visage se tourna vers le sol. Il ne m'avait pas vu grandir, et il l'aurait voulu, et maintenant, il me connaissait lorsque j'étais à l'agonie, c'était injuste.

« Nous devons parler. » les trémolos dans sa voix me firent un mal incompressible qui vint enfler puis broyer ma poitrine. « Ne me tourne pas le dos, s'il te plaît. »
Lentement je m'étais tourné vers lui et j'avais levé le regard pour rencontrer le sien. La larme qui venait de se cacher dans ses cils me fit renifler tandis qu'ils e mis à sourire d'un air abattu. « Je n'ai pas vraiment eu le droit de te connaître tu sais, mais je sais que je suis fier de toi. Tu... tu aurais été un très bon père et un fiancé parfait. Ton grand-père aurait tant voulu voir des enfants... »
« S'il te plaît... c'est déjà si dur. » des larmes incontrôlables se mirent à rouler sur mon visage blanc et émacié alors qu'il venait poser ses deux mains sur mes épaules.
« Non ! Tu dois m'écouter ! Quoi qu'il arrive je t'aimerai ! Je t'aimerai car tu es toi, vivant et que tu es mon fils ! Je t'aime car tu représente tant de choses, que tu as une valeur, que tu es un petit moi, mais surtout car tu es tout ce que j'aurai voulu être. Tu as un courage qui te porte, qui te fait sourire même lorsque tu caches ton mal, qui te force à grandir, qui te pousse à tenir la charge de la douleur là où j'en ai toujours été incapable. Je veux que tu saches que si je te survis, je te chérirais comme je n'ai jamais pu le faire. Mais je t'en prie, ne survies pas à ton idiot de père qui a bien trop vécu. » il se mit à rire au milieu de ses sanglots avant de se lover dans mon cou.

Mon cœur, si irrégulier et stupide s'était mis à aimer chacun de ses mots, à s'alourdir encore plus, à me faire souffrir. Il ne m'aidait pas, il voulait que je lui survive ! comment le pouvais-je ? Il mettait un poids supplémentaire sur mes épaules déjà surchargées alors qu'il pleurait tout son soul. J'avais mal partout ce soir-là lorsque nous avions rejoint la maison que nous avions envahie, il m'embrasse sur le front avant de ressortir chasser tandis que j'avais rejoins mon lit. Cette fois-ci je n'avais pas pleuré, l'épisode de la forêt m'avait déjà fait si mal. Pourtant je n'avais pas réussi à dormir et au matin c'est avec une grande douleur physique et mentale que je m'étais sorti du lit à l'aube. Je m'étais placé devant l'horizon, fixant le soleil sortir de sa cachette alors que j'entendais Kyungsoo retourner se coucher surement après un bon repas. Au loin une ombre planait et je le voyais d'ici. Le regard concentré sur l'horizon je vis alors cette ombre bouger, avancer, comme un grand bloc de béton flottant, guidé par des animaux décharnés. Mon cœur se mis immédiatement à battre la chamade et je m'étais précipité dans la maison. J'avais hurlé qu'ils arrivaient et tous se mirent en position d'attaque. Jackson se protégea la peau, prit une gourde et enfila une cagoule. Kyungsoo fit de même alors que mes grands-parents s'étaient changés en loups.

Ensemble nous avions rejoint le clan de Dusk Cove pour sonner avec force la cloche d'urgence. Les loups ne tardèrent pas à affluer et former un groupe compact derrière nous, grognant et grattant le sol en préparation. La forêt bruissait, vibrait et craquait fortement alors qu'une odeur de chair en putréfaction envahissait l'air environnant dans un grand nuage verdâtre. Une vapeur sombre, elle, évoluait au ras du sol, s'enroulant lentement autour de chevilles et pattes pour les glacer. Mes articulations me firent d'ailleurs rapidement mal tandis que la chaleur de notre été disparaissait sous cet épais manteau de brouillard.
Soudainement, le bruit environnant s'étouffa, comme si nous étions placés dans une grande cloche de verre, le vent sembla même se faire tout petit, laissant le nuage autour de nous, humide et compacte. Des râles semblaient parfois sortir de la gorge des loups tandis que Yoongi, s'avançait parfois pour renifler l'air, sans succès. Leur odeur masquait tout, impossible de les repérer. Mais il le fallait ; connaître leurs positions.

Me concentrant j'étais alors parti à toute vitesse vers le vieux clocher de l'église où j'avais grimpé. D'ici, je voyais nos positions, qui étaient mal tenues à cause de l'appréhension tandis qu'au loin, je voyais les créatures inertes, rester à fixer nos loups de leurs visages en bouillie. Soudainement, je vis l'un deux faire signe aux animaux d'attaquer et à une vitesse affolante ils avancèrent vers les loups non avertis. Ma voix se fit alors aussi forte que possible, devenant aussi grave qu'un râle.

« ILS ATTAQUENT ! »

Ils m'avaient entendu et ils purent alors se défendre et tenter de combattre les chiens dont les colonnes craquaient sous les dents tranchantes des miens. Ils savaient gérer cela mais je voyais bien que quelque chose d'autre était en préparation, cela ne pouvait pas être tout, ils ne pouvaient pas détruire des villages entiers en envoyant des animaux si faibles ! Mais qu'avais-je dis... le sort se retourna soudainement lorsque l'un des notre tomba sous une morsure par l'une des créatures qui prenait soudainement de la taille, qui enflait. Tous l'imitèrent, et je compris qu'ils adaptaient leurs forces aux attaquants. Pour contrer les loups, ils avaient renforcé leurs zones sensibles par un cuire aussi dur que l'acier, agrandit leurs griffes pour leurs donner l'allures de serres puissantes alors que leurs yeux s'agrandirent pour anticiper chaque mouvement. Ils tombaient vite à ce rythme, et ce même si les jumeaux leur envoyaient au visage des fioles par dizaines et qu'ils en donnaient d'autre aux loups blessés. Des cris de douleur ne cessaient de déchirer l'air alors que moi j'étais paralysé, à les regarder. Je ne savais plus quoi faire alors que même Kyungsoo donnait toute son âme dans le combat. Je devais agir, mais que faire ! mon regard se porta au loin, où les créatures se trouvaient, c'était eux qu'il fallait abattre. Mon père avait réussi, leur prendre leur faux, leur trancher la tête, l'idée était là, maintenant je devais exécuter.

Mon cœur et mes poumons gonflèrent alors qu'à toute vitesse j'avais passé le front pour rejoindre la zone envahie par le froid et l'odeur de moisi. Après à peine quelques secondes de courses, ils me firent face, ils étaient là, avec leurs capuchons sur la tête et leurs longs doigts autour de leurs faux, coulants de poix noire et de pourriture. Mon visage se mis à rougir et je compris qu'ils lisaient en moi, mon père apparu dans un coin, Jackson dans un autre, et même Hyunsu était là, mes oncles et tantes, Kyungsoo, tous là. Mais je n'allais pas me faire avoir à nouveau. Les dépassant largement sur le point de la vitesse, j'avais foncé sur l'un deux, lui arrachant la faux des mains alors qu'il s'était mis à hurler d'une voix stridente. Sa faux dans les mains j'avais un sourire dément, j'étais fort, je m'étais entraîné, j'allais y arriver !

J'avais élevé la faux par-dessus ma tête et avec force je l'avais abattu pour fendre l'air et la tête de la créature, mais... mon coup frappa dans le sol meuble de la forêt. Il s'était comme téléporté, baladé à grande vitesse. Mon visage se plissa lentement alors que je ramassais la faux. Pourquoi ne m'attaquaient-ils pas ? Pourquoi étaient-ils tous prêts à me tendre leurs faux, à se laisser tuer. Celui que je venais de désarmer me sauta à la gorge sans que je ne puisse anticiper le mouvement et tout fut clair, il avait copié mes pouvoirs, et ils les voulaient, eux tous, ils voulaient que je les touche. Il serra sa main dure sur mon cou alors que je battais des pieds sur sa poitrine, je n'avais aucune idée de ce que je devais faire à présent, entouré par des créatures qui tendaient leurs mains vers chaque centimètre carré de ma peau.

Si soudainement et avec tant de force, ma gorge gonfla et laissa échapper un long cri grave qui les ébranla. Mon corps en avait également frémi et celui qui me tenait tomba raide mort à mes côtés, le crâne éclaté et la chaire putréfiée étalée sur ma peau. Les autres semblèrent perdus, cherchant à retrouver leurs esprits, et cela me permit de ramasser la faux du mort et venir trancher quelques têtes. Ils étaient trop pour moi seuls mais je savais qu'après ce long cri, je n'allais pas l'être longtemps. Je savais bien que Jackson allait venir, et il ne fut pas compliqué de lui dire de ne pas désarmer ceux encore debout mais de prendre une arme d'un mort. Il fut mon plus grand allié avant que les loups ne viennent également à nos côtés, ils se fichaient d'être touchés car avant même que les créatures ne copient leurs pouvoirs, ils leurs écrasaient le crâne ou leurs plantaient une faux dans la poitrine.

Le massacre était complet et nous ne leur avions pas laissé l'occasion de battre en retraite. Le vent revint alors, et l'air s'échappa de cette forêt, laissant entrevoir le soleil déjà à son zénith. Il offrit à nos loups un doux sentiment de répit avant que la réalité ne nous frappe trop fort. En effet, au retour au village, des dizaines, que dis-je, des centaines de corps jonchaient le sol, jamais je n'avais vu une hécatombe si triste. Les hommes et les femmes étaient là, sourire aux lèvres alors qu'ils avaient donné leur vie à la meute. Je m'étais lentement senti marcher entre les corps, sanglotant parfois lorsque je reconnaissais un visage. Mais mon cœur cessa soudainement de battre lorsque je vis mes grands-parents écroulés, en larmes, grognant et jurant. Ils couvraient de leurs bras, des formes indécises, qui d'ici semblaient si paisibles. J'avais eu peur d'avancer, tout comme Jackson qui eut un mal fou à s'avancer. Mais que disait-il la veille, il avait eu plus de courage que moi, il s'était approché, pour s'écrouler lourdement sur les genoux. Il hurla un grand coup avant de retomber sur les corps. Je m'étais senti sursauter, j'avais peur de comprendre.

J'avais voulu fuir, mais j'avais avancé. Peu à peu j'avais reconnu des formes, mais je refusais, non, c'était impossible. Mais, lorsque mes pieds touchèrent un bras fin je ne pus plus rien ignorer. Mon cœur cessa de battre si longtemps que je me senti être en apnée. Mon souffle ne voulait pas revenir alors que je fixais ces touffes blanches et brises mêlées dans un flot discontinu de sang. Les plaies étaient si profondes, les corps si mutilés lorsqu'on y pensait. Mes genoux rencontrèrent le sol sans que je m'en rende compte alors que je posais lentement mes doigts sur les joues glacées, les paupières closes, si irrémédiablement closes. Mes doigts virent dans les cheveux gris tout d'bord alors que je sanglotais, puis dans les blancs renforçant ma douleur. Un cri voulait m'échapper mais je ne pouvais plus. Je me jetais sur leurs corps en hurlant à la douleur, enfin cela sortait, mais bordel ca ne faisait pas plus de bien ! j'avais survécu à mes parents ! c'était invivable. J'avais secoué les corps en hurlant avant que je ne sente mes grands-parents m'en empêcher, me hurler dessus alors que je me débattais, non c'était impossible.

« NON ! C'est pas possible ! Il a survécu au serpent ! Aux métamorphes ! Aux cerfs ! A-Au Jiangshis !! ils peuvent pas être morts ! »
« Sangki, je t'en prie ne rend pas cela plus difficile ! »
Me hurla Yoongi en me serrant contre lui. Il m'entraîna à genoux alors lui alors que les jumeaux étaient venu pleurer leur frère et leur beau-frère, prenant délicatement leurs mains blanches.
« I-Il... Ils souriaient... »
« Ils se sont aimés jusqu'à la fin, et ils t'aiment aussi Sangki. »
murmura Yoongi en se cachant dans mon cou.
« Je... Je n'aurai pas dû partir, j'aurai dû les sauver papi. »
« Si tu n'avais pas agi surement que des centaines d'autre loups seraient morts. Je sais ils n'étaient pas tes parents mais ils ont trouvé la paix. On leur fera une tombe superbe, sur une colline, près de leur rivière, près de leur... leur cabane »
il éclata en sanglot et se roula contre mon torse en couinant de douleur.

En effet, deux jours plus tard, deux jolies tombes étaient creusées et remplies par les cercueils, juste à l'entrée de leur cabane à côté de l'eau, juste sous les rosiers. J'avais jeté au fond du caveau des dizaines de fleurs en leur hurlant des « je t'aime » alors que lentement on recouvrait les tombes de terre. On avait tout fait pour qu'ils soient heureux dans l'autre monde, tout mis en place pour vérifier qu'ils étaient bien morts, mais on le savait, cette fois Daeho ne reviendrait pas. La meute était si endeuillée par leurs propres pertes que peu de monde vint à leur enterrement. Je le savais, ils l'auraient voulu, ils voulaient la tranquillité, l'amour des leurs, mes grands-parents, leurs frères et sœurs, et moi. Et nous étions tous là, même Jackson qui embrassé les pierres tombales avec amour. Il déposa ensuite quelques roses sur la terre fraîchement retournée et soupira. On leur disait adieu et pourtant, j'étais là à mourir d'envie de plonger sous terre et les rejoindre. J'espérais tellement, que comme lorsqu'il était adolescent il allait ressortir de sa tombe, nous surprendre et je pourrais lui dire « Papa je t'aime, je partirais à ta place, toi comme Hyunsu, je vous aime tant. »

Sur leur tombe j'avais laissé une lettre, si idiote, dans l'espoir que si vous sortiez vous la liriez. Mais lorsque j'avais quitté votre dernière demeure nous n'aviez toujours pas bougé.

« Je vous aime, et je vous en prie, lisez cette lettre, sortez de terre et venez me voir, survivez moi, vivez, aimez-vous, je vous en prie. Mon Dieu, pourquoi ne pas m'avoir prit à leurs places ? Je les aimais tant, mais je sais que mon âme ne valait pas un quart de la leur, je le sais, pourtant bientôt je les retrouverais, je le sais. J'ai mal au cœur, j'aurai toujours mal tant que je ne reverrais pas leurs visages. Mon Dieu, prenez les à vos côtés, aimez les comme je ne l'ai pas assez fait.
Papa Daeho, je t'aime, même si parfois je t'ai dit te détester, mais en cachette je dormais dans tes t-shirt, j'ai toujours aimé ton odeur. En cachette, j'ai volé à papi un bon nombre de tes vêtements et ton eau de Cologne, je l'ai mise partout dans mon lit.
Papa Hyunsu, je t'ai si peu dit que je t'aimais car je suis égoïste, alors que tu doutais de mon amour car je ne portais pas tes gênes. Pardon ma stupidité, pardonne mon ignorance. Je t'aime tellement, je t'aimerai toujours, et j'ai l'espoir, qu'un jour tu sortiras de terre, que je te serrerai dans mes bras et que je te dirais que je t'ai trop sous-estimé, que tu es l'homme le plus fort que je connaisse. Et que même tes blagues nulles je les adore. Je les ai jamais oubliées. Je les ai toutes là-haut, pour me souvenir d'à quel point notre humour était faible. Haha. Je t'aimerai toujours.
revenez moi...
Sangki. »

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