J'ai écris hier le chapitre 27 alors je me permet de poster celui là ce matin! :p
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Nous étions enfin arrivés au village mais malheureusement les deux nouveaux venus ne s'étaient toujours pas tus. Ils parlaient toujours de bandes dessinées traitant de loup-garou avant de se pencher sur les X-Men. Il affirmait que j'étais comme le professeur Xavier et que je réunissais les personnes aux pouvoirs exceptionnels comme moi. Pour ma part, je n'arrivais plus à les écouter tant j'avais envie de leur arracher les yeux. Je n'en pouvais plus de leurs conversations qui allaient dans tous les sens et qui ne se stoppaient jamais. Ils avaient une voix encore changeante et ils passaient leur temps à s'extasier sur tout et n'importe quoi. Si Adam n'avait pas fait preuve de gentillesse envers Yoongi, jamais je ne l'aurais pris dans la meute. Mais je n'avais pas vraiment le choix alors j'avais amené les deux nouveaux invités chez moi. Mon amant dormait encore et je savais qu'il se sentirait mieux une fois au lit. Je l'avais donc mis en sous-vêtements pour dormir et l'avais couvert de notre couverture matelassée. Il s'enroula naturellement dans celle-ci et soupira même de bienêtre. Ce soupire me poussa à sourire et je ne me retins pas d'embrasser son minuscule petit nez blanc.
Ceci fait, j'avais rejoint les deux adolescents qui visitaient la maison à leur guise, comme s'ils étaient en terre conquise. J'avais grincé des dents et les avais attrapés par le col. Je les avais assis autour de la table de la salle à manger avant de poser mes mains sur le meuble. Mes épaules étaient contractées et ma respiration ne voulait se calmer. J'étais épuisé et à bout de nerf, je ne voulais pas jouer la baby-sitter.

« Vous ne bougez pas d'ici. Vous ne touchez à rien. Vous ne faites aucun bruit car Yoongi dort à l'étage. Moi, je vais aller chercher mon fils chez sa tante. Je compte sur vous pour respecter ces quelques règles. Je ne serais pas long, je serai là dans quelques minutes. Si vous avez faim prenez dans le frigo, mais ne touchez pas au gâteau du petit il me ferait une crise que je ne pourrais canaliser sans Yoongi. »

Etonnement ils n'avaient pas rechigné et s'étaient simplement tu. Pour parler ils s'étaient mis à murmurer et se tenaient la main sous la table. Ils étaient souriants, comme s'ils étaient en plein rêve et qu'ils ne réalisaient pas que c'était la réalité. L'accalmie les avait pris j'en avais donc profité pour aller chercher Daeho. A peine avais-je pénétré la maison de ma sœur que le petit se jeta sur mes jambes en couinant. Il avait l'air d'avoir compris que j'avais retrouvé son père et un sourire identique à celui de Yoongi se traça sur ses lèvres pulpeuses. Il avait des dents minuscules, comme son père, et chaque fois qu'il souriait je revoyais le visage de mon compagnon.
Je lui avais souris en retour et avais prit le petit être dans mes bras. Il avait noué ses bras autour de mon cou tandis que ses jambes étaient de part et d'autre de ma hanche gauche. Ainsi, je ne le tenais qu'à une main et de l'autre je pouvais lui passer son bonnet, son écharpe et même son manteau. C'est alors que Chaerin apparu dans l'entrée, les cheveux remplis de miettes de cookies.

« Je suis heureuse que Yoongi soit de retour. »
« Toi ? Heureuse que Yoongi soit en vie ? C'est une blague ? »
« Non, au moins je ne devrais plus tenir ce petit monstre. Il a du mérite, je n'arrive même pas à le tenir en place un quart d'heure. »
« Je sais... »

J'avais souris en coin et sans un mot de plus j'étais repartis. Dans mes bras je sentais Daeho tirer sur mon manteau et mâchonner mon cou. Je ne savais pas ce qu'il lui prenait mais il avait l'air d'être encore plus excité que d'habitude, comme s'il sentait l'odeur de Yoongi sur moi. Cela me donna l'espoir qu'un jour l'on sente un loup en lui. Après tout, il était fils de deux chef de meute, c'était impossible qu'il ne soit pas au moins comme l'un de nous deux.
Lorsque nous passâmes la porte le petit se jeta hors de mes bras et se mis à courir dans tous le salon, le tout en se battant avec son manteau et son écharpe.

« Attend chéri je vais te les retirer... »

Je venais de m'agenouiller à ses côtés tandis qu'il avait arrêté de tirer sur le morceau de laine, au risque de s'étrangler. A peine l'avais-je débarrassé de toutes ses affaires qu'il se précipita vers l'étage. Mais, avant même de poser un premier pied sur les premières marches il se stoppa et regarda dans la cuisine. Lorsqu'il vit les deux adolescents il ramena ses mains sur son cœur et se mis à hurler d'un cri strident qui avait directement réveillé Yoongi, je l'avais senti. Paniqué, j'avais posé une main sur sa petite bouche et l'avais pris dans mes bras. J'avais froncé les sourcils tout en regardant les deux adolescents recroquevillés sur leurs chaises.

« Vous lui avez fait peur ! »
« O-On a rien fait, on était assis et on a fait comme vous avez dit, on n'a pas bougé et on a pas touché au gâteau. »

Le seul qui avait osé parler était Josh et ses yeux bleus clairs. Adam avait juste fixé les escaliers dans lesquels apparaissait un yoongi encore faible, les doigts tremblants. Il venait de se réveiller et je voyais briller dans ses yeux une drôle de lueur. Je ne savais pas pourquoi il était descendu mais soudainement mon bas ventre se tendit. Mes mâchoires se contractèrent et je ne senti même pas mon petit quitter mes doigts pour aller se précipiter jusqu'au réfrigérateur. Je ne sentais plus que l'odeur qui se dégageait de mon compagnon qui se tenait contre le mur de la cage d'escalier. Sa cage thoracique s'animait rapidement et ses jambes tremblaient fortement. Ce comportement me fis contracter les épaules et grogner doucement. Je ne pouvais pas faire cela en présence de mon fils, et encore moins alors qu'il y avait des inconnus chez nous, mais Yoongi avait l'air en pleine chaleur et il me provoquait un rut trop puissant pour être contenu...

PDV YOONGI

J'étais face à Namjoon qui venait de s'appuyer contre le mur opposé à mon corps. Il sentait mon état et je devais avouer que je ne pouvais plus me contenir. J'avais été réveillé par un cri de Daeho mais pendant que je m'habillais pour paraître présentable j'avais ressenti un désir irrépressible. Mes hanches s'étaient réchauffées, j'avais senti mes reins se préparer à un lien, et mon ventre était totalement tendu. J'avais besoin de Namjoon, alors encore tremblant j'avais descendu les marches. A peine avait-il senti ma présence que son rut s'était déclenché et le voir se tendre de désir me faisait sûrement trop de bien.

« Adam, Josh, vous allez prendre le petit, vous allez lui boucher les oreilles et emmenez le dans sa chambre. Je dois m'occuper de Yoongi. »
« V-Vous allez faire quoi ? »

Josh se leva, effaré et incertain d'avoir bien compris la situation. Quant à Adam il avait attrapé par les hanches le glouton qui s'était déjà assis à table pour manger son gâteau. Il l'avait tiré avec lui jusque dans le salon, alors que Daeho secouait vivement sa cuillère pour en signe de réclamation. J'aurais voulu pouvoir profiter de la présence de petit, prendre le temps d'accueillir les nouveaux venus, mais je n'avais qu'une seule et unique envie et c'était celle de me lier. Je ne pensais qu'à la chaleur qui envahissait mes reins, je ne pensais qu'à me sentir uni à mon compagnon.

« Ecoute, on risque de faire pas mal de bruits, je te demande juste de boucher les oreilles de Daeho et si ça deviens insupportable allez à l'extérieur, a-achetez une glace, passez au magasin de jouet... »

Josh avait enfin compris et avait rejoint Adam dans la chambre de Daeho. A peine avait-il disparu que je senti la pression du corps de mon amant contre le mien. Sa bouche s'était posée contre ma pomme d'Adam qu'il dévorait de baisers ardents et de morsure délicates. Pendant ce temps, sa cuisse était posée entre mes jambes et elle s'amusait à masser mon érection déjà turgescente. Je gémissais le plus doucement possible, passant timidement mes doigts derrière sa nuque. Je voulais être soulagé, je ne tenais plus et la sensation humide dans mon bas me faisais frissonner d'impatience.

Fort heureusement il se décida à grimper les étages. Il m'avait pris dans ses bras, roulant mes jambes autour de son bassin, le tout en embrassant la naissance de ma poitrine. Je gémissais toujours plus, et plus je le sentais monter les marches, plus mon membre tapait contre son ventre contracté, et voilà ce qui avait le don de me tuer de plaisir. Mes mâchoires étaient serrées, ma tête rejetée vers l'arrière et mes yeux ne pouvaient s'empêcher de rester fermés. Ainsi, je ne sus quand nous étions arrivés dans la chambre et je fus étonné de sentir mon dos frapper le matelas. Ainsi mes yeux s'ouvrirent et je pu voir mon amant posé entre mes cuisses en train de retirer son haut. Il m'avait laissé redécouvrir la beauté de sa peau hâlée des yeux mais aussi du bout des doigts. J'avais caressé tout son sternum avant de descendre vers le bas de son ventre. J'avais passé mes doigts le long de sa ceinture que j'avais délicatement ouverte. Après un bruit métallique j'avais laissé glisser la ceinture sur le parquet de la chambre. Mes doigts blancs prirent par la suite un plaisir fou à ouvrir le bouton de son pantalon et à se glisser sur son caleçon. Je sentais la bosse turgescente sous mes doigts et cela me faisait doucement sourire. J'aimais voir son visage se tordre de plaisir, ses yeux devenir des fentes noires d'envie, et ce simplement car je le caressais par-dessus le sous vêtement. Il était totalement tendu et je voyais ses épaules larges se contracter. C'était affreusement tentant et je devais avouer que plus je m'amusais à le faire attendre, plus le creux de mes reins était en feu. Ainsi, j'avais posé mes lèvres sur sa peau hâlée et j'avais commencé à ouvrir mon propre pantalon. J'avais voulu le retirer mais de longs doigts se posèrent sur mes poignets, qui bien vite furent repoussés et posé sur le matelas.

Il s'était placé sur ses genoux tandis que son visage était posté par-dessus le mien. Mon souffle se faisait erratique et plus je pantelais plus je le voyais sourire. Il s'avait que j'étais impatient mais le jeu de faire languir l'autre dura longtemps. En effet, il m'avait maintenu contre le matelas en serrant mes poignets fins. Une douleur loin d'être désagréable tirait mes poignets, alors qu'il passait sa langue le long de ma carotide. Mon sang pulsait vivement dans mon cou et plus il embrassait mon cou plus mon corps hurlait qu'il plante ses dents dans ma chair. J'avais donc tendu tout mon cou, exposant le mieux possible mon épaule. Bien évidemment il avait compris le message mais il ne fit que passer sa langue le long de mon épaule, léchant toute la peau exposée. Je grognais, me tordais, le tout en haletant toujours plus.

« N-Namjoon, m-mords... Je t'en pris »

Il ricana et enfin il découvrit ses dents. Il les glissa le long de ma jugulaire avant d'attraper la peau de mon épaule entre ses dents. Il avait commencé par la mâchonner et la suçoter avant de planter vigoureusement ses canines dans ma peau. J'avais creusé le dos en gémissant avec toute la puissance de mes poumons en feu. Je sentais qu'il mordillait et mâchouillait ma peau et cela me fit perdre la tête. Mon ventre était tordu de désir et je ne pouvais plus vraiment tenir. J'avais donc enroulé une jambe autour de sa cuisse et l'avais poussé à poser sa cuisse charnue contre mon membre. Lorsque je le senti presser sur ma bosse je me mis à panteler et à onduler du bassin. Je ne m'entendais plus gémir tant je sentais mon bas ventre prendre feu et le plaisir monter le long de mon ventre pour tordre mon estomac et faire battre mon cœur la chamade. Je ne voyais plus que son corps contre le mien, je ne sentais que ses phéromones et notre chaleur qui commençait à envahir la pièce... Il ressentait lui aussi toutes ces sensations et sûrement qu'en me frottant à lui il avait soudainement eu envie de faire vite car il avait lâché mes poignets ainsi que mon épaule pour me retirer mon haut. Il avait posé ses paumes brûlantes sur mes hanches et sa bouche se posa sur un de mes boutons de chairs. J'avais creusé le dos, tirant sur ses mèches blonde en bataille. Je me sentais y faire des nœuds mais je n'y prêtais pas attention, préférant me concentrer sur les longues sensations électriques qui me parcouraient chaque fois qu'il mordait dans le petit bouton de chair. C'était comme si la douleur de sentir ses dents était devenu un plaisir indescriptible. D'ailleurs, il ne voulut pas abandonner mon autre bouton de chair, ainsi il se mis à le pincer entre ses doigts, laissant parfois son ongle rencontrer ma peau sensible. Chaque fois encore je m'entendais panteler et je sentais un frisson délicieux électrifier ma colonne vertébrale.
Lorsqu'il m'entendis prononcer son prénom d'une voix suppliante il se retira et me regarda dans les yeux. Ses lèvres avaient enflées de plaisir, alors que je sentais parfaitement qu'il respirait plus rapidement. Nous étions deux à être à bout, et honnêtement je ne voulais pas mourir par faute de lien. Il abaissa alors mon pantalon en même temps que mon caleçon. Il embrassa longuement mon aine, la léchant d'un rapide coup de langue. Je me tordais sous lui, mes genoux se serrant autour de ses épaules. Il me fit gémir d'autant plus fort lorsque sa langue glissa le long de mon membre enflé pour venir onduler contre le haut de mon membre. Il avait dû maintenir mes cuisses en place pour que mes tremblements se stoppent tandis qu'il léchait sans cesse mon membre découvert. Mes doigts s'étaient noués aux draps que je serrais toujours plus. Mes phalanges avaient blanchi et je sentais mon sang pulser dans tout mon corps. Il me faisait languir pour mieux apprécier le moment où il me prendrait en bouche mais je me sentais perdre l'esprit.

Enfin, ses lèvres se posèrent autour de la tête de mon sexe enflé. J'avais haleté comme un animal apeuré, le tout en ouvrant les yeux le plus possible. Je sentais ma respiration aller de plus en plus vite alors qu'il glissait le long de mon membre, jusqu'à le prendre entièrement en bouche. Ma poitrine s'emplissait de son odeur si envoûtante, tandis que mon bas ventre se tordait toujours plus. Je n'en pouvais plus et plus je me retenais de venir, plus j'avais l'impression de souffrir de plaisir. Je tremblais, secouais la tête sur l'oreiller, le tout en gémissant son prénom. Ma voix ne s'était jamais faite aussi suppliante, jamais je n'avais ressenti un tel besoin de m'unir mais je ne pouvais plus subir ses stimulations, il allait finir par me tuer.

Sentant que j'arrivais au bout il abaissa son bas et se posta entre mes cuisses. Il avait enroulé mes jambes autour de son bassin, et avait forcé mes mains à se poser sur ses épaules. Je les avais serrées alors qu'il s'insinuait en moi. Mon dos se creusa et un délicieux sentiment de me sentir comblé caressa ma colonne vertébrale. Et enfin, lorsque ses hanches s'enclenchèrent dans les miennes je me senti gémir d'une voix forte et aigue. J'avais pantelé, pleuré, et ricané durant plusieurs minutes. Se sentir uni alors que vous subissez une chaleur est le meilleur plaisir jamais offert et j'aurai pu venir rien qu'en le sentant de toute sa longueur en moi. Lorsque j'avais reporté mon regard larmoyant vers lui il avait souri et m'avait ramené contre lui. Il m'avait assis sur son bassin, lui-même restant assit dans le lit. Ainsi, je l'avais senti jusqu'au bout ce qui m'avait fait gémir d'une voix luxurieuse. Il avait frissonné longuement en écoutant ma voix, d'ailleurs il n'avait pas tenu longtemps avant d'enclencher des vas et viens. Il avait les mains accrochées à ma taille et il m'aidait à aller et venir sur son membre enflé. Je rejetais la tête vers l'arrière et tirais sur mon dos pour pouvoir aller toujours plus vite.

Nos souffles envahissaient tant la pièce que le miroir de la chambre s'était couvert de buée. La fenêtre de la chambre avait subi le même supplice et nos peaux étaient couvertes de transpiration. Pourtant nous continuions jusqu'à ce que nous atteignions l'extase. Il m'avait rallongé sur le lit pour pouvoir aller et venir dans une cadence encore plus soutenue. J'avais planté mes ongles dans son dos frémissant, et lui avait passé ses dents sur mon épaule droite pour la mordre à nouveau. J'avais presque hurlé à la sensation douloureuse mais pourtant si excitante. J'avais attrapé d'une main ses cheveux blonds et l'avais encouragé à mordre avec plus de ferveur. Ainsi, alors que mon ventre s'était retrouvé empli d'un vortex de chaleur trop condensé pour être supportable, j'avais encore plus poussé sur ses dents. Il m'avait senti arriver à la fin alors ses dents s'étaient planté plus fort dans ma peau, sa salive s'échouant sur mon dos creusé. Je n'avais plus tenu la cadence, ainsi j'avais serré les cuisses autour de ses hanches et avais relâché mon plaisir entre nos deux corps en mouvement. Il avait longuement frissonné et je l'avais senti se répandre entre mon étau de chairs. Il continua d'aller et venir lentement avant de retirer ses dents de ma peau et de me regarder dans les yeux.

J'étais animé de longs tressautements douloureux mais il me sourit tout de même. Il avait attrapé mes bras et les avait plaqués par-dessus ma tête. Il s'était remis à embrasser mon cou avec délicatesse, goûtant délicatement ma peau de quelques suçons. Puis il courba le dos et embrassa ma poitrine. Il y avait fait un suçon parfaitement ovale, parfaitement violacé, et d'une beauté certaine. Mais il était toujours coincé en moi et j'étais forcé de rouler mes jambes autour de ses hanches et d'accepter ses caresses. Il avait glissé sa bouche partout sur mon visage avant de capturer mes lèvres enflées. Il avait commencé par simplement presser ses muqueuses aux miennes mais enfin il ouvrit la bouche et prit en otage ma lèvre inférieure entre les siennes. Il réitéra l'action longuement, tandis que je bombais mes lèvres pour aller à l'encontre ses siennes. Enfin, il laissa sa langue parcourir l'intérieur de ma cavité buccale, la remplissant parfaitement. Je sentais ce muscle souple glisser le long de mon palais ce qu'il m'avait fait frissonner étrangement, avant qu'il ne laisse nos jumelles jouer ensemble. Elles s'étaient accolées tout d'abord dans ma cavité buccale mais finalement elles restèrent ensembles hors des lèvres. Malheureusement j'avais senti ma salive glisser le long de ma joue et je n'avais pu retenir les rougeurs sur mes joues.

« Alors on sait plus embrasser sans baver ? »
« Avant c'était naturel, mais là j'ai l'impression de ne plus savoir... »
« Tu dois être fatigué... je suis désolé de ne pas pouvoir sortir de suite. »
« C'est pas grave... dors avec moi... »

Il avait hésité un instant mais finalement il avait remonté les couvertures sur nos corps. Il avait échangé nos positions, et ainsi j'avais pu me blottir dans son cou et m'y endormir. Je me sentais parfaitement bien ainsi allongé contre lui et je ne demandais pas mieux...

PDV EXTERIEUR

Les bruits avaient été trop récurrents et les deux nouveaux venus n'avaient pu garder leurs mains posées sur les oreilles du plus jeune plus longtemps. Surtout qu'eux-mêmes auraient voulu se boucher les oreilles, enfin Josh n'osait avouer qu'il n'était pas vraiment dérangé par les bruits de indécents de plaisir que laissaient filtrer les murs de la maison. Mais, finalement ils avaient décidé qu'il fallait amener l'enfant ailleurs. Ils l'avaient habillé et avaient couvert son petit crâne gris de son bonnet. Ils avaient malheureusement dû retirer leurs doigts de ses petites oreilles et l'enfant frissonna vivement.

« P-papa il vient de crier ! Il faut aller l'aider. »
« T'en fais pas, il n'a pas mal ton papa. Aller on sort ! »

Josh avait poussé l'enfant dehors alors que Adam avait fouillé dans ses poches pour retrouver sa carte de crédit. Il fut soulagé de voir qu'il la possédait encore avec lui et enfin il put rejoindre le petit asiatique aux yeux gris. Ils prirent chacun l'une de ses petites mains et marchèrent en sa compagnie dans le petit village. L'enfant, connaissant déjà bien ses emplacements préférés il avait mené ses deux nouveaux compagnons au glacier de la ville qui était dirigé par le meilleur ami de Jungkook : Jin. Il était le meilleur cuisiner de la ville et sa glacerie était de loin la meilleure jamais créé sur terre. Le petit poussa la porte d'entrée de toutes ses forces et une fois à l'intérieur il courut vers sa baquette habituelle. La boutique était grande, remplie de banquettes confortables et rouges comme des sorbets à la fraise. Les tables étaient d'un blanc immaculé et les quelques couples qui buvaient des boissons diverses aux tables avaient l'air de n'avoir jamais rien bu de tel. Mais les nouveaux venus, ne voulant pas provoquer la haine de l'alpha en perdant son fils, ils avaient suivi de près le petit gris et s'étaient assis à ses côtés. Ils avaient pris une carte et furent étonné de voir que la maison servait des glaces venant de partout autour du monde. Le petit gris s'imposa entre les adolescents et commença à leurs décrire chaque glace.

« On devrait prendre du Bingsu à la mangue. Mes papas il mangeaient souvent ça ! Vous savez que je suis Coréen ? »
« C'est une glace Coréenne ? » questionna Adam, un peu perdu
« Oui ! C'est très bon. Je prendrais du Bingsu moi »

Les deux adolescents ne voulaient pas avoir affaire avec une crise de nerf du petit et avaient donc décidé de commander du Bingsu. Malheureusement lorsque le patron de la glacerie arriva face aux jeunes inconnus il hoqueta, paniqué. Il se demandait ce que faisait le fils des chefs de meute en compagnie de deux parfaits inconnus, surtout que l'un d'eux était parfaitement normale et humain.

« D-Daeho, pourquoi tu es là avec des inconnus ? Il est où Namjoon ? »
« Il est parti chercher papa, et maintenant qu'il est revenu avec, ils crient dans la chambre de l'étage. »

Jin rougit jusqu'aux oreilles tandis que les deux adolescents tentaient de se cacher dans le col de leurs manteaux.

« J-Je ne sais pas ce qui est arrivé à Namjoon mais il tremblait et Yoongi était appuyé sur le mur. Il a dit qu'il était obligé de s'occuper de lui et que nous on devait s'occuper de Daeho. Je pense qu'ils étaient très pressés. » Commença Adam.
« Ses chaleurs... on savait qu'elles reviendraient bientôt cela faisait déjà six ans qu'il les avait empêchées. Vous êtes les nouvelles nourrices du petit ? » questionna Jin
« E-Euh on va dire cela. » répondit Josh en caressant le menton du petit aux cheveux gris.
« Et bien bon courage. Maintenant qu'il a provoqué une chaleur elles vont se rattraper et vous les verrez plus dans leur chambre qu'au travail croyez-moi... »
« Oui ! je vais rester tout le temps avec Josh et Adam ! »
« Ah ne t'emballe pas mon grand. N'oublie pas que tu as l'école. D'ailleurs pourquoi tu n'y es pas aujourd'hui ? »
« Parce qu'hier c'était la pleine lune et que papa avait disparu. »
« Bon, c'est une bonne excuse. Mais demain tu auras intérêt à y aller. »
« Mais bien sûr ! j'aime l'école ! j'ai hâte de revoir Minhyuk. »
« Oui, je l'ai vu ce matin il était inquiet pour toi et il m'a dit qu'il avait un cadeau pour toi. Mais il m'a parlé d'autre chose... »

Jin se pencha par-dessus la table et se rapprocha du petit gris. L'enfant se mis à rougir et croisa les bras sur sa poitrine. Il tentait de se donner contenance mais il se sentait devenir une vraie tomate. Après tout, sa peau était si blanche que les rougeurs sur sa peau se voyaient très aisément et après à peine quelques secondes il était déjà totalement rougis.

« Il m'a parlé d'une histoire de bisou. »
« Il ment ! »
« Alors comme ça tu aimes bien lui faire des bisous Daeho ? »

L'enfant se mis à trembloter et de ses petites mains il attrapa celles de Jin. Il ne pu serrer que quelques-uns de ses longs doigts mais cela ne l'empêcha de paraître très sérieux. Les larmes lui étaient rapidement montés aux yeux.

« Ne dis rien à papa. »
« Lequel ? »
« Papa Namjoon. Il est très souvent en colère et chaque fois que je fais quelque chose il crie sur Papa Yoongi. »
« D'accord petit ange. Je te ramène du Bingsu... »

Jin disparu tandis que les deux adolescents avaient caressé les doigts du petit enfant, le trouvant aussi adorable que possible. Pourtant Daeho n'était pas rassuré, il ne voulait plus voir son père hurler pour des choses idiotes comme de la viande ou des baisers avec des poupées. Alors s'il apprenait que si jeune il s'était mis à voler des baisers il n'allait sûrement pas être content...

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Lemon pourrit.